Je mappelle Sylvie, et ma mère ma appris à me masturber et à faire lamour très jeune avec elle, puis vers mes 16 ans, elle minvita à partager le lit conjugal, je regardais mes parents faire lamour, et souvent maman me caressait, elle suçait souvent mon père, et un soir elle mit sa queue dans ma bouche, et au moment ou papa allait jouir, elle me tint la tète pour que javale tout son sperme, comme ma chatte était toute mouillée, papa en profita pour me dépuceler, et je partageais souvent leur lit. Je continuai à faire lamour avec ma mère et mon père quoique je vis en couple avec une femme un peu plus vieille que moi.
Régulièrement, je vois ma mère et mon père, et nous faisons lamour à trois ou quatre, avec mon amie, maman na pas damants et papa na pas de maîtresse, a part mon amie et moi. Nous sommes très libres et très souvent, nous ramenons des hommes à la maison et quelquefois nous les partageons. Nous sommes donc bi toutes les deux.
Je travaille dans une grande compagnie dassurance, et lors dun cocktail organisé dans notre agence de Nantes, je remarque, sur une centaine de personne, une grande femme très élégante, habillée dun tailleur assez strict, avec des talons hauts, très bien maquillée avec de grands cheveux noirs et une belle poitrine. La seule à mon goût.
Je marrange pour me rapprocher delle, et ce nest pas facile, vu le nombre de personnes et comme elle ne faisait pas partie des gens avec qui je travaille javais peu de chance de la croiser.
Je suis allée au buffet pour reprendre un peu de champagne, Quand cette jolie femme fit la même chose que moi, nous nous retrouvons ensemble au buffet, nos regard se croisent et nous échangeons un sourire.
Le cocktail se termine, et jattends un taxi pour rejoindre mon hôtel, quand elle sort et me dit : « Je peux vous raccompagner, ma voiture est toute proche. » Jaccepte de suite si cela ne la retarde pas trop.
Arrivée à lhôtel, je linvite à prendre un verre au bar, et nous nous retrouvons toutes les deux à bavarder de chose et dautre.
Puis elle me propose de diner ensemble, puisque je nétais pas attendue, jaccepte après avoir fais un brin de toilette, me remaquiller et me changer.
Nous nous retrouvons une demi-heure plus tard, et elle memmène diner dans un petit restaurant sympa du centre de Nantes.
Au cours du diner, japprends quelle vit seule depuis un an, et quelle na pas damie. De mon coté, je lui parle de mon amie et de mon éducation faite par mes parents, que jentretiens toujours des relations régulière avec eux. je lui parle des nuits damour avec ma mère, et les baises avec mon père.
En fin de diner, elle me propose de me raccompagner, jai vraiment envie de lui faire lamour, mais je me garde bien de lui dire et de la provoquer, ma petite culotte est toute mouillée.
Elle me laisse devant lhôtel, nous échangeons nos prénoms et nos numéros de portables, (elle sappelle Gilberte), nous nous faisons une bise et me dit à demain.
Je me réveille vers 8 heures, ma nuit à été mouvementée, je me suis masturbée deux fois en pensant à son corps, n’y tenant plus, je lappelle pour savoir si elle a passée une bonne nuit et lui souhaiter une bonne journée, je me lève, prends une bonne douche, et après mêtre préparée, je pars travailler.
La matinée se passe normalement, quand vers midi, mon portable sonne, cest Gilberte, que me demande où je mange et si je veux bien déjeuner au restaurant dentreprise avec elle. On se donne rendez vous vers 12 heures 30.
Jarrive au restaurant, elle mattend depuis quelques minutes et on sembrasse sur les joues comme le font beaucoup de collègues. Notre repas est accompagné dune discussion à bâtons rompus, surtout sur le travail et elle me propose de mattendre ce soir pour me ramener à mon hôtel.
Je passe un après-midi très pénible, ma culotte est toute mouillée, et je ne suis pas sure de satisfaire mon envie ce soir.
La fin de journée approche, et comme promis, elle mattend pour me ramener à lhôtel, elle me propose de diner ensemble et après aller en discothèque puisque je dois rentrer demain à Paris.
A lheure convenue, elle mattend au bar de lhôtel, et me demande si cela ne me fait rien daller diner à La Baule, cest assez loin de Nantes, mais je nai que cela à faire.
Nous dinons dans un petit restaurant, et jose prendre sa main et à ma grande surprise, elle ne retire pas la sienne, mais prend la mienne. Pendant tout le repas, nos mains ne se quittes plus.
En fin de repas, Gilberte me dit quelle connait une discothèque sympa, que nous ne serons pas dérangées, il ny a que des filles, je compris que cétait une boite de lesbiennes. Je laccompagne en boite, et effectivement il ny a que des filles, elle mentraine dans un coin la nous serons tranquille et nous ne nous ferons pas trop draguer.
A peine assises, elle se serre contre moi et nos bouches échangent un long baiser et Gilberte me dit : « Jen ai envie depuis le premier jour. ». Nous dansons très serrées lune contre lautre, et quand nous nous asseyons, cest pour flirter.
Ma main passe sur sa poitrine, et je sens au travers son chemisier, ses tétons durcir, elle caresse aussi les miens, et je sens que ma chatte désire ses doigt ou sa langue. Je passe la main en dessous sa jupe, pour mapercevoir quelle met des bas et un porte-jarretelles de son coté, elle met sa main sur mon entrejambe, mais je mets un collant et ce nest pas pratique.
Je caresse les cuisses de Gilberte, sa peau est douce, mais elle ne veut pas que ma main aille plus haut elle me dit : « Tout à lheure, chez moi ».
Vers 1 heure du matin, ny tenant plus, nous décidons de partir, nous rentrons donc à Nantes, et au lieu de me ramener à lhôtel, elle me propose de venir boire un dernier verre chez elle.
Ce que jattends depuis le début de la soirée.
Nous sommes assise sur le canapé, et sans attendre, je déboutonnes son chemisier, et découvre un superbe soutien gorges rempli dune belle et ferme poitrine que je caresse et embrasse, Ma main relève sa jupe, pour découvrir un slip assorti au soutien gorge et porte jarretelle.
Gilberte retire mon collant en mon string pour enfoncer ses doigts dans mon intimité et comme elle constate que je suis trempée, elle nhésite pas à me masturber.
Je suis nue alors quelle est encore à moitié habiller, elle à garder sa petite culotte et les jambes serrées pour men interdire laccès, Je caresse sa poitrine et soudain, elle se retourne pour enlever sa culotte, je crois que cest par pudeur, et quand elle est nue, avec un corps parfait, elle se retourne pour me faire face et là, quel ne fût pas ma surprise quand je vois entre ses jambes, une énorme bite et elle me dit : « Je suis transsexuelle et personne le sait au bureau, sauf les ressources humaines ».
La première réaction passée, je lui dis : « Tu es encore plus belle comme cela » et je prends son sexe dans ma bouche pour la sucer jusquau bout, moi qui désire la douceur dune femme et la vigueur dun homme.
Je sentais en faisant lamour, ses seins très durs contre les miens et son sexe dans mon ventre, je nai jamais senti cela avant, puis nous avons fait lamour par tous nos trous, et elle me demanda de lui faire lamour avec un gode double, je lui enfonçais dans son cul et lautre bout dans ma chatte, nous avons jouis toute la nuit.
A notre réveil, je lui demandais de maccompagner à lhôtel pour me changer et je lui demande si elle veut bien rester ma maitresse ou mon amant comme elle voudra.
Nous arrivons au bureau ensemble, et elle me demande à quelle heure est mon train et quelle veut maccompagner à la gare et quelle me donnera sa réponse ce soir.
Sur le quai de la Gare, elle me dit au revoir en membrassant sur la bouche et elle me dit : « jai toujours rêvé de vivre une histoire damour avec une vraie femme. »
A mon arrivée à Paris, je préviens mon amie que je la quitte pour une femme transsexuelle que jaime et que jai rencontrée à Nantes. Elle me demande de venir me voir de temps en temps pour faire lamour à trois et surtout garder mes parents comme amants.
Pour mes parents, cest daccord, par contre pour venir nous voir à Nantes, il faut que je demande à mon amie.
Avec mes parents, je sais quils vont être daccord sur ma nouvelle relation, surtout que je désire toujours garder ma relation avec eux.
La semaine suivante, mon amant est « venue » à Paris pour passer le week-end et faire lamour ensemble.
Jai demandé ma mutation sur Nantes pour vivre le parfait amour avec mon « homme ».
Ma nouvelle amie accepte de recevoir mon ex ainsi que mes parents, elle aime aussi faire lamour avec un homme, elle aime avoir une queue dans son cul et sentir le sperme couler en elle, chose que je ne peux pas lui donner.
Donc nous nous installons ensemble à Nantes, et je ne lui interdis pas de recevoir des hommes de temps en temps et souvent nous les partageons.
La première visite de mon ex arrive, et nous passons le week-end à trois, et à son départ le dimanche soir, alors quelle nous a bien fait lamour, Je lui demande de ne plus venir nous voir, je suis jalouse.
Puis mes parents viennent nous voir, avec un peu dangoisse nous les recevons et bien évidemment nous faisons lamour à quatre, Alors que maman et moi sucions Gilberte, nous demandons à papa de venir avec nous et nous lui avons mit la grosse queue dans la bouche, puis alternativement, nous la prenions dans la notre, Gilberte allait jouir dans ma bouche, je sens sa queue durcir, alors je la mets dans la bouche de papa, et Gilberte ne se retint pas et envoya toute sa semence dans sa bouche, papa avala tout comme nous le faisions souvent avec la sienne.
Maman fit lamour avec Gilberte et papa me baisait, puis maman prit du gel et en enduit le petit trou de papa et demanda à Gilberte de rentrer son énorme bite dans le cul de papa en disant : « Depuis le temps quil nous encule, il va savoir maintenant comment ça fait mal la première fois, et quaprès cest bon. ».
Papa accepta sans broncher cette grosse queue dans son cul et il demanda à Gilberte de lenfoncer plus loin à chaque fois, jétais contente de voir papa se faire baiser par un « homme », maman membrassait et javais toujours la queue de papa dans ma chatte. Gilberte leur proposa de rester toute la semaine.
Nous passons toutes nos nuits à quatre, et quand ils sont repartis, Gilberte leur a demandé quand allaient-ils revenir.
Papa et maman ont, maintenant, eux aussi un « amant » et une « maîtresse ».