Copains coquins 2

Lhiver est là, j’ai plus de temps libre, je maîtrise tout le travail, j’apporte beaucoup d’attention à la propreté des bêtes, le brossage, le lavage des mamelles avant la traite et le soin des trayons après avec une crème pour adoucisseur la pression faite par la machine. Si la vulve ou l’anus sont sales un lavage est fait, je constate que toutes ces petites opérations que ma compagne faisait sont appréciées par le troupeau.

Un autre veau me procure des effets encore plus agréables, cest une femelle, plus douce, moins rapide, je reste plus longtemps en excitation.

Ce soir-là je m’assois sur une botte de paille, le bleu de travail servant de coussin pour les fesses, elle arrive renifle mes genoux, sa langue passe à plusieurs reprises sur mes cuisses, sa tête s’enfile dans mon entre-jambes, popol est bien raide contre mon ventre.

Je sens ses lèvres sur mes couilles, sa langue passe et repasse dessus. Elle bave, cette chaleur me fait bander, je serre mes cuisses contre sa tête, que cest bon.

Doucement, j’incline ma bite vers son museau, elle trouve vite, un coup de langue, je me retrouve dans sa bouche et elle commence à me sucer.

J’entends un beuglement, mince! J’ai oublié de remettre une vache à sa place, je l’ai inséminée ce matin, elle est encore dans le box prévu pour les interventions de toutes sortes.

Je me dégage de cette bonne position, le temps de déplacer la vache, nous recommencerons.

Je suis nu, la queue bien raide et me voilà en direction du box. Je passe à côté de la vache, j’arrive vers sa tête pour la détacher, Surprise, elle me renifle le sexe, étire son cou, souffle fort, ses reins s’allongent, plusieurs fois, elle fait cette manuvre. Je pose ma main sur son échine, elle se courbe, sa tête vient contre moi, sa langue lèche ma cuisse, elle est plus rugueuse que le veau !

Mes mains parcourent son dos, j’arrive sur ses reins, elle reste immobile, je continue, j’aperçois son anus faisant de petits mouvements, dessous sa vulve qui laisse échapper un petit filet glauque.

Je me poste derrière elle, doucement le filet descend, ma bite se raidit, j’ouvre sa vulve, un peu plus de liquide sort, les lèvres de mon gland sont ouvertes, je ne résiste pas une seconde, je me mets dessous.

Avec mon doigt je récupère le filet, je fais entrer la goutte du fond dans mon gland, le reste je le dépose sur la tête de ma bite, lentement il s’écoule le long de ma verge, puis sur les boules et le long des cuisses.

C’est bon, surtout le contact avec les lèvres du gland, sentir le liquide glisser, enivrant.

Mon plaisir est de masser mes ufs avec cette crème, ma queue et au zénith, j’ai envie de niquer.

Je caresse sa vulve, mes doigts écartent les lèvres, ma bouche plonge dans son vagin, ma langue parcourt les côtés, elle ne bouge pas, sa queue se met de côté dégageant bien son sexe. Je trouve le clitoris qui est vers le bas de la vulve, je suce ce petit téton. Lenvie de la pénétrer monte en moi, mes couilles jouent au yoyo dans les bourses.

Pour combler la hauteur de nos sexes je récupère une botte de paille et me voilà perché, la bite bien raide prête à entrer en action.

Mon gland bien gorgé se présente sur sa vulve, lentement, il fait sa place dans la fente oh ! Chaleur enveloppante, je continue à m’enfoncer dans ce délice de chaire, encore, encore, mon pubis se bloque sur sa vulve.

Je reste quelques instants sans bouger, des frémissements parcourent le bas de mon ventre, je commence à limer. Intense plaisir, parfois, je sors entièrement pour couper l’éjaculation, dès que je suis en contact avec son vagin ma queue se redresse encore plus vive.

Ma jute monte, je me colle à ma vache et j’explose en plusieurs fois. Trop bon, je reste un instant au plus profond, ma bite continue de farfouiller son vagin, je suis si bien, j’attends qu’elle sorte toute seule.

Le plaisir fut intense, je frotte mon sexe contre le sien pendant de longues minutes, puis c’est au tour de mon pubis de venir caresser avec ses poils sa vulve.

Avant de partir, j’en profite pour lécher l’intérieur de son vagin, depuis des mois si longs que ma bite n’avait pas connu le contact avec un vagin, j’ai des frémissements dans mon sexe qui remonte en moi, que du bonheur.

Je prends mes couilles dans les mains, volume et poids sont présents à nouveau.

Je vais récupérer mon bleu de travail, oh ! Il est au milieu du box et le veau suce le tissu.

Je rentre dans le parc, face à elle je me baisse, elle n’hésite pas une seconde, longe mes cuisses et la voilà qui cherche le trayon.

Ma bite après son effort et pendante, elle n’a aucune peine à la trouver, sa langue fait des ronds sur mon sexe et hop je suis dans sa bouche.

Je laisse faire, les sucions commencent, au bout de quelques minutes, la tige se redresse un peu, elle sent que la dureté se fait, alors elle redouble ses efforts, peu de temps après, je retrouve mon bâton assez raide, elle ne me lâche pas, je suis envahi de bave qui s’écoule entre mes jambes, normal elle suce tellement que sa salive est importante.

Je me retiens, soudain j’ai une poussé de jute, le gland se gorge, sa langue en veut trop et elle m’échappe.

Son museau me frôle, j’éjacule sur ses narines. Je reprends mon bleu, je rentre me doucher.

Cette journée est parfaite, ma queue est en feu, je sens mes pruneaux qui bougent, sous la douche le savon me procure un bien-être, je me masse les couilles, je suis un bon taureau, mes animaux me comble, la complicité, la douceur, sont une des clefs.

Le veau mieux qu’une pompe à pénis, un réveil bite.

Un dimanche soir je me mets contre la barrière du box de mon veau j’ai mon pantalon de travail à double fermeture éclairs, ma belle arrive, elle cherche à la hauteur de mon sexe il y a un repli de tissu, elle se met à le sucer, je descends les fermetures au niveau de mon entre-jambe, sa langue farfouille et trouve ma bite. Sa bave coule sur la languette des fermetures du pantalon, mon pubis est couvert de salive, je suis en érection, oh !

Un bruit de voiture, je me retire, je remonte les fermetures, je passe mes mains sur le tissu pour éponger.

Mon collègue qui me rend visite, petite conversation sans intérêt, je l’invite à prendre un café. – Pierre, j’ai besoin de tes services, je viens de commander le matériel pour inséminer

mes porcs, je sais que tu connais la technique, je compte sur toi.

— Max pas de soucis, se sera avec plaisir.

— Pierre, j’ai un jeune verrat d’une part, il ne féconde pas et d’autre part, il n’arrive pas à

faire la monte j’ai dû l’aider, c’est moi qui ai tout pris dans les mains, ¼ de litre, puis il part, la cochette reste en position et c’est moi qui assure à sa place.

Je reste sans voix.

— Si je me permets de te dire que je baise mes truies, simplement, je constate que tu as remplacé ton ex, tu nas personne et voir ton bleu si humide je ne pense pas que ce soit un souci urinaire, les formes te trahit.

— Moi c’est un incident technique, alors on se raconte les aventures.

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