Thaïlande

Mme De FONTANEL regardait Maï grimper le petit sentier qui dévalait le long de l’immense jardin de sa propriété de Bangkok.

Femme du consul, Mme de Fontanel jouissait de s’ennuyer toute la journée d’un luxe démesuré en rapport à la vie des autochtones. La femme de quarante ans s’amendait de ce luxe en répétant à qui voulait l’entendre, qu’elle employait beaucoup de thaïlandais. Le salaire qu’elle versait au moindre de ses domestiques faisait vivre leur famille entière.

Maï y était sa masseuse depuis deux mois. Elle venait tous les jours. De nature timide, la bangkokaise ne parlait que quelques mots français. Agée de vingt ans, cet emploi lui permettait de nourrir sa grande famille. Elle avait ses deux parents, ses grands-parents et de nombreux frères et sours.

Mme de Fontanel entra dans un petit patio, dissimulé derrière de grandes haies de fleurs odorantes. La luxure était l’une de ses occupations principales. Souvent les jardiniers thaïlandais étaient enrôlés pour assouvir ses désirs sensuels. Ils ne se plaignaient guère. Premièrement l’emploi était très bien payé et deuxièmement leur patronne ne manquait pas de charmes exotiques à leurs yeux.

Maï entra dans le patio aux portes coulissantes. La jeune masseuse découvrit sa patronne le torse nu. La lourde poitrine aux larges aréoles ballotta lorsque Mme De Fontanel se pencha pour ôter son string. Elle se redressa et attacha sa longue chevelure blonde en chignon et s’installa sur la table de massage.

La quadragénaire observa sa domestique laver ses mains et prendre ses huiles. Elle remarquait la taille fine de la jeune femme dont l’habit traditionnel soulignait la minceur. Fidèle à ses vices, la femme du consul avait soumis la jeune Maï à sa luxure. La pauvre n’avait pas vraiment pu se rebeller. Sa patronne avait guider ses mains sur son sexe aux poils blonds et lui avait montré comment la faire jouir. Depuis un mois, la masseuse terminait son office par de lascives caresses.

La jeune thaïlandaise priait pour qu’elle ne fût pas obligée un jour de se dévêtir et que sa patronne ne la toucha. Elle avait surpris un jardinier se faisant sucer. Ses mains, enduites d’huile se posèrent sur la peau halée de sa patronne et elle commença un savant massage.

Mme de Fontanel pensait que tous les thaïlandais n’avaient guère d’inhibitions quant au sexe et ne s’étonnait pas que ses employés se soumettent si facilement à ses désirs. Maï massait déjà la blonde depuis une demie heure, quand, cette dernière se retourna et regarda la jeune asiatique d’un air entendu. Les mains qui massaient les épaules descendirent imperceptiblement vers les seins massifs et commencèrent à les pétrir jouant tantôt avec les tétons très durs tantôt avec la masse graisseuse que la thaïlandaise ne pouvait s’empêcher d’admirer malgré elle.

L’européenne ferma les yeux lorsqu’elle sentit les mains descendre sur son ventre. Il était indéniable que Maï maîtrisait son sujet ; ce qui renforçait les conceptions colonialistes de madame la consul sur le penchant à la sexualité des thaïlandais. Les doigts jouaient avec les lèvres déjà gonflées et un index se fraya un passage dans le sexe humide. Il ne fallut guère de temps à Maï pour extirper des plaintes de sa patronne. Fortement érigé hors de son capuchon, le clitoris subissait les soins des doigts fins de l’asiatique.

Mme de Fontanel se redressa à un moment pour engager sa domestique à la lécher. Depuis deux semaines, elle amenait doucement la jeune thaïlandaise plus loin dans les soins qu’elle lui prodiguait. Mais elle n’eut pas le temps. Un orgasme soudain la surprit.

Maï, deux doigts pénétrant frénétiquement le sexe et deux autres branlant avec précaution le bouton, regardait sa patronne jouir en se contorsionnant sur la table de massage. Au début, elle avait peur que les jardiniers entendent les cris sonores. Néanmoins elle comprit rapidement que tout le monde était au courant.

La blonde quinquagénaire se calma et, regardant la belle thaïlandaise, elle se promit qu’elle la lécherait le lendemain. L’idée que sa langue s’immisce dans la douce Maï l’excitait déjà. Devait-elle attendre le lendemain finalement ? Elle ne voulait toutefois pas brusquer les choses et il y avait bien un jardinier ou deux qui feraient l’affaire.

— Maï ?

— Oui metresse.

— Je voudrais embaucher un nouveau jardinier. Thin part ce soir. Il est trop vieux et je veux le remplacer, dit-elle avec un fin sourire.

La thaïlandaise se lavait les mains en écoutant docilement Mme de Fontanel.

— Tu dois bien connaître quelqu’un à Bangkok qui souhaiterait travailler pour un bon salaire ?

— Oui metresse.

— Tu le ramènes demain.

Dès le lendemain un nouvel employé du nom de Nassaj travaillait chez les de Fontanel. Il ne devait pas avoir plus de dix-neuf ans. Fin, agile, l’oil brillant et vaillant à la tâche. Mme la consul le couvait des yeux depuis quelques jours mais attendait encore un peu avant de l’entreprendre.

C’était l’heure de son massage quotidien et elle vit sa petite Maï cheminer vers le patio en habit traditionnel rouge. La blonde se délectait déjà de cette séance. Elle avait amené la thaïlandaise à la lécher et depuis trois jours, elle jouissait de sa langue de plus en plus experte. Mme de Fontanel s’était promis de voir Maï nue et de la faire jouir à son tour. Tout doucement, sans les brusquer, elle amenait ses domestiques à se donner complètement et plus le temps passait et plus sa perversité, plus sa luxure étaient exacerbées.

Maï découvrit les formes plantureuses de sa maîtresse en entrant dans le patio. Elle n’était plus étonnée de la voir nue. Elle se surprenait même parfois à les convoiter avec une légère envie. Surtout la belle poitrine, elle qui n’en avait que trop peu à son goût ! Les hanches vigoureuses l’étonnaient toujours.

Elle s’enduit ses mains d’huile et commença le massage.

Au bout d’un moment, Mme de Fontanel se tourna ; signal pour la thaïlandaise que sa maîtresse était prête. La blonde sentit les mains descendre sur sa poitrine puis sur son sexe. Rapidement, elle saisit les bras de Maï pour l’attirer. L’asiatique avait été très rétive au début. Mais, à présent, elle se contentait d’obtempérer et se plaçait entre les cuisses ouvertes de la blonde en gardant à l’esprit que son salaire avait amélioré nettement la vie de sa famille. Sa langue commença doucement son office sur les lèvres trempées.

Au bout d’un moment, Mme de Fontanel se redressa et avec son petit sourire malin demanda :

— j’aimerais que tu te déshabilles Maï.

L’asiatique se redressa et regarda sa maîtresse avec des yeux qui disaient non.

— Vraiment j’apprécierais de voir ton joli corps, insista la blonde certaine d’obtenir ce qu’elle convoitait. Tu vois le mien tous les jours !

Le ton de Mme de Fontanel était doux, mais on pouvait sentir une certaine excitation dans sa voix. Depuis des années de luxure quotidienne, le désir ne faisait qu’augmenter sans jamais être rassasié. Un jardinier de temps en temps lui suffisait au début. Mais l’ennui de sa condition et sa propension naturelle au sexe avaient amplifié ses besoins. Elle s’adonna, alors, à la masturbation plusieurs fois par jour, et nombres de jeunes thaïlandais visitaient sa couche. Puis se fut plusieurs à la fois. Depuis un mois elle découvrait les plaisirs saphiques avec sa masseuse, mais rien ne pouvait assouvir la lave voluptueuse qui corrodait son corps.

Les bras sur sa poitrine, comme pour se protéger, Maï finit par lâcher :

— non madame. Moi pas pouvoir.

Un silence lourd s’installa. Jamais l’asiatique ne s’était exprimée avec tant de netteté et de fermeté. Madame la consul resta coi mais une sourde colère mêlée d’excitation envahissait son ventre et son esprit. Toutefois elle reprit doucement en contenant sa colère.

— Maï je dois insister. Je veux te voir nue.

— Mais, sgsgsgs, shshyeyh, jsjjee, répondit peureusement la jeune femme en reculant d’un pas.

— Je ne comprends rien de ce que tu racontes. Approches-toi de moi.

— Metresse, non.

— Comment ça non ! éclata Mme de Fontanel. Tu te rends compte de ce que tu dis ?

Jamais Maï n’avait vu sa patronne s’énerver. Elle avait peur. La quinquagénaire se leva. Elle était nue. Ses voluptueuses formes avaient toujours impressionné la masseuse. Elle tenta de se calmer mais son besoin irrépressible de sexe était là. Elle ouvrit la porte coulissante et appela le nouvel employé :

— Nassaj ! Nassaj !

— Non, non metresse, cria soudain l’asiatique.

— Comment ça ? Mais pour qui tu te prends ?

Nassaj apparut en courant et resta immobile en voyant sa maîtresse nue. Il n’était pas là depuis longtemps et ne connaissait pas les habitudes de la maison.

— Viens ! Entre mon petit, fit-elle en lui désignant l’intérieur du patio.

Nassaj ne parlait pas le français mais il comprit qu’il fallait qu’il pénètre à l’intérieur. Maï le regarda avec des yeux pleins d’effroi.

Poussée par un violent désir, Mme de Fontanel attira Nassaj près de la table de massage et lui caressa le visage. Il eut un léger mouvement de recul mais le regard de sa patronne ne lui laissait guère le choix. Elle porta sa main sur le torse en nage et rapidement elle le blottit contre son corps nu. Elle guida les mains du jeune homme qui tremblait vers sa forte poitrine. Nassaj admirait les seins lourds qu’il malaxait doucement. Il se retourna un moment pour regarder Maï qui n’osait plus bouger dans le coin du patio.

— Occupe-toi de moi, intima Mme de Fontanel en dirigeant les mains du jardinier sur son sexe.

Nassaj déglutit.

— nnebeb, neheh, nhehe

— Je ne comprends rien ! lança-t-elle énervée en menant les doigts du thaïlandais dans sa vulve.

Complètement transportée par son désir brûlant, l’européenne oubliait toutes mesures. Elle posa ses mains sur le sexe du jeune homme et constata l’érection à travers le short.

— Tu bandes mon chéri. Ta patronne t’excite ! murmura-t-elle avec une voix lascive.

Elle se baissa et ôta le short. Nassaj recula en se cachant le sexe et parla rapidement.

— Qu’est-ce que vous avez aujourd’hui ? éclata Mme de Fontanel qui n’arrivait plus à contenir son excitation. Viens là sale petit con sinon tu vas aller croupir dans les rues de Bangkok.

Nassaj comprit et ne bougea plus. Sa patronne le fit s’asseoir sur la table et se pencha vers le sexe encore en érection. Elle le prit dans sa bouche et commença à le sucer lentement. Sa langue enduisait la tige de tout son long. Elle l’aspira plus fermement et le recracha.

Le pauvre Nassaj regardait sa maîtresse à ses pieds avec effroi et plaisir mêlé. Puis, il se tournait vers Maï avec honte. La jeune femme demeurait prostrée.

— Allonge-toi sur la table mon petit, ordonna la blonde d’un ton sec.

Sa colère exaltait son excitation. Elle enjamba le corps maigre et sec du jardinier et tout en maintenant la tige en turgescence entre son index et son pouce, elle approcha sa vulve trempée qu’elle avait branlée. Nassaj éjacula avant que sa maîtresse ne puisse s’empaler.

— Et bien tu es un rapide, déclara Mme de Fontanel déçu. Ta patronne t’excite ?

Déjà la verge se ramollissait et la voluptueuse blonde frustrée demanda à Maï d’approcher.

— Non metresse, si vous plaît.

A ce moment là, madame la consul éclata. Les hurlements s’ébruitèrent sur toute la propriété. Peu accoutumés à ce comportement, l’ensemble des domestiques prit peur.

— Tu vas faire ce que je te dis petite dévergondée, annonça la blonde en tentant maladroitement de contenir sa colère. Je te préviens, tu vas perdre ton emploi. Et, crois-moi, aucun autre occidental ne t’engagera sale petite traînée !

Tremblante de peur, Maï approcha de sa maîtresse. Cette dernière, déboutonna chaque bouton de la longue robe en soie rouge. Le corps menu et délicat de la jeune thaïlandaise apparu nu sous la robe. Aucun sous-vêtement ! Des petits seins pointaient. Un ventre plat. Un pubis noir et peu fourni. Une peau douce et brune.

Maï baissait la tête. Des larmes coulaient sur ses joues. Assis sur la table de massage, Nassaj avait tourné la tête. Enivrée et animée par la démesure de ses besoins sexuels, Mme de Fontanel n’avait cure de ces larmes et ses mains prenaient possession de la peau souple et halée. Elle colla son corps plantureux contre celui, plus mince, de la thaïlandaise. Haute d’une tête de plus que sa domestique, ses seins lourds et tendus se plantaient au niveau de la gorge de cette dernière.

— lèche-moi !

Maï obtempéra sans vraiment de conviction. Sa langue en pointe darda un peu les tétons en érection. Pendant ce temps, Mme de Fontanel caressait les petites fesses et le dos de la thaïlandaise qui avait posé ses mains sur les larges hanches de sa patronne.

Nassaj ne bougeait pas. Malgré lui, il regardait les deux femmes s’enlacer. Sa tête bourdonnait encore de son orgasme. La peau blanche de sa patronne contrastait avec celle, brune, de Maï dont les mains commandées par la voix impérieuse, caressaient les hanches fortes, le dos, les cuisses. Bientôt il devina, que les doigts de la thaïlandaise avaient pénétré le sexe de Mme de Fontanel qui gémissait de plus en plus fort entre quelques ordres cinglants. Malgré lui, sa verge gonfla et il en conçu un sentiment de honte.

Tout à coup, Mme de Fontanel se tourna et, constatant l’état d’excitation du jardinier, enjoignit l’asiatique nue de s’allonger sur la table. Malgré une certaine hésitation, cette dernière obtempéra en cachant sa poitrine et son sexe.

— Je ne savais pas que vous étiez si prude entre vous, lâcha goguenarde la quinquagénaire qui prit la verge tendue de Nassaj debout à présent, à côté de la table. Il baissait les yeux.

— Tu as vu sa belle tige Maï ?

— Je pas pouvoir. pleura la masseuse.

C’est à ce moment là qu’elle éclata en sanglot, les mains cachant toujours son sexe et sa poitrine. Elle parlait vite et saccadé en thaï. Mme de Fontanel ne comprenait rien et les réticences répétées de Maï l’agaçait. Tout ce qui l’intéressait, c’était jouir ! Jouir à en perdre la raison. Seulement vivre dans un univers de luxure et de débauche. Qu’on obéisse au moindre de ses désirs.

Elle ne saisissait pas les propos confus de sa masseuse en sanglot qui tentait d’expliquer qu’elle ne pouvait pas comme ça. Qu’elle n’aurait pas dû faire engager le jardinier. Que Nassaj était son frère !

Mme de Fontanel ne connaissait pas le thaï et entra de nouveau dans une furie. Elle lui écarta les cuisses et pénétra deux doigts dans son sexe. C’était étroit. En même temps, elle branlait la verge gonflée de Nassaj qui tentait de détourner les yeux du corps nue de sa sour, de son sexe ouvert, de ses petites hanches, de ses petits seins . Une boule d’angoisse et d’excitation l’étranglait.

Allongée sur la table, Maï sentait les doigts l’ouvrir avec force. Elle ne luttait plus ; seulement elle marmonnait entre deux sanglots :

— edkj, dekjdekj, lklklde, (il ne faut pas, c’est mon frère)

La bouche de Mme de Fontanel remplaça ses doigts et sa langue lécha activement la vulve épicée de sa masseuse. Dans le même temps, elle dirigea le jardinier à la prendre par derrière. Il obtempéra et sa verge pénétra le sexe trempé de sa patronne et commença à la fourrager avec énergie. Il s’accrochait aux larges hanches pour mieux la culbuter.

La hardiesse du jardinier réjouit Mme de Fontanel qui continuait à lécher méticuleusement Maï qui regardait son frère s’arque bouter sur sa maîtresse.

Cette dernière sentit doucement le plaisir sous les coups de culbutes énergiques. Son corps fut pris de soubresauts et un long râle jaillit de sa bouche. Elle gueulait sa jouissance. Maï la regarda étonnée. Jamais elle ne l’avait vu jouir ainsi.

— Tu vois ma petite, dit la blonde des larmes de plaisirs qui ourlaient à ses yeux, ce jeune jardinier sait y faire. Il va te prendre à présent.

— NON, NON !

Une gifle monumentale s’abattit sur la joue de la récalcitrante. Mme de Fontanel dirigea de force Nassaj entre les cuisses de sa sour.

Lui non plus ne voulait pas ! Deuxième gifle ! Elle tenait la verge tendue entre ses doigts et poussa brusquement Nassaj. Il pénétra le sexe de sa grande sour qui pleurait violemment. Puis, sous le rythme impulsé par la blonde, il s’activa dans l’étroit fourreau. Sa verge disparaissait par intermittence dans le sexe sec de son aînée.

Maï pleurait encore. Elle n’avait plus d’énergie. Les bras en croix sur la table, elle offrait son magnifique corps au regard de son frère qui s’activait seul à présent. Le plaisir plus fort que sa honte incestueuse, il ne pouvait plus s’arrêter. Sa main se hasarda sur l’extérieur d’une cuisse et, pendant que sa sour l’observait, le regard plein d’effroi, Nassaj se risqua vers l’intérieur pour glisser, non sans une certaine hésitation, plus proche vers là, où sa verge gourmande agissait.

Mme de Fontanel qui malaxait les testicules du jardinier jusqu’alors, passa à califourchon au-dessus de Maï, à quatre pattes sur la table de massage. Elle offrait son sexe à la bouche inerte de sa masseuse. Elle admirait également la verge pénétrer activement le vagin. Tout était parfait pour assouvir ses élans libidineux.

Soudain, Nassaj se tendit. Ses yeux s’écarquillèrent. Il sortit du fourreau étroit et éjacula deux longs jets sur le ventre de sa sour qui cria et tout de suite sa patronne le prit dans sa bouche.

Maï gémit en français :

— c’est mon frère, c’est mon frère.

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