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Bienvenue à Lastoral – Chapitre 1




Je me dois de vous mettre en garde, ce que vous allez lire n’est pas conseillé à ceux dont leurs yeux sont chastes, si malgré mon avertissement vous souhaitez continuer cette lecture, je vous félicite et vous souhaite la bienvenue à Lastoral.

Une ville bordée d’une épaisse forêt verdoyante constituer de haie sombre et d’épais chênes veillant sur les animaux depuis des millénaires, sans oublié cet autel voué à Dionysos, qui, dans les temps anciens était symbole de fertilité et de récolte abondantes, mais tout cela n’est rien comparé à la beauté des chevaux à crinière jaunes admirer dans le monde entier, galopant sur de vastes plaines parcourues par d’innombrables rivières étincelantes.

Cette histoire commence avec Amandine Dwenga, le soir du deuxième tour de l’élection municipale de cette insatiable ville. Amandine, la quarantaine, mais toujours aussi séduisante, sa bouche pulpeuse et son sourire éclatant accrochent tous les regards de même que sa poitrine plus que généreuse sans oublié son corps ferme et développé dut à une vie dédier au sport de haut niveau.

Retrouvons-la dans les toilettes stressée et prises de doutes.

— Je serais la prochaine maire ! La victoire est mienne !, me dis-je en me regardant dans un miroir.

Pour cela, il me suffit de battre mon dernier adversaire Jérôme De Guinchon, fils du puissant capitaine d’industrie Bruce De Guinchon. Il possède entre autres Maluar, la plus grosse usine de toute la commune, autant dire que si l’usine ferme énormément de gens se retrouveront sans emploi.

On pourrait croire que mes chances sont minces, après tout, moi la fille issue d’un coup de foudre entre un jeune médecin à la peau ébène venu prendre un poste de titulaire à l’hôpital et d’une ouvrière. Je finis par percer dans ce monde en tant que championne du monde d’équitation et marraine de nombreuses associations.

Le point le plus important de mon programme est de briser le monopole créé par M. De Guinchon, en implantant de nouvelles entreprises, chose que l’ancienne maire Mme Chantal Mauroge a toujours refusé de faire, surement la raison de sa défaite. Mon programme à créer une telle vague de soutien surtout chez les ouvriers qui n’en peuvent plus de supporter la pression mise quotidiennement sur leurs épaules pour tenir la cadence imposer sous peine de licenciement, ma catapulté en tête de cette élection infernale.

Je ressors des toilettes pour retourner dans cette immense salle, décorer de banderoles et d’une quantité incroyable de ballon multicolore, le tout illuminé par un écran géant installer pour l’occasion. Entourer par ma meilleure amie Paula Zaveiro qui est devenue ma directrice de campagne, ainsi que des centaines d’habitats de tous âges et de tous milieux sociaux venus pour me soutenir et espérons-le fêter ma victoire. En fond sonore, les rires et les discussions se multiplient surement facilités par tout cet alcool qui coule à flots.

L’heure fatidique approche.

20H le résultat tombe, victoire à 62% je saute dans les bras de Paula qui pleure à chaudes larmes. La folie s’empare de tout le monde, certain crient, pleurs de joie, d’autre s’embrasse à pleine bouche, mais finissent tous par chanter à tue-tête.

Après cet instant de joie total, je prends le micro pour faire mon discours, mais à peine les premières lignes prononcer mes nerfs me lâchent, je fonds en larmes, je les sens couler le long de mon visage finissant par s’écraser dans mon décolleté au même moment les gens commencent a hurlé.

— Courage !! Mme la Maire, en m’applaudissant.

La fête se poursuivant jusqu’à tard dans la nuit et les coupes de champagne se vidant, je décide de retourner aux toilettes dont le sol et couvert de gobelets et de papier. Je m’installe dans une cabine vide, d’un coup la paroi qui sépare nos cabines commence à trembler et de petits cris aigus se font entendre, n’ayant pas fini mon affaire, je reste immobile et silencieuse, néanmoins j’approche délicatement ma tête de cette paroi, je finis par entendre une voix grave.

— Maintenant que tu es bien humide à mon tour de profiter ! Penche-toi et écarte ces belles cuisses que j’aime tant.

Je me retrouve donc assise sur la cuvette, mon pantalon et ma culotte baissés sentant une vague de chaleur m’envahir, mes tétons se dressent, ma chatte devient très sensible et mouille abondamment. Mon désir me pousse à regarder par-dessus la paroi, j’ôte mon pantalon et ma culotte pour pouvoir grimper plus facilement sur la cuvette, j’observe dans à la plus grande discrétion et avec attention cette scène de pure luxure, une femme svelte aux cheveux blonds dont je ne peux pas voir le visage agrippant le réservoir des toilettes, sa robe retrousser et son string à ces pieds me laisse entrevoir un petit cul bien rond et ferme rougi par la main de ce bel homme aux cheveux et à la barbe foncé et costume trois-pièces.

Me voici debout, cul nu sur la cuvette regardant cette femme se faire pilonner sauvagement, sans même m’en rendre compte ma main droite titille mon clitoris et mes grandes lèvres, jusqu’au moment, ou j’insère mes doigts dans ma chatte baveuse provoquant ainsi un orgasme foudroyant, je mords ma lèvre inférieure afin de ne pas gémir trop fort, par chance cette femme crie plus fort que moi à chaque nouveau coup de reins que son partenaire lui inflige, malgré cet orgasme mon corps frémit de plus belle, mon jus coule le long de mes jambes ce qui m’excite encore plus. Mon regard est incapable de se détourner de ce spectacle sensationnel, en particulier sur cette queue épaisse qui ne cesse ces va-et-vient à une vitesse insensée, je commence à sentir un deuxième orgasme arriver, mais j’ai envie de jouir en même temps qu’elle, j’arrête donc de me masturber et lèche ma main recouverte par mon nectar.

— Mon Dieu quel goût délicieux.

Cela m’avait tellement manqué, je me suis rappelé que je n’avais pas fait l’amour depuis le début de cette campagne. Lorsque ma main est toute propre, mes doigts plongent avec frénésie de plus en plus profondément dans ma chatte gonflée pour mon plus grand plaisir.

— HOOOO Oui !!! Elle lâcha un cri si profond.

L’homme se retire et plaque son dos contre la porte, je peux enfin voir sa queue en totalité, elle n’est pas très longue, mais elle est d’une épaisseur impressionnante toute gonflée prête à éjecter tout le sperme contenu dans ces grosses couilles et luisante dût au nectar produit par cette chatte prise de spasmes, j’en salive, j’aimerai tellement gober ces boules avant de passé ma langue sur chacune des veines parcourant cette appétissante queue, mais surtout je rêve de me faire dérouille comme cette blonde qui n’arrive plus à tenir sur ces jambes, écroulées sur la cuvette essayant de reprendre son souffle.

— Je n’ai pas encore joui alors fini moi avec ta bouche ! Cria l’homme furieux.

-…, Son souffle était fort et rapide.

Il fit par l’attraper et l’assoie sur la cuvette, elle se jette sur l’engin qui lui a procuré tant de plaisir et commence des mouvements de langue sur son gland gonflé et elle finit par happer ce vigoureux membre et commence des va et viens de plus en plus rapide, mais il ne faut pas longtemps avant que monsieur ne lui attrape fermement sa jolie tête blonde pour s’enfoncer au plus profond d’elle, avant de se décharger en lâchant un râle de désir tel un lion, au même moment, un puissant orgasme me parcours, j’éclabousse le sol de ma cyprine sentant mes forces m’abandonner je me rassoie tant bien que mal sur la cuvette, le regard dans le vide savourant cette divine sensation qui traverse tout mon corps en écoutant la conversation de mes chers voisins.

— Tu as déjà tout avalé ?

— C’est pour ça que tu m’as dressé, non ?

— Haha… Tu as raison avant notre mariage tu étais si innocente et timide alors que maintenant tu es devenu une vraie salope !

— Oui tu as raison ! Je suis de TA salope !

— Alors, nettoie-moi ma bite.

Des bruits de succion se font entendre, elle s’adonne à cur joie vu le temps qu’elle y passe.

— Voilà! Toute propre.

— Excellent ! Alors debout et rhabille-toi.

— Il va falloir que tu m’aides à me lever avec ce que tu m’as mis.

Pendant que monsieur l’aide, je suis toujours assise souillant le sol avec les dernières gouttes de cyprine qui coule de ma chatte dilatée, en reprenant mon souffle.

Le couple finit par sortir de la cabine et aux bruits qu’ils font je pense qu’ils s’embrassent. J’entends une voix chevrotante juste devant ma porte me dire:

— J’espère que vous avez apprécié le spectacle ! Madame ?

-…, Je ne peux même pas lui répondre tant l’orgasme ma terrassée.

— Quoi ! Quelqu’un nous regardait ! Je n’ai rien remarqué.

— C’est parce que tu étais trop occupé à me pilonner, je n’ai pas vu votre visage mais je vous ai entendu gémir et ça m’a terriblement excité! Alors merci.

La porte claque suivie par un long silence, commencent à prendre conscience de ce qui vient de ce passé et surtout des dernières paroles de cette femme un désir se fait de nouveau sentir, mais de peur que mon absence ne se fasse remarquer je tente tant bien que mal de me calmer, encore un peu tremblante je m’essuie et me rhabiller le plus vite possible, je regarde par-dessus la porte pour vérifier qu’il n’y a personne avant de sortir et de me diriger vers un miroir pour me refaire une beauté, sans me laver les mains, car je veux garder ce goût et cette odeur le plus longtemps possible.

Je sors des toilettes, Paula se jette sur moi, elle me demande si je n’ai rien vu d’inquiétant, car plusieurs personnes ont entendu le crie d’un homme, mais ne savent pas d’où cela pouvait bien venir. J’éclate de rire et lui raconte ce qui s’est passé dans les toilettes. Elle est bouche bée me regardant droit dans les yeux, nous sommes complètement immobiles et silencieuses, je lui fourre deux doigts dans sa magnifique bouche caressant au passage ces lèvres d’un rouge profond pour la faire réagir et en un instant je sens sa langue ondulée et lécher mes doigts, quelque instant après je les retire.

— Alors maintenant tu me crois ?

— Oui je pourrais reconnaitre ce goût entre mille

— Ne me rappelle pas de vieux souvenir, lui dis-je avec un grand sourire

— La prochaine fois, je t’accompagnerai aux toilettes. Mme la Maire !

— Quelle fantastique façon de fêter mon élection.

Sur ces paroles, nous retournâmes danser et discuter avec les derniers fêtards jusqu’au petit matin.

Amandine aura beau chercher juste quà la dernière minute le couple qui lui a procuré tant de plaisir en vain.

J’espère que vous avez apprécié cette histoire alors à la prochaine, n’oubliez jamais le credo de Lastoral:

Cette ville ne cherche qu’une chose: le plaisir

[PS: C’est ma première histoire alors, dites-moi ce que vous en pensez, ce que je pourrais améliorer, toute critique est bonne à prendre tant qu’elles sont constructives. Merci d’avoir lu.]

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