Quelques jours après la rentrée un soir, après avoir été courir, je me suis aperçue qu’il n’y avait plus d’électricité. Comme mon proprio m’avait dit que si j’avais un problème, je suis allée le voir. Maintenant quand j’y pense, j’aurai pu me changer mais là j’ai débarqué chez lui avec un mini-short et un simple top un peu moulant. Quand il a ouvert la porte, j’ai senti qu’il m’a déshabillée du regard et je crois que c’est la première fois qu’un homme, enfin un adulte plus vieux que moi, m’a regardé comme ça. Je lui ai expliqué mon problème et il est monté voir mais il n’a rien pu faire. Il m’a dit qu’il appellerai le lendemain pour qu’un électricien vienne voir. Devant mon "léger" désappointement (bah oui comment j’allais faire moi?) qu’il a compris, il m’a dit "en attendant, vous pouvez venir vous venir chez moi". Je lui ai dit que cela me gêner mais il m’a dit que non et m’a dit c’est ce que ferai un bon propriétaire et surtout qu’on ne pouvez pas vivre sans électricité. Il n’avait pas tord, j’avais mon téléphone et mon ordi à charger, il fallait que je me lave et que je mange. J’ai pris mes affaires et je suis alors descendue.
Mon proprio m’a montré la salle de bain et quelle salle de bain avec une immense baignoire balnéo d’angle. Il m’a expliqué comment elle marchait pour que j’en "profite". Il m’a laissé et je me suis déshabillée pendant que l’eau coulait. Je suis rentrée dans la baignoire et j’ai commencé à mettre les différents mode de bulles. Je me laissais aller dans la baignoire profitant de ce bain exceptionnel dans la mousse et les bulles. Je me suis tellement laissé aller que cela a commencé à me travailler dans la bas-ventre, tellement que j’ai eu envie de me masturber. Je me contentais de me caresser légèrement les seins et le ventre. Je suis resté dans l’eau un moment puis je suis sortie.
Je me suis habillée avec une jupe et un petit chemisier à manche courte. Un coup de sèche-cheveux, un maquillage discret et j’étais prête à sortir, pimpante pour faire honneur à mon hôte. Une fois sortie, il m’a fait le tour de son appartement. Il est gigantesque, une cuisine, une grande salle à manger, un grand salon avec une terrasse, un bureau, la salle de bain et une chambre pour le bas. A l’étage, il y avait 2 autres chambres dont la sienne qui selon lui avait une salle de bain privative et celle que j’occuperai. Le palier donnait sur une nouvelle terrasse sans aucun vis-à-vis sur la laquelle, il y avait un jacuzzi. Je n’ai pas pu m’empêcher de dire un "trop bien un jacuzzi!". Ca l’a fait rire et il m’a dit "et oui, ça fait du bien et puis cette terrasse est à l’abri donc on peut en profiter au maximum". Puis il m’a dit "tu veux y aller?". Là, j’ai dû rougir un peu et j’ai dit "j’aurai bien aimé mais je n’ai pas de maillot de bain à Paris". Il m’a regardé et a dit "ah oui c’est dommage".
On est redescendu et il m’a proposé un apéro. Je me suis contenté d’un jus d’orange pendant que lui se servait un verre de vin. On a discuté de la pluie et du beau temps puis il m’a posée des questions sur moi et je me suis permise de poser des questions sur lui. Il avait 43 ans, célibataire, avocat fiscaliste, il avait hérité du cabinet d’avocat (dans lequel il travaillait) à la mort de son oncle qui n’avait pas d’enfant, sans entrer dans les détails j’ai compris qu’il était riche. J’ai pu aussi noter une chose quand on discutait, son regard, bleu acier, magnifique, presque hypnotique. Puis on a mangé une salade qu’il avait préparée. Profitant des dernières offensives de la chaleur, on a continué à discuter sur la terrasse, cette fois de mes études, moi qui voulait devenir avocate, au moins, il savait de quoi je parlais quand je lui parlais de mes études. On a parlé aussi de son travail et il m’a bien fait de la pub pour le fiscal. Son cabinet s’occupait donc d’entreprises. J’ai retenu une phrase qu’il a dit "ce n’est pas le droit le plus médiatique mais c’est celui où les revenus sont les plus élevés". C’est vers 23h qu’on est allé se coucher. Il m’a dit de poser mes affaires sales dans un sac dans le couloir, sa femme de ménage, le prendrai demain pour le laver. J’ai vainement protesté mais il m’a dit d’en profiter, ça évitera un tour à la laverie. Il avait raison mais ça me gênait de laisser mon linge à des étrangers surtout ma lingerie. Il avait préparé le lit quand j’étais sous la douche car il était fait.
Je me suis couchée uniquement en culotte car il faisait chaud. J’ai eu du mal à m’endormir. J’avais des sentiments bizarres en moi. Je crois que j’étais sous le charme de mon proprio et je me suis fait un petit film, m’imaginant vire ici dans cet appart de rêve au côté de lui. Je m’imaginais dans ses bras, dans son lit. Dans ma tête deux voies se faisaient entendre. La première me disait "Arrête de rêver Célia et reprends toi!" et l’autre me disait "laisse-toi aller, profite de ce moment!". Et ce soir-là, c’est cette dernière que j’ai choisi. Mes mains accompagnaient mon imagination de plus en plus érotique. Mes doigts se baladaient mon corps et s’attardaient sur les zones de plaisir. Je mouillais comme jamais et je finissais par venir me caresser ma chatte trempée par mon excitation. Mon esprit me disait d’arrêter mais je ne pouvais plus et je me suis masturbais en excitant mon clitoris comme jamais je ne l’avais fait. Et en quelques minutes, j’arrivais à l’orgasme alors que je m’étais tournée de manière à crier dans l’oreiller. Ma chatte coulait entre mes cuisses, j’étais essoufflée, toute transpirante. Moi qui ne me masturbait jamais, peut-être 6/7 fois en un an, je venais de me masturber comme je ne l’avais jamais fait avant et cela chez mon proprio qui est dans la chambre d’à côté. Cette nuit-là, des rêves terriblement érotiques ont conduit mon sommeil et le lendemain, à mon réveil, l’intérieur de mes cuisses était encore humide.
Jamais, je n’avais connu ça et toute la journée, cela a trotté dans ma tête. Le soir, je finissais à 18h et je suis rentrée chez lui à 18h30. Je suis allée dans ma chambre et j’ai trouvé mon linge sec et repassé. J’étais comme à l’hôtel. Je suis redescendue le remercier mais il me dit que ce n’est pas lui mais la femme de ménage. Par contre, il m’a tendu un sac des Galeries. Sans regarder, j’ai refusé mais il a insisté alors j’ai pris le sac. Il y avait deux maillots de bain, 2 pièces. Il m’a dit qu’il voulait profiter du jacuzzi mais le faire sans moi serait contre les lois de l’hospitalité alors il m’a pris des maillots, 2 comme ça je pourrai choisir. Il m’a dit d’aller les essayer et de le rejoindre au jacuzzi. J’allais dans ma chambre pour les essayer. Le premier était un maillot rose à points blancs et liens en vert, triangle en haut, culotte assez échancrée. Le deuxième était encore plus joli mais carrément osé, bleu marine en dentelle doublée, triangle et là je crois qu’à ce niveau ce n’est plus une culotte mais un slip brésilien. Il m’avait choisi du sexy, le genre de chose que je n’oserai jamais choisir. Et les deux m’allait parfaitement. Je prenais le premier, le deuxième laissait voir ma toison pubienne que je n’entretient pas, ne voyant pas encore l’utilité. Peut-être que cela va changer. Je l’ai rejoint au jacuzzi où il était déjà. Je l’ai un peu détaillé, si il était du genre costaud, ce n’était pas un adepte de la muscu et il avait même une toute petite bedaine, rien de dramatique mais du genre à faire dire "il ne s’entretient pas trop coté physique". J’ai profité de ce moment, un jacuzzi en plein centre de Paris, ce n’est pas commun. Je l’ai remercié et j’ai demandé comment il avait fait pour la taille des maillots. Il a rigolé et m’a dit j’ai l’oeil mais j’ai bien compris qu’il me menait en bateau. Il avait un sourire terriblement sexy. Mon cerveau ne fonctionnait plus à 100%, j’étais sous le charme. Je devais me calmer mais je n’y arrivais pas et très vite, j’ai senti des tensions dans mon bas-ventre et je n’arrivais pas à les contrôler. Je lui ai dit que j’allais le rembourser. Il m’a fait les gros yeux et a dit "quelle idée, c’est un cadeau". Je lui ai dit que cela me gêner et quand plus cela à dû lui couter cher. Il m’a regarder avec un air sérieux et m’a dit:
— tu sais combien je gagne?
— non
— 38 000 par mois en fixe plus des primes, l’an dernier 1.5 millions alors ce n’est pas le prix de deux maillots qui vont me ruiner. C’est pas pour ça que je flambe ou lapide mon argent, je le garde bien à l’abri mais je le dépense comme je veux.
J’étais sur le cul, 38 000 c’est énorme. Je comprends quand hier il m’a dit que c’était rentable fiscaliste.
Après on a discuté d’autre choses. Et il m’a demandé de l’appeler par son prénom, Benjamin.
On a mangé puis je suis allée me doucher. Je me suis regardée nue dans le grand miroir et j’ai décidé de me débroussailler un peu. A la fin, il me restait un petit triangle réduit sur le haut et les côtés tout en taillant un peu les poils qui restaient.
Le lendemain, je suis allée en cours. Cette fois, je finissais de bonne heure et à 15h30 j’étais à l’appartement. Je savais que je serai seule un moment. Alors j’ai fais ma fouine, j’ai trainé dans la maison, je suis entrée dans sa chambre, dans son bureau, pièce que je n’avais fait qu’entrapercevoir. Une chose m’a marquée, pas une seule trace de féminité. Il n’en parle jamais aussi. Et je me suis demandée si je me faisais pas un film, et si il était homo?