Le portail s’ouvre et on est réceptionné par N°1. Badgi reste muette. Elle nous demande de nous déshabiller et de rester silencieux. Elle nous dirige vers une pièce, un donjon digne des meilleurs films X. Au milieu, attachées face à face, N°2 et 3 sont en train de jouer de la langue. Elles ne peuvent nous voir, elles ont un masque occulteur. Madame Martin fait son apparition. Elle est nue. Sublime femme de 50 ans. Elle nous tend deux paddles.

Arrêter de vous embrasser. Nos invités sont là.

Brigitte équipe Badgi d’un énorme gode ceinture. Elle nous invite à prendre place devant le cul de nos soumises, Badgi devant le fessier de sa fille, me laissant devant celui de Camille. Je bande dur. C’est l’effet de ma pilule bleue, accompagné de la pommade que m’a passée Badgi. On se regarde. On y va, on les prend sans ménagement. Avec nos paddles, on tanne un peu plus leur cuir. Leur chatte est détrempée, ça ne sent plus que la cyprine, le sexe. Gény a un sursaut.

Ma… Maman, c’est… Toi ?

Paniquée, elle me regarde et demande à Madame Martin d’un signe de tête la conduite à tenir. Elle envoie aussitôt N°1 enlever toutes les entraves de nos soumises. Camille sourit à sa copine en voyant Gény. Elles s’embrassent. Je continue à bourrer ma nièce tandis que Badgi a ralenti son rythme. Gény tourne la tête et voit sa mère en train de jouir.

M’man, que fais-tu là ?

Elle est vite reprise par Mme Martin.

Pas de maman, c’est ta Maîtresse. Maîtresse Bad. Tu m’as bien compris ?

Oui… HAN… Mme Martin.

Badgi accélère et défonce maintenant le cul de sa fille qui tombe sur la table. Elle jouit. Je me relève et vais m’installer dans un grand fauteuil entraînant Camille avec moi. Je l’empale dos à moi pour qu’elle profite du spectacle. Camille se réajuste pour que je l’encule comme sa copine. N°1 nous caresse pendant que Brigitte la prend sauvagement. Je regarde les deux noires. Qu’elles sont belles ! Il aurait été dommage de ne pas les réunir. Je lâche ma purée dans le fondement de ma nièce, Badgi dé-cule en s’effondrant devant le cul de sa fille.

Après une douche, nous attendons nos deux soumises. Mme Martin nous dit qu’elles sont parfaites et prêtes pour en faire ce que l’on veut. Pour preuve, la réaction de N°3 à la vue de sa mère. Elles arrivent, nues. Elles se mettent en position. Je remercie Mme Martin pour son évaluation.

J’ai rien fait. Pour les relations saphiques, elles sont magnifiquement expertes. Ils leur manquent un peu de maintien. J’organise une soirée samedi en quinze. J’espère vous y voir et nos deux soumises qui auront progressé, je vous fais confiance.

Elle nous embrasse.

Dans la voiture c’est grand silence. Gény lui demande si elle peut lui poser une question. Badgi lui répond par l’affirmative :

Où va-t-on ? Ce n’est pas la route de la maison.

Chez nous. Nous allons chez nous.

Quand je me gare devant chez moi, elles n’ont toujours pas compris. Je les fais rentrer, Badgy m’enlace et m’embrasse sous les yeux ébahis des filles.

Vous… Vous êtes ensemble ? Demande Gény à sa mère.

Pour toute réponse, Badgy se déshabille et m’embrasse. Gény a un mouvement de recul. Camille est bouche bée. Je me mets nu.

Allez dans votre chambre au sous-sol et attendez-moi.

Elle se retourne et me demande comment je savais que Gény allait réagir.

Je l’ai vu dans ses yeux quand elle nous a avoué votre relation. Je savais que pour son bien-être il fallait te pousser vers elle et j’ai bien fait, non ?

Oui mon am…

Je l’interromps en posant un doigt sur ses lèvres :

Chut !?!?! On verra en temps voulu. Descends, il y en a deux qui doivent t’attendre. Je vais téléphoner à notre pizzeria pour ce soir. Tu as faim ?

Faim de toi. En me caressant la queue.

Elle se sauve comme une gamine. Je suis à la tête d’un petit harem et cela ne me déplaît pas. Je cours à ma chambre et fais vite fait de la place dans mes armoires pour accueillir celle que le destin a choisi de mettre sur mon chemin. Je m’écroule sur mon lit, sexe tendu. Mais pas pour longtemps, Badgi arrive avec son sac. Elle est en extase devant mes armoires. Elle me sourit en voyant la place faite pour elle. Elle s’habille en mettant un petit short qui lui couvre à peine les fesses et un petit chemisier qu’elle noue au-dessus de son nombril.

Tu es magnifique !

Tu sais parler aux femmes, toi. Habille-toi et fais-toi beau.

Tu sais parler aux hommes, merci.

On part tous les deux dans un fou rire, interrompu par la venue de nos deux… filles. Elles sont superbes dans leur tenue d’été. Mais si, rappelez-vous. Les microjupettes fendues sur le côté pour Camille et sur le devant pour Gény. Verte pour la première, jaune pour la seconde. Elles ont toutes les deux un chemisier écru en soie, tout comme leur jupette. Badgi s’impatiente. Je m’habille d’un pantalon en lin, d’une chemise à bouton-pression.

On ne va pas les sortir dans cette tenue ?

Si. Et on va à ta pizzeria. J’ai hâte de voir comment réagira le petit serveur.

Pas le temps de répondre, elles sont déjà toutes les trois dans la voiture. Nous arrivons très vite et Badgi me demande d’aller voir le serveur et le patron et de leur expliquer la raison de leur tenue. Je leur dirais que nous sortons en boîte échangiste. Je me résigne et l’idée n’est pas si mauvaise que ça. Fabrizzio, le patron, sera heureux de nous accueillir, il nous fait entrer par les cuisines. Je vais chercher les filles. Après avoir marché dans la petite ruelle attenante, Fabrizzio nous accueille. On est placé dans une petite alcôve très discrète et à l’abri des regards indiscrets. Je me place à côté de Badgi, les deux petites sont faces à nous, Camille devant Badgi et Gény face à moi. Je donne mes directives :

Je vous veux en position d’attente, c’est-à-dire mains bien à plat sur vos cuisses, le buste bien droit, bouche entrouverte et jambes écartées.

À peine sont-elles comme je leur ai demandé que le serveur Sergio vient nous voir :

Vous êtes bien installés ?

Oui, oui. Impeccable. Tu nous mettras quatre cocktails maison, quatre lasagnes et pour le dessert, quatre tiramisus. Pour le vin, le même que samedi.

Pendant la prise de commande, il n’a d’yeux que pour Gény et Camille. Il bande sévère le petit jeune, ça se voit au travers de son jean. Il part et marche d’une drôle de manière.

Badgi sort ma queue de mon futal et me caresse délicatement du revers de la main. J’en frissonne. Elle demande aux filles d’enlever deux boutons à leur chemisier. Si à Camille on ne voit pas grand-chose, normal, il n’y a pas grand-chose à voir, sur Gény, c’est plus provocateur. Leurs tétons pointent à travers la soie de leur chemisier. Badgi me caresse toujours quand Sergio nous apporte les cocktails, il regarde la douce main de ma compagne en train de me flatter la tige. Il me sourit :

Vous en avez de la chance, dit-il avant de s’éloigner.

Badgi a décidé de monter d’un cran l’ambiance érotique.

Vous allez vous caresser mutuellement et quand… comment s’appelle le serveur ?

Sergio reviendra, vous lécherez vos doigts. Je veux qu’il craque.

Où vas-tu chercher tout ça ?

J’étais très exhibitionniste, mais c’était dans ma jeunesse. J’ai envie de retrouver toutes ses sensations perdues.

Les mains s’activent, cela se voit, s’entend, et surtout ça se sent. Elles doivent être trempées. Badgi me masturbe lentement. Sergio est de retour. Il regarde les mains s’activer. Les filles font ce qui était prévu. Très sensuellement, elles imitent une fellation. Il n’en peut plus, surtout quand Gény lui câline l’entrecuisse.

Ô, arrive-t-il a dire, Mesdemoiselles, vous… Êtes si… généreuses.

Elles peuvent l’être beaucoup plus, lui dit Badgi, dommage que votre tenue ne s’y prête pas.

Il se sauve après avoir pris les verres. On en rigole.

Le repas se passe bien et j’ai toujours la bite sortie.

Il est temps de baptiser votre Maîtresse, dis-je, que dites-vous de "Maîtresse BAD" ?

Hum, ça me plaît bien, Maître Hervé.

On fera comme bon vous semble, répondent-elles en cur.

Sergio nous débarrasse et apporte une bouteille de limoncello bien givrée. Je lui prends le bras, il me regarde, étonné.

Tu finis à quelle heure ?

Après vous avoir débarrassés.

Oh, le pauvre, on le retarde… dit Badgy.

Je me lève, range le matos et je vais régler. Fabrizzio me fait grâce des digestifs et que moi et mes copines serions toujours les bienvenus.

On est dans la voiture.

Les filles, une fois arrivées, vous allez prendre une douche et vous nous attendrez en tenue.

Bien Monsieur.

Elles sautillent comme deux sauterelles et disparaissent dans l’escalier. Badgi et moi on part dans la salle de bain, la seule pièce qu’elle n’a pas visitée. On se savonne mutuellement, mais sans attouchement. J’habille ma princesse de son corset et de son short de cuir noir. C’est un ravissement de voir ses seins ainsi offerts. On rejoint les filles qui ont revêtu leur collier et leurs menottes. Elles sont à quatre pattes en train de s’embrasser.

C’est une de leurs positions d’attente ?

Oui.

J’aime bien. Veux-tu me montrer comment tu baises ma fille, je m’occuperai de ta nièce.

T’es directe toi.

Elle s’équipe d’un gode-ceinture et s’agenouille entre les cuisses de Camille. Je me mets à califourchon au-dessus de Gény et m’enfonce d’un coup. Elles n’ont pas bougé et s’embrassent toujours en émettant des petits gloussements. Ma chérie m’embrasse, on se mange le museau. Je défonce sa fille, elle percute ma nièce. Ça sent le sexe et ça m’excite, ça m’excite de voir Camille se faire défoncer par une charmante négresse. Je ne tiens pas longtemps, normal, je suis excité depuis le début du repas. J’inonde la matrice de Gény et m’affale sur son dos. Camille et son amie sont en train de nettoyer le phallus de plastique.

Bon les filles, vu que c’est votre première nuit ici, je ne vous attache pas. Allez, à la douche et au lit. Vous avez cours.

Je montre comment fonctionnent les différents éclairages et allume les néons.

Ah oui, c’est moins cool…

Je lui demande si elle connaît le fonctionnement des agrès. Elle me répond que oui. De toute façon, elle aura mon aide. Nous quittons la cave et remonte dans mon salon. J’allume mon ordinateur pendant qu’elle se met nue (je le suis déjà). Je l’invite à s’asseoir sur mon fauteuil de bureau. Je lance la vidéo, celle que j’ai faite dans la pinède où on voit Camille assise sur son fauteuil de plage, Gény, entre ses cuisses, et moi en train de prendre sa fille. Elle plante deux doigts dans son sexe. Elle est obnubilée par les images qui défilent :

Hé, Ben, je comprends pourquoi elle a prolongé ses vacances !

Je me suis accroupi à côté d’elle. Elle me caresse la nuque. Ma queue commence à reprendre du volume. D’une main, je titille le téton le plus proche. Elle est morte de rire quand elle voit la dose que j’envoie sur les petites gueules des deux petites et l’entrain qu’elles mettent à se lécher :

Putain ! la dose.

Qu’est-ce que tu veux, quand tu as deux petites garces qui font à moitié l’amour dans ta voiture et que toi tu conduis…

Ô, pauvre chou. Me dit-elle avant de déposer un bisou sur la joue.

On va se coucher. Demain, il y a ton déménagement.

On est nu dans mon lit, au-dessus de la couette. Elle me caresse le sexe avec douceur, j’effleure du dos de la main son juteux abricot. Elle me demande si j’ai eu une femme.

On ne parle pas des choses qui fâchent.

Elle sourit. Je cale ma tête contre sa poitrine et m’endors.

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