Histoires de non consentement Histoires de sexe arabes Histoires érotiques

I – Liaisons dangereuses – Chapitre 13




Après quelques secondes où l’on se fixe l’un et l’autre, Typhaine avec ses bras toujours croisés, je finis par faire un pas vers elle pour poser ma main sur sa hanche. Elle me sourit puis se rapproche de moi et vient de nouveau mettre ses mains sur mon torse qu’elle se met aussitôt à venir embrasser. Je commence à lui caresser les fesses, son cul est ferme et bien rebondi, et d’un geste, elle fait glisser ma chemise que je laisse tomber au sol. De nouveau, elle vient me masser le sexe tout en relevant sa tête vers moi, ses lèvres sont entrouvertes et je peux sentir son haleine chaude effleurer mon visage. Je ne résiste pas à l’envie de venir écraser ma bouche contre ces fines lèvres brillantes. Elles ont, comme son odeur, un goût sucré, sa langue finit par venir chercher la mienne et nous nous embrassons avec beaucoup de douceur pendant qu’elle continue à me masser le sexe et que je m’attelle à caresser ses courbes.

Elle stoppe le baiser et me sourit avant de venir attraper le haut de mon pantalon, elle part vers le salon en me tirant de deux de ses doigts par la ceinture. Arrivés au niveau d’un immense canapé en forme de U, elle me pousse et me fait tomber dans un angle du canapé, et me voilà quasiment allongé, venant prendre appui sur mes coudes.

Soigneusement et lentement, comme l’exige son état, elle se met à genoux devant moi. Elle commence à desserrer ma ceinture,  le bouton de mon pantalon et finit par la fermeture éclair, puis, tranquillement, elle enlève mon vêtement, le descend jusqu’à mes pieds et va même jusqu’à enlever mes chaussures pour pouvoir le retirer plus facilement. Elle se met à me caresser les jambes de manière très sensuelle, faisant courir le bout de ses doigts sur ma peau en me regardant et en me lançant de petits sourires angéliques. Elle me fait écarter les jambes et se penche ensuite vers mon boxer qu’elle se met à embrasser, mon sexe à travers mon sous-vêtement, celui-ci étant déformé par la belle érection de ma queue qui se dessine parfaitement sur le tissu, l’élastique se soulevant légèrement, autre signe de mon excitation plus que flagrante. Elle vient y poser ses lèvres en n’oubliant pas un seul endroit, partant de mes testicules et remontant lentement le long de mon membre turgescent. Arrivée au niveau de mon gland, elle appuie un peu plus ses baisers et commence à me caresser de ses dents.

Elle me regarde de temps à autre pour vérifier l’effet que me font ses caresses, et inutile de dire que je suis complètement sous le charme, la bouche à moitié entrouverte, me mordillant les lèvres en la regardant s’occuper de moi de cette façon. La seule envie que je devrais avoir en ce moment, c’est qu’elle sorte mon sexe pour me sucer mais d’un autre côté, c’est si excitant de la voir s’activer aussi lentement et sensuellement C’est comme si elle défaisait soigneusement le ruban et le papier d’un cadeau, au lieu de tout déchirer d’un coup, elle déguste, prend son temps, fait durer le plaisir, son plaisir, mon plaisir

Elle redescend le long de ma queue en l’entourant de ses dents, resserrant sa mâchoire de temps à autre, mais toujours avec délicatesse, et une fois arrivée à la base de mon sexe, elle vient passer ses doigts sous l’élastique de mon boxer qu’elle descend doucement, dévoilant au fur et à mesure mon sexe. Elle le regarde avec gourmandise tandis que je resserre mes jambes afin qu’elle m’enlève mon sous-vêtement, puis je les écarte à nouveau. Elle alterne son regard entre mes yeux et ma queue en se mordillant les lèvres, lèvres qu’elle vient de nouveau poser sur mon sexe pour l’embrasser pendant quelques instants. D’une de ses mains, elle vient attraper ma queue et la soulève lentement. Un petit filet de mouille reliant mon gland à mon bas-ventre  se dessine et de sa langue, elle vient rompre ce lien avant de venir lécher la petite nappe de mouille sur ma peau. Une fois qu’elle a tout dégusté, elle vient faire de même sur mon gland, se mettant à le suçoter en aspirant tout ce qu’elle peut, puis elle relève la tête en se léchant les lèvres avant de lancer un petit rire tout en me regardant.

— J’aime quand une queue pleure pour moi comme ça me dit-elle sans se départir d’un sourire adorable.

Elle vient ensuite se mettre à d’abord sucer mon gland, puis elle descend de plus en plus le long de ma queue. Elle me suce avec une étonnante légèreté, enserrant mon membre de ses lèvres et faisant courir sa langue dessus en appuyant juste ce qu’il faut, la douce chaleur de sa bouche finissant d’agir comme un cocon autour de mon sexe. Je bascule ma tête en arrière en fermant les yeux pour déguster ce moment, sa bouche et sa langue font des merveilles sur ma bite, je n’entends que de doux bruits de succions terriblement excitants. Je rouvre les yeux pour l’admirer en train de se mettre à me masser les couilles alors que sa tête fait de lents et longs mouvements de va et vient tout le long de ma queue, son autre main caressant mon torse. Elle s’amuse avec ma bite, la suçant, la léchant, la masturbant, au gré de ses envies, elle prend aussi beaucoup de plaisir à jouer avec mes testicules, les gobant et les aspirant un par un, puis les deux en même temps, entretenant ma violente érection en continuant de faire se promener ma queue entre ses doigts.

À voir l’application qu’elle met, on dirait qu’elle pourrait faire ça durant des heures sans en avoir marre, mais malgré tout, après encore quelques minutes à déguster mes parties, elle finit par se relever.

Elle pousse un gémissement de satisfaction et passe ses mains dans ses cheveux, avant de les faire descendre le long de son corps jusqu’à arriver à la petite ceinture de sa robe qu’elle vient délier. Elle commence à doucement la remonter dévoilant ses jambes de plus en plus, elles sont très jolies, fuselées avec un joli galbe au niveau des cuisses, elle doit sans aucun doute être assez sportive. Elle continue de se déshabiller et finit par dévoiler son pubis, un très léger tapis de poil, étendu mais parfaitement taillé et s’arrêtant là où commence la rondeur de son ventre. Elle a beau en être à plus de sept mois de grossesse, je trouve qu’il n’est pas si bombé que ça, et cette vue me confirme au passage que c’est une vraie rousse Elle finit par enlever complètement sa robe et dévoiler du même coup sa poitrine, ses seins sont superbes, bien maintenus, parfaitement ronds en bas et légèrement plus étroits en haut, ils laissent un petit espace entre eux. Ses aréoles et ses mamelons sont d’un rose pâle et légèrement gonflés et l’on peut distinguer le contour de petites veines entourer ses tétons, aidé en cela par la pâleur de sa peau.

Elle vient se placer à genoux au-dessus de moi, avançant en faisant remonter ses mains sur mon torse, je lance une de mes mains vers sa toison, ses poils sont très doux, on dirait presque un petit duvet. Ma main arrive sur sa chatte et je peux alors sentir une masse débordant de celle-ci. Je ne l’avais pas remarqué auparavant, trop occupé que j’étais à admirer son corps agréablement sculpté.

— Oups, désolé, j’étais occupé avant que tu n’arrives, n’hésite pas à faire de la place surtout

J’attrape le plug occupant sa chatte et commence à le tirer tout doucement, ses lèvres joliment rosées suivant les contours du jouet. Il est de beau diamètre et elle gémit en le sentant sortir d’elle, ses lèvres restant légèrement entrouvertes. Le plug est bien trempé, preuve de son excitation, et je ne peux m’empêcher de venir le lécher, goûtant indirectement la douce saveur de son abricot.

— Je vois que toi aussi tu es un petit gourmand ! Tiens, viens te servir à la source

Je m’allonge complètement et elle vient se positionner au-dessus de mon visage. Je ne me fais pas prier pour venir rapidement caresser sa vulve de ma langue, ce qui ne manque pas de la faire frémir. Sa chatte est si douce et si bien lubrifiée que j’ai l’impression que sa peau fond sous ma langue. Pendant que je déguste ce met exquis, elle attrape ma queue et se met à me branler en se mettant au diapason de mes caresses, gémissant de plus en plus à mesure que ma langue visite son antre bouillante. Je pourrais rester à laper sa chatte des heures durant mais elle en veut plus et, toujours en tenant ma queue, elle se recule et vient se positionner au-dessus de mon sexe. Elle se met à frotter mon gland contre sa chatte, le faisant passer et repasser entre ses lèvres et rajoutant sa lubrification à la mienne, puis elle vient lentement s’asseoir sur moi, faisant complètement disparaître ma queue en elle, le tout en fermant les yeux afin de déguster cette délicieuse pénétration. Ma bite blottit en elle, elle se met à onduler son bassin, les yeux toujours fermés en se mordant les lèvres, un léger gémissement s’échappant du fond de sa gorge.

De mon côté, mes mains parcourent ses cuisses pendant que j’admire son corps qu’elle met à faire doucement sautiller sur ma queue, un petit clapotis se faisant entendre lorsque sa chatte bien humide rentre en contact avec la base de ma verge. Ses seins suivent les mouvements de son corps, vibrent, tremblent, palpitent à chacun des chocs de son corps contre le mien. Je n’ose pas accélérer moi-même la pénétration en prenant le contrôle de celle-ci de peur de l’incommoder, elle est enceinte de plus de sept mois après tout, elle n’a peut-être pas envie de se faire trop remuer Je la laisse donc mener la danse, me contentant de passer mes mains sur ses jambes, son ventre, ses seins Sa peau est parfaitement lisse et d’une incroyable douceur, j’ai presque l’impression de caresser une poupée de velours. Elle se donne beaucoup de plaisir sur ma queue, ses mains venant rejoindre les miennes lorsqu’elles s’attardent sur sa poitrine, appuyant mes caresses et m’invitant à masser ses seins.

Elle vient alors prendre le plug posé à côté de nous et elle me le pose sur les lèvres. J’ouvre la bouche et me met à le lécher comme une bonne glace, puis elle va faire de même avant de basculer sur moi. Elle s’immobilise, ma queue toujours en elle et elle vient présenter son plug au niveau de son cul. Devinant son projet, je viens attraper ses fesses pour bien les écarter, elle appuie franchement sur son anus en gémissant toujours plus à mesure que son jouet la dilate, puis il finit par disparaître en elle. C’est alors qu’elle se redresse et, en prenant appuie de ses mains sur mon torse, elle se met à accentuer plus franchement la pénétration, ses deux trous à présent bien remplis. J’agrippe ses fesses de mes mains, suivant ses mouvements et les appuyant même un peu plus lorsqu’elle descend sur ma queue. Nos gémissements communs s’intensifient, ses mamelons gonflés à quelques centimètres de mon visage s’agitant à chaque mouvement, je me mets à venir d’abord les lécher, ses tétons bien fermes remuant sous mes coups de langues.

— Mmmmmmm, tète-moi, vas-y

J’attrape un de ses mamelons et viens l’emprisonner dans ma bouche, me mettant à le sucer, le lécher et doucement l’aspirer. Elle se met à gémir et je sens alors quelques gouttes d’un liquide s’écoulant de son téton, d’un goût plutôt neutre, je continue délicatement ma succion, dégustant le jus s’échappant de son sein, puis j’alterne avec l’autre. Elle semble beaucoup aimer ça, m’encourageant et me caressant l’arrière de la tête. Elle continue pendant ce temps à se donner du plaisir sur ma queue, alternant mouvements rapides et plus lents au gré de son envie, serrant plus ou moins les muscles de son vagin autour de ma verge, ce petit jeu délicieux faisant bien monter mon excitation.

Nous continuons un petit moment comme ça, elle gérant la pénétration et moi dégustant ses seins, puis elle vient basculer sur le côté pour se mettre à son tour sur le dos. Elle remonte ses jambes et écarte bien ses cuisses, m’offrant sa chatte bien entrouverte où je viens plonger ma bouche et mes doigts, tout en agrippant le plug dans son cul pour le remuer. Mes lèvres calées sur son clito, je commencer à lui donner de petits coups de langue rapides tout en la doigtant avec trois de mes doigts, elle gémit plus franchement, ondulant ses hanches lascivement. Sa chatte s’humidifie encore un peu plus, sa mouille s’écoulant le long de mes doigts. J’intensifie mes caresses sur son clito et mes mouvements de doigts dans sa chatte, elle couine de plus en plus puis elle se crispe et finit par jouir en poussant un petit cri long et en resserrant ses cuisses. Je me redresse et la regarde se trémousser doucement, pendant ce temps, j’attrape ma queue pour y déposer le résultat de sa jouissance, elle coulisse parfaitement entre mes doigts, toujours aussi dure, attendant d’aller encore se mettre au chaud en elle.

Elle écarte de nouveau les jambes en me regardant la bouche entrouverte, me suppliant du regard de la prendre. Je lâche ma bite et viens lui approcher mes doigts de sa bouche qu’elle se met aussitôt à sucer avec gourmandise, et pendant ce temps, je présente mon gland devant sa chatte, le caresse dessus quelques instants avant de venir lui mettre ma bite pour commencer à la pénétrer. Elle gémit en sentant mes assauts, suçant toujours mes doigts les yeux fermés. Je finis par les lui retirer pour agripper ses cuisses et accélérer ma pénétration, elle gémit toujours plus, m’encourageant à y aller plus vite et plus fort en ne cessant de me fixer de ses superbes yeux verts. Mon regard plongé dans le sien, je m’exécute, sa poitrine et son visage vibrants à la mesure de mes coups de reins, je suis presque hypnotisé mais je suis rapidement tiré de ce moment par ma jouissance que je sens très proche. J’aimerais rester des heures en elle tant sa chatte est délicieusement confortable, je m’applique donc à la pénétrer le plus longtemps possible et, au dernier moment, je me retire en serrant ma queue bien fort et je la dépose sur son ventre puis relâche la pression de mes doigts, laissant alors une belle giclée de sperme partir et atterrir presque dans son cou et en partie sur ses seins, les giclées suivantes, plus mesurées, s’étalant sur son ventre bien rond et s’écoulant autour de celui-ci.

Elle accueille ma jouissance par des gémissements de plaisir avant de venir attraper ma queue pour me branler doucement, faisant s’échapper encore un peu de sperme. Elle frotte ma bite sur son ventre, tartinant ma semence sur sa peau et venant ensuite continuer avec ses doigts.

Puis soudain, elle attrape une de mes mains occupées à caresser sa cuisse et la pose sur son ventre moite de sperme, la recouvrant de la sienne.

— Là, tu sens ?? me demande-t-elle en me regardant avec un grand sourire.

Je ne remarque rien au début, puis, en effet, je finis par sentir de petits coups et vibrations venant de son ventre et se répercutant dans la paume de ma main.

— Tu as senti ?

— Oui !! Ça fait bizarre ; lui dis-je en regardant ma main recouverte de la sienne.

Elle rigole doucement.

— C’est parce que tu n’es pas habitué, mais à chaque fois que je me fais du bien seule ou après avoir fait l’amour, elle s’agite !!

— Faut croire qu’elle est sensible à ton plaisir ;

— C’est ce que je me dis oui, telle mère telle fille !!

Nous nous sourions quelques instants pendant lesquels sa fille continue ses manifestations dans son ventre, puis elle me tend ses mains.

— Tu m’aides s’il te plaît ?

Je me relève et attrape ses mains pour la tirer doucement vers moi. Une fois debout, face à moi, elle vient déposer un simple petit baiser appuyé sur mes lèvres avant de me dire :

— Merci pour ce moment Florian, c’était très agréable

— Plaisir partagé Typhaine !

Elle me sourit et m’adresse un clin d’il avant de prendre la direction de la cuisine, la vue de son beau petit cul rebondi orné par le plug s’y trouvant toujours s’offrant à moi. Au même moment, son téléphone se met à sonner. Pendant qu’elle répond, je ramasse mes affaires et commence à me rhabiller.

— Allô chéri, ça va ?. Oui super merci, j’ai fait quelques exercices que m’a conseillé le gynéco 

Elle me regarde à nouveau avec un petit sourire et un nouveau clin d’il avant de boire une grande gorgée d’eau à une bouteille qu’elle me tend ensuite.

— Tu en as encore pour longtemps ?.Ah, super, ça me laisse pile le temps d’aller me rafraîchir ! Oui d’accord, à tout à l’heure mon amour. Moi aussi je t’aime, bisous 

Elle raccroche.

— Fred sera là d’ici 15/20 minutes ;

— D’accord, je vais pas traîner alors ;

— À moins que tu ne veuilles rester pour lui parler

— Euuuh, non, je pense que c’est préférable que je parte !

— Comme tu veux

— Hum, et pour Jenny ?

— Je parlerais à Fred ; dit-elle en me souriant ;

— D’accord, merci pour elle.

Je me rhabille pendant qu’elle ne me lâche pas du regard, son sourire toujours affiché sur son doux visage.

— Alors, qu’est-ce qu’est vraiment Jenny pour toi ? Une patronne ? Une maîtresse ? Une amie ? Une petite amie ?

Je la regarde en lui souriant. Elle n’est pas dupe, elle sait pertinemment qu’il se passe quelque chose entre Jenny et moi, mais je n’ai pas envie de commencer à partir sur ce terrain là avec elle et je préfère jouer au con.

— C’est ma patronne, et un peu une amie aussi bien sûr, au bout de quatre ans, c’est normal ;

— Bien sûr, c’est normal

Elle me sourit toujours en étouffant un petit rire.

— Alors Jenny a beaucoup de chance d’avoir un bras droit et un ami tel que toi !

Je lui souris et finis de me rhabiller. Je fais bien attention de ne rien oublier, et pendant ce temps, Typhaine, toujours nue au milieu de sa cuisine, ne me lâche pas du regard.

— Bon, et bien je vais y aller ;

— Très bien. Tu m’excuseras mais je n’ai pas la tenue idéale pour aller te raccompagner, tu connais le chemin ;

— Oui pas de problèmes, merci. À une prochaine fois peut-être ;

— Oh j’en suis certaine

Je lui souris.

— Au revoir Typhaine, et bon courage pour l’accouchement ;

— Merci ! Au revoir Florian, à bientôt !!

Elle me décoche de nouveau un de ses magnifiques sourires dont elle a le secret combiné à son regard intense, je lui souris à mon tour, bien plus timidement, et prends la direction de la sortie, sans me retourner.

Je file à ma voiture, monte dedans, démarre et pars d’une traite. Quelques centaines de mètres plus tard, je suis tiré de mes pensées par la sonnerie d’alerte de ma ceinture de sécurité que je n’ai pas mise. Je m’arrête, la boucle, puis, avant de repartir, je me mets à repenser à ce qu’il vient de se passer. J’ai l’impression d’être dans un rêve et que je vais bien finir par me réveiller, tant cette situation est surréaliste.

Je viens de sauter la femme d’un de mes boss afin d’obtenir son appui pour aider mon autre boss que j’ai aussi l’habitude de sauter

Typhaine, la magnifique et entêtante femme de Fred… On lui donnerait le Bon Dieu sans confession mais c’est en fait une arme de tentation massive, elle a su m’attirer sur son terrain, me faire dire ce qu’elle voulait entendre et faire ce qu’elle voulait que je lui fasse, le tout en utilisant son sourire, son regard et sa formidable plastique pour faire s’écrouler toutes mes résistances une à une comme un vulgaire château de carte. J’attends quelques minutes comme ça, le temps de reprendre mes esprits et de me remettre les idées en place.

Sur le point de repartir, je suis arrêté dans mon élan par mon téléphone se mettant à sonner.

« – Allô ?

— Salut Florian, c’est Shama, je te dérange ? Tu es toujours en rendez-vous ?

— Non non, je viens de partir, pourquoi ?

— Et bien en fait j’ai un petit souci, un client vient d’appeler, il était en pétard, super énervé, soit disant il y a des choses qui ne vont pas dans ce qu’on lui a fournit, il veut des explications ;

— Quoi ? Mais c’est qui ce client ??

— Je sais plus, il m’a donné le numéro de dossier, je suis en train de le chercher là ;

— Et qui a traité le dossier ?

— Ben c’est Jenny à la base, mais comme elle est pas là, c’est pour ça que je t’appelle ! Il doit rappeler d’ici une heure et il a dit qu’il voulait parler à un responsable sinon ça allait mal se passer, on allait entendre parler de lui, etc. Bref, j’ai déjà passé presque dix minutes à me faire gueuler dessus donc si tu pouvais venir, ça serait cool ! À moins que tu ne préfères que j’appelle Fred ;

— Non, c’est bon, j’arrive. Sors moi le dossier et mets le sur mon bureau ;

— Super merci, je te prépare tout ça !!

— À de suite. »

Putain, la dernière chose que j’ai envie de faire maintenant, c’est de retourner au taf, mais bon, pas le choix.

En même temps, ça me changera un peu les idées…

Related posts

Le dur métier de pédagogue – Chapitre 1

historiesexe

Dis merci au voisin – Chapitre 1

historiesexe

[Sci-Fi / Tentacles] Le réveil d'Odin – Chapitre 4

historiesexe

Laissez un commentaire

Ce site Web utilise des cookies pour améliorer votre expérience. Nous supposerons que cela vous convient, mais vous pouvez vous désinscrire si vous le souhaitez. J'accepte .