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Six "sions" pour une scission. – Chapitre 5




CHAPITRE 5 : La domestication.

Nous venions de nous installer, Lucille et moi, chez Monsieur.

Nous avions passé notre première nuit séparément, chacun dans sa chambre. Lucille avait voulu dormir avec moi, mais j’avais besoin de me remettre de mes émotions. Et je n’avais surtout pas la tête à embrasser une femme, aussi belle soit-elle, alors qu’une magnifique queue se trouvait entre les jambes d’un bel étalon, derrière les 10cm de cloison qui séparaient ma chambre de celle de Monsieur.

Au petit matin, nous prenions le petit déjeuner, dans un silence pesant. Il était clair que Lucille ne voulait pas parler devant Monsieur.

C’est Monsieur qui, fidèle à lui-même, prit la parole avec son habituelle assurance.

« L’une de mes chiennes pourrait-elle aller chercher le sucre ?

— Nous ne sommes pas tes ch, répondit Lucille du tac au tac »

Mais j’étais déjà debout sur mes talons aiguilles, et je revins avec le sucre.

« Très bien, petite chienne, s’exclama Monsieur, le regard fier et satisfait en direction de Lucille. Mais qu’attends-tu pour me servir, poufiasse ?

— Tu n’es pas obligée de faire ça, Jess, tenta vainement Lucille, alors que déjà je servais le café à Monsieur. »

Le petit déjeuner fut ainsi une succession de services que je rendais sans broncher à Monsieur qui s’adressa à moi pour clore le repas :

« Tu as été bien serviable, petite chienne. Débarrasse-moi tout ça et viens ensuite chercher ta récompense dans ma chambre. »

Je m’exécutai, feignant l’indifférence face aux remarques de Lucille qui voulait m’empêcher de monter rejoindre Monsieur, et bien que troublée et mal à l’aise face à Lucille que j’aimais profondément, ma chatte encore en feu de la veille était trop impatiente de se faire remplir. Je rejoignis donc Monsieur.

Il me baisa sauvagement, comme à son habitude. La porte ouverte, si bien que Lucille ne pouvait pas manquer mes cris et mes gémissements.

Il finit par m’éjaculer sur le visage. J’en avais partout. Dans les yeux, dans ma perruque, sur la bouche Un épais filet coulait même au bout de mon menton pour retomber sur ma poitrine. Une fois encore, il m’avait comblée. Et alors que je m’emparai d’un mouchoir pour m’essuyer, Monsieur m’interrompit :

« Non, ma chienne, laisse Lucille t’essuyer.

— Mais Monsieur, c’est horrible, elle se sent déjà si mal.

— C’est un ordre ! »

Je m’exécutai. Les injonctions de Monsieur me faisaient un effet nouveau. Celui d’une véritable soumission qui dépassait le simple acte sexuel. Je lui appartenais corps et âme et j’aimais ça.

Je me rendis donc dans la chambre de Lucille.

« Oh ma pauvre, s’exclama-t-elle ! Que t’a-t-il encore fait ? Approche, que je t’essuie. »

Sous l’effet de l’excitation, et en dépit de l’ordre de Monsieur qui n’était de toute façon pas là pour me surveiller, je léchai les quelques gouttes de semence sur le coin de ma bouche.

« Huuum, lâchai-je.

— Voyons, Jess, c’est le sperme de Monsieur, cet immonde manipulateur qui est en train de te détruire la vie. Laisse-moi t’essuyer. »

Elle prit un mouchoir et me nettoya le visage.

« Viens dans mes bras maintenant, ma belle. »

J’allais me blottir contre elle, lorsque la voix de Monsieur retentit :

« Est-ce qu’une bonne chienne voudrait bien passer l’aspirateur au rez-de-chaussée ? »

Et sans mot dire, je laissai Lucille sur place et descendit exécuter l’ordre de Monsieur. Lorsque ce fut chose faite, il descendit, et me donna ma récompense, sur le canapé. Même tarif : de la baise très mouvementée. J’ignorais qu’un sofa pouvait offrir un tel panel de positions possibles

Et encore et toujours une éjaculation faciale, et encore l’ordre étrange de le faire nettoyer par Lucille. De toute façon, je n’étais pas en mesure de réfléchir à l’absurdité de cet ordre. Durant chaque séance de baise, je ne pensais qu’à gober sa queue et à hurler mon plaisir. Puis après chaque séance, je n’avais en tête que le prochain ordre de Monsieur, et la récompense qui suivrait.

Lucille m’essuya encore le visage. Mais elle renonça cette fois-ci à me faire la morale. Elle voulut toutefois m’enlacer lorsque Monsieur demanda à ce que la serpillère soit passée. Ce que je fis aussitôt, abandonnant de nouveau Lucille.

Et toute la journée, ce fut ainsi. Les ordres de Monsieur se succédaient, et il me défonçait la chatte en remerciement. Mais quand allait-il s’arrêter ? Nous en étions à 5 séances torrides après le dîner, et alors que Lucille m’annonça son bonheur d’enfin passer du temps avec moi, durant la nuit, Monsieur la corrigea :

« Non, ce soir, je veux une chienne dans mon lit.

— Nous ne sommes pas tes chiennes, le reprit Lucille, arrête avec ce mot ! »

C’était inutile. La bite de Monsieur était aussi endurante que mon cul était demandeur. Il brûlait, mais en redemandait. Je passai donc la nuit avec Monsieur. Il me baisa dès le début de la soirée. Comme d’habitude, je ne pus retenir mes cris de jouissance.

Puis une heure après, il me donna un ordre vraiment étrange, que je pris avec le sourire, encore une fois sans réfléchir :

« Petite chienne, je voudrais dormir, mais je voudrais une berceuse

— Je n’en connais pas Monsieur.

— Il y en a une qui me plaît bien et que tu connais très bien.

— Ah oui ? Laquelle ?

— Eh bien je veux t’entendre crier comme quand je te défonce la chatte. »

Pour être étrange, c’était étrange. Je rigolai, mais je me rendis compte qu’il était sérieux. Alors je commençai mon concerto pour cris et gémissements.

« Huuum oui, c’est bon huumm Ouuuiii !

— Continue, me chuchota Monsieur, inhabituellement discret.

— Huuum, chuchotai-je à mon tour, croyant comprendre qu’il voulait quelque chose de calme pour s’endormir.

— Mais non idiote, enchaîna-t-il à voix basse, toi, tu dois hurler !

— Aaaah ! Ouiii ! Ouiiii ! Encore !! »

Monsieur me fit signe que je m’y prenais bien, et que je devais continuer pendant au moins une heure. Ce que je fis, alors qu’il enfila des boules Quiès et s’endormit. Et mon récital terminé, je finis par m’endormir à mon tour.

Le lendemain, matin, une nouvelle journée qui fut la copie conforme de la première. Aux ordres de Monsieur que j’exécutais sans broncher sous le regard effaré et impuissant de Lucille, succédaient les « récompenses » sous forme de parties de jambes en l’air toutes aussi agitées et bruyantes les unes que les autres. Et toujours cette faciale finale, et Lucille qui m’essuyait.

Chaque nuit, je dormais avec Monsieur, avec toujours cette demande particulière de crier bien fort pour « l’aider à dormir ».

Les jours se succédaient ainsi durant près d’un mois. Je n’avais même plus mal au cul, mais le plaisir était toujours au rendez-vous. Le pied !

Un jour, alors que je tendis le visage pour le bouquet final de Monsieur, celui-ci s’exclama :

« Non, aujourd’hui, je vais être bon. Tu as le droit d’avaler. »

Ce que je fis avec un plaisir non dissimulé, avant de rejoindre Lucille, comme à l’accoutumée.

« Ne te fatigue pas, ma chérie, cela fait un mois que nous sommes ici, et je n’ai jamais eu le temps de t’étreindre plus d’une minute. Un ordre va retentir dans quelques secondes et tu vas accourir comme une moins que rien. »

Une « moins que rien », j’aimais cette appellation. Quelle honte mais j’aimais désormais avoir honte.

Nous attendions donc bêtement l’ordre de Monsieur, qui n’arriva pas.

« Embrasse-moi, me supplia Lucille.

— Je ne sais pas si c’est une bonne idée, lui répondis-je.

— J’en meurs d’envie. Cela fait un mois que j’ai besoin que l’on me touche, que l’on m’embrasse. Que TU m’embrasses, Jess. Ne m’oublie pas ! »

Nous commençâmes à nous embrasser, lorsqu’elle eut un geste de recul.

« Mais tu sens le sperme !

— C’est ce que je voulais te dire, je ne crois pas que ce soit une bonne idée »

Mais elle se jeta sur ma bouche, y fourra sa langue, et nous échangeâmes un merveilleux baiser. De ceux que Monsieur ne saurait jamais me donner. Je recommençais à comprendre pourquoi j’étais tombée amoureuse de Lucille, lorsque la voix de Monsieur se fit entendre, alors qu’on ne l’attendait plus.

« Une chienne pour venir nettoyer la salle de bain ? »

Pour une fois, je ne bougeais pas.

« Bordel ! Mais l’une d’entre vous va-t-elle finir par se bouger ? Bande de soumises écervelées !

— Nous ne sommes pas tes soumises, s’écria Lucille, interrompant ainsi notre baiser.

— Je vais te dire ce que vous êtes, cria Monsieur, depuis la salle de bain. Vous êtes des trous à bites, des objets affamés de queue, des pompes à jus, des »

Les insultes de Monsieur m’avaient complètement excitée et hypnotisée et je finis par remettre à plus tard le magnifique baiser de Lucille et moi, pour rejoindre Monsieur dans la salle de bain. Je fis le ménage très rapidement, et au moment de rejoindre Monsieur dans sa chambre pour l’une de ses récompenses dont je ne me lasse jamais, je vis par la porte entrouverte de sa chambre, Lucille en train de se masturber. Je ne souhaitais pas la déranger et suis donc passée sans me faire remarquer.

La coquine elle était probablement excitée par notre baiser. Elle pouvait bien se faire plaisir.

J’entrai dans la chambre de Monsieur, et alors que je pensais devoir le sucer pour le remettre d’aplomb alors que nous baisions encore moins d’une demi-heure avant, il était déjà au garde à vous, en train de se branler comme pour bien maintenir son érection et être prêt dès mon arrivée.

Je m’agenouille devant lui pour prendre sa queue en bouche, lorsqu’il me retourne soudainement et m’encule sans ménagement. Je hurle directement :

« Aaaah ! Ouiii ! Oh oui ! Oh ouiii ! Encore !!

— Prends ça salope !

— Oh ouii Monsieur, encore ! C’est trop bon !

— Il n’y a que moi qui puisse te donner autant de plaisir, allez encaisse petite chienne !

— Je ne suis pas une chienne !

— Oh que si tu es une chienne, corrigea Monsieur, m’assénant une énorme fessée. Et la prochaine fois que tu rechignes, assume dis-le à voix haute. Tu crois que je ne t’ai pas entendue chuchoter que tu n’es une chienne

— Je n’ai rien dit, lui répondis-je.

— Tu n’as vraiment rien dit, me demanda-t-il ?

— Non, rien à part mes cris en réponse à vos insultes qui m’excitent tellement, continuez s’il vous plaît !

— Ta gueule, ferme-la une minute ! »

Et il ressort sa queue, avant de coller son oreille contre le mur donnant sur la chambre de Lucille. J’en fis de même, et de petits gémissements se firent entendre.

« Huuum, ouiii, mets-la-moi bien profond ! Baise-moi ! »

Ces mots venaient bien de la chambre voisine, où Monsieur se précipita, avant que je ne lui emboîte le pas.

Surgissant dans la chambre, nous tombâmes sur Lucille, toujours en train de se masturber.

« Laissez-moi tranquille, hurla-t-elle, les doigts dans la chatte et se caressant le clitoris de l’autre main. »

Elle était trempée.

« Viens, Jess ! Rejoins-moi ! »

J’attendais l’accord de Monsieur qui m’adressa un regard approbateur. Je me jetai donc sur Lucille et commençai à lui lécher la chatte. C’était ma première chatte depuis des lustres, et je n’avais jamais vraiment su y faire. J’étais vite perdue et il était manifeste que Lucille ne prenait aucun plaisir à mes coups de langue hasardeux.

« Non, embrasse-moi plutôt ! Comme tout à l’heure. »

Nous échangeâmes alors un langoureux baiser. J’y prenais un plaisir immense, et j’imaginais qu’elle aussi, vu notre dernier baiser, quelques minutes plus tôt.

« Tu ne sens plus le sperme, me demanda-t-elle ?

— Non, j’ai profité de mon passage dans la salle de bain pour me brosser les dents, tu peux y aller tranquille

— Ah euh répondit-elle, hésitante. Oh ! et puis merde ! »

Et elle se rua sur la queue de Monsieur, me laissant seule avec ma déception et à mon grand étonnement.

Monsieur, lui, ne sembla pas étonné le moins du monde. Il fit honneur à la bouche de Lucille, avant de lui ravager la chatte, dans un torrent de mouille. C’est elle qui hurla cette fois-ci :

« Prends-moi ! oh ouiii !! Prends-moi !

— Vouvoie-moi, salope !

— Prenez-moi ! Je vous en supplie !

— Prenez-moi qui ?

— Prenez-moi, Monsieur, je suis votre chienne ! Défoncez-moi !

— Voilà ce que je veux entendre ! Prends ça ! Han ! Han ! »

Il la baise encore plus fort qu’il ne l’a jamais fait avec moi. J’envie Lucille, mais je dois me cantonner au rôle de spectatrice. J’assiste, impuissante, à un enchaînement de positions insensées. Lucille est tellement souple et tellement plus légère que moi, il la fait voler dans tous les sens. Elle a eu au moins trois orgasmes en moins de dix minutes. Il finit par lui éjaculer sur les seins, avant qu’elle s’empresse de récolter ce précieux jus qu’elle avale ensuite.

Et moi dans tout ça ? Je finis, résignée, par aller dans ma chambre, où une Lucille transpirante me rejoint finalement.

« Désolée Jess, je ne sais pas ce qui m’a pris. J’en avais besoin sur le moment. Je suis vraiment désolée. »

Que pouvais-je lui dire ? Elle venait de me faire vivre ce que je lui infligeais depuis un mois, plusieurs fois par jour.

« Je te pardonne, viens dans mes bras, lui dis-je. »

Je voulus l’embrasser, mais elle préféra simplement se reposer, contre moi. À son réveil, je lui proposai de faire nos valises, et de nous enfuir, toutes les deux, ce qu’elle accepta avec joie.

Nous faisions nos valises discrètement, chacune dans notre chambre, lorsque soudain, la voix de Monsieur retentit :

« Une petite chienne pour venir mettre la table ?

— Certainement pas ! hurlai-je, dans un cri libérateur. On se casse, Lucille et moi ! »

Clac clac clac clac’

Un bruit de talons se fit entendre dans l’escalier. Je me précipitai alors pour avoir confirmation de mes craintes : Je pouvais voir Lucille, assiettes et couverts à la main

Horreur ! Monsieur m’avait domestiquée en quelques secondes avec sa bite. Cela lui avait pris un mois pour parvenir à ses fins avec Lucille, mais il venait de réussir à en faire sa chienne. Je les entendis ensuite baiser comme des fous. Lucille hurlait tout autant que moi, mais ce qui me choqua, ce sont les gémissements et les cris de Monsieur. Je ne l’avais jamais entendu prendre autant de plaisir.

Lucille, petite garce je te déteste !

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