Chapitre 14 Jouissances intenses
Pendant ma seconde année de faculté, j’avais plus de temps libre, je m’étais habitué au rythme des cours et ma filière n’était pas la plus difficile non plus. J’ai repris mes habitudes d’étudiant, c’est à dire pas mal de travail, mais je faisais quelques soirées par ci par là, et je me forçais à aller à la salle une fois par semaine. J’ai recommencé à voir Camille également, une fois par mois, comme d’habitude. Je pensais que Lindsay lui aurait parlé de la surprise qu’elle m’avait faite à sa soirée, mais après deux rendez-vous à parler de nos vacances, du boulot, etc, aucune allusion à cet événement de la part de Camille.
Au mois de Novembre, pour notre troisième rendez vous, nous sommes allés dans un resto en centre ville. Alors que nous parlions de tout et de rien, j’ai évoqué Lindsay. Elle m’a parlé de son amie, mais rien de spécial. Je ne savais pas si elle faisait semblant de ne pas savoir ou non, mais je me suis jeté à l’eau, et je lui ai raconté cette fameuse soirée que vous connaissez également, mais en ne lui racontant que la partie de jambe en l’air entre Lindsay et moi, puis avec Gaëlle et Thomas. Elle semblait très intéressée par mon histoire et avait vraiment l’air de la découvrir. J’ai pimenté un peu la situation en lui confiant certains détails, certains gestes. Je savais à quel point elle aimait le sexe, et je voulais lexciter le plus possible, histoire de ne pas repartir seul ce soir. Elle me questionna sur ce qui s’était passé après entre nous, si nous nous étions revus. Une chose est sûre, elle semblait aussi étonnée que moi du fait que Lindsay ne l’ai pas mise dans la confidence, elles qui partageaient leurs amants habituellement…
En fin de soirée, je l’ai raccompagné jusqu’à sa voiture. Je lui ai proposé de venir chez moi boire un verre mais elle a poliment refusé. « Une prochaine fois, promis » . Mais au moment de lui faire la bise, elle a prit mon visage entre ses mains et a déposé un baiser sur mes lèvres, avant de monter dans sa voiture. Je suis rentré chez moi la tête bourdonnante de questions, pourquoi ce baiser? La tendresse n’est pas ce qui la qualifie le mieux; pourquoi avoir refusé de venir chez moi ? Peut-être qu’on se connaissait depuis trop longtemps pour qu’elle m’ajoute à son tableau de chasse. Pourtant Lindsay l’avait fait elle…
J’ai repris ma petite vie d’étudiant, routinière, et deux semaines après cette soirée je recevais un sms de Camille, m’invitant chez elle pour goûter sa spécialité culinaire le lendemain. Elle voulait me voir plus tôt que d’habitude, puisque habituellement on ne se faisait qu’une soirée par mois. Mais bon je n’allais pas refuser, surtout que son baiser m’est tout de suite revenu en mémoire à la lecture de son prénom sur mon téléphone. Je lui ai répondu que j’acceptais avec plaisir. Ce soir là, j’ai eu beaucoup de mal à trouver le sommeil, j’étais dans un état second, mélange entre souvenirs, celui où Lindsay s’offrait à moi, et rêvasseries, dans lesquelles le visage de Camille remplaçait celui de sa meilleure amie. Je ne pu m’empêcher de me masturber pour enfin me soulager de ses pensées insomniantes.
19h30, je sonnais à la porte de l’immeuble de Camille. Moins de deux minutes après elle me faisait entrer chez elle. J’étais déjà venu et je connaissais bien son petit appartement : une grande pièce avec une kitchenette, une chambre, une salle de bain. Rien de particulier en soi mais c’était amplement suffisant. Elle était habillée sobrement : un pantalon et un t-shirt à grandes manches. Elle était enjouée de me faire découvrir sa « spécialité » : les pâtes carbo. Non, ce n’était pas une grande cuisinière en effet (et moi non plus!) mais je n’étais pas fine bouche non plus. Nous avons pris un petit verre sagement dans son canapé tout en se racontant nos deux dernières semaines. Elle était très joyeuse ce soir là, et nous avons bien passés une heure assis l’un près de l’autre. Nos mains seffleuraient, nos jambes se touchaient, ce moment était très tactile, beaucoup plus que lors de nos rendez-vous au restaurant. Elle ne cessait de bouger, croisant et décroisant ses jambes, changeant de position régulièrement, collant sa tête contre moi quand elle éclatait de rire. Je n’étais pas dupe, je voyais qu’elle surjouait, mes blagues n’étaient pas si drôles, et elle ne se comportait pas comme ça habituellement.
Après cette heure passée à me demander si j’allais lui sauter dessus pour me soulager ou rester gentleman, elle m’a annoncé qu’elle allait me faire goûter les meilleures pâtes de ma vie. C’était surtout le plat qu’elle réussissait le mieux. Du canapé où j’étais toujours assis, je l’ai vu mettre de l’eau à chauffer. Elle a refusé mon aide, et nous avons continué à discuter pendant qu’elle sortait lardons, ufs, crème fraîche, et quelques condiments.
— Tu as des nouvelles de Lindsay ? me demanda-t-elle.
— Non, pas depuis un moment, elle a changé de ville tu sais ? répondis-je.
— Oui, je sais. Mais elle revient ici régulièrement, elle passe me voir.
— Elle est toujours avec son petit ami ?
— Oui, pourquoi ? Jaloux ? me taquina-t-elle.
— Pas du tout non.
— Je sais pas, après ce que vous avez fait tous les deux.
— C’était juste comme ça, il était pas question de s’attacher.
— Ça ne te dérange pas ? D’avoir été une simple passade ? me questionna-t-elle.
— Je peux pas dire que ça m’est déplu, avouais-je franchement.
— Tu dirais pas non si elle te proposait de recommencer je présume. Tu sais qu’elle t’as trouvé plutôt bon ?
— Je suis pas sûr que ce soit un bon compliment ce « plutôt ». Et toi tu n’es pas trop jalouse ? Après tout ce que tu m’as raconté, tu la laisse se faire un bon ami à toi, que tu connais depuis des années, et qu’elle ne partage pas avec toi ? Pire, elle ne te mets pas dans la confidence.
— Pourquoi elle ne partage pas ? Tu n’es pas à elle. Je fais ce que je veux, et elle n’a rien à dire la dessus, et si elle était là, Lindsay te dirais la même chose. D’ailleurs je suis chez moi là, et si la chaleur qui se dégage de la casserole me donne une suée, je peux retirer mon haut ou mon pantalon sans consulter personne, me dit-elle tout en joignant le geste à la parole. Et si j’ai envie de te sauter dessus je le fais.
En quelques mouvements elle s’était mise en sous vêtements, toujours en me tournant le dos, et même si je m’y attendais un peu, le brusque changement de situation m’a quand même surpris. Toujours confortablement assis, mes yeux étaient maintenant occupés à scanner son corps. Ses cheveux coupés assez courts dégageaient ses frêles épaules, ses petites hanches lui permettaient d’avoir de belles fesses, presque trop maigres à mon goût. Elles étaient séparées l’une de l’autre par un simple string. Je n’avais toujours pas bougé quand elle s’est retournée vers moi. Son regard m’a hypnotisé quelques secondes, l’avidité, l’envie s’en dégageait et un sourire en coin déformait érotiquement son visage. Enfin je la voyais à luvre, cette croqueuse d’hommes allait me montrer si elle était à la hauteur des exploits qu’elle m’avait confié. D’une main, elle dégrafa son soutien gorge, qui glissa le long de ses bras et tomba à ses pieds. Elle était presque nue mais le minuscule bout de tissu sur son pubis me gâchait le plaisir de l’admirer entièrement.
Autant l’expression de son visage, la nudité de son corps, et surtout l’état de manque de sexe de ma part avaient contribué à me donner une solide érection grâce à mes instincts primaires, autant maintenant que j’écris ce récit au calme, après quelques années de recul, je me dis que Camille était loin d’être la plus jolie fille que j’ai eu l’occasion de voir. Ses cheveux coupés courts (ils descendaient jusqu’à l’angle de la mâchoire) à la garçonne, son caractère dominant et son corps trop maigre me donnent maintenant une moins bonne impression que ce soir là.
Ce soir là donc, je n’arrivais pas à détacher les yeux de ses seins exposés, un petit bonnet A, avec de petits tétons de couleur pâle. Ses côtes flottantes apparentes, bougeant au rythme de sa respiration. Ses muscles abdominaux, eux aussi apparents, plongeaient en ligne droite vers le lieu de toute ma convoitise, encadré de chaque côté de hanches aux os saillants. Elle ne devait pas faire plus de 50kg, et mon père, si il avait été là, l’aurait qualifié de « planche à pain ». Pourtant elle dégageait une attraction perverse sur moi, comme si j’avais perdu tout raisonnement logique et cohérent.
Elle coupa les plaques de cuisson, prit le pot de crème fraîche vide et s’avança vers moi. Elle enjamba mes cuisses de façon à sasseoir sur celles-ci.
— Tu aimes la crème fraîche ? dit-elle tout en raclant les parois du pot avec son index, qu’elle m’invita ensuite à lécher.
Je ne la quittais pas des yeux, et mes mains étaient déjà en train de caresser ses cuisses et ses hanches. Elle recommença à enduire son index de crème, mais cette fois elle l’étala sur un de ses mamelons. Je me suis empressé de le lécher, et bien qu’il n’y ai plus de crème fraîche, j’ai continué à le suçoter et à jouer de ma langue. Très vite nous nous sommes retrouvés allongés sur son canapé, elle sur moi, mes mains sur elle. Elle m’a gratifié du même baiser dont elle m’avait fait cadeau à notre dernière rencontre. Mais à peine une minute plus tard, nous étions deux fauves en rut sans rien ni personne pour nous séparer. Elle avait enfoncé sa langue dans ma bouche, me roulant une pelle incroyable, pendant que ses mains étaient passées sont mon t-shirt. Les miennes empoignaient ses fesses, et je les malaxais sans aucune douceur. Lorsqu’elle a enfin relâché la pression de ses lèvres pour me laisser respirer, j’en ai profité pour retirer mon t-shirt. Je n’avais pas encore fini mon mouvement que je l’ai vu plonger sur mon ventre. Elle embrassa et lécha mon ventre et mon torse, suçota mes tétons pendant que ses mains ouvraient ma ceinture. Je me suis débarrassé de mon pantalon et elle a de nouveau investi ma bouche avec sa langue, prenant ma tête entre ses mains. J’ai trouvé à tâtons les ficelles de son string et je l’ai baissé du maximum que je pouvais, quand une douleur à la lèvre m’arracha un cri. Elle venait de me mordre ! Moins de trois secondes après, j’avais déjà oublié ma lèvre endolorie. Trois secondes, c’est le temps qu’il lui a fallu pour sortir mon sexe de son boxer, et le sucer sur presque toute la longueur. Je voyais son nez quasiment toucher mon pubis, et mon vît gonflé avait disparu de ma vue. Je commençais déjà a sentir l’expérience de Camille à travers sa langue et sa bouche.
Elle me suçait sans s’aider de ses mains, je la voyais onduler au dessus de mon bassin comme un serpent devant un musicien de rue, sa langue tournoyait, me noyait de salive pour juste après aspirer mon gland comme si sa vie en dépendait. Ses mains étaient serrées sur mes cuisses, telles des serres, totalement immobiles par opposition à sa tête qui dansait sur mon sexe. À ma grande déception, elle stoppa sa fellation pour m’embrasser à nouveau. Elle se leva et se plaça au niveau de ma tête, fit glisser son dernier vêtement à ses pieds, révélant un mont de Vénus parfaitement entretenu, sans surprise. À nouveau elle m’enjamba, et elle plaça sa vulve sur ma bouche. J’ai aussitôt léché son intimité, écartant ses lèvres pour pouvoir goûter à son nectar.
— C’est moi la plus salope, me dit-elle, pas Lindsay, moi !
Ses paroles m’ont électrisé et j’ai commencé à la laper comme un chaton devant un bol de lait. Un mélange de salive et de cyprine me coulait sur le menton à présent, mais je continuais encore et encore. Elle passait ses mains dans mes cheveux, tandis que je caressais ses fesses. Petit à petit je m’attaquais plus précisément à son clitoris turgescent, lui arrachant de petits geignements. Petit à petit je reprenais le contrôle. Je l’ai saisie par les hanches et je me suis relevé, la renversant du même coup. Elle était à présent sur le dos, et je me suis placé en face d’elle, pour finir ce qu’elle avait commencé. Tout en recommençant mes caresses buccales, et après avoir retiré mon boxer qui était encore à mi-cuisse, j’ai introduit mon majeur en elle sans aucune difficulté, si bien qu’il a été rejoint presque aussitôt par mon index. Mes doigts ont explorés son vagin, raclant chaque paroi, tournoyant en elle comme sa langue avait tournoyé autour de ma verge. Le rythme à rapidement augmenté, si bien qu’après quelques minutes, je la branlais littéralement, pendant que je mefforçais de continuer mon cunnilingus. Enfin elle libéra sa jouissance, se laissant aller à pousser un cri de libération avant de se tendre comme un arc. Mes doigts étaient trempés, sa cyprine dégoulinait de mon menton, le canapé était tâché, cette fille était une lionne.
Alors que je pensais pouvoir souffler une minute, Camille se redressa quelques secondes seulement après son orgasme et me fit m’allonger à nouveau. Elle prit ma verge à deux mains et entreprit une masturbation qui, comme sa technique de fellation, relevait de l’inédit pour moi. Elle savait ce qu’elle voulait, je voyais bien qu’elle ne demandait qu’à se faire prendre. Je me suis laissé faire pendant plusieurs minutes, la laissant me caresser et me masturber, elle alternait parfois avec sa bouche, et bientôt je me suis senti comme sur un nuage, et c’est avec force qu’elle m’a fait éjaculer. Elle avait ses deux mains qui serraient mon sexe, et elle a avalé la totalité de ma semence en aspirant mon gland. J’étais vidé et pourtant elle ne comptait pas s’arrêter là.
Sans une seule seconde de repos, elle se mit à cheval sur moi, et se laissa tomber sur mon gland encore sensible de mon très récent orgasme. Je ne pu retenir un gémissement quand celui-ci buta au fond du ventre de mon amante, qui elle soupira d’extase. Elle débuta un déhanché sauvage, rapide, et me fit l’amour avec fougue. Elle s’y prenait vraiment bien, et à aucun moment je n’ai débandé le moins du monde après avoir joui. Son antre secret était brûlant et encore humide de salive et de cyprine, mon sexe bandé à son maximum était gorgé de sang, nos muscles à présent brillants de sueurs étaient découpés par la lumière qui faisait luire notre peau. L’un comme l’autre, nous n’avions pas un gramme de graisse, l’un comme l’autre l’effort que nous faisions nous faisait ressembler à des athlètes aux corps sculptés et huilés. Les mains sur ses hanches, je l’aidais et l’encouragais à me baiser encore plus fort, toujours plus fort, tandis que je donnais de petits coups de bassin. Ma tigresse avait les cheveux ébouriffés, lui donnant un aspect encore plus sauvage, plus sexuel. Nous avons fini par glisser sur le côté, et je me suis placé au dessus d’elle, en missionnaire. Je l’ai alors pilonné de toutes mes forces, allant et venant comme un dément. Si c’était une salope, je comptais bien lui montrer ce que je savais faire.
Je me suis déchaîné. J’ai laissé tous mes échecs, mes fantasmes inassouvis, mes envies de sexe insatisfaites des derniers mois se libérer. Les visages d’Elvina, qui m’avait quitté pour mon ami, Mélissa, si excitante et si imprenable, Pauline, qui s’était amusée avec moi comme avec un jouet, Emma, qui me paraissait inaccessible, ont défilé devant mes yeux. Puis j’ai plongé mes yeux dans ceux de Camille, cette fille si salope derrière son côté studieuse, qui partageait ses proies avec Lindsay, pour qui les hommes étaient les moyens d’assouvir leurs pulsions. Je me suis défoulé sur elle. Je voulais la baiser comme jamais elle ne s’était faite baiser. J’avais les genoux en feu à force de frottements sur le sol, je soufflais comme un buf et je sentais mon sang cogner contre les parois des artères au niveau de mes tempes mais j’ai continué encore et encore, le plus vite possible, en faisant les mouvements les plus amples possibles, jusqu’à enfin arriver à l’orgasme. Je suis sorti de son vagin dilaté pour exploser sur elle, sur son ventre, sur sa poitrine. Jamais encore je n’avais vu les veines de mon pénis aussi gonflées, et jamais il n’avait été aussi rouge. Camille, quand à elle, avait eu son compte, elle avait les yeux fermés, les mains crispées, et savourait encore les jouissances que je lui avait fait traverser. Je me suis allongé près d’elle, attendant de retrouver un rythme cardiaque et une fréquence respiratoire normale, et j’ai caressé son corps, de ses cuisses jusqu’à son visage, étalant mon sperme par la même occasion. Elle me laissait faire en me regardant dans les yeux et en me souriant. Un peu de calme me faisait du bien, je dois l’avouer.
Après cela elle m’a invité à me laver les mains, et à masseoir à table, toujours nu. Elle s’est lavée les mains également, et à refait chauffer les pâtes, puis s’est absentée à la salle de bain. 15 minutes plus tard, nous mangions face à face ses fameuses pâtes à la carbonara, enfin ! J’étais affamé, mais cela ne m’empêchait pas de dévorer encore des yeux mon amie, toujours nue également, qui après quelques fourchettes s’est glissée sous la table, m’ordonnant de ne pas bouger. J’ai continué à manger, pendant que ses lèvres se refermaient autour de mon sexe, et que sa langue me procurait une nouvelle fellation, heureusement douce cette fois ci. Après quelques minutes, mon sexe a repris de la vigueur, et c’est comme un pacha que j’ai fini mon assiette, pendant que Camille me caressait les bourses et léchait ma verge.
Elle avait raison, c’était les meilleures pâtes carbo de ma vie, mais c’était surtout grâce aux talents de la cuisinière pendant la dégustation, et cette sensation de domination de la savoir à genou sous la table 100% dévouée à mon plaisir.
Comme à chacun de nos rendez-vous, chacun a dormi chez soi ce soir là, et nous sommes restés en contact par sms pendant quelques semaines. Lors des vacances de Noël, nous nous sommes à nouveau revu, mais cette fois chez ses parents. Ils habitaient à une vingtaine de kilomètres de notre ville d’étude, et je n’avais jamais été chez eux. Finalement je ne les ai que peu aperçu, puisque Camille m’a tout de suite emmené à l’étage dès mon arrivée. Elle sortait de la douche car elle avait encore les cheveux mouillés. Nous avons croisés sa sur dans le couloir, de deux ans sa cadette (soit 18 ans), mais qui gardait les cheveux assez long, et la rendait plus jolie à mes yeux malgré une ressemblance évidente avec sa sur. Cependant Camille a rapidement coupé la conversation, et je devinais une fois encore ce caractère de fille dominatrice, qui voulait me garder pour elle toute seule.
Elle a fermé la porte de sa chambre après m’avoir invité à rentrer et m’a aussitôt sauté au cou pour m’embrasser. Je savais que je n’étais pas venu pour autre chose et cela ne m’a pas surpris. Le fait qu’elle veuille refaire de moi son repas était plutôt une bonne chose, car je n’avais toujours pas de petite amie ni d’aventure sérieuse, et avoir une sex-friend en plus de Lucie me permettait de pouvoir être serein sur le plan sexuel. Nous nous sommes déshabillés rapidement tout en se caressant et s’embrassant, avant de nous laisser tomber sur son lit deux places. Elle ne portait pas de soutien gorge, mais avait pris la peine d’arborer un très joli shorty rose, du genre fille innocente plutôt qu’accro du sexe, et donc qui ne lui allait pas du tout. Cette erreur enlevée, j’ai pu caresser son sexe parfaitement là encore.
— Tu sais Max, j’ai pas eu le temps de faire tout ce que je voulais faire avec toi, donc on va continuer ça aujourd’hui.
Elle a saisi à son tour mon sexe bandé et nous nous sommes caressés l’un l’autre. Mais elle comme moi en voulions plus, et rapidement j’ai pris l’initiative de la placer sur le ventre pour pouvoir la pénétrer dans cette position. J’ai fermement saisi ses épaules et j’ai commencé à lui faire l’amour sans autre préliminaire. Cette position mempêchait d’aller trop vite, et c’est donc pendant de nombreuses minutes que je l’ai progressivement amenée à gémir sous mes coups. Elle se laissait faire et me laissait le soin de choisir le bon rythme, la bonne amplitude. Allongé sur elle, je sentais sa respiration saccélérer, jusqu’à ce qu’elle se laisse transporter par le premier orgasme de la journée. Je me suis blotti contre elle, attendant qu’elle redescende sur Terre, avant de la retourner délicatement. Elle s’est alors relevée pour aller chercher un objet dans une commode. J’ai compris à ce moment que la tendresse était finie.
Elle m’a tendu un gode en silicone noir, d’une dizaine de centimètres, ainsi qu’un tube de gel lubrifiant.
— Tu veux me le mettre ? me fit Camille en me lançant un clin dil.
Très excité par la situation j’ai acquiescé, et j’ai enduit l’objet de gel. De part le faible diamètre de celui ci j’ai deviné son utilité, alors je l’ai dirigé vers son petit trou. Centimètre par centimètre, le plug de forme conique entrait en elle, probablement pas pour la première fois. En tournant un peu la pénétration se faisait plus facile, pendant que Camille soupirait doucement comme si elle en demandait plus, comme si elle était en manque de sexe alors qu’elle venait tout juste de toucher l’orgasme. Après quelques minutes j’avais pénétré mon amie avec la totalité du cône, le laissant en place grâce à sa terminaison large qui couvrait à présent son illet.
Elle prit ses chevilles avec ses mains et les amena au dessus de sa tête, s’exposant encore plus à ma vue. J’ai passé ma main sur ses lèvres intimes, ressentant la chaleur qui se dégageait de mon amie, et l’envie électrique qu’elle m’inspirait. J’ai présenté mon sexe à l’entrée de son puits d’amour et je l’ai à nouveau pénétrée. J’ai immédiatement senti que son vagin était plus resserré, et, alors que ma verge était entièrement avalée par le sexe de mon amie, je ressentais la texture en silicone contre la peau de mes bourses. Camille m’a demandé de la prendre fort, et c’est avec plaisir que je me suis exécuté, sans faire attention au bruit que nous faisions. J’ai agrippé son cou d’une main, et je l’ai encore une fois pilonné. Mon sexe gonflé était à l’étroit en elle comme si elle était vierge. Mon autre main parcourait son visage, sa poitrine, ses cheveux. Mon amante était toujours pliée en deux, et subissait mes assauts avec un plaisir non dissimulé, m’encourageant, me demandant d’aller plus vite, plus fort. N’en pouvant plus, je me suis senti jouir en elle après quelques minutes, m’enfonçant le plus possible en elle et remplissant son ventre de ma semence chaude.
Camille se dégagea et se plaça face à moi tandis que j’étais à genou. Avec précaution elle passa sa langue sur mon gland et le nettoya soigneusement, avant de lécher ma verge et de débuter une douce fellation, qui malgré mon éjaculation, ne me fit pas mal. Ainsi mon érection fut encore une fois maintenue, et, comprenant qu’elle aimait quand elle se faisait prendre longtemps, je me mit debout près du lit, pointant outrageusement mon sexe dans sa direction. Avec un sourire non dissimulé elle se retourna et me présenta ses fesses au centre desquelles le plug anal était toujours bien en place. Je l’ai prise ainsi, debout, la tenant fermement au niveau des hanches, et nous avons refait l’amour avec fougue, comme elle aimait, sans douceur mais avec l’envie de déchaîner nos pulsions animales. Après plusieurs minutes, elle était effondrée sur son lit, mordant le drap, courbée à l’extrême. Le bruit des chocs de nos corps emplissait la pièce, et une nouvelle fois la jouissance nous a prit, tous les deux, et son vagin étroit a été secoué de spasmes pendant que de puissants jets de semence tapaient contre son col. Je suis resté un instant comme ça, savourant la situation. Ma verge était entièrement entrée en elle, et la vue de l’extrémité du gode me donnait envie de le retirer pour pénétrer moi-même son anus.
Mais finalement nous avons arrêtés là nos ébats pour cette fois, mais, alors que nous nous sommes rhabillés et que nous allions quitter la pièce, j’avais très bien vu qu’elle avait gardé son gode en elle. Quelle salope ! Peut être l’avait elle en elle lors de certains de nos rendez-vous. Ou lors de cours dans son école.
En sortant j’ai vu que la porte de sa chambre était entre-ouverte , et je me rappelais très bien que Camille l’avait fermé. Nous sommes sortis, et je ne pouvais m’empêcher de penser à l’anus de ma sex-friend, dilaté par un morceau de silicone, et la stimulant à chacun de ses pas. Probablement que d’ici une heure ou deux elle aurait à nouveau envie de sexe. Pas facile d’être une nymphomane.
Nous avons encore une fois croisés sa sur, à qui j’ai fait la bise, avant de prendre congé. Était-ce elle qui avait jeté un il dans la chambre de Camille ? La porte c’était-elle ouverte toute seule ? Je ne le saurais jamais. Mais je me plais a penser que c’était elle…
Tout le long de l’année, nous avons continué à nous voir une ou deux fois par mois, chez elle, chez moi, ou en ville. Presque une fois sur deux on finissait dans un lit, point sur lequel mon histoire avec elle était totalement différent de ce que j’ai vécu avec notre amie commune Lindsay. Pourtant elle ne m’attirait plus tant que ça au fur et à mesure que les mois passaient, mais le sexe avec elle était si intense que je n’allais pas dire non à une soirée où nous dépassions le stade de simples amis, et où je me vidais physiquement, et intellectuellement.
Une dernière anecdote pour clore ce chapitre peut-être ?
Il faut savoir qu’elle avait un copain, un officiel du moins, ce que j’aurai toujours refusé d’être, car elle était encore plus volage que moi (j’étais un ange à côté d’elle, vous l’aurez compris). Un soir, elle m’a invité chez elle, et m’a annoncé une fois chez elle que son petit ami devait passer la nuit avec elle. Si elle me l’avait dit avant, je ne serai sûrement pas venu, car je n’étais pas particulièrement enchanté à l’idée de le rencontrer. Alors qu’il était presque 21 heures, heure à laquelle il devait arriver, elle mentraîna devant sa porte, et me fit m’adosser contre celle ci. Elle avait ce soir là un chemisier noir, qu’elle déboutonna en s’agenouillant devant moi, le regard coquin. Elle ne portait pas de soutien gorge. Elle déboutonna également mon pantalon et sorti mon sexe afin de lui prodiguer une fellation telle qu’elle sait si bien les faire, s’aidant de ses deux mains quand elle ne le prenait pas quasiment en entier dans sa gorge. Au début, la sensation divine qu’elle me procurait ne parvenait pas à me faire totalement oublier l’horloge qui continuait sa course. Qu’allait il se passer quand il arriverait ? Camille était suffisamment coquine pour le faire entrer et me sucer devant lui. Elle mit tout son cur et tout ses talents à luvre, et bientôt je senti mes jambes faiblir, j’oubliais l’heure et je ne pensais qu’à sa langue experte, et à mon sexe qui gonflait de plus en plus à chaque battement de mon cur. J’ai passé les mains dans ses cheveux bruns, avant de saisir sa tête, sans toutefois prendre le contrôle : elle me procurait d’avantage de plaisir seule que si je baisais sa bouche. Alors que j’étais à quelques secondes de l’orgasme, la sonnette de l’appartement a retentie. Il était arrivé ! 21H07 ! Heureusement il était en retard, ça m’avait permis de profiter de mon amie plus longtemps.
J’ai fais mine de reboutonner mon pantalon pendant que Camille décrochait l’interphone mais celle ci m’a fait comprendre de ne pas bouger. Elle s’est agenouillée à nouveau et, après avoir lancé un « oui ? » à l’interphone, a reprit ma verge en bouche. Elle fit quelques aller retour avec ses lèvres, avant de répondre à nouveau. « Quoi ? J’entends rien, parlez plus fort ». Encore quelques aller retour sur mon sexe. « Ah mon chéri, je t’ouvre ». Encore quelques aller retour. Putain c’était terriblement excitant. Elle se releva rapidement pour raccrocher l’interphone, prenant soin de me branler d’une main pour ne pas faire redescendre ma pression et mon excitation. Aussitôt elle plongea sur ma verge et me suça, m’aspira, tout en me branlant d’une main, pendant que l’autre serrait fortement mes bourses. Une ou deux minutes passèrent. Je suais de peur et d’excitation, je tremblais presque. Je haletais sous ses caresses buccales. Des coups à la porte retentirent, je les avais senti plus qu’entendu, car ils avaient résonné contre mon dos. « J’arrive mon chéri ! » dit Camille en me regardant dans les yeux. « Jouis sur moi Max, si tu veux que je sois ta salope, laisse toi jouir ». Elle me masturba frénétiquement. Ses dernières paroles m’avaient excités encore d’avantage, bien que je pensais être au comble de l’excitation en sachant son copain attendre derrière la porte que je jouisse sur sa copine… Elle a dirigé ma verge vers sa poitrine et j’ai vu ma semence être expulsée de mon vît, la recouvrir, couler sur sa poitrine, sur son ventre, jets blancs sur sa peau brûlante. Elle lécha rapidement mon gland afin de le nettoyer, comme à son habitude, et me permis de reboutonner mon pantalon, pendant qu’elle refermait sa chemise, sans prendre le temps de s’essuyer. Elle a ensuite ouvert et a sauté dans les bras de son copain du moment, l’embrassant à pleine bouche. Je suis parti une heure plus tard, après avoir fait semblant d’être un simple ami, tout en me demandant ce qui se passerait si mon sperme avait suffisamment tâché son chemisier le traverser, ce qui heureusement n’est pas arrivé.
Si vous avez des questions, si vous voulez parler des personnages, en savoir plus sur elles, en savoir plus sur des parties de l’histoire que je n’aurai pas assez développé, ou encore me donner des conseils de rédaction ou d’orthographe sur des fautes récurrentes, contactez-moi sur le forum xstory. Je réponds à tout le monde 🙂