Pour une fois nous sortons en ville. Sylvie a des idées coquines. Dès arrivés dans la chambre, elle montre son désir. Elle me veut, enfin elle veut ma queue. Je refuse de baiser si vite. Elle se met sur le lit, écarte ses cuisses, m’invite ou plutôt me donne l’ordre de la lécher. Je commence par les lèvres : elle ouvre sa bouche. Après une bref échange avec sa langue je vais sur son cou. Son odeur de sueur agréable. Ses seins attire ma bouche. Je la tète lentement, comme un nourrisson. Ma main droite se pose sur son pubis. Je prends de poils que je tortille. C’est Sylvie qui se tortille : elle veut la totale. A force de se démener, elle arrive à ce qu’elle cherche depuis le début : je la branle doucement. Seuls ses gémissements brisent le silence de la pièce. Elle prend ma queue dans sa main : elle se met à me branler. Elle réussit cet exercice admirablement bien.
Je change à peine la masturbation, j’entre un doigts dans la moule, et l’autre frôle l’anus. Elle avance ses fesses en signe d’accord : depuis la première fois que je l’ai sodomisée, elle adore.
Elle me fait tourner pour que je lui donne ma queue dans sa bouche. Je ne voulais pas jouir, elle me force avec ses armes féminines. Ses lèvres entourent le gland, le font glisser dans la bouche. Elles sont parfaites pour ma queue. Sa langue se met de la partie. Je vais totalement sur elle. Sa chatte m’attend. Je passe ma langue sur le périnée, la limite entre cul et con. C’est à elle de choisir.
Le clitoris est à peine érigé. Mes lèvres le mordille doucement. Son bas ventre accompagne mes baisers particuliers. Nos 69 sont toujours très complets. Elle me donne son orgasme et son jus. Elle avale le sperme.
Nous décidons de sortir dans un cabaret : des femmes nues dansent pour le spectacle. Sylvie en est toute chose. Certaines des filles sont du genre sexy plus. Au retour vers l’hôtel, Sylvie me fait part de son dernier désir. Elle se verrait bien avec une autre femme au lit. Ma surprise ne dure pas, elle caresse la queue par dessus le pantalon.
Nous choisissons un bistro où d’après elle, nous trouverions ce qu’elle cherche. (J’adore le « nous ») C’est vrai, au premier étage deux ou trois nanas nous regardent. Sylvie seule, cherche l’âme sur. Il s’agit d’une fille de son âge, en gros, un peu moins grande. Elles s’embrassent déjà sur la bouche.
Nous prenons une table, commandons du champagne (que je n’aime pas), bavardons, surtout Sylvie et la fille qui en réalité se draguent. L’entente semble parfaite.
Cette fois les chose sérieuses commencent dans la chambre : je suis pris de vitesse par les dames. J’en suis à enlever le froc qu’elles sont nues totalement. Voir ces deux corps de filles pleines de désir, décidées à se faire du bien, même sans moi, me donne une trique extraordinaire : le bout du gland sort même un peu du prépuce.
Elles recommencent leurs câlins : les mains se promènent partout, sur elles. Sylvie est placée derrière la nouvelle, lui prend les seins en entier dans les mains. Seuls en sortent les tétons tous durs. La bouche en arrière l’amante se fait embrasser sans cesse. Je reste là à les regarder. Elles oublient le mâle. Je reste la bite haute, je me touche à peine. Sylvie reprend ses caresses, ses mains sont sur le sexe de l’autre fille. Elle commence le grand ménage en la caressant lentement , comme pour elle quand elle commence.
Sa nouvelle amante s’étend dans l’attente de l’estocade finale. Elle arrive avec la bouche de Sylvie qui se révèle une parfaite lesbienne. La fille est allongée complètement sur le lit, les jambes ouvertes. La bouche de mon amante est dans son compas. Je ne vois que l’arrière train de Sylvie. Elle se baisse un peu, je vois toute sa fente. J’y pets d’abord un doigt tout seul. Perdu il cherche un refuge.
L’abricot de Sylvie sert au moins à ça. Je lui fait du bien avec ce seul doigt. Je me touche carrément la bite. Elle donne un orgasme à cette fille, se retourne pour lui donner son con à lécher. L’autre fille sait bien s’occuper, elle fait partir plusieurs fois Sylvie. Je vais sur elle, je force un peu : je l’encule doucement. Elle gémit en jouissant, comme l’autre que je lèche.
La matin nous sommes toujours ensemble : elle tirent un coup vite fait, trop sans doute. Quand la fille de l’étage nous sert le petit déjeuner, mes deux nanas tentent leur chance avec la serveuse qui les regarde en souriant ce n’est pas la première fois qu’elle reçoit ce genre de proposition. La venue de la serveuse émoustille mes deux tigresses. Elles reprennent leur petits jeux de poupées. Cette fois je ne me gêne pas : je me branle franchement devant les deux, j’expédie mon liquide vers les deux corps en rut.
D’après ce que j’ai compris la semaine prochaine nous avons rendez vous. Tant mieux je pourrais me payer seule la nouvelle.