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Coincé – Chapitre 1




Coincé !

Tout a commencé il y a quelques mois. 

Je m’appelle Bernard et je suis un homme marié, de 42 ans, pas sportif pour un sou, mais je garde une certaine forme malgré un léger embonpoint.

Je travaille dans un entrepôt de marchandises depuis des années, où je dois placer des marchandises parfois très lourdes sur des palettes. C’est ce qui explique que mes plus proches collègues ne sont que des hommes. L’un d’eux, Stéphane, très sympathique et avec qui je m’entends bien, est à l’origine de tout ce qui m’est arrivé par la suite.

Chaque année, la boîte organisait une réception, généralement aux alentours de mai. C’était l’occasion rêvée d’obtenir une promotion pour celles qui étaient prêtes à donner de leur personne (bref : coucher avec le chef) ou de faire le faux-cul pour bien se faire voir de la direction présente.

Bien que ce soit un travail pénible, j’en étais satisfait, et je ne voulais pas changer de poste. Ce genre de réception était donc pour moi une corvée, surtout qu’il fallait faire bonne figure et rester assez tard.

Heureusement, quelques collègues me permettaient de moins m’ennuyer, dont Stéphane. Il avait un humour ravageur, ce qui lui permettait d’être très apprécié par à peu près tout le monde. 

L’alcool coulait à flot ; je ne me rendais pas compte de la quantité ingurgitée. C’est quand j’ai tenté de me lever pour aller me soulager que des pertes d’équilibre se sont fait sentir. Impossible donc de conduire dans cet état !

Tout occupé devant un urinoir, je ne me suis pas tout de suite rendu compte que quelqu’un était venu s’installer à mes côtés. 

— T’as bien bu d’après ce que je vois !

Stéphane, rigolard, avait vu la quantité que j’avais à évacuer. 

— Tu sais ce que c’est, hein

— Ouep !

Il avait sorti sa queue, longue et poilue, à côté de la mienne. Un léger tarissement dans mon jet d’urine commençait à se faire sentir, conséquence d’un raidissement soudain. Que m’arrivait-il ?

Je regardai droit devant moi, histoire de recentrer mes pensées et de revenir vite à ma place.

— Tu comptes faire comment pour le retour ? Vu ce que t’as bu.

— Bonne question. Je n’ai pas encore réfléchi. Je ne vais pas prendre le volant en tout cas.

— Tu veux pieuter à la maison ? Y a assez de place sur le canapé. Tu n’as qu’à prévenir Sylviane (ma femme, à qui j’étais marié depuis 12 ans et avec qui j’ai eu 2 enfants), elle ne dira rien.

-Ok, va pour ça. De toute façon, c’est pas ce soir que j’allais la troncher 

Il me regarda, goguenard :

— Satanés Anglais

— Tu as tout compris !

Bon, ça y était. Je secouai le gland, vidant les dernières gouttes. Je détestais cette sensation de mouillé sur les slips : ça avait tendance à m’irriter le bout. Je refermai ma braguette et revins à ma place. 

Une heure plus tard, et quelques verres de plus, la plupart des invités étaient partis. Une pouffiasse de l’accueil avait serré le DRH et était sûrement occupée à lui dégorger le poireau, avec la bouche ou avec le reste. On la savait coutumière du fait et cela faisait près d’une heure que personne ne les avait vus.

Stéphane vint vers moi. 

— Bon, t’es prêt ? Tu prends ta dulcinée avec toi ou tu la laisses au proprio ?, demanda-t-il en désignant la bouteille de vin entamée juste devant moi.

— Un dernier verre, allez

Je me resservis, et hop ! cul sec !

— C’était payé par la boîte, alors, autant en profiter !

Je n’étais pas très joli, moi qui buvais rarement. Je m’en foutais : vendredi, tout est permis !

C’est le lendemain qui allait être difficile !

Bref, me voilà qui monte à côté de mon collègue dans la voiture. La mienne resterait sur le parking jusqu’au lendemain.

— T’as prévenu Sylviane ?

Merde, je l’avais bien oubliée. Je tente de l’appeler, pas de réponse. De fait, il était près d’une heure du matin. Elle avait dû aller dormir. Tant pis : je laisse un message, disant que j’avais trop bu et que je dormais chez un collègue.

— Ok, c’est fait.

— Nickel !

Il n’habitait pas loin, peut-être à un quart d’heure du restaurant. On fit le trajet en papotant comme deux vieilles pies, parlant de tout et de rien, mais surtout des frotte-manches observés ce soir.

Arrivés devant chez lui, j’ouvris la porte et je m’affalai dehors en voulant sortir. Sacré alcool Quand tu nous tiens

Bon, j’avais de la boue sur mes vêtements. Bravo Bernard !

Stéphane vint m’aider à me redresser. 

— Je sais bien que tu n’as pas pu faire de câlin ce soir, mais c’est pas une raison pour en faire à mon trottoir

— Ben il avait l’air sympa, alors tu vois !

— Oui, je vois bien.

On rit tous les deux. 

On rentra à l’intérieur de chez lui. Assez coquet, mais je n’étais pas en état de juger objectivement en ce moment.

— Faut que tu te déshabilles, je ne veux pas que tu en mettes partout sur le canapé. Je vais faire une machine, donne.

Il m’aida à le faire. Je ne pouvais pas m’asseoir, et j’avais des pertes d’équilibre. Je riais en m’accrochant à lui. En m’enlevant mon t-shirt, il me pinça les tétons. 

— Sacrée paire que tu as là !

— T’es con !

Ce simple contact suffit à me faire bander, j’étais très sensible de cet endroit. Dans la pénombre, ça ne se voyait pas encore, mais le pantalon devait être enlevé

— Bon, le reste maintenant !

— Si tu veux

J’étais face à lui, mains sur ses épaules, pendant qu’il était agenouillé devant moi, retirant d’abord ma ceinture. Il ne pouvait plus ignorer mon érection maintenant.

— Wahou, c’est quoi ça ?

Il empoignait ma queue bien dure à travers le tissu. J’étais gêné, mais pas tant que ça.

— Effet secondaire, ne fais pas attention.

Il ne répondit rien, et retira mon pantalon. Il avait désormais une vue imprenable sur mon slip tendu.

Sans mot dire, il l’abaissa subitement, et engouffra ma queue dans sa bouche. 

— Eh Steph, tu es dingue ! Sérieux, arrête ! Oh merde 

Il ne s’arrêtait pas, la prenait toute entière dans sa bouche, avant de se retirer jusqu’au gland et suçotant le méat, puis de la reprendre en entier.

Je n’arrivais pas à le repousser. Il s’accrochait à ma queue, telle une ventouse, s’aidant de ses mains agrippées à mes fesses (encore recouvertes par le tissu de mon slip).

Je perdis l’équilibre et tombai en arrière, le pantalon sur les chevilles. Ça ne l’arrêta pas non plus : il se contenta simplement d’enjamber mon pantalon et de poser son genou dessus, ce qui me bloquait complètement. 

Ce n’était pas la première pipe que je recevais, mais Dieu ! ce qu’elle était puissante ! Ma femme m’en faisait parfois, mais du bout des lèvres, prenant à peine le gland. Là, Stéphane y allait franchement, la prenant sur toute sa longueur. C’était la première fois que j’éprouvais une telle sensation avec une bouche.

Je commençai à gémir. Je ne cherchais plus à le repousser, ce que j’avais fait mollement jusque-là, prenant même sa tête pour l’enfoncer plus encore. 

Ses mains remontèrent vers le torse et me titillèrent les tétons. Le plaisir augmenta instantanément. Je m’arcboutais, je ne me contrôlais plus.

Stéphane tenait bon, me suçant avec délectation. 

J’ai crié lorsque j’ai joui avec une puissance que je ne me connaissais pas. 

Wahou

J’étais hors d’haleine. Qu’est-ce qui m’était arrivé ?

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