Suite :
Un soir après le service, alors quIris était allongée sur le sol, le cul bien tendu en lair et lanus béant après une déjà belle séance de sodomie, le Génie mourrait denvie de pénétrer cette chatte vierge qui ruisselait de mouille et vibrait de jouissance. Mais il se vit recevoir un nouveau refus de la part dIris qui, toute nymphomane SM quelle était, tenait à rester vierge De rage, le Génie saisit Iris par les cheveux, lui assénât plusieurs gifles daffilée et lui baisa la bouche jusquà la garde alors que son sexe avait les proportions de celui dun âne. Le gosier dIris était terriblement déformé par la gigantesque bite que y pénétrait et celle-ci avait les yeux qui se révulsaient lorsque le Génie restait enfoncé en elle et que loxygène lui manquait. Il ne se retirait que lorsquelle était au bord de lévanouissement et samusait alors à létrangler alors quelle essayait de reprendre son souffle.
— En. Encore. réclamait Iris en suffoquant.
— Pauvre folle, répondit le Génie en lui crachant au visage, je pourrais te baiser la chatte normalement plutôt que de te torturer. Laisse-moi te déflorer
— N Non. Mon cul Prenez-moi juste le cul.
— Bien, salope. Mais je ne vais pas le prendre, ton cul Je vais le détruire !
Le Génie retournât alors Iris, lui fît tendre le cul et senfonça en elle dun seul coup, lui arracha au passage un cri de surprise quelle ne pût étouffer complètement. Rapidement, lanus de la pauvre serveuse nopposait plus aucune résistance et il y enfonçait la totalité de sa gigantesque queue. Mais il avait en tête autre chose quune « classique » sodomie. Il se retirait au bout de plusieurs furieux allers-retours et écarta les parois de lanus avec ses deux mains. Il écartela le sphincter en tirant sur tous les côtés, de manière répétée et de plus en plus fort. Puis, lorsquil estima que le trou quil avait devant lui était suffisamment large, il commença sy enfoncer sa grosse main.
Il ne perdit pas de temps à y aller doigt par doigt. Il enfonça dun coup la totalité de son poing, non sans lavoir lubrifié avant avec la cyprine dégoulinante dIris, et sintroduit jusquau poignet. Il fit aller et venir son poing dans le colon de la jeune serveuse en senfonçant un peu plus à chaque fois et en lui arrachant des gémissements où le plaisir avait laissé place à la peur et à la douleur. Le Génie venait sans doute datteindre, enfin, une limite à la perversité dIris.
Mais il ne faiblit pas dans son supplice. Il sortait régulièrement sa main de son cul, écartait à fond le pauvre anus en tirant dessus et sy enfonçait à nouveau dun coup, le poing fermé. Avec moitié de son avant-bras en elle, il prit les cheveux dIris et lobligea à se redresser. Le changement de position fit bouger les muscles et les organes de la pauvre fille qui gémissait mais ne disait rien pour que ça sarrête. Puis le Génie la releva et la fit marcher, toujours avec son poing dans son cul. Il la plaqua contre le mur de la taverne et la fista brutalement debout jusquà ce quenfin, elle le supplie darrêter. Il retira alors sa main dun seul coup dans un bruit peu élégant.
Epuisée, elle seffondra au sol mais eu suffisamment de force et de lucidité pour lever la tête vers le Génie, ouvrir la bouche et sortir la langue pour recevoir labondante et délicieuse éjaculation. Voyant le visage enduit de foutre et de larme, le Génie tenta à nouveau de la raisonner :
— Iris, je pourrais te baiser normalement et te donner tout le plaisir que tu veux !! Tu vas crever si tu continues sur cette voie
— Maître cest comme ça que je prends du plaisir Depuis le jour où mon père ma défoncé le cul comme un bourrin, je ne vis que pour la soumission et la douleur. Je ne suis quun objet et jadore ça !
— Soit dis alors le Génie en secouant la tête, résigné.
Il se saisit alors de son sexe ramollit et vida sa vessie sur Iris qui ne bougea pas dun pouce pour éviter les jets de pisse qui latteignait au visage, dans les cheveux ou sur les seins. Ce fut même elle qui, sans ordre, se retourna et offrit son cul encore grand ouvert pour que le Génie le remplisse de pisse.
Puis, sans un mot à légard de la femme quil venait de ravager, il lui cracha dessus, rangea son sexe et rentra chez lui où Jasmine lattendant.
Durant cette semaine, il se rendit également à lAPJ pour défoncer Salima ainsi quun nombre croissant de profs qui, toutes, voulaient gouter à ce mâle qui faisait hurler de plaisir les plus expérimentées dentre elle. De son coté, Rose le boudait toujours malgré une envie de lessayer également qui grandissait en elle. Elle tentait de calmer cette envie avec ses esclaves quelle sollicitait souvent pour des orgies qui, elle devait ladmettre, la satisfaisaient de moins en moins.
Enfin, durant ces journées de labeur pour Jasmine, Le Génie fréquenta également le bordel qui avait rouvert ses portes. Ce quil y découvrit était à la hauteur de ses attentes.
Lendroit était fraîchement peint et décoré aux couleurs de Jafar (rouge et noir) et des portraits ou des citations de lui ornaient les murs du bordel. On entrait dans une première pièce sans que lon ne vous demande rien, pas même le mot de passe. De cette pièce, le Génie pouvait entendre les murmures, les gémissements, voire les cris des esclaves sexuelles, dispersées aux quatre coins du bordel, dans les pièces voisines. Par des rideaux transparents, il apercevait également des femmes nues en train de marcher, tenue en laisse par leur maître. Clairement, cette première salle était faite pour donner envie daller plus loin ou daller obtenir le mot de passe si lon ne lavait pas.
Le Génie lui, lavait. Il fût dailleurs rapidement accueillit par Lily, lancienne maquerelle du bordel aujourdhui reconvertie en hôtesse daccueil pour propriétaires desclaves. Lily lui demanda :
— Esclave ou mot de passe ?
— Mot de passe mais bientôt esclave !
— Je vous écoute
— Yago.
— Bienvenue au CEPA, monseigneur !
— Le CEPA ??
— Le Centre dEchange des Putes dAgrabah Jafar aime bien les acronymes, je crois
— Entre lAPJ et le CEPA, cest évident !
En discutant, le Génie ne pouvait sempêcher de dévorer du regard la patronne des lieux. Lily était une femme dune cinquantaine dannées qui avait de généreuses formes. Mais cétait une femme encore superbe : un beau visage subtilement maquillé et orné dune chevelure noire, brillante et longue, une très grosse poitrine sans doute un peu tombante mais ici redressée par un corset qui mettait ses seins encore plus en valeur et lui faisait une taille relativement étroite. Ses fesses et ses cuisses étaient généreuses, sans être trop grosses. Le bas de son corps était recouvert par un voile de soie très transparent et son sexe nétait caché que par les colliers de hanches et les ornements de son voile. Ses jambes, elles, étaient intégralement visibles sous le mince tissu.
Lily pris le Génie par le bras et le fit pénétrer dans la salle principale du bordel où on exposait et séchangeait les esclaves. Pourtant habituée à la luxure, le Génie fut surpris par autant de beauté et de sexualité réunis dans une seule pièce.
A sa gauche en entrant, il y avait une sorte de présentoir où plusieurs esclaves étaient enchainées par les poignets, les bras suspendus à une poutre. Elles étaient soit totalement nues soit dans des tenues qui ne cachaient pas grand-chose et étaient ainsi totalement exposées et à la merci des visiteurs. Lily lui expliqua :
— Ici vous avez les esclaves en libre-service. Si vous avez le mot de passe mais rien à échanger, vous navez accès quà ces filles. En général ce sont celles qui ont des maîtres qui voulaient les punir, tester leur soumission ou simplement les prêter généreusement. Il est aussi possible que plusieurs hommes soient actuellement occupés avec une esclave et laissent ici leurs filles, en attendant davoir fini.
— Je vois, donc aujourdhui, je naurai droit quà une de ces filles
— Cest cela Sauf si vous êtes invités par quelquun à profiter de son esclave Chacun est libre doffrir ses biens à qui il souhaite !
— Et les autres filles ? demanda le Génie en montrant les autres personnes présentes dans le bordel.
— Et bien nous avons là les seigneurs qui souhaitent échanger leur esclave contre une autre. Ils gardent leur propriété à côté deux et discutent avec dautres nobles sur les possibilités déchanges.
— Un maître peut donc choisir à qui il offrira son esclave sans y être contraint par quelquun de plus puissant ?
— Oui, cest la politique de la maison. Sauf si cest Jafar qui vient en personne, là, ça change tout
— Évidemment
Le Génie avait à présent les yeux rivés sur les quatre esclaves enchainées devant lui, en libre-service, et les scrutait pour savoir laquelle il allait choisir. Une énorme bosse déformait son pantalon, bosse que Lily remarqua. Elle posa alors sa main sur la masse dure comme du bois et déclara :
— Vous me semblez bien mieux équipé que la plupart des bourgeois ici présents.
Puis glissant sa main à lintérieur du vêtement, elle palpa lengin et commença à le branler doucement.
— Oh oui, vous êtes très bien équipé même Quel besoin dacheter et dentretenir une esclave alors que nimporte quelle femme rêverait de gouter à votre queue ?
— Cest-à-dire que mon esclave ma été confiée pour être formée Elle appartient à quelquun de plus puissant.
— Je vois Cest original Et je suppose quemmener votre esclave dans cet endroit sera pour vous lultime étape de sa formation ? ajouta-elle, sa main toujours autour de la queue du Génie.
— Cest cela En attendant, je vais voir laquelle de ces jeunes filles me convient. Si vous le permettez.
— Oh je le permets Mais si un jour vous voulez une femme un peu plus ouverte que ces gamines Frappez à la porte de mon bureau.
— Vraiment ? Je ny manquerai pas !
Et alors que la patronne sen allait vers dautres clients, le Génie sapprocha des filles enchainées et les passa en revue. Il les palpa et les retourna pour les observer dans le moindre recoin. Il avait une idée précise de ce quil voulait ce soir : une jeune fille, ingénue, aux orifices bien étroits. Non pas pour la faire crier mais pour retrouver un peu de jeunesse et de fraicheur après navoir baisé, entre Iris et les profs de lAPJ, que des femmes très voire trop expérimentées.
Il jeta son dévolu sur une petite blonde, qui ne parlait pas la langue et venait manifestement dune contrée lointaine. Lorsquil enfonça ses doigts dans sa chatte, il ne constata pas de traces récentes de passage et, dans son cul, une étroitesse qui indiquait une probable virginité de ce côté. Parfait ! La demoiselle devait avoir 17 ou 18 printemps et avait encore un visage dange, des seins menus, une toisons de poils blonds et des fesses divinement fermes et rebondies.
Il détacha sa chaine avec la clé suspendue à la poutre et lemmena dans une salle libre du bordel. Beaucoup de couples faisaient leur affaire dans la salle commune, ou dans les couloirs fréquentés. Mais le Génie voulait de la tranquillité et de la discrétion car il ne voulait pas de témoins pour ce quil allait faire.
En effet, il allait être tendre, doux et attentionné avec cette gamine Pour une fois, il ne voulait pas être une bête.
A suivre…