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Vertueuse maman – Chapitre 3




Nous y étions. Le moment tant attendu de ma jeunesse. Si, ado, j’avais su la tournure que prendront les événements ce jour-là, j’aurai explosé dans mon caleçon. Ma mère et moi venions de nous satisfaire mutuellement, d’une façon plus que tendancieuse, une véritable débauche concupiscente de luxure mélangée à une bonne dose de tabou social, il n’y a rien de mieux.

Me voilà face au vagin de ma mère, devant cette fente maternelle qui m’a donné la vie. Je venais de lécher le trou qui m’avait vu naître, dans le genre sexuel c’est une vraie mise en abyme personnelle. La cyprine de ma mère est abondante, elle coule entre ses bonnes cuisses jusqu’à se répandre sur le cuir du canapé. Mon regard croise le sien encore excité par l’orgasme précédent.

C’est trop… Chéri… Il faut que tu me baises, maintenant… Viens baiser ta belle et salope de mère…

C’est assez dingue à croire, mais ma mère semblait être encore plus électrisée par ce que nous venions de faire, tellement qu’elle en était à prononcer des paroles plutôt obscènes venant d’une mère à son fils.

Enfin maman… Tu parles comme la dernière des chiennes voyons…

Pardon mon chéri. C’est que ça fait tellement longtemps qu’un homme ne m’a pas fait sentir femme. Tu es mon garçon, je t’aime très fort et je commence à comprendre la façon dont je t’aime réellement.

Sur ces mots, ma mère et moi nous nous redressâmes vers l’un l’autre, nos visages ne se trouvent qu’à quelques centimètres d’écart. Elle est si belle, si douce, si éclatante, si sexy, si bandante… Mes pensées se perdent dans ses yeux égrillards de la somptueuse maman aux murs légères. J’ose m’approcher et embrasse ma mère comme j’ai toujours voulu le faire. Ses grands yeux me signalent sa surprise ; il faut dire qu’elle ne devait pas s’attendre à ce que son fils la galoche comme une étudiante. Ébahie par mon coup de théâtre, ses yeux passèrent rapidement de l’étonnement à la lasciveté, se fermant à moitié, à demi révulsés, comme si c’était son premier baiser.

Lorsque nous nous séparâmes, un long filet de bave délimita nos lèvres. La sensation incroyable des lèvres de ma mère, j’avais eu l’impression de goûter les lèvres d’un ange, d’avoir eu une vision angélique de ce qu’était vraiment le paradis. Il ne s’agit que d’un lieu où la honte, la gêne et le regard de l’autre ont disparu, où chacun est libre d’être heureux avec la personne qu’il aime le plus. J’aime ma mère, je crois que j’en suis carrément fou. Je n’ai plus le temps de m’encombrer de l’avis des autres, je ne souhaite qu’une chose à présent: lui faire l’amour comme à la femme de ma vie, la femme que j’aime.

Ce canapé n’est pas très confortable. Vu le spectacle que je lui réserve, je préfère que ma mère et moi soyons dans un vrai lit, son propre lit tant qu’à faire. Je lui fais part de mon avis et, d’un déhanché sensuel, elle hisse son énorme croupe hors du canapé, me prend par le bras et m’entraîne vers l’escalier afin de gravir la dizaine de marches qui nous séparent de son nid d’amour. En montant, elle m’offre la vue de son cul qui roule à chaque pas. Mon instinct de mâle me pousserait à la jeter sur les marches et à la prendre violemment jusqu’à la faire couiner comme une folle. Mais mon amour de fils me rattrape et me convint de rester sage, au moins jusqu’à la chambre.

Nous entrons dans une pièce spacieuse, baignée par la lumière du soir qui traverse une large fenêtre donnant sur notre jardin. Un immense lit aux draps blancs s’étend face à nous. Ma mère me prend par la taille et colle sa poitrine à la mienne. Ses yeux de chatons me disent qu’elle veut se faire prendre, tout de suite, immédiatement. Elle s’assoit sur le lit en croisant ses belles jambes et me dit en souriant:

Alors, dans quel sens tu veux prendre ta mère ?

Je ne pus m’empêcher de rougir en entendant cela. Ma mère, si douce et tendre qu’elle était, était aussi une immense perverse. Elle se redressa et se mit à quatre pattes sur le lit, totalement nue.

Tu veux me fesser ? me demanda-t-elle en trémoussant son derrière.

Un sourire en coin, des yeux décidés, un bon élan puis CLAC ! Le bruit résonna dans la chambre tant l’impact fut puissant. Ma mère poussa un cri strident en recevant ma fessée, la pauvre fesse ayant reçu mon courroux se teinta d’un rouge écarlate en dessinant parfaitement les contours de ma main.

Eh bien ! Tu n’y vas pas de main morte avec ta pauvre mère !

C’est toi aussi maman ! Tu fais tout pour me rendre fou !

Dans ce cas mon fils…

Elle s’allongea sur le dos, les jambes bien écartées.

Viens, allez, viens faire l’amour à ta maman.

Presque machinalement, je me débarrassai de tous mes vêtements pour me retrouver aussi nu que ma cochonne de mère qui attendait déjà que je lui rentre ma queue en elle. Toute idée d’embarras ou de tabou avait complètement disparu ; maintenant, il n’y avait qu’elle et moi.

Je me plaçai au-dessus d’elle, positionnant ma bite à la porte de sa fleur. Je la frotte un peu, ma mère gémit déjà en sentant l’effleurement de ses lèvres. Rien que d’entendre sa petite voix me fait l’effet d’un véritable tsunami intérieur. J’y suis, ça y est, je vais baiser ma mère. Elle est là, devant moi, elle n’attend que ça.

Vas-y mon chéri… prends-moi comme on prend une femme…

Avec un ardent désir, je plantai ma lance conquérante dans le territoire inexploré de ma mère. Malgré le fait qu’elle avait déjà eu plusieurs fois l’occasion de pratiquer, je pouvais sentir mon sexe glisser entre ses parois vaginales comme dans le vagin d’une vierge. Chaque mouvement me faisait m’enfoncer un peu plus dans la chatte de ma mère. Ses bras et ses jambes m’enlacent comme pour me forcer à aller encore plus profondément en elle. Notre rythme est en harmonie totale, ma mère gémit à chaque mouvement de bassin, elle semble se lâcher de plus en plus, au fur et à mesure que j’accélère mes coups. C’est pour moi un pied total de pouvoir prendre ma mère ainsi. La voir aimer se faire saillir par son fils la rend folle de désir et de tension sexuelle. Soudain, d’un regard suppliant, elle me demande:

Prends-moi en levrette mon fils, je t’en prie… Je veux que tu me prennes fort !

Sans avoir le temps de réfléchir, ma mère se dégage et se positionne comme une petite chienne, le cul cambré et remuant, face à mon sexe dur comme le roc. Pas besoin de me faire prier pour lui introduire mon gland dans sa jolie fente tout humide. À quatre pattes, notre rythme est plus soutenu. Je me permets de lui claquer le cul pendant que je l’empale sur ma queue. Cette dernière est aux anges, elle me dit que cela faisait longtemps que personne ne l’avait prise de la sorte, mais elle tente tout de même de conserver une certaine retenue face à moi, histoire de ne pas hurler comme une dingue sous les assauts de son fils. Mais c’est bel et bien mon but ; la faire crier comme une dingue. D’ailleurs, plus les coups s’accélèrent, plus elle a du mal à se retenir de crier, cette cochonne.

Le problème c’est que, comparé à moi, ma mère a de la bouteille dans le sexe. Ainsi, la faire jouir sera sans doute plus difficile qu’il n’y paraît. Si je dis ça, c’est parce que je suis, moi, sur le point de jouir. Le cul de ma mère m’a fait un tel effet que je ne vais pas pouvoir me retenir très longtemps. D’un seul coup, tous mes fantasmes et mes désirs d’adolescent remontent en moi à la façon d’une éruption volcanique, chaque fois que je l’ai matée sous sa douche, en chemise de nuit ou même préparant le repas, tous ces moments reviennent en moi. Le mix de toutes ces émotions déclenche en moi un orgasme semblable à un shoot de dope en plein dans les veines. Les spasmes de mon sexe me font accélérer une ultime fois, me faisant défoncer la chatte de ma mère qui ne peut plus s’empêcher de hurler comme une vierge que l’on dépucelle. Elle hurle, mais elle n’a pas joui pour autant, je le sais.

Je l’ai entendue tout à l’heure avec le cunnilingus, ce n’est pas tout à fait sa voix de femme qui jouit.

Moi, par contre, j’ai joui comme jamais un être vivant n’a joui de son vivant. Tremblements, sueurs, étourdissements, je me permets même de lâcher un long râle de ma voix masculine, alors que jamais je n’en avais ressenti le besoin lors des précédentes expériences. Je m’écroule sur le dos de ma mère encore en levrette, ma bite toujours plantée en elle finissant de décharger les quelques gouttes de foutre restantes. Je murmure :

Pardon maman, mais… Woaw ! C’était si bon que je n’ai pas pu me retenir… Je t’ai… J’ai joui en toi…

Ce n’est rien mon chéri, tu m’as pris comme une reine, dis donc…

Oui, mais… j’aurai aimé te faire jouir aussi…

Tu sais, faire jouir une femme de mon âge est moins facile qu’une jeunette de 20 ans, c’est normal.

Je me retirai de la chatte de ma mère, encore dégoulinante de notre débauche incestueuse. Je venais de réaliser mon rêve, je venais de faire l’amour à ma mère comme je l’avais toujours voulu. Je ne pus, cependant, m’empêcher d’éprouver une once de culpabilité pour ne pas avoir fait jouir ma petite maman adorée. En me voyant, elle se retourna vers moi en me caressant la queue encore demi-molle.

Tu sais mon chéri, je suis seule depuis longtemps et… j’aimerais beaucoup que tu passes le week-end ici… avec moi…

Tu… Tu crois que c’est une bonne idée ?

Je n’en sais rien, tout ce que je sais c’est que je n’ai pas envie de te voir partir…

Moi non plus maman, je ne veux pas partir…

Nous nous enlaçâmes langoureusement durant un long moment, étalés tous deux sur le lit tâché de ma semence. Nous nous glissâmes sous la couette pour profiter pleinement de notre chaleur mutuelle et nous serrer l’un à l’autre. Dans le creux de mes bras, ma mère se blottit comme un petit chiot contre sa mère ; paradoxal n’est-ce pas ?

Mais… Tu as… Tu as aimé quand même ?

Mon chéri… J’ai adoré ta queue… Elle est superbe…

La prochaine fois, je te ferai jouir maman, promis !

J’y compte bien mon chéri. Je vais te donner un petit secret pour la prochaine fois…

Quoi donc ?

Sache que ta maman a toujours adoré se faire enculer…

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