Comme prévu, Enzo accompagne Anaïs à la fête du village, qui se trouve à dix minutes.
Anaïs est vêtue d’une minijupe noire, et d’un petit top qui cache à peine le nombril.
-Dit dont, dit Enzo, on dirait…
-Une pute, coupe Anaïs.De toute façon, c’est ce que j’ai fais avec toi toute la journée.
-Excuse moi, répond Enzo. Ce n’est pas çà que je voulais dire.
D’entré, un jeune homme invite Anaïs à danser un slow. Elle le rejoint sur la piste, et se serre contre lui, passant même sa main dans ses cheveux. Elle regarde Enzo du coin de l’oeil.
La danse terminée, elle rejoint son beau frère à la buvette.
Il fait une drôle de tête.
-Je trouve que vous étiez un peu serrés, dit Enzo.
-Hé, tu n’es pas jaloux? Demande Anaïs.
-Non, poursuit Enzo, si tu as envie de te le faire mettre, c’est ton droit. Tiens les clés du 4×4, je rentre à pieds.
Anaïs a un petit sourire. Elle attend un moment, puis décide de partir.
Elle arrive à la hauteur d’Enzo.
-Allez, monte, idiot, dit-elle.
Enzo hésite, puis s’installe dans le véhicule.
Anaïs quitte son string.
-Quitte ton bermuda, dit-elle, c’est par toi que je veux me le faire mettre, tu l’as pas compris? Touche.
Enzo glisse une main entre les cuisses d’Anaïs, et s’aperçoit que sa chatte est toute mouillée.
-Et toi, fais voir, dit-elle, mais tu bande comme un âne.
C’est par-ce-que tu croyais que j’allais me donner à mon cavalier qui t’excite. Imbécile, c’est un ami, il est gay.
J’ai fais çà pour te faire râler, pour te tester.
-Viens sur moi, dit-il, je veux mettre ma queue au chaud, il fait frais ce soir.
Elle l’enjambe et s’empale sur lui en gémissant.
-Sens comme je te serre, soupire Anaïs. Donne moi un bon coup de queue pour la route. Vas-y.
Enzo fait rouler le bout des seins entre ses doigts.
Anaïs, elle, accélère ses mouvements de hanches sur la bite de son beau frère.
-Oh putain, que c’est bon d’être un femme, gémit Anaïs.
Comme tu me maques là. Vas-y mon chéri, fais du bien à ta belle soeur. Ha…ha..oui..oui.. je joui mon dieu, ma petite chatte joui.
Anaïs prend Enzo à pleine bouche, l’embrasse, puis s’appuie sur son épaule.
-Tu me pardonne? Demande-t-il.
-Il y a qu’une chose pour te faire pardonner. c’est qu’on passe la nuit ensemble, que tout les deux.
-D’accord, poursuit Enzo. Je vais m’occuper de toi.
-Je veux te vider, t’épuiser, je veux que tu me supplie d’arrêter. A la fin, tu auras plus de couilles. Je vais te mettre minable.
Les deux amants se retrouvent dans le lit. Anaïs se penche sur la queue d’Enzo.
-Viens ici toi, polissonne, que je m’occupe de toi. C’est quoi tout ce que tu m’envoie dans la bouche, et dans ma petite chatte? Tu veux que je te fasse pleurer encore, petite vicieuse.
Anaïs décalotte entièrement le gland d’Enzo, et commence à lui tailler un pipe.
Enzo n’y tient plus. Il sent la sève monter dans son sexe.
-Han..han, tu m’as eu, salope, ouais, vas-y. Tu sens comme je crache. Avale et nettoie, s’il te plait.
-A toi maintenant, dit Anaïs, viens manger mon petit minou.
Vois mon clitoris comme il te nargues.
Les jambes d’Anaîs sont écartées à cent quatre vingt degrés.
Enzo fait courir deux doigts sur les lèvres humides, puis saisit le petit organe, le décalotte, et le fait rouler entre se doigts.
-Mon dieu, gémit Anaïs, il a été si vilain, mon petit bouton pour que tu le maltraite comme çà,hein? Et qu’est- ce-que je t’ai fait pour que tu fasse mouiller ma chatte.
salaud.
-Mais, c’est que mérite les jeunes filles quand elles sont pas sage, répond Enzo. Et ce petit trou, c’est pareil pour lui.
-Vas-y mon amour, baise-moi. Tu m’as trop excitée.
Enzo se place entre les cuisses d’Anaïs, et lui ouvre les lèvres avec sa queue.
Anaïs noue ses jambes dans le dos d’Enzo.
-Je te tiens là,fait-elle, tu es mon prisonnier. Quel mâle tu es. Tu me donne salaud, ha..ha..oui..oui, je viens mon amour, ouiii.
-Moi aussi je viens, ha.ha.ha, salope, je crache.
-Je le sens, murmure Anaïs, fait toi plaisir, crache dans ma petite chatte de pute.
Enzo lui suce le bout des seins,mordant légèrement les bouts.
Anaïs a des frissons qui lui parcourent tout le corps.
-Prends moi encore, s-il te plait, en levrette, tu veux bien. J’aime cette position. Et toi?
-Comme tu veux, répond Enzo.
Anaïs se met en place, et invite son amant à la prendre.
Elle ondule du bassin.
Du pouce, Enzo lui titille l’anus.
-Je peux? Demande-t-il.
-Fais ce que tu veux, répond Anaïs, je suis à toi cette nuit.
Enzo change de trou, délicatement. Il veut pas brusquer sa maitresse.
Anaïs cambre son corps, s’offrant totalement.
-Mes seins, gémit-elle, s’il te plait. Mon petit bouton aussi. Putain, combien de coups de queues j’ai pris depuis hier. Combien de fois tu m’as faites jouir. J’en peut plus mon amour, comme tu m’encule, salaud.
Anaïs enfonce sa tête dans l’oreiller, soumise, Enzo toujours encré en elle.
-Je sens que tu te vide, salaud, fais toi plaisir, putain, comme tu gicles dans ma chatte. Quel amant merveilleux tu es. J’ai jamais connu çà avec ton frère. Tu m’as beaucoup appris. Je suis épuisée, mais heureuse. Oh mon amour.
Après un ultime coup de queue, Anaïs s’en dors dans les bras de son beau frère.
Quand Enzo se réveille, il regarde sa belle soeur superbe dans sa nudité. Il remarque cependant des larmes qui coulent sur ses joues.
-Que t’arrive-t-il mon amour, s’inquiète Enzo.
-Je t’aime trop, pleure Anaïs, je ne veux pas te perdre.
-Comment faire, demande Enzo. Tu es mariée, et avec mon frère en plus. Moi aussi je t’aime chérie.
-Il faut trouver une solution, je vais parler à Lucas. Il faut qu’il accepte qu’on se voit. Quitte à faire ménage à trois, en sachant que la majorité de mes nuits te sont réservées. C’est çà, ou je pars avec toi.
Quand Lucas rentre enfin, Anaïs expose la situation.
-C’est pas vrai, réagit Lucas, j’ai pensé à çà toute la journée. Mais c’est super. je ferai tout pour toi ma chérie, alors ménage à trois avec mon frère, je suis partant. Surtout que je suis souvent en déplacement. vos pourrai faire ce que vous voulez. Je suis fatigué la. vous pourrai passé la nuit ensemble si vous le souhaitez.
Enzo et Anais, le souffle coupé, se regarde d’un air complice.