Cette après-midi là je ne fût pas longue à manger, et je suis remonté dans la chambre, je suis resté jusqu?au soir.
Le soir, après le repas, pendant que papa regardait, ses jeux et son journal télévisé, que pour rien au monde il n’aurait manqués, David mon frère était parti loué un DVD. Je décide donc de réviser mon Anglais, car je ne suis pas trop bonne et que j?avais la chance de me faire aider par Tonton Emile.
Ce soir là, papa était assise dans son fauteuil, absorbée par sa télé. De la table où nous étions, nous n’apercevions que le sommet de sa chevelure dorée, et il, ne pouvait nous voir. J’étais assise à côté d?Emile ; il me proposa de m’aider à revoir mon cours d’anglais. Rougissant quelque peu, il m’invita à m’asseoir sur ses genoux comme je l’avais fait pendant tant d’années quand j?étais petite. Sur sa cuisse gauche, devrais-je dire pour être exacte ; sans méfiance, j’acceptais… Il me taquinait sur ma prononciation trop nasillarde et m’imitait d’une façon si comique que pris d’un grand fou rire, je partis à la renverse. Pour m’empêcher de tomber, Tonton me rattrapa comme il put, c’est à dire que sa main gauche m’empoigna le bras droit (à me faire mal) pendant que sa main droite se plaquait sur ma cuisse droite. Il me redressa vivement et sa main gauche lâcha immédiatement mon bras, mais en revanche, il ne bougea pas l’autre main. ’ Ca va ? me demanda-t-il. – Oui, oui, je ne sais pas comment j’ai fait mon compte, mais heureusement que tu me tenais ! Et nous reprîmes notre occupation, enfin, pas vraiment. Si nous regardions tous les deux le manuel posé devant nous, nous ne parlions pas, nous ne bougions pas. Sa main posée sur ma cuisse, sous ma jupe trop courte, à quelques millimètres du bord de mon string, non seulement me chauffait cette partie de mon corps, mais faisait aussi naître en moi, une sensation nouvelle : une douce chaleur qui nichée entre mes cuisses irradiait tout mon être. L’un de nous deux finit par reprendre la parole et nous nous replongeâmes dans la leçon d’anglais. Sa main était toujours là ; je sentais mes joues rougir à me faire mal, mon c?ur battre à un rythme inhabituel ; j’aurais pu me lever ou chasser sa main mais ce moment était si extraordinaire, que… j’attendais la suite ! Et pour combler le tout, son index se mit à bouger, d’abord presque imperceptiblement puis de façon plus marquée. Je crus défaillir quand son doigt se glissa entre chair et tissus. A nouveau, un silence non pas pesant mais au contraire très doux s’installa. Son doigt glissa le long de l’élastique. Je vivais un moment merveilleux. Rien que d’y songer à nouveau, mon string est tout trempé, comme ce jour-là d’ailleurs ; c’était une sensation nouvelle, troublante et je souhaitais qu’il continue. Ce qu’il fit. Mais au lieu de se frayer un chemin vers mon con, il attendit que j’écarte un peu plus les cuisses pour descendre vers mon cul. Son calme et son apparente indifférence m’impressionnaient aussi. J’étais plongée dans un trouble qui me clouait sur place (Je ne pouvais imaginer que cet endroit puisse être source de plaisir, je pensais que cela devait être mal, mais en même temps c’était si bon que je souhaitais voir son doigt se rapprocher encore plus de mon ?illet.). Patiemment à en devenir cruel, il avança son doigt et se mit à me caresser les abords de mon petit trou. Quand, à un moment il remonta son index et l’introduisit dans mon sexe trempé, ce ne fut que pour mieux redescendre humidifier ce petit trou. Plusieurs fois, il entreprit cet aller et retour, et quand il jugea que cela devait être suffisant, je sentis son doigt s’immiscer dans mon cul, lentement mais inexorablement, sans le moindre à-coup mais sans s’arrêter. Emile tourna ses yeux vers moi, mais avec un regard que je ne lui connaissais pas. Il décida alors d’amplifier ses gestes par un va et vient progressif, lent et peu profond au départ, puis de plus en plus soutenu, essayant par la même d’enfoncer son doigt le plus loin possible. Il dut sentir que ma jouissance était proche, et craignant que j’aille crier ou gémir, il colla ses lèvres sur ma bouche et mêla sa langue à la mienne pour mon premier vrai baiser, ce qui eut pour effet de me faire jouir immédiatement. J’étais aux anges, j’aurais voulu que ce moment s’éternise. Je planais, j’étais heureuse… Ayant repris mes esprits, mon oncle me glissa à l’oreille : ’Demain, tu ne mettras pas de culotte ! ’ Evidemment, je rougis à nouveau, mais acquiesçai de la tête. Je voulus me lever mais il me retint. Ses mains étaient à nouveau sur la table et après avoir tourné la tête en direction de son frère ( papa) qui regardait le ’ 20 heures ’, il prit ma main droite qu’il porta à sa braguette. Ignorante de tout (des illustrations de dictionnaire ne sont guère comparables à un toucher), je ne bougeais pas. Je sentais une masse dure sous le tissu ; il ouvrit lui-même son pantalon. A ma surprise, il ne portait pas de slip. Sa bite dressée, pointait son dard. Je commençais à le caresser, fascinée par ce gland violacé qui me regardait et qui semblait m’appeler. Emile me glissa à l’oreille : ’ A genoux, et suce ! ’ D’un geste de la tête, je lui montrai papa. ’ Il est trop occupée ’ me répondit-il. Malgré la crainte de voir mon père débarquer, je me mis à genoux, face à cette grosse sucette que je me mis d’abord à lécher du bout de la langue. Emile, posant ses mains sur ma tête, me fit comprendre que je devais modifier ma technique. Il poussa jusqu’à ce que sa queue disparaisse dans ma bouche ; il ne fallut que quelques va et vient pour que je sente un liquide m’inonder la gorge. Ses mains m’empêchant tout repli, je dus avaler jusqu’à la dernière goutte de sperme. Le goût ne me déplut pas surtout qu’après m’être relevée, il m’embrassa fougueusement pour partager les restes de son foutre … Ce soir-là, j’eus beaucoup de mal à trouver le sommeil, repensant à la dernière phrase murmurée par mon oncle : ’ Pour une première leçon, c’est pas mal ! ’ D’où je déduisais que d’autres leçons devaient suivre ! ! ! ’
A suivre