Benji 3 – Anita

Il était l’heure de rentrer manger, Benji et Zita rentrèrent ensemble. Mais quelque chose avait changé depuis ce matin, Zita pensait pouvoir se garder Benji pour elle toute seule, mais depuis qu’elle l’avait vu baisé avec sa copine et la prof, elle savait qu’elle allait devoir le partager.

Mais quand elle s’était faite surprendre par Paul dans le couloir, elle l’avait laissé soulever sa minijupe, peut-être par vengeance au début, mais quand elle avait senti la queue de son prof s’enfoncer dans sa chatte en chaleur, elle avait conclu, qu’elle aussi, pouvait avoir plusieurs partenaires sexuels, et elle avait adoré se faire défoncer par Paul en regardant Benji défoncer le cul de Nathalie et Sophie. Elle en mouillait encore en y repensant.

C’est dans un état d’excitation modéré qu’elle arriva chez elle au bras de Benji.

Sans penser à mal, mais en voulant rester plus longtemps aux cotés de Benji, elle lui proposa :

–    Et si tu mangeais à la maison avec moi ?

–    Euh, pourquoi pas, faut que je prévienne ma mère,

–    Oui, moi aussi, dit Zita qui n’avait pas pensé à sa mère, espérant simplement pouvoir être seule avec Benji une heure ou deux.

Ils allèrent d’abord chez Zita, elle appela sa mère, qui finit par apparaitre à la porte de sa chambre, elle était en sueur, Anita était en train de se branler la chatte avec son gode en pensant à la grosse queue de Benji, quand elle avait entendu sa fille rentrer.

Elle n’avait pas su quoi faire du gode et de peur de se faire surprendre par sa fille avec ça en main, elle se l’était enfoncé dans la chatte avant d’ouvrir la porte, elle dit à Zita :

–    Je suis là, ma chérie, …

Anita fut troublée de voir que Benji accompagnait sa fille, elle avait encore des images de sa grosse queue plein la tête, et elle sentit sa chatte s’humidifier d’avantage, heureusement que le gode avait une forme qui lui permettait de se maintenir dans la chatte d’Anita, sinon il aurait fini par glisser tellement elle mouillait et Anita aurait eu la honte de sa vie.

Mais sentir le gode dans sa chatte avec des images de la queue de benji encore plein la tête n’arrangeait rien à l’état d’excitation avancé dans lequel elle se trouvait.

Zita trouvait sa mère étrange et lui demanda :

–    Ça va, maman, tu vas bien ?

Anita ne voulait pas que sa fille lui pose plus de questions et comme elle ne pouvait pas s’enfermer dans sa chambre pour retirer le gode de sa chatte, sous peine d’éveiller les soupçons, elle fila dans la cuisine avec le gode encore dans la chatte, elle dit à sa fille :

–    Non, tout va bien, je faisais un peu de ménage.

Zita lui demanda :

–    Ça te dérange si Benji mange avec nous ?

–    Non, pourquoi pas, mettez la table, je vais préparer le repas.

Benji fila prévenir sa mère, mais avec sa fille dans les parages, Anita ne put retirer le gode de sa chatte, elle avait les jambes qui tremblait tellement elle était excitée.

Elle prépara le repas rapidement, mais quand elle s’assit à table pour manger avec les jeunes, le gode s’enfonça d’avantage dans sa chatte, lui provoquant un cri de jouissance.

Cela surprit Zita et Benji, et sa fille lui demanda :

–    Ça va ?, maman, tu as l’air bizarre depuis tout à l’heure.

Anita n’arrivait à réfréner ses pulsions, et le gode dans sa chatte ne faisait qu’aggraver la situation, elle avait une envie folle de la queue de Benji, alors elle dit à sa fille :

–    Est-ce que tu peux aller me chercher un peu d’aspirine stp, ma chérie ?

Elle savait qu’il n’y en avait pas dans la boite à pharmacie, mais il fallait qu’elle trouve un moyen d’être seule avec Benji.

Dès que Zita fut sortie de la salle à manger, elle dit à Benji :

–    Benjamin, est-ce que tu peux t’approcher, il faut que je te demande quelque chose.

Benji parut inquiet, il n’avait jamais vu la mère de Zita dans cet état, il approcha d’elle en espérant pouvoir l’aider.

Dès qu’il fut assez proche, Anita ouvrit ses cuisses en grand, attrapa la main de Benji pour la coller à sa chatte en feu et en retirant le gode de sa chatte, lui dit :

–    Fouille moi la chatte, enfonce moi tes doigts bien profond

Benji fut surpris, mais il avait tellement vu de comportements étranges ces derniers temps, qu’il consentit à la demande d’Anita, et lui enfonça directement deux doigts au fond de sa chatte trempée.

Elle lui dit :

–    Oh putain, oui, vas-y, fouille moi la chatte, petit salop.

Et tandis que Benji fouillait la chatte d’Anita, ils entendirent Zita qui disait à sa mère, qu’elle ne trouvait pas l’aspirine.

Sa mère lui cria :

–    Cherche bien, fouille bien au fond, dit-elle avec un regard lubrique sur Benji

Il lui enfonça un troisième doigt dans la chatte, il commençait à être à l’étroit dans son short, plus la journée passait et plus il était convaincu que toutes les femmes étaient des salopes.

Ils entendirent Zita revenir vers la salle à manger.

Anita repoussa Benji à contrecur qui comprit qu’Anita ne voulait pas montrer à sa fille à quel point, elle était une salope.

Benji se rassit sagement à sa place, et se dit que le proverbe : « telle mère, telle fille » était bien approprié.

Anita avait repris un semblant de naturel quand Zita réapparut, elle avait encore le gode entre les mains, et la chatte trempée, mais elle arriva à dire à sa fille dans un naturel troublant :

–    Est-ce que tu peux aller m’en chercher à la pharmacie, ma puce, ça me soulagera.

–    Ok, ok, dit Zita, contrariée de ne pas pouvoir profiter de Benji tranquillement

–    Prends l’argent dans l’entrée, merci ma puce, dit Anita avec une impatience bien camouflée

Dès que Zita fut sortie, Anita se précipita sur Benji, elle se mit à genou, poussa son siège en arrière, et tira sur les bords du short de Benji.

Benji l’aida comme il put, mais il se dit qu’il avait à faire à une folle furieuse.

Quand Anita réussit enfin à sortir la grosse bite de Benji, elle la prit en main et dit en la branlant doucement :

–    Putain, quel morceau, tu as déjà baisé ma fille avec ça ?

–    Oui, je l’ai dépucelé hier après-midi.

–    Ah c’est tout récent, donc elle ne m’en voudra pas si j’en profite aussi, dit-elle en se penchant pour commencer à lécher la queue de Benji.

Elle passait sa langue vorace tout le long de sa grosse queue, il la laissait faire, totalement convaincu que la mère et la fille étaient de sacrées salopes.

Elle essaya de pomper la bite de Benji mais elle avait tellement envie de la sentir au fond de sa chatte avant que sa fille ne rentre, qu’elle se redressa, enjamba Benji et lui dit :

–    Allez, maintenant, baise-moi, comme tu as baisé ma salope de fille.

Il plaça sa queue à l’entrée de sa chatte, et Anita s’empala directement dessus dès qu’elle sentit le gland lui ouvrir la chatte.

Elle poussa un long râle de plaisir, en sentant la grosse queue de Benji lui envahir la chatte. Anita était comblée, enfin elle sentait cette grosse bite au fond de son ventre, elle n’avait pas arrêté de se branler toute la matinée en rêvant de ce moment.

Et la sentir lui écarteler les parois du vagin, lui procurait une jouissance extrême, quand elle sentit ses fesses toucher les cuisses de Benji, elle resta un moment sans bouger, pour apprécier ce moment de pure jouissance.

Elle regarda Benji dans les yeux et lui dit :

–    Tu me remplis bien avec ta grosse bite, si j’avais su, ça ferait longtemps que tu m’aurais baisé.

–    Suffisait de demander, lui répondit Benji

–    T’inquiète à partir de maintenant, tu viendras me défoncer tous les jours, dit Anita en commençant à remonter sur sa queue

–    Euh, pas sûr que Zita apprécie, lui rétorqua Benji

Anita s’était accrochée au cou de Benji, elle sentait cette énorme tige coulisser dans son ventre, et elle prenait un pied phénoménal, Benji avait pris possession des seins d’Anita, qui malgré ses 2 grossesses étaient restés bien fermes.

Il lui pétrissait les nichons quand sa chatte arriva enfin au niveau du gland, elle regarda Benji avec un regard de braise, et lui dit :

–    Putain, quelle bite, ce n’est pas croyable.

Elle redescendit sur la queue de Benji, elle avait senti l’intérêt que Benji avait pour ses seins, alors elle lui dit :

–    Ils te plaisent mes nichons ?

–    Oui, ils sont bien durs.

Quand Anita eut de nouveau la queue de Benji bien planté au fond de sa chatte, elle relâcha son cou et s’écarta un peu de lui, et lui dit :

–    Vas-y, sors les, viens me bouffer les seins, petit salop.

Il ne se fit pas prier, prit dans un élan d’excitation, il lui déchira la robe et elle se retrouva la poitrine à l’air. Il attrapa un sein dans chaque main et commença à lui bouffer les tétons.

Anita était folle d’excitation, elle se faisait bouffer les seins par un petit jeune, en sentant son énorme bite lui envahir la chatte.

Elle reprit les montées et les descentes sur sa grosse queue, tout en se faisant bouffer les seins.

Elle gémissait de plaisir, Benji lui mordillait les tétons, ça la faisait crier de plaisir, elle voulait qui la prenne violemment, comme la salope qu’elle était.

Alors, sans penser que sa fille qui pouvait revenir d’un moment à l’autre, Anita se releva, elle enleva complètement sa robe en lambeau, pour se retrouver complètement à poil devant Benji.

Elle se retourna vers la table, elle poussa ce qui la gênait, posa ses coudes sur la table, et dit à Benji :

–    Allez, vas-y, prends moi comme une grosse salope.

Benji qui commençait à avoir une certaine expérience des salopes, ne se fit pas prier, et enfonça sa grosse queue d’un puissant coup de rein au fond de sa chatte. Elle cria :

–    AAAAH, OUII, VAS-Y, DEFONCE MOIII

Ce fût à ce moment que Zita rentra, elle fut tétanisée par la vision de sa mère, à poil, en train de se faire défoncer par Benji.

Elle aurait voulu crier son dégout et sa colère, mais rien ne sortait de sa bouche, la seule chose qui lui venait à l’esprit, c’est :

    Pourquoi sa mère se faisait baiser sauvagement par son copain, pourquoi toutes les femmes qui croisaient Benji depuis hier, finissaient avec sa queue au fond de leurs chattes ou dans leurs culs.

Elle n’arrivait pas à comprendre, elle regardait sa mère se faire défoncer par la grosse bite de Benji et elle l’entendait en redemander toujours plus.

La vision était à la fois obscène et excitante, elle n’arrivait pas à détacher son regard de sa mère en train de jouir sous les coups de queue violents de Benji.

Sans comprendre pourquoi, elle sentit sa chatte s’humidifier, elle était partagée entre l’envie de s’enfuir et l’envie de se caresser en regardant sa mère se faire baiser comme une bête sauvage.

Peut-être à cause de ce qu’elle avait vécu dans la matinée, en regardant Benji baiser sa copine et la prof, elle glissa sa main sous sa jupe et l’enfouit dans son string, pour aller se caresser le clito.

Elle se mit à se branler en regardant sa mère se faire baiser, elle ne put se retenir de gémir de plaisir, et malgré les cris de jouissance de sa mère, Benji finit par l’entendre gémir.

Il la vit en train de se caresser en regardant sa mère se faire baiser comme une chienne en chaleur.

Il s’étonna à peine du comportement de Zita, il était persuadé que toutes les femmes étaient des salopes. Alors, tout en continuant de défoncer la chatte d’Anita, il eut une idée très vicieuse.

Il l’appela :

–    Zita, approche, vous êtes deux belles salopes, la mère et la fille.

Anita n’avait pas encore vu sa fille, elle tourna la tête vers l’entrée, elle venait d’avoir un orgasme sous les coups de bite violents de Benji, elle était dans un état second. Elle vit sa fille avec une main dans la culotte en train de se caresser en les regardant baiser.

Zita obéit, ne sachant trop ce qui allait se passer. Anita, encore, sous le coup de l’orgasme, regarda sa fille approcher sans trop savoir comment ça allait finir.

Benji dit à Zita :

–    Déshabille-toi, je veux la mère et la fille à poil.

Zita obéit encore, et se retrouva complètement nue devant sa mère, mais celle-ci était à poil avec une grosse queue au fond de la chatte, elle ne pouvait rien lui reprocher.

Quand elle fut complètement nue, Benji lui dit :

–    Viens à coté de ta salope de mère, je vais vous baiser toutes les deux.

Malgré la présence de sa mère, elle n’hésita pas une seconde, elle avait tellement envie de sentir la grosse bite de Benji au fond de sa chatte, qu’elle ne réfléchit pas un seul instant, à la situation plutôt immorale.

Elle se plaça à côté de sa mère et attendit impatiente la queue de Benji en elle. Il sortit sa queue de la chatte d’Anita, et s’enfonça d’une seule poussée au fond de celle de Zita.

Elle était tellement trempée, qu’il n’eut aucun mal à s’enfoncer jusqu’au fond. Zita poussa un cri de jouissance en sentant la formidable bite de Benji lui remplir le vagin.

Il ne perdit pas de temps et commença aussitôt à faire coulisser sa grosse queue dans la chatte de Zita, qui se mit à gémir de plaisir.

Anita revenait doucement à elle, après son orgasme, elle sentait comme un manque dans sa chatte, elle regardait sa fille à côté d’elle en train de se faire défoncer comme elle juste avant.

Et d’un seul coup, elle sentit des doigts prendre possession de sa chatte, elle tourna la tête vers ses fesses et vit que Benji lui fouillait la chatte en défonçant celle de sa fille.

Elle était prise dans un tourbillon de plaisir, voir sa fille à côté d’elle en train de se faire baiser comme elle venait d’être baiser par cette énorme bite, ne la dérangea pas le moins du monde.

Elle la regardait jouir, tout en jouissant elle-même avec les doigts de Benji, elle trouvait sa fille très belle quand elle se faisait baiser.

Benji, en voyant le regard d’Anita sur sa fille, eut une nouvelle idée totalement dépravée, il dit à Anita en lui mettant une claque sur les fesses :

–    Allez, salope, roule une pelle à ta fille, je suis sûr que tu en meurs d’envie.

Anita fut troublée par la proposition, étrangement elle sentait en elle l’envie d’embrasser passionnément sa propre fille.

Sans que Benji ai besoin de lui répéter, elle s’approcha de la bouche de Zita et colla ses lèvres à celles de sa fille, elle glissa sa langue dans sa bouche, et leurs langues se mirent à tourbillonner passionnément.

Zita prenait un pied incroyable avec la grosse bite de Benji qui lui ramonait le vagin, elle gémissait comme une folle, elle fut surprise de sentir la bouche de sa mère se poser sur la sienne.

Elle sentit la langue de sa mère s’enfoncer dans sa bouche, et presque pas automatisme, elle enfonça la sienne dans celle de sa mère. Quand leurs langues se mirent à s’enrouler, Zita s’abandonna complètement, et sentit monter en elle, un orgasme ravageur.

Elle sentit son vagin se contracter sur la grosse queue de Benji, son corps se mit à trembler de partout, jamais elle n’avait ressenti une telle sensation de bonheur.

Elle finit par s’écrouler sur la table, en sentant la langue de sa mère se glisser dans son dos et aller lui lécher le cul.

Anita avait senti sa fille avoir un orgasme, et elle avait abandonné sa bouche pour descendre sa langue jusqu’à son cul, elle espérait récupérer le sperme de Benji, quand il sortirait sa queue de la chatte de sa fille.

Benji avait également senti la vagin de Zita se contracter, et il commençait à avoir une certaine expérience pour savoir qu’elle venait de jouir, comme à chaque fois qu’il sentait un vagin se contracter sur sa queue, il sentait son sperme remonter dans sa bite, et même si la quantité était moindre que ses éjaculations de la matinée, il envoya, tout de même, une bonne dose de sperme dans la chatte de Zita.

Il avait vu Anita descendre vers les fesses de sa fille, et il comprit rapidement ce qu’elle attendait, en la voyant, bouche ouverte juste au-dessus de sa queue, il ne la fit pas attendre longtemps et sortit de la chatte de Zita pour enfoncer sa queue couverte de sperme dans la bouche de sa mère.

Anita lui nettoya la queue comme une affamée, elle lécha la moindre trace de sperme, elle alla jusqu’à lui pomper la queue pour récupérer le sperme qu’il restait dans sa bite.

Benji s’était rassis pour se faire pomper la queue par Anita, et en la voyant si obsédée par son sperme, il lui dit :

–    Si tu veux, il en reste dans la chatte de ta fille.

Anita, tout en continuant de pomper la queue de Benji, se tourna vers sa fille, et vit les filets de sperme qui s’écoulait de sa chatte.

Zita n’avait toujours pas bougé, encore sur son petit nuage de volupté.

Anita n’arrivait plus à contrôler ses pulsions depuis ce matin, elle s’était branlée toute la matinée, elle venait de se faire défoncer par le petit copain de sa fille, et elle était même allé jusqu’à rouler une pelle à sa propre fille, tout ça sans ressentir la moindre honte. Alors maintenant qu’elle avait gouté au sperme de Benji, elle n’hésita pas longtemps avant d’aller plonger sa langue dans la chatte de sa fille.

Elle lécha les filets de sperme sur les cuisses de Zita, puis elle remonta vers la chatte qui suintait le sperme, pour enfin enfoncé sa langue vorace dans la chatte de sa propre fille.

Elle récupérait tout le sperme qu’elle pouvait au fond de la chatte de Zita. Celle-ci avait senti quelqu’un en train de lui bouffer la chatte, elle était encore un peu confuse quand elle vit sa mère à genou derrière elle, la bouche plaquée contre sa chatte, elle sentait la langue de sa mère s’enfoncer dans son vagin.

Elle ne put réprimer ses sensations, et elle se mit à gémir de plaisir sous les coups de langue vicieux de sa mère.

Elle lui dit :

–    Ouiii, c’est bon ce que tu me fais, continue maman, bouffe moi la chatte.

Entendre sa fille l’encourager à lui bouffer la chatte, n’incommoda pas le moins du monde, Anita, qui continua son travail de récupération de sperme.

Quand elle eut finit, Zita se laissa glisser au sol, et vint rouler une pelle à sa mère, elles se partagèrent le sperme de Benji dans une pelle totalement incestueuse.

Benji les laissa finir leur partage, et leur dit :

–    Eh bien, vous êtes vraiment de sacrées salopes, la mère et la fille.

Elles étaient totalement nues, elles venaient de vivre une expérience incestueuse, et y avaient pris un plaisir incroyable, elles ne pouvaient pas revenir en arrière et dire que rien ne s’était passé.

Anita voulut s’excuser auprès de sa fille et lui dit :

–    Désolé ma chérie, je n’arrivais pas à me contrôler, je suis désolé de t’avoir entrainée là-dedans.

–    Oh mais tu ne m’as pas forcé, maman, j’ai pris énormément de plaisir, et je serais prête à recommencer, même si je trouvais ça tabou avant aujourd’hui, j’ai pris beaucoup de plaisir avec ta langue dans ma chatte.

–    Il ne faut rien dire à ton père et à ton frère, ça doit rester entre nous, ma puce, je ne suis pas sûr qu’ils accepteraient qu’on couche ensemble.

–    Pas de soucis, maman, je garderais ça pour moi.

Anita tourna le regard vers Benji et dit à sa fille :

–    Par contre, ma chérie, tu pourras me prêter ton petit copain de temps en temps, ça faisait longtemps que je n’avais pas autant joui.

–    Bien sûr, maman, Benji a déjà baisé avec une copine et sa prof ce matin, je ne peux l’empêcher de baiser qui il a envie.

–    Merci ma puce

–    Fais attention quand même, maman, faudrait pas que papa vous trouve en pleine baise.

–    Oui tu as raison, il risque de ne pas apprécier

Tout le monde se rhabilla et ils finirent rapidement de prendre leur déjeuner.

Anita roula une pelle baveuse à Benji avant qu’il ne retourne au lycée avec Zita, celui-ci en profita pour peloter les seins et le cul de sa belle-mère.

Anita lui dit :

–    A bientôt, mon bel amant.

Zita et Benji repartirent au lycée en discutant de cette expérience totalement immorale avec Anita.

–    C’était vraiment super ce midi avec ta mère, lui dit Benji.

–    Oui, même si c’est immorale qu’une fille et sa mère baise ensemble, j’ai adoré.

–    Vous êtes deux belles salopes, toutes les deux.

–    J’avoue, je ne pensais pas ma mère si chaude du cul.

–    Dès que tu es sorti, elle s’est pratiquement jeté sur moi, et tu commences à me connaitre, je ne dis pas non quand il faut baiser une salope en chaleur.

–    Oui, j’ai bien compris, et bizarrement ça m’a excité de te voir en train de la défoncer.

–    Comme ce matin avec Nathalie et Sophie

–    Oui j’aime bien te voir baiser d’autres filles, curieusement ça m’excite beaucoup

–    Ah mais si je peux te faire plaisir, dit Benji en riant.

–    Petit salop, je sens que tu vas te taper toutes mes copines.

–    Et je suis sûr qu’elles en meurent d’envie.

–    Peut-être bien, vu que je leur ai raconté en détail comment tu m’avais dépucelé.

–    Donc tu n’y vois pas d’inconvénient à ce que je dépucelle tes copines.

–    Non te gêne pas, mais si je préfèrerais être présente, ça me plairait bien de les voir se faire dépuceler

Contrairement au matin, Zita ne voyait plus aucun inconvénient à ce que Benji baise avec d’autres filles, cela l’excitait même de le voir défoncer une salope en chaleur.

Alors quand ils arrivèrent au lycée, ils se demandèrent tous les deux, laquelle serait la prochaine à se faire dépuceler.

A suivre

Related posts

Une épouse presque fidèle – Chapitre 3

historiesexe

Dolet – Chapitre 1

historiesexe

Epilation torride – Chapitre 2

historiesexe

Laissez un commentaire

Ce site Web utilise des cookies pour améliorer votre expérience. Nous supposerons que cela vous convient, mais vous pouvez vous désinscrire si vous le souhaitez. J'accepte .