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Un weekend bien chargé à décharger… – Chapitre 1




Il y a quelques années, mon ex-belle-sur (j’avais épousé sa sur et divorcé entre-temps) m’a demandé de l’aider pour repeindre sa petite maison. Son mec s’était cassé quelques semaines plus tôt avec la plupart des meubles et elle en profitait pour "changer d’air". Elle m’avait informé qu’une collègue de l’hôpital, elle était infirmière, serait aussi là pour donner un coup de main, et qu’elle ouvrirait une, voire, deux bouteilles de vin blanc pour nous récompenser…

Nous avons commencé vers 10h00. D’abord couvrir le sol, les meubles, ensuite préparer la peinture, et en avant. Elle avait mis une vieille salopette en jean et un tee-shirt s’arrêtant juste sous sa belle poitrine. J’avais toujours un peu flashé sur Belina, c’est son nom, pour les mêmes raisons que j’avais flashé sur sa sur : un beau corps, bien proportionné ; de beaux seins, pas monstrueux mais quand même un bon 95c ; un cul bien rond et ferme ; et surtout, le top pour moi, une merveilleuse peau d’ébène ! Mais bon, jusqu’il y a six mois c’était ma belle-sur et je n’avais jamais été jusqu’à tromper mon épouse avec sa propre sur. Mais maintenant, je la regardais d’un autre il…

Sa collègue était d’origine hollandaise et était son parfait opposé. Plus petite, plus pâle, des petits seins comme des mandarines, ou des oranges quand même, les yeux bleus, les cheveux blonds… Elle était alerte, pleine d’énergie, parlait avec un léger accent batave et m’avait accueilli avec un beau baiser sur la joue, très, très près des lèvres, et un joyeux "tu vas voir, on va bien s’amuser ensemble". Belina m’avait déjà parlé d’Aanja. Elle avait eu un sale accident de moto et était restée plusieurs mois dans le même département où d’ordinaire elle travaillait, traumatologie grave. Pendant ce temps, son mec avait baisé avec toutes ses copines à elle, sauf Bélina car il était trop raciste que pour imaginer mettre sa bite dans une chatte noire, et ensuite s’était fait la malle en emportant tout ce qui avait un peu de valeur. Je ne savais pas trop ce qu’elle avait voulu dire par "s’amuser ensemble" mais je comprenais quand même que je me trouvais avec deux belles nanas qui avaient peut-être bien besoin d’un mec pour oublier leurs récentes déconvenues.

Mais laquelle choisir… Je n’imaginais pas à ce moment qu’elles avaient déjà choisi pour moi.

Nous nous sommes mis au travail. Je portais un vieux bermuda en toile et un t-shirt rouge qui avait vu des meilleurs jours et Aanja portait un tout petit débardeur sans soutif pour emprisonner ses petites pommes et un short en jean très court qui dégageait bien le (très) haut de ses cuisses. On travaillait bien et vite. Petite pause sandwich vers 1300, avec une canette de bière et on reprend nos brosses et rouleaux. Enfin vers 16h30, Belina a décrété que nous en avions fait assez et que, comme promis, elle allait ouvrir une bonne bouteille de vin blanc. Nous étions tous les trois un peu fatigués (et sales) et nous nous sommes assis sur le premier siège venu.

J’ai pris place à la table sur une vieille chaise en bois car mon dos ne supportait pas un fauteuil trop mou. Ce n’était pas le cas d’Aanja qui s’était affalée dans le vieux canapé en velours. Elle était à moitié couchée et avait ramené ses jambes contre le fauteuil. Assis dans l’angle en face d’elle, je ne perdais rien du spectacle qui s’offre à moi…! Elle devait faire des économies sur les sous-vets car l’entrejambe de son short était remonté bien haut, quasi entre les lèvres de sa chatte. Je la zieutais avec plaisir quoique j’y voyais un peu trop de poils pour mon goût. Je n’aime pas les poils, surtout dans la bouche ou entre les dents… J’ai fait mine de plonger mon nez dans mon verre de vin, mais je matais un bon coup. Elle a semblé remarquer mon petit manège et, les yeux fixés sur moi, elle a tiré un peu sur le tissu mais, volontairement ou non, pas trop.

Je ne savais pas si je devais y voir un message ou juste une petite provoc, mais en attendant ma bite avait pris ses aises dans mon bermuda qui ne cachait pas grand-chose. J’ai donc choisi ce moment pour demander à Belina l’autorisation de prendre une douche afin d’être un peu plus présentable. Permission qu’elle m’accorda avec un large sourire, suggérant même que je n’oublie aucune partie de mon corps.

Une fois dans la salle de bain, j’ai rapidement enlevé mes vêtements. Comme notre amie hollandaise, je faisais souvent l’impasse sur les sous-vêtements. En fait, je passais la majeure partie de mon temps à la maison à poil. Ma queue en a profité pour pointer vers le plafond. Je me rase très régulièrement, il n’y a pas un paquet de poils pour cacher mon trois-pièces. J’ai pris le pommeau de douche et ouvert l’eau, et je me suis penché pour ajuster la température quand j’ai entendu la porte s’ouvrir derrière moi. J’ai tourné la tête, m’attendant à voir mon ex-belle-sur me tendre une serviette, et j’ai été surpris de trouver cette coquine d’Aanja. Elle avait déjà commencé à ôter ses deux "vêtements" pour se retrouver à poil devant moi. "Poils" était d’ailleurs le mot, car son entrejambe n’avait pas dû voir une tondeuse depuis quelque temps. Elle a croisé mon regard et m’a lancé "Je sais ! J’ai vu ta petite grimace tout à l’heure. Tu n’aimes pas les cons poilus…". J’ai tenté de répondre quelque chose mais elle ne m’en a pas laissé le temps.

Elle a pris un jetable sur la tablette du lavabo et m’a lancé, les yeux fixés sur ma queue : "je pense que tu es bien placé pour t’en occuper". Et elle est rentrée dans la baignoire…

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