Comment expliquer comment elles se sont retrouvées là, allongées sur le ventre côté à côte, les jambes levées en l’air et la tête tournée l’une vers l’autre à rigoler ensemble. Peu importe au fond, elles sont là, la brune Elsa et Laurène la blonde, amies depuis quelques années déjà.
Entre elles c’est devenu plus que de la complicité ambiguë et aujourd’hui, comme ce fut déjà le cas par le passé, une étrange sensation de bien-être, de désir et d’envie de transgression les envahit toutes les deux. Le regard d’Elsa est explicite et il n’en faut pas plus à Laurène pour comprendre que les envies sont partagées et les frissons commencent à se diffuser dans son corps.
Sur le ventre, les genoux pliés, leurs jambes vers le plafond battaient aux rythme de leurs paroles et de leurs rires, comme pour s’inviter mutuellement à en savoir plus à la manière d’une parade amoureuse.
Leurs jambes étaient parées de collants noir, chic, qu’on imagine portés avec de beaux Louboutin impeccablement cirés, qu’elles avaient laissé pour l’occasion au pied du lit sur lequel elles étaient à plat ventre.
Bientôt leurs pieds nus commençaient à se caresser lentement. Derrière son collant noir opaque on entrevoyait les orteils de Laurène au vernis rouge écarlate impeccable qui commençait à caresser la plante des pieds d’Elsa, à qui chaque passage déclenchait des vibrations imperceptibles dans le corps mais qui participaient à une lente excitation qui montait et laissait deviner que quelque chose de fort allait se passer.
Leurs pieds en collant étaient maintenant entremêlés et se caressaient franchement. Leur regard était intense, fixe. Les rires laissaient lentement la place aux petits gémissements de plaisir, et leur lèvres ne tardaient plus à se rejoindre. D’abord timidement et légèrement, puis rapidement plus intensément et avec profondeur. Leurs langues se croisaient maintenant franchement et évoluaient mutuellement à l’intérieur de leur bouche avec passion …
Leurs langues tournaient maintenant sans discontinuer l’une contre l’autre. Laurène léchait méticuleusement la bouche de sa partenaire : le bord des lèvres, le plat de la langue, tous les contours les plus secrets. Cela procurait à Elsa une indicible sensation de douceur, l’incitant à continuer et à accentuer la vitesse et l’intensité des pression qu’elle exerçait avec les différentes parties de sa bouche.
Leurs pieds de nylon noir continuaient de s’entremêler et se caresser. D’abord doucement puis de plus en plus fort. Elsa portait une jupe rouge avec ses collants noir, un chemisier blanc laissait deviner en transparence un soutien-gorge à dentelles d’un ton foncée, tandis que Laurène était habillée d’une robe noire, courte et près du corps, mettant en valeur ses formes généreuses, pulpeuses qui n’ont rien à envier à quelque modèle de magasine que ce soit.
La chaleur commençait à se faire sentir, descendant du dos vers les reins, puis envahissant le ventre et les parties les plus intimes des deux amies. La culotte en dentelle blanche de Laurène était déjà très humide alors que le string délicat noir d’Elsa était lui aussi en train de se remplir doucement. La sève montait pour toutes les deux et la moiteur de leurs sous-vêtements était maintenant plus que perceptible.
La cyprine de Laurène commençait à dépasser des bords de son slip quand sa copine posa délicatement sa main à l’intérieur de sa cuisse droite. Elle sentit alors l’humidité de sa partenaire envahir son doux collant par capillarité, ce qui ne manquait pas de redoubler son excitation. La main d’Elsa entamait un va-et-vient lent et sensuel, la paume sur le flanc intérieur de la cuisse effectuant un balancier d’avant en arrière, entre l’aine et l’entrée des fesses, encore fermées et délicatement délimitées par sa culotte blanche qui n’en pouvait plus de contenir le liquide de plaisir que Laurène ne cessait d’expulser, de plus en plus libérée et décomplexée. Laurène laissa échapper un petit cri de plaisir, Elsa sourit en se mordillant la lèvre inférieure.
C’était parti, désormais le point de non retour était atteint et, elles le savaient toutes les deux, aucune d’entre elle ne lâcherait le morceau sans avoir atteint un plaisir olympien ! Cela démarrait terriblement bien ….
Elsa caressait maintenant Laurène de plus en plus fort. À chaque va-et-vient elle appuyait de plus en plus la tranche de sa main, de manière à ce que cette dernière se cale de maniere hasardeuse dans la fente de sa partenaire.
Cela commençait à perler dans l’entrecuisse de Laurène. Il n’en fallait pas moins pour décider Elsa à quitter provisoirement la bouche de sa chérie pour aller faire traîner sa langue dans cette zone humide que tous ses sens, et notamment l’odorat et le goût, appelaient irrésistiblement à visiter.
Elle approchait alors son visage des fesses de Laurène, allant et venant de haut en bas en appuyant sa joue contre le collant et la culotte qui, semblait-il, n’allaient plus rester longtemps en place. Elle finissait ainsi par descendre d’un geste ces deux sous vêtement qui lui laissaient découvrir le sexe humide de sa partenaire.
Laurène était naturelle et n’était pas du tout épilée. Ses poils noirs frisés couraient depuis le bas de son ventre jusqu’à son anus, s’éparpillant sur les côtés du maillot et à l’intérieur des fesses. Autour de son vagin ses poils étaient déjà très mouillés, on distinguait un filet humide qui permettait de localiser l’entrée de sa caverne secrète, qu’elle était bien décidée à ouvrir aujourd’hui.
Elsa n’hésita pas. Elle commença par lui lécher doucement les fesses, sur le côté, puis rapidement alla franchement à l’intérieur, et, du bout de la langue, lui assénait de subtiles léchouilles sur les bords et au centre de son anus poilu.
Plus elle humidifiait le cul de Laurène, plus cette dernière prenait du plaisir et laissait ses sphincters se détendre et ouvrir le trou de ses fesses. Elsa en profitait pour y glisser le bout de sa langue. Elles jouaient ainsi toutes les deux : Laurène ouvrait ses fesses pendant qu’Elsa y introduisait un bout de langue, puis le piège se refermait et serrait sa langue comme pour la coincer … Laurène criait de plus en plus fort…
Elsa continuait de laisser aller sa langue de haut en bas dans les fesses de Laurène. À genou, une main sur les fesses de sa partenaire, l’autre commençant à lui caresser son vagin naturel et de plus en plus dégoulinant.
Elle lui introduisait un doigt, puis deux, et les ressortait pour aller lui exciter son clitoris, rose et épais, dur comme jamais, qui sortait tel un pénis de petite taille mais d’une dimension largement supérieure à la moyenne. Chaque pression sur son organe de plaisir lui provoquait comme des décharges électriques qui entraînaient un petit mouvement assimilable à un réflexe.
Elle prenait ce gros clito entre son pouce et son index et le branlait, d’abord doucement, le décalottant de plus en plus loin et de plus en plus vite. Elle frottait le bout de son nez dessus comme elle n’avait plus assez de doigts tant elle les consacrait aux aux autres parties de son corps. Elle ne savait plus où donner de la tête tant elle était émerveillée et un peu déboussolée avec son visage fourré dans le joli cul poilu de sa copine qui ne cessait de la tremper.
Elsa décidait maintenant de descendre sa langue vers sa chatte excitée, mais contre toute attente ne s’attardait pas sur ce triangle d’or mais se dirigeait plutôt vers le bas, le long de sa cuisse toujours vêtue de ce chic collant noir qui laissait là encore apparaître au travers les poils non épilés de Laurène qui était résolument au naturel.
Elle laissait glisser sa langue le long de sa jambe, de la cuisse au mollet doux et ferme, pour arriver à ses pieds, bien décidée à débuter une séance de lèche qui, savait-elle, ravirait sa partenaire, connaissant ses penchants pour ce fétichisme, répandu mais tellement agréable et prompt à l’éveil des sens et du plaisir…
Elsa avait maintenant la tête au niveau des pieds de Laurène. Cette dernière allongeait ses jambes et se mettait à plat ventre pour attraper également les pieds de sa copine, elle aussi vêtue d’un collant noir opaque mais épilée de près contrairement à sa partenaire qui laissait pousser ses poils partout où ils voulaient bien pousser.
Les deux filles étaient maintenant dans la position du gémeau, se caressant les visages sur leurs pieds respectifs, tantôt sur les joues tantôt sur le nez, alternant les passages sur le coup de pied et sur la plante, pour ensuite recouvrir leurs visage entièrement de ces si beaux attributs féminins.
Laurène n’était pas farouche. Elle lançait le mouvement en sortant sa langue et en léchant vigoureusement la plante des pieds d’Elsa qui, médusée par le plaisir qu’elle ressentait, en oubliait qu’elle était chatouilleuse. La langue d’Elsa se promenait depuis le talon jusqu’aux orteils, parcourant de haut en bas des bandes avec sa langue comme si elle ne voulait pas laisser un centimètre carré de collant non recouvert de sa salive.
Léchant de plus en plus vite comme une affamée, elle se mettait, à la plus grande surprise de Laurène, à engloutir le gros orteil de sa compagne et commençait à le sucer avec passion, comme une glace qu’elle ne pourrait laisser une seconde sans coup de langue de peur de la voir fondre.
Le collant était toujours là et, tel un préservatif qui donnerait un goût fade à une fellation, devenait gênant pour Elsa qui voulait sentir et goûter le plus authentique de la saveur de son amie.
Ainsi, bien qu’il aportât une délicate et douce texture aux pieds de Laurène, elle décidait de le lui enlever avec ses deux mains d’un geste rapide pour la laisser en sous vêtements et retourner rapidement goûter ses orteils nus en prenant soin de parcourir le trajet de ses fesses à ses pieds dans quitter sa peau en longeant ses hanches puis ses longues jambes délicates et douces …
Elles étaient toujours tête-bêche à se caresser et lécher les pieds. Laurène toujours en collant alors qu’Elsa était maintenant en tanga blanc, l’arrière rentrant tel un string dans ses fesses fermes et rebondies de sportive. Ses longues jambes, douces et luisantes étaient impeccablement rasées. Laurène lui suçait un à un ses orteils aux ongles vernis, laissant trainer sa langue entre chacun d’eux comme pour ne pas manquer de lui donner du plaisir au travers des ses extrémités délicieuses.
De sa main droite elle caressait les fesses d’Elsa, en passant adroitement ses doigts sous son tanga pour arriver au bord de l’orifice suprême qu’elle commençait à titiller avec son index et son majeur. A la différence de sa partenaire "nature", ce dernier était imberbe, tout comme ses jambes et sa chatte qui mouillait elle aussi déjà beaucoup. Elsa en profitait pour descendre ses doigts et ramener un peu de cette délicieuse substance, qui dégoulinait sans discontinuer, sur les bords de son anus afin de le lubrifier comme pour le préparer à une ouverture certaine.
Une fois bien humide, elle introduisait doucement son index dans le cul d’Elsa qui poussait de petits cris et redoublait de vigueur à lui lécher les pieds et lui mordiller ses orteils toujours vêtus de ce collant noir si doux. Ne voulant pas laisser son amie en reste, elle lui passait également la main sous le collant puis dans sa culotte, et profitait de cette chatte poilue si douce et si trempées, et de ce clito si dur et et si gros… elle pensait d’ailleurs qu’elle n’en avait jamais vu de si gros et se disait qu’elle devait en profiter à fond, une si belle pièce ne se présente pas tous les jours devant soi !
Les pieds toujours dans la bouche et les mains sur le postérieur, Laurène avait maintenant son doigt entièrement inséré dans l’anus d’Elsa et entamait un va-et-vient excitant qui ne cessait de les faire mouiller toutes les deux. Cela débordait de partout : les sous-vêtements, les mains, les poils, les draps était maintenant très humides …
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