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Jessica & David – Chapitre 3




J’étais dans sa chambre. Mouais bon rien d’exceptionnel jusque là, une chambre de mec quoi. Je regardais un peu partout. Puis je repensais à cette serviette. Inconsciemment je voulais mettre la main dessus. Je cherchais un peu, je tomba sur la corbeille à linge, trop facile. Je l’ouvris puis je tomba sur elle.

Une serviette bleue ciel ordinaire. Elle était chiffonné, juste en boule, plié de sorte à vouloir gardé le liquide. J’avais envie de… je ne sais pas quoi en faite.

Je l’ouvris mordant ma langue, le cur qui bat. "Ouaou…", je tomba dessus. En ouvrant la serviette il y avait des petits coulis de sperme, puis des fils de sperme en plus en l’ouvrant en grand.

Il semblait être bien gluant et pas trop liquide. Il était évidement encore chaud. Il y en avait pas des masses non plus cependant, la plupart du sperme de mon frère a du être absorbé par la serviette me dis-je. Peu fière je voulais voir le tout après l’éjaculation moi. Bref, j’avais envie de sentir.

J’avais le cur qui battais fort. J’approcha mon visage et senti alors. C’était peu écurant mais plutôt excitant. C’était trop énorme… Ça me donna des frissons, puis m’excita en moins de deux. Je manquais de léché quand je hocha la tête.

Pfff n’importe quoi, faut vraiment que j’arrête là.

Vite je replaça la serviette en boule à sa place dans la corbeille et marcha vite dans ma chambre. Ni vu, ni connu.

A ce moment là je réalisais contre toute attente et avec grand regret que tout ça m’excitais énormément. J’avais du mal à me dire que oui, c’était ainsi.

Cette fois-ci je voulais vraiment en parlé à mon frère. Dans ma chambre face à la glace. Je me regardais, j’avais un peu honte. Mais c’était vraiment trop bon. Je pris mes seins en main puis soupira et me dis "j’ai trop envie". J’appuyais sur mes seins, j’avais envie qu’on me les touche bien comme il faut.

Je commençais à devenir folle. J’avais commencé à mouillée lors du rendez-vous avec cette conne de foutue serviette bleue. C’est trop étonnant mais trop excitant, "Merde!".

Puis sans cherché à comprendre avant de perdre la tête, je me fis une raison. Tan pis, on verra bien. Cette fois ci je pensais à mon frère. Je revoyais la scène, quand il se masturbait. David…

Tu m’auras bien donné envie. Pas juste de me masturber seule. Mais tu m’auras donné envie de me faire prendre par toi aujourd’hui. Tu m’auras donné envie de toi. Je devenais folle, je fantasmais sur mon frère. Tout se mélangeais dans ma tête.

Puis j’avais envie de lui. Envie de sa bite. Envie qu’il me lèche ma chatte. Envie qu’il me pelote les seins. Envie qu’il me baise. J’imaginais une scène de lui et moi. Je m’imaginais en levrette, David en train de me défoncer. Un truc de fou, ça m’excitais intensément. Je crois que j’en pouvais plus. Ce cur qui battait. Mon intimité qui devenait humide à chaque pensés. Ça devenait trop pervers mais si bon. Il en faisait autant le salaud je me dis.

Je me changea vite fait. Je me coiffa vite fait et surtout pris le soin de me maquillé légèrement. Je garda ma culotte mouillée, je ne sais pas pourquoi sur le coup. C’était désagréable mais excitant une fois de plus pour pas changé, zut.

J’enfila une mini jupe boule noire. Puis un top noir rentré dans celle-ci, mettant pas trop ma poitrine en valeur. Je restais en claquette. J’hésita puis… Non je refusais de mettre un soutien-gorge. Qu’est ce que c’était bon. De savoir qu’un homme fantasmait sur moi. Ça me rendait "chaude". J’y pouvais plus rien, c’était trop tard. Malheureusement.

Sur de moi je sortis de ma chambre. J’avanca encore un peu. Puis je croisa mon frère torse nu, avec une serviette accrochée autour de son bassin, ben voyons. Je voulais lui parlé une fois habillé moi. Plutôt gênée je lui souris timidement. Il me dis : "tu es belle". Il avait pas l’air de vouloir s’habillé. Il se mis sur le canapé. Je le suivi puis me mise en face, sur un des petit fauteuil. Je savais pas quoi dire. Puis il dit : "ahhhh ça fais du bien une douche, tu devrais en faire une". J’arrivais pas lui avoué qu’en faite mon intimité était prête à se faire pénétré, ainsi toute humide.

Je regardais ailleurs. Puis je lui dis "quand tu…". "Quand tu te masturbe tu penses à moi?". Il m’affirma que oui. Que quand il pouvait il me chipé mes culottes, pour juste les sentir, qu’il aurait aimé en avoir une de moi, pour se branlé avec. Ça me blessa pas. Au contraire.

En rigolant il me sorti : "Et toi tu te masturbe en pensant à moi?". Je luis dis : "Oh nonnn!…en faite je me "hum hum" rarement" dis-je très timidement. "Fan… fantasmé sur toi, ça ne m’es jamais venu à l’esprit en fait". Je me dis que les mecs étaient vraiment des pervers quand même. Il me parla très naturellement. Il y pouvait rien je pense. Je pensais pas être aussi attirante. Ou alors il était en manque, ou il voulait découvrir, me découvrir.

On continua la discussion. Du moins il continua. "J’aime me masturbé en pensant à toi" dit-il. Trop gêné je disais rien. Juste "Ah bon". "Mais tu me mattes alors à la maison" dis-je. J’y pensais et ça me vexé. "Non" affirma t-il. L’envie disparaît plus ou moins quand je te vois. J’étais plus ou moins rassuré. J’engagea la conversation.

"Tu… tu te fais plaisir en regardant quoi en faite?" dis-je. "Euh et bien en matant des vidéos porno" dit-il. "Ah… euh… c’est tout?".

"Et bien à côté de la fenêtre de mon lecteur vidéo je met toujours une photo de toi, ta tête" dit-il tout gêné.

D’une je me demandais ou il a pu trouvé ma photo portrait. Deux, quand il se touchait, c’était surement à moi que s’adressais ses propos obscènes et crus, à travers ma photo sur l’écran. La vache… ça me faisait bizarre tiens.

Je disais plus rien. Puis un blanc, on disait plus rien.

Puis toute timide je lui avoua pour la serviette. Il riait. Il me dis qu’il y avait pas de mal. Puis sans cherché à comprendre on continuait maintenant plus loin la discussion.

Il me sortis: "Jessica, as tu envie de faire l’amour, avec moi?". Et là sans fuir, ni fuir du regard, je lui souris et sorti "Et bien… en fait je crois que oui". Il regarda vers ses cuisses et sortit : "tu me fais beaucoup d’effet, regarde la bosse sous ma serviette".

Toujours assise, en effet je vis une bosse imposante à travers la serviette. Il n’imaginais pas l’effet qu’il me faisait, je mouillais beaucoup de mon côté. Ça devenait dur de le cacher. Il m’avoua que quand il fantasmait sur moi, il imaginait beaucoup de trucs, il pouvait alors sortir de son sexe des fils de sperme, rien qu’en pensant à moi, à ce qu’on pouvait faire.

Que fantasmé ainsi une bonne heure en pensant à moi, quand il éjaculait c’était super intense. Je répondis toujours par "Oui" ou "Ok". C’est lui qui était le maître à bord. Puis il dit en essayant de me rassuré: "approche toi Jessica". Je me leva sans hésité, une goutte commençait à coulé de mon entrejambe. Je dis en marmonnant : "putain". Il répondit à son tour : "Quoi?"… Je dis "non rien".

"Tu es timide Jessica, du moins tu sembles être gêné, je pense que c’est normal, mais je veux pas te forcer, mais je sens que tu as quand même envie, je me trompe?".

Je répondis cette fois fort en souriant : "Oui, tu devines tout".

Puis j’étais assise à côté de lui, il se rapprocha. Nos cuisses se sont collé. Il me chuchota à l’oreille : "J’ai trop envie de toi Jess". Ça me fis des frissons, mon corps tremblait un peu, j’avais le cur qui battait fort. Je me mordais la lèvre puis ferma les yeux et chuchota : "J’ai… j’ai… j’ai envie de toi".

Il commença à posé sa main sur ma cuisse.

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