Ce jour-là, ma famille sétait réunie à la maison pour fêter je ne sais plus quel évènement. On ne se marchait même plus sur les pieds.Ca et le bruit des conversations, surtout lorsque lalcool eut le temps de faire son effet, me conduisit à me replier vers ma retraite habituelle, en loccurrence ma chambre.
Il faut dire que la vue de mes charmantes cousines dans leurs habits dété avait provoqué chez moi une montée de sève difficile à contrôler. Histoire de faire baisser la tension, javais improvisé une petite branlette solitaire devant lordi, avec au programme un film porno bien crapoteux pour rester dans lambiance.
Pour ne pas ameuter la maisonnée, je branchai le casque audio et passai le casque sur mes oreilles. De toute manière, vu le boucan venu den bas, mes arrières étaient couverts. Mais sait-on jamais.
Une fois installé, je déboutonnai mon pantalon et commençai une branlette en règle. Très vite, jarrivais à un degré dexcitation suffisant pour exhiber un membre de dimensions tout à fait honorables. Je mimaginais mes cousines dont je nétais séparé que par une mince dalle recouverte de parquet. Savoir que ces filles étaient si proches me rendait encore plus excité.
Emporté dans le tourbillon de mes fantasmes et les yeux fixés sur lécran où une brune pulpeuse se livrait à une fellation goulue sur un gars particulièrement bien monté, jen oubliais de surveiller mon environnement immédiat.
A un moment, jéprouvai des picotements dans la nuque et me retournai machinalement.
Mes cousines Florence et Noémie se trouvaient derrière moi, pétrifiées et bouches bée. Les deux surs se tenaient immobiles, sans exprimer autre chose que de la stupeur. Je sentais mon visage devenir brûlant tandis quun voile sabaissait devant moi, floutant les contours en même temps que mon esprit sobscurcissait.
Depuis combien de temps étaient-elles ici ?
Florence fut la première à réagir.
Si tu dois regarder des films de cul pour bander, cest que tes un pauvre naze.Ca va au lycée et ça sexcite comme un gamin devant des vidéos. Tu as vu ça Noémie ?
La douce Noémie ne savait pas quelle contenance prendre. Dun naturel plus calme et réservé que sa sur, elle se contentait dassister à la scène, curieuse de voir la suite.
Cette Florence était vraiment une allumeuse de première. Son beau visage, ses longs cheveux chatoyants et son corps mince et souple sculpté par la gymnastique en faisaient baver plus dun, dont moi. En plus, la salope enchaînait les tenues les plus provocantes pour aguicher tout le monde. Elle ne faisait pas exception à la règle aujourdhui avec sa mini-jupe, son chemisier vaporeux et ses chaussures vernies à talons.
Le rouge aux joues, je tentai de me réajuster quand Florence arrêta mon geste.
Tchhhht, pas de ça avec nous, cher cousin. Maintenant, cest nous qui allons prendre soin de cette pauvre chose qui te pend entre les jambes. Vu ?
Trop estomaqué pour répondre, je laissais Florence me manipuler la bite à sa convenance. Tandis quelle me branlait dune main, elle me tâtait les couilles de lautre, malaxant et faisant rouler les boules entre ses doigts agiles.
Le voilà qui reprend forme. Tu vas bientôt bander mon chou.
Elle me branla jusquà ce quelle soit satisfaite du résultat. Florence engouffrai alors mon gland avec gourmandise dans sa bouche de salope.
Humm ! Jai toujours aimé ce genre de friandise. Une bonne glace à deux boules bien parfumée. Et après, je vais te bouffer le cornet, sale cochon.
La pipe baveuse et bruyante se poursuivait avec vigueur. Je me laissais tomber dans une demi-torpeur, la bite dans la bouche de ma suceuse de cousine et mes couilles manipulées par ses mains avides. A croire quelle avait été sevrée de quéquètte jusquà maintenant tant elle manifestait davidité à me pomper à fond. Les gorges profondes alternaient avec les succions de mon gland à une cadence digne dune machine.
Bien sûr, je ne résistais pas longtemps et finis par expulser mon spermatos au fond de sa gorge. La pompeuse de première neût même pas le temps de sapercevoir de ce qui lui arrivait quelle se retrouvait avec le contenu de mes couilles dans son estomac.
« Et un déjeuner bien chaud pour mademoiselle. Peut-être y a-t-il autant de protéines dans le sperme que ce que javais lu dans un article sur internet. Si cest le cas, en voilà une qui naura pas besoin de manger son steak à midi ».
Bien sûr, je gardais pour moi ces pensées lubriques. La belle Florence étant assez caractérielle pour me mettre sa main en pleine poire.
La suçeuse retira de sa bouche mon membre luisant dun mélange de salive et de sperme avant de sadresser à Noémie :
Pas mal. Il bande ferme et sa production est bien savoureuse. Tu devrais goûter toi aussi.
Noémie avança une main timide et sempara de mon membre.
« Dire que je vais me faire pomper par Noémie maintenant. La séance denfer que je me paye ».
La jeune fille prude éprouva un dégoût visible au contact du liquide qui lui souillait la main. La jolie brune aux yeux clairs et à la peau laiteuse imita néanmoins sa sur et se colla mon membre dans la bouche. Elle travailla timidement des lèvres et de la langue puis elle entreprit de me nettoyer lengin comme une salope habituée à ce genre de gratification. La métamorphose était trop radicale pour être crédible. Elle cachait bien son jeu sous ses airs de jeune fille bien sage.
Je sentais bien lélasticité de ses joues et le mouvement enveloppant de sa langue. Ma bite avait déjà reprit toute sa vigueur sous la pipe denfer que cette goulue me prodiguait. Elle arrivait à garder son ravissant visage totalement impénétrable. Je mamusais à compter les taches de son qui agrémentaient son visage ça et là puis lui enfonçai mon épieu jusquà la luette, la faisant larmoyer. Ses doigts me pressuraient les couilles, comme pour en extraire la liqueur au plus vite. Sous laction de la bouche et des doigts de ma cousine, je finis par envoyer la sauce, gratifiant la belle dune giclée de nectar quelle reçut en bonne partie dans le gosier. Elle recracha le reste, lair contrarié que je ne laie pas prévenu que jallais gicler.
Mes cousines mavaient mis complètement à sec quand lheure de rejoindre la petite famille arriva. Nous descendîmes au rez-de -chaussée après nous être réajustés.
Après cette agréable expérience, jespérais bien me les farcir sans tarder ces deux salopes de cousines.