Lhistoire qui suit sest terminée il y a un peu plus de deux mois au moment où je commence à écrire ces lignes. Ce fut une aventure aussi inattendue que passionnante et dautant plus extraordinaire que rien ne me destinait à vivre ces moments.
Moi cest Maxime, jeune homme de 28 ans, aujourdhui 30, tout à fait ordinaire du haut de mes 1.75m et 68 kg. Yeux verts et cheveux châtains, on ne peut pas dire que je sois un beau gosse, je suis un mec ordinaire qui se fond dans la masse. Je suis plutôt indépendant et solitaire, cest pour cela que toujours célibataire, mes relations avec les femmes ne sont que temporaires et épisodiques. Je ne suis pas le Don Juan qui va sauter sur tout ce qui bouge. De nature timide, je pèse souvent le pour et le contre avant de faire le premier pas.
Professionnellement, je travaille pour une grosse boite dinformatique qui moblige à des déplacements fréquents. Je suis au contact constant des clients pour la mise en place de logiciels. Dans ma branche, le public avec lequel je travaille est surtout féminin. Mes missions dépassent rarement une semaine consécutive et je change souvent de ville. Néanmoins je reviens régulièrement chez les mêmes clients. Ce boulot me va très bien dans le sens où je suis toujours au contact des gens, sans devoir faire des efforts de cohabitation prolongés.
Cest donc pour mon travail que je me rends en ce mois de Février à Lille. Cest la première fois que je me déplace chez ce client, après mettre présenté à laccueil, je monte à létage où lon mattend. Je frappe à la porte, on mouvre. Je fais alors la connaissance des deux femmes avec qui je vais travailler pour la semaine. Dun côté, Sophie, une quarantaine dannée et de lautre Magali. On passe la matinée à planifier notre semaine et à définir notre programme. Ces deux femmes savèrent être super agréable. Cette demijournée se termine dans une très bonne ambiance. Après le repas, où jai déjeuné seul, mes nouvelles collègues rentrant manger chez elles, on se retrouve à 14h pour commencer notre collaboration. Une complicité sest très vite installée entre nous. Le soir venu, je rentre à mon hôtel proche de la gare Lille Europe. Comme la plupart des soirs, seul, je fais ma petite branlette traditionnelle. Mon imaginaire se tourne alors très vite sur Magali.
Magali, 36 ans, est un jolie bout de femme. Autour du mètre soixante-dix, brune, les cheveux aux épaules, une poitrine parfaitement proportionnée avec son corps fluet, et surtout un magnifique petit cul. Je nai pu mempêcher tout au long de la journée, de jeter des petits regards fuguasses sur son chemisier qui laissait deviner la naissance de sa poitrine. Au fil de la journée, jai glané des informations sur elle. Elle est mère de 2 enfants de 8 et 5 ans, et mariée depuis presque 10 ans. Elle vit à Lille depuis toujours. Magali à un caractère que japprécie énormément, plein dhumour, ne se prenant pas au sérieux, mais très compétente. Qui plus est, elle est très tactile, ce qui pour le coup nest pas du tout mon cas.
Cest donc sur la vision de cette femme en train de me faire une pipe que je fini ma branlette en éjaculant. Rien à ce moment ne peut laisser présager les deux années qui vont suivre.
La semaine se poursuit dans une ambiance toujours aussi décontractée. Je partage désormais mes repas du midi avec Magali et Sophie. Le jeudi, Sophie à une obligation et on se retrouve donc seul avec Magali pour partager le déjeuner. On parle de tout et de rien, dévoilant un peu nos vies privées.
Chose curieuse, ou pas, me direz-vous pour un homme, je ne peux mempêcher de penser au sexe pendant ce repas. Mon regard est envoûté par sa poitrine, et mon sexe lui non plus ny est pas insensible. Je fini de manger avec une gaule terrible et je dois me concentrer au café pour penser à autre chose et faire disparaître cette érection avant de me lever. Je suis dautant plus troublé, quen général je suis attiré par les filles plus jeunes que moi. Du haut de mes 28 ans, je considère toutes les femmes de plus de trente ans comme des vieilles. Je nai dailleurs jamais eu de relation avec des femmes plus âgées.
Cette semaine se termine avec le même plaisir, et cest avec un pincement au cur que je quitte Lille et mes deux nouvelles collègues avec qui je me suis si bien entendu.
Les semaines passent, et dans le cadre du projet avec ce client, me voilà de retour en mars. Je suis impatient dy retourner. Nos retrouvailles sont chaleureuses et en faisant la bise à Magali, il y a un je ne sais quoi entre nous, le courant passe vraiment. Ces yeux, comme les miens je suppose, brillent de plaisir. La journée passe à toute allure, Sophie sen va, puis juste avant de partir, Magali me propose de dîner ensemble le lendemain pour que je ne reste pas seul. Son mari et ses enfants sont chez les grands parents pour les vacances. Bien évidemment je mempresse daccepter.
Le soir venu, je me branle pour vider mon surplus démotion. Ma nuit est très agitée et mon cerveau carbure à fond. Je suis dans le même état que lors de mon premier rendez-vous ou ma première fois. Moi, qui suis pas forcement le plus courageux et entreprenant des hommes, me voilà à la veille de se qui ressemble à un rencart avec une femme mariée.
Même si des collègues mavaient raconté quils avaient régulièrement couché avec des femmes mariées. Que cétait loin dêtre un cas rare, je mettais ça sur le compte de la vantardise et des on dit. Les tromperies dans les couples sont pour moi de lexception, cest du moins, la vision sans doute naïve que javais. Lavenir donnera raison à mes collègues
Le jeudi soir arrive, la journée ayant été un calvaire pour moi, mon esprit narrivant pas à se concentrer plus de 10 minutes sans penser au sexe. On se rejoint au restaurant à 20h. Mon cur bas la chamade, ça doit faire des lustres que je nai pas été aussi stressé avant un rendez-vous, qui par ailleurs nest pas officiellement un rencard, mais un simple dîner entre deux collègues.
Elle est particulièrement en beauté ce soir là dans un jean slim qui met en valeur ses fines cuisses et son petit cul bien ferme. Son chemisier dun blanc virginal laisse deviner un délicat soutien-gorge enveloppant ses seins. Le repas est un vrai plaisir, on rigole, on plaisante, on se recherche, nos mains seffleurent à plusieurs reprises tout comme nos jambes. Un jeu de séduction sexerce entre nous.
La fin du repas approche, je suis partagé par deux sentiments, celui de rester sur cette soirée et de ne pas aller plus loin. Et ainsi préserver notre complicité et notre amitié. Ou dun autre côté, franchir le pas, et proposer à Magali daller plus loin, au risque de briser cette harmonie entre nous. Je ne sais pas ce que Magali veut, et je dois lavouer, jai toujours été nul pour décoder ce que les femmes veulent.
Sa main se pose sur la mienne. Je sors de mes réflexions. Son regard plonge dans le mien.
— Tu minvites ?
Mon cur accélère encore, oui cest possible, elle vient de faire le premier pas. Jai vraiment limpression dêtre un petit garçon inexpérimenté. La partie lâche de mon esprit mencourage à prendre mes jambes à mon coup. Pourquoi aller dans une aventure avec une femme mariée, plus âgée, avec des enfants et avec qui je vais être amené à travailler pendant encore plusieurs mois ? Mais dun autre côté, jai une envie terrible de cette femme séduisante, de franchir ce qui est dans mon esprit un interdit.
— Tu parles de ma chambre dhôtel ?
— Je parlais du resto, mais je ne suis pas contre ta proposition ! dit-elle en souriant.
Je deviens rouge pivoine. Je ne sais pas où me mettre. Ce qui nétait quune plaisanterie, ce transforme en proposition que je naurais jamais eu le courage de faire. Ça doit être la première fois, et cest même sûre, que je conclu au premier soir. Je suis complètement troublé.
On sort du restaurant et on se dirige vers mon hôtel. Je larrête un instant, et méclipse rapidement. Une pharmacie se trouvant pas loin, jen profite pour chercher des capotes, qui ne figurent pas dans mon kit de voyage habituel, le mâle qui je suis retrouve vite ses instincts. Je reviens vers elle, elle me souri dun air complice, on se prend la main, ou plus exactement, elle me prend la main et on continu notre route vers mon hôtel. Je retire la carte à la réception et on monte dans ma chambre.
Ce qui suit nest alors que douceur et plaisir. On néchangera quasiment pas un mot de cette fin de soirée.
On entre dans la chambre, la porte se ferme et claque. Magali pose ses affaires sur le bureau devant le miroir. Elle se regarde, glisse la main dans ses cheveux et se recoiffe. Moi, debout au bord du lit, je la contemple. Elle est magnifique. Je mapproche alors doucement, me plaçant derrière elle. Mes mains se posent sur ses hanches. Japproche ma tête de son coup et lambrasse au bas de celui-ci et remonte lentement avec de petits baisers vers son oreille. Son souffle saccélère, elle penche la tête à gauche pour me laisser toute liberté daction. Nos corps sont maintenant collés, mon bassin contre ses fesses. Elle ne peut ignorer mon érection phénoménale contre ses fesses.
Elle se retourne, face à face, les yeux dans les yeux, ses mains de chaque coté de mon visage, les miennes maintenant sur ses fesses, nous échangeons notre premier baiser. Nos langues sentre mêle, ce baiser est merveilleux, nous sommes en symbiose. Nous restons ainsi plusieurs minutes en parfaite harmonie.
Elle se recul, je suis encore dans un autre monde. Elle me pousse légèrement, je fais un pas en arrière. Ces mains descendent le long de mon torse puis sarrête sur la boucle de ma ceinture. Elle la défait, puis déboutonne mon jeans. Je prends le relais et lenlève complètement. Ces mains sont maintenant de chaque coté de mes hanches. Elle remonte alors mon pull, puis lenlève. Elle recommence avec mon t-shirt. Je suis maintenant torse nu, mon boxer déformé par une trique impressionnante. Elle pose délicatement sa main sur mon torse. La chaleur de cette main est excise. Elle me pousse de nouveau pour que je masseye sur le lit, puis enfin mallonge complètement, les jambes pendantes au bord du lit. Elle retire elle aussi son chemiser pour me laisser découvrir ce soutien-gorge sur lequel je fantasme depuis un moment. Mais elle en reste là.
Magali monte alors sur le lit et menjambe à califourchon, au dessus de ma taille. Ces fesses font pressions sur ma bite. Elle se penche et débute une série de baiser sur lensemble de mon torse. Du nombril, pour remonter sur mes tétons sur lesquelles elle sattarde longuement, pour enfin, finir vers mon cou. Ses lèvres caressent ensuite le lobe de mon oreille, son souffle chaud résonnant à lintérieur de celle-ci.
Elle redescend ensuite toujours avec ses petits baisers vers mon pubis, puis descend du lit, à genou entre mes jambes. Mon boxer est vite enlevé pour laisser surgir mon sexe qui ne demandait que ça. Ma nouvelle maîtresse approche sa tête de mes attributs. Sa langue commence par mes testicules, quelle fini par prendre en bouche, elle joue avec, cest divin. Sa langue remonte ensuite le long de ma bite, ses lèvres prennent la relève et enrobe mon gland. Commence alors la plus phénoménal des pipes quaucune femme ne mait jamais fait.
Une main sur mes testicules, lautre autour de mon membre, elle débute ses va et vient. Son rythme varie comme la profondeur, elle est vraiment experte. Je dois rassembler toutes les forces dont je dispose pour ne pas décharger trop vite et profiter au maximum de cette femme experte. Après une dizaine de minutes, je lui fais signe de se retirer. Dans un râle de bonheur, jéjacule plusieurs jets puissants de foutre sur mon ventre. Je suis, cest le cas de le dire, littéralement vidé. De sa main gauche elle létale sur lensemble des mes abdominaux. Je suis aux anges. Mon regard sur les femmes plus âgées change à ce moment là. Lexpérience est une chose irremplaçable !
Après un court passage à la salle de bain pour nettoyer ses mains, Magali se retire son pantalon et sallonge sur le dos, elle minvite du regard. On inverse nos positions. Je me positionne alors entre ses cuisses écartées. La petite culotte qui couvre son sexe laisse apparaître son excitation. Je lui retire et découvre enfin son intimité. Ses lèvres sont magnifiquement dessinées et Magali prend soin de sa petite chatte poilue mais bien taillée. Je constate ravi que sa fente est luisante de plaisir. Je mapproche de ses lèvres pour goûter son nectar et lui rendre le plaisir quelle vient de me procurer.
Jadore faire un cunni à mes conquêtes, je crois que je prends autant de plaisir à faire jouir une femme avec ma langue et mes doigts que de jouir moi même. Le visage de bonheur dune femme après un orgasme que lon a progressivement déclenché en jouant avec son clito et sa chatte est pour moi un véritable bonheur.
Cest ainsi que je commence mon entreprise. Je débute par jouer avec ses lèvres, ma langue sinfiltrant entre les deux, récoltant son jus délicieux, puis me servant de mes doigts pour écarter ses grandes lèvres, jinsère me langue plus profondément pour la ressortir, et ainsi de suite. Rapidement, le corps de Magali accompagne mes mouvements, sa respiration devenant plus saccader. Je poursuis ma mission en remontant vers son clito sur lequel ma langue sattarde de longues minutes. Mon index entre également dans la partie et pénètre son antre de plus en plus humide.
Les mouvements de son bassin sont maintenant plus amples pour accompagner mon cunni. Mon index est vite rejoins par mon majeur qui entreprennent une pénétration vigoureuse. Jalterne la cadence et la profondeur, alors que ma langue continue de soccuper de son bouton. Ma maîtresse, vient mencourager en appuyant sa main sur mon crane. Vingt minutes de se traitement sachève par un orgasme terrible. Son bassin pris de spasme donne des coups en avant, sa main ferme appuyant encore un peu plus fort sur ma tête. Son corps tout entier, dégoulinant de sueur est traversé par la jouissance, enfin tous ces muscles se relâchent. Elle pousse un râle rauque de plaisir. Fière de moi je remonte en embrassant son ventre de chair de poule et lembrasse langoureusement. Nous somme en parfaite fusion, alors que la soirée ne fait que commencer.
Magali, toujours allongée sur le lit, je décide de moccuper de cette paire de sein qui mobnubile tant depuis notre rencontre. Cest avec application que je caresse ses tétons encore tout dure, que je lèche par la suite. Les seins de Magali sont vraiment ceux de mes rêves, très fermes, ni trop gros, ni trop petit avec de jolie mamelons, je pourrai les admirer et jouer avec pendant des heures.
Mes caresses réveillent rapidement le feu en moi comme celui de ma compagne. Je glisse un oreiller sous ses fesses pour faire remonter son bassin, enfile une capote et me présente à genou devant se fente. Ses jambes sur mes épaules, je joue avec ma bite sur son clitoris, puis la glisse de haut en bas entre ses lèvres. Puis enfin, je la pénètre fougueusement, dun coup. Les 17cm de mon sexe la pénètrent dun coup. Un « umhh » séchappe de sa bouche. Immobile pendant quelques instant, je poursuis ma pénétration par de lent va et vient, les mains poser de chaque côté de son corps. Je sors mon membre, puis la pénètre de nouveau sèchement. Un nouveau « umhh » lui échappe. Ma pénétration saccélère alors progressivement. Ses mains sur mes fesses accompagnent les mouvements de mon bassin.
Je me retire, lui embrasse les seins. Elle me regarde, les yeux mimplorant de continuer. Je la relève et elle se met à quatre patte, en levrette, je reprends ma pénétration de plus en plus fort. Ses cris de plaisir suivent la cadence. Tout en la pénétrant, je lui fais relever le torse, nos corps sont maintenant collés. Ma main lui titillant le clitoris, tandis que lautre soccupe de ces seins. Le plaisir monte en moi comme en elle. Enfin dans un dernier coup de rein, séjacule, son vagin se crispe sur ma bite dans un orgasme simultané. On sécroule lun à coté de lautre sur le lit, épuisé.
Nous faisons encore une fois lamour cette nuit là. Au matin, heureux nous partons au travail. Notre productivité largement réduite par notre nuit de plaisir. Le vendredi soir je quitte Lille avec un sourire jusquaux oreilles.
Ce petit jeu dura encore six mois lors de mes visites à Lille. On se retrouve discrètement à mon hôtel pour partager les plaisirs de la chair. A chaque reprise, notre plaisir est renouvelé. Mais comme toutes mes relations précédentes, par peur de lengagement, et ici à plus forte raison, avec une femme mariée. Le besoin darrêter apparu et en ce mois de septembre, après une énième partie de jambes en lair.
— Magali, je crois quon doit arrêter.
— Oui tu as raison, je suis exténuée par cette nuit !
— Non je parle de nous deux
Un silence sinstalle.
— Tu te lasses de moi ?
— Non au contraire ! Mais ça nous mènera nul part, tu es mariée, tu as des enfants. On ne construira rien ensemble.
— Tu veux quoi, que je divorce ?
— Surtout pas !!!
— Je ne compte pas le faire. Mais jai besoin de toi, jaime les moments que lon passe ensemble. Cest le plaisir de linterdit. Mais jai besoin de ma petite vie rangée avec mon mari.
— Oui, mais on rentre dans une routine. Il est peut-être mieux darrêter tant que lon est encore dans le plaisir.
— Cest vrai, tu nas pas tord, on rentre dans une routine
Après quelques secondes de silence, elle reprend :
— Tu as raison, mon mari est très classique question sexe. Jai besoin de découvrir de nouvelles choses ! Et en tant que célibataire endurci, tu dois avoir essayé des choses variées ?
— Tu serais prête à expérimenter de nouvelles pratiques ?
— Tout pour te faire plaisir mon chéri. Tu seras mon professeur, dit-elle lair espiègle. Tu me feras découvrir tous les plaisirs de la chaire.
Elle me sourit, puis membrasse. Tout bête je ne sais quoi répondre. On refit de nouveau lamour avec une intensité encore plus forte.