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Les fantasmes de la notaire – Chapitre 3




L’un des hommes défit le soutien à Marie-Cécile ; elle ne portait désormais plus que sa robe bouchonnée sur ses reins et toute froissée, et ses chaussures à talons aiguilles.

Depuis un petit moment sa bouche alternait, passant d’une queue à l’autre, tous les demi-minutes, tandis que ses mains polissaient les autres vits bien bandés. On aurait dit qu’elle ne savait plus où donner de la tête.

Finalement, celui qui était encore debout et face à elle, dit avec une voix rauque, presque tremblante d’excitation :

« – J’en peux plus, faut que je la baise cette chienne ! »

Et il se baissa, attrapa les jambes de Marie-Cécile sous les genoux et la souleva tout en tirant son bassin près du bord du canapé.

« – Un moment, Messieurs » dit Stéphanie en maîtresse de cérémonie, d’une voix claire et solennelle, « je vais vous mettre un préservatif. Obligatoire. 

— Oui, mais alors fais vite… »

Mais Stéphanie, très au point, avait anticipé et déjà ouvert trois sachets ; elle déplia la capote sur la grosse queue du mec qui dévorait de ses yeux brillants la toute blanche Marie-Cécile qu’il s’apprêtait à empaler.

Stéphanie fut très émue en prenant cette grosse queue noire dans sa main pour la première fois, elle qui partageait le même fantasme que son amie, et elle sentit sa chatte se mettre à couler comme une fontaine.

D’autant que, si elle avait déjà vue sa copine nue, elle ne l’avait jamais vu se faire baiser. Et là, ça allait être du sport !

Le grand homme noir maintenait Marie-Cécile par les chevilles à hauteur de ses épaules : il lui écarta les cuisses. Une belle fente toute rose bâillait sous ses yeux, brillante de rosée, n’attendant que le chibre d’un mâle.

Il présenta son gland, força l’entrée étroite de la conque, puis prenant dans ses mains le bassin de la jeune femme, il la pénétra lentement avec son piston qui finit en butée tout au fond de la chatte.

Elle poussa un « AHHH… » aspiré de contentement et de surprise, tant la grosse queue la remplissait bien.

Il se mit à la besogner lentement à longs coups de reins souples, et elle poussait des petits cris de souris ; ainsi comblée, elle sentit que le plaisir montait en elle très vite.

Les deux autres, toujours à genoux sur le canapé, à ses côtés, lui malaxaient les seins sans douceur, surexcités et un peu décontenancés qu’elle ne s’occupât plus de leurs queues, trop concentrée qu’elle était sur son plaisir.

Sa chatte débordait de mouille sous les coups de boutoir de son baiseur, des « FLOC » « FLOC » emplissaient la pièce, créant une ambiance obscène et survoltée.

Ils ne furent pas longs à lui demander de reprendre leur queue en main, ce qu’elle fit, mais en étant peu efficace parce que tout son corps était agité violemment par les coups de bélier que lui assénait désormais rythmiquement son baiseur noir et vigoureux.

Lardée de coups de pine, elle poussait désormais des cris aigus et tout son corps était secoué par une jouissance continue. Difficile dans ces conditions de se concentrer sur son devoir, c’est-à-dire de branler efficacement les deux autres.

Stéphanie contemplait la scène, fascinée par le spectacle, et notamment par la vue de cette grosse queue noire qui allait et venait dans la petite chatte rose de son amie, des grosses mains ébène de l’homme refermées sur les tendres petites fesses blanches, et des petites mains féminines agitant les gros mandrins.

Elle avait une furieuse envie de mettre sa main dans sa culotte et de se faire jouir, mais elle se dit qu’elle devait se calmer car il fallait que les trois hommes se concentrent sur la petite brune qui était en train de se faire défoncer sur le sofa : c’était son amie, c’était son cadeau d’anniversaire et c’est pour cela qu’elle avait payé.

Elle se dit néanmoins qu’elle ne tiendrait pas très longtemps…

Le plus vieux des deux hommes empoigna la tête de Marie-Cécile et lui enfonça son phallus dans la bouche. Il était encore plus gros que celui qui allait et venait sans sa chatte, et elle manqua de suffoquer.

Il le retira pour lui éviter un haut-le-cœur ; elle profita d’une accalmie entre deux orgasmes qui se succédaient en cascade dans le bas de son ventre pour se mettre à téter comme il faut ce gland à qui elle faisait l’hommage de sa bouche.

Puis, elle dut tourner la tête de l’autre côté et gratifier l’autre de la même faveur.

Celui qui la trombinait finit par se retirer d’elle avant que la montée de son plaisir soit inexorable et il laissa Marie-Cécile aux deux autres. Ceux-ci manquèrent presque de se disputer pour être le premier des deux à la prendre.

Finalement, c’est le plus jeune qui attrapa la jeune femme, la souleva et la fit se placer à quatre pattes en travers du canapé L’autre, du coup, vint se placer à sa tête.

Le jeune Noir en se plaçant derrière elle fut ravi du spectacle qu’elle lui offrait :

« – Quel cul ! Quel beau cul ! » s’exclama-t-il en lui claquant son fessier avec force ce qui fit pousser à Marie-Cécile un violent cri de surprise. Deux empreintes de main apparurent immédiatement sur les fesses très blanches de la notaire.

« – Je vais te mettre, petite bourge, et je vais te défoncer comme tu n’as encore jamais été défoncée. Je vais te casser ton petit cul de Blanche ! »

Marie-Cécile craignit le pire, mais il modéra son ardeur sur des gestes de Stéphanie qui avait bien briefé les trois Noirs auparavant. Marie-Cécile devait prendre son pied, et si elle subissait une violence excessive, Stéphanie ne leur donnerait pas de prime. Mais le jeune homme était très excité, et un homme jeune au sommet de son excitation sexuelle, surtout s’il avait des habitudes brutales, était capable de tout.

Mais elle comptait également sur les recommandations que les deux autres lui avaient faits, et ils lui avaient juré qu’ils répondaient de lui.

Aussi, refermant ses mains sur les hanches proéminentes de la belle jeune femme, il prit son temps, et fit glisser son vit énorme sur la fente de sa jolie tirelire, d’avant en arrière, d’arrière en avant, et Marie-Cécile frissonna profondément, redoutant et désirant ardemment tout à la fois la pénétration qu’elle s’apprêtait à subir par ce jeune Noir athlétique et particulièrement bien membré.

Il finit par positionner le gland gonflé et tendu à craquer à l’orée toute ronde de la chatte, et il poussa lentement. Marie-Cécile eut l’impression d’être empalée par un pieu ! Heureusement, elle mouillait tant depuis le début de la soirée que le vit énorme s’enfonça en elle sans douleur.

Elle en eut le souffle coupé. Puis elle ne put réprimer un « OOOHHHH » tandis que la grosse queue n’en finissait plus de continuer sa course jusqu’à buter tout au fond de son bas-ventre. Sûr qu’il ne pouvait la rentrer complètement, pensa-t-elle à ce moment, et en effet, elle ne sentait pas le pubis du jeune homme arriver en contact contre ses fesses.

Il la saisit par les cheveux, la forçant à redresser un peu sa tête et lui demanda d’une voix rauque et vicelarde :

« – Alors, Madame la bourge, tu t’es déjà prise une queue comme ça ?!!!

— Ah non, comme celle-là, jamais !!

— Alors, c’est un bon une queue de Renoi, hein ?!

— Oh oui !

— T’aimes ça les grosses queues, hein, p’tite salope ?! Ça se voit… !

— Oh oui, j’aime… » répondait-elle, le souffle presque coupé parce que le gros chibre qui l’avait investie commençait à la pistonner, lui emplissant tout son bas-ventre, lui procurant une sensation inégalée, l’impression d’être vraiment prise, dominée, envahie…

La crudité des mots qu’il employait, la vulgarité un peu brutale avec laquelle il la traitait, même si cela la bousculait un peu, n’était pas pour lui déplaire.

Dans ses fantasmes les plus secrets, dans les scènes qu’elle imaginait quand elle était seule, tard le soir au fond de son lit, quand un désir inassouvi la tenaillait parce qu’elle n’avait pas eu sa dose de sexe, elle servait d’objet sexuel à trois ou quatre racailles noires, le bonnet ou la cagoule sur la tête, qui la faisaient tourner entre eux comme ils faisaient de leur joint, et elle était comme une poupée de chiffon, passant de main en main, ballotée, secouée sous les coups de pine qu’ils lui faisaient subir, autant dans sa bouche que dans sa chatte. Quant à son anus, il était dilaté, un trou béant, son petit cul défoncé par ces brutes à tour de rôle.

C’est à tout ceci qu’elle repensait à ce moment-là, la sensation de sa chatte envahie et forcée lui faisait remonter à l’esprit ses fantasmes, les pires, les plus crus.

Le Black aux manières de caillera lui envoyait ses coups de pine tout au fond de son ventre, bousculant son utérus et ses ovaires : elle ressentait son anatomie interne, des parties enfouies qu’elle ignorait jusque-là.

Les mains grandes et puissantes tantôt refermées des deux côtés de sa taille, emprisonnant ses hanches, tantôt la maintenant aux épaules, tantôt la tirant en arrière par les cheveux, elle avait l’impression de se faire malmener… mais quel pied elle prenait ! C’était sa fête !

L’autre type d’âge mûr, au corps moins massif mais bien bâti, s’était installé face à elle, et faisant comme chez lui, lui avait fait ouvrir la bouche et y avait enfoncé sa grosse bite noire.

Rapidement, il avait placé ses mains de chaque côté de son joli visage d’ange, déjà un peu rouge, et lui baisait lentement mais littéralement la bouche.

Marie-Cécile était farcie des deux côtés et cette seule pensée la fit jouir une nouvelle fois, et elle émit un petit couinement étouffé.

Le troisième homme se sentait un peu seul, et comme si elle avait deviné ses pensées, Stéphanie, sans cesser de surveiller son amie comme une grande sœur responsable, prenant en pitié sa grosse queue redevenue un peu molle mais néanmoins d’une taille encore respectable, l’attrapa sans plus réfléchir et se mit à la polir avec application avec sa jolie main.

Encouragé, il avait passé sa main sous sa jupe, l’avait glissée sous sa culotte et la faisait descendre sur ses fesses.

Bien loin de se défendre, Stéphanie gloussait légèrement, se tortillait sans chercher vraiment à lui échapper.

Après avoir palpé et caressé ses fesses douces et bien pleines, ce sont deux doigts qui continuèrent leur progression de spéléologue, atteignirent le petit cratère, le titillèrent, l’agacèrent au passage, puis finirent leur course sur leur destination finale, l’orée d’une petite chatte, qu’ils trouvèrent bien trempée.

L’homme qui devait ne pas avoir beaucoup plus d’années que Stéphanie la regarda en souriant de toutes ses dents, un sourire qu’elle qualifia de ravageur et de carnassier tout à la fois.

Se serrant contre elle, il lui murmura tandis qu’il lui fourrait ses doigts dans son conduit :

« – Hum, mais c’est qu’elle est toute mouillée, la jolie petite dame… Je crois qu’il y a une petite agnelle qui ne demande qu’à faire connaissance avec le loup… Je sens que je vais la croquer. »

Stéphanie continuait à regarder son amie se faire fourrer vigoureusement en levrette, la bouche prise par la grosse queue de l’autre homme, et elle commença à onduler du bassin sous l’emprise des doigts de l’homme qui lui fouillait sa chatte de plus en plus énergiquement.

Elle poussa même un petit cri qu’elle ne put réprimer, surprise elle-même par un orgasme qui venait de la saisir. Il faut dire que la scène qu’ils étaient en train de vivre était particulièrement torride.

Les deux hommes qui embrochaient Marie-Cécile soudain échangèrent leurs rôles, mais ils la firent descendre du canapé, jugeant sans doute qu’ils manquaient d’aise, et la firent se placer à quatre pattes sur le tapis.

« – Allez, cambre-toi bien, tends bien ton cul, avance tes genoux ! Et pose ta tête sur tes mains. » ordonna Moussa, le quadragénaire.

Marie-Cécile s’exécuta, bien docile.

Elle ne vit pas l’homme faire un signe à Stéphanie pour lui réclamer du gel lubrifiant.

Celle-ci dut à regret sortir des pattes de celui qui était en train de lui fourrager la chatte, et elle alla chercher un tube qu’elle avait placé d’avance dans un tiroir, pour le lui donner.

Quand elle revint, l’homme, enhardi, lui souleva la jupe et la déculotta : le petit shorty rose pâle tomba sur ses chevilles, et le grand Noir lui attrapa les fesses à pleines mains qu’il pelota avec enthousiasme.

Hamidou, le plus jeune, laissant Marie-Cécile à son compère, se rapprocha d’elle.

Pendant ce temps, Moussa, tout en caressant le cul de Marie-Cécile, lui lissait les fesses en les caressant, et les lui faisant écarter en même temps, ses doigts passaient dans le sillon, descendaient jusqu’au pourtour de la vulve.

Quand il prit une bonne dose de gel et en enduisit la rosette froncée de la jolie brune, elle comprit ce qu’il l’attendait. Elle réprima un frisson d’effroi en pensant à l’anatomie de l’homme qu’elle venait d’avoir en bouche, mais se rassurait en même temps, se disant que cet homme semblait plutôt doux, délicat, et patient ; était-ce à cause de son âge et de sa maturité ? En tout cas Il semblait le leader du trio. C’était plutôt un moindre mal que ce fut lui qui passe par là en premier ; elle imaginait ce que ç’aurait été si ça avait été Hamidou, le plus jeune, celui qui avait la pine la plus monstrueuse.

Le beau Noir s’était positionné à genoux derrière elle et avait posé son gros tuyau dans la raie de ses fesses ; il s’amusait désormais à le faire glisser de haut en bas en ricanant, le frottait contre la vulve et l’anus de la petite brune.

Elle frissonnait. « Qu’est-ce que je vais prendre ! » se disait-elle.(A suivre…)

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