Je m’appelle yohan j’ai la 30aine, marié, papa depuis peu, et heureux en couple.
Je suis infirmier liberal, avec tout ce que cela comporte, visite à domicile, soins divers : pansements, toilette…
Mon travail me prend beaucoup de temps, et j’ai une grande clientèle composée principalement de personnes âgées. Voici ma 1ère anecdote depuis que je fais ce travail.
Tous les matins je passe au cabinet prendre mon matériel et voir si il y’a du nouveau. Ce jour là, on m’attribue 2 nouvelles patientes, ça me fait un peu râler, car j’ai énormément de boulot, et peu de temps pour mon fils. Malgré tout, j’apprends que ces 2 dames sont surs et vivent ensembles.
Je commence la tournée, et prévoit de passer faire la toilette de ces dames vers 10h. Chaque acte étant soigneusement chronométré!
J’arrive donc chez ces dames, 88 et 84 ans, plutôt alertes, et paraissant avoir leur tête. Je me présente, entre et commence rapidement à leur expliquer en quoi consistera mon travail avec elles. J’apprends par Marcelle ( la plus jeune ) qu’elles travaillaient au port de Marseille dans leur jeunesse, nous faisons rapidement connaissance pendant que je prépare le pilulier et je propose à Virginie ( l’aînée ) de commencer la toilette dans la salle de bain.
Tout était prêt, serviette, gant, savon, eau de Cologne. Je commence mon à lui savonner le dos, la poitrine, les bras, les jambes, et je fini par la partie intime.
Par précaution, j’insiste tout le temps sur cette partie, sans pour autant brutaliser! Je m’excuse à l’avance et j’écarte les lèvres afin de bien savonner le vagin dans son intégralité. Mais au lieu d’être gênée, virginie se lit à gémir en fermant les yeux.
C’était finalement moi qui était gêné, car ce ce cas de figure ne s’était jamais présenté dans mon travail.
Je continuais lentement mon savonnage, puis me dis qu’il n’y avait pas de mal à lui faire du bien. Ça me plaisait aussi, quoi qu’il en soit!
La vieille dame laissa descendre lentement sa main contre mon entre jambe, et s’assura de sa raideur. Elle glissa sa main dans mon pantalon pour me caresser à son tour. Dois je la laisser faire? Sa sur apparut au coin de la porte, et sans me laisser aucune chance, déboutonna mon pantalon. Virginie retira sa main de mon caleçon. Elle était poisseuse de sperme. Je n’avais évidemment pas jouis, mais je me définis comme une usine à jus! Je mouille en permanence quand je suis excité et j’ai d’abondantes éjaculations!
Les 2 surs se baissèrent, non sans difficulté, pour me pomper joyeusement.
C’est très agréable sans les dents, et le petit manège dura quelques minutes avant que virginie, la chatte ouverte et propre, ne vienne s’empaler sur moi!
Oh mon dieu, heureusement qu’elle n’a plus 20 ans, je pense que j’aurais été père une fois de plus!
Je la limais comme un malade, elle avait la vulve gonflée, l’intérieur était chaud et large, j’avais beau avoir un sexe épais, je me rendais compte que je flottais dedans. Peu importe je devais bientôt larguer la purée, je ne tenais plus, c’était terrible! Marcelle était toujours assise par terre à me lécher les couilles, je n’en pouvais plus! Un râle terrible, suivit de 6 grosse décharges de sperme, et l’affaire était conclue.
— nous espérons vous voir demain…
Elle me firent un sourire des plus lubriques, alors que je n’avais qu’une envie c’était de partir. Évidemment demain ce sera la même, je me demandais maintenant dans quoi j’avais mis les pieds. Ce n’était pas désagréable, mais il me fallait satisfaire ces 2 dames désormais. Voilà un challenge qui me plait.
La suite très bientôt…
