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Comme Belize – Chapitre 1




Je suis l’heureuse propriétaire d’une magnifique femelle berger allemand, plusieurs fois primé et il est grand temps de lui faire avoir des bébés. Pour cela nous avons choisi un élevage réputé et qui lui aussi possède un chien primé ; rendez-vous est pris pour la saillie.

A mon arrivée au chenil, trois magnifiques chiens nous accueillent, deux Danois et un berger ; ils ne sont pas agressifs, sans doute par la présence de leur maître, un solide gaillard, le visage sévère, recouvert d’une légère barbe ; son accueil est agréable et avant de rentrer faire la vérification des pedigrees, il me désigne le berger comme le reproducteur ; assis sur son train arrière, il est magnifique.

L’homme est courtois, très pro, et en examinant ma chienne, il me fait compliment sur sa beauté et avec pour la première fois un sourire, il me dit

— Sans aucun doute comme sa maîtresse.

Je sens le rouge envahir ma figure, mais en le fixant, je le remercie. Il me fait alors remarquer qu’il faudra peut-être plusieurs mises en contact des deux chiens, avant que la saillie soit concluante, puisque c’est la première fois pour Belize (ma chienne). Il l’emmène dans un enclos, assez vaste, puis va chercher son chien. Cela l’amuse de voir ma chienne vouloir jouer, alors que son mâle lui a manifestement envie de la prendre ;

— Laissons-les ensemble, cela se passe bien, nous reviendrons un peu plus tard

— Avant d’aller prendre un café, je vous propose d’aller voir les deux nouvelles portées

— Avec plaisir

Nous arrivons dans un local, ou deux box, très propres et assez grands, accueillent les deux portées ; l’une de bergers allemands, l’autre de petits dogues. Bien évidemment, je craque pour les petits bergers, et après accord, j’en prends un dans mes bras ; il n’est pas encore sevré et il se love dans mes bras, donnant des petits coups avec sa langue sur ma joue ; adorable, mais aussi pas très propre car il fait pipi sur moi et je me retrouve la veste et le corsage trempés. L’éleveur me propose d’aller me changer et en arrivant chez lui, il me tend une chemise à lui, bien trop grande, mais avec l’avantage d’être sèche.

Je regarde autour de moi, pas d’endroit pour me changer et lui ne me propose rien ; tant pis, je retire ma veste et mon chemisier, ce qui lui permet de découvrir ma poitrine, simplement soutenue par un soutien-gorge, demi-bonnet, laissant bien découvertes mes pointes de seins ; cela ne le laisse pas indifférent ; ses yeux ne quittent pas ma poitrine découverte et quand j’enfile rapidement la chemise, avec un grand sourire,

— Dommage, j’aimais bien voir vos seins.

Cela me fait sourire

— Oui je le vois bien.

Car son pantalon est gonflé à l’entrejambe. Provocatrice, je ne boutonne pas totalement la chemise, laissant la gorge entre mes seins bien visibles.

Le café arrive et je peux détailler l’homme ; bien bâti, le visage tanné, c’est manifestement un homme de la campagne, au bon sens du mot ; simple courtois, le discours clair, sans prétention, aimant manifestement son métier d’éleveur dans sa façon d’en parler pour m’en faire découvrir les diverses facettes. Même s’il reste distant dans ses paroles, ses yeux me dévorent et une douce chaleur envahit mon ventre. Jai envie qu’il me saute dessus mais je reste sur ma faim, car il me propose d’aller voir comment se comportent nos deux chiens, ensembles depuis plus dune heure.

A notre arrivée, nous sommes accueillis par de joyeux aboiements, manifestement ils s’entendent bien, mais difficile de savoir si la saillie a bien eu lieu. Alors que nous les caressons, sa jambe est collée contre la mienne, la position demi-assise a fait remonter ma jupe, dévoilant le haut de mes bas, à la limite de ma peau. Sa main vient se poser sur ma cuisse ; ce contact sur ma jambe gainée par des bas très fins, me procure un petit frisson que bien entendu, il perçoit

— Vous avez froid ?

Et sans attendre, il dépose sa veste sur mes épaules, gardant son bras autour de mon cou.

— Jai envie de toi !

Et m’aidant à me relever, il me prend par la main et nous retournons chez lui.

La veste et la chemise sont vite par terre et il m’enserre dans ses bras. J’ai envie de m’offrir et l’écartant, je dégrafe ma jupe qui tombe à mes pieds ; à demi nue, je m’offre à ses regards ; debout face à lui, il me découvre en string, porte-jarretelles et bas, alors que mes seins sont totalement sortis de leur carcan et que mes pointes sont saillantes. Il ne bouge pas, et c’est moi qui réclame

— Embrasse mes seins, viens me téter comme les chiots tètent leur mère ; j’ai envie de toi, j’ai envie de me faire saillir, j’ai envie que tu me fécondes, comme ton mâle l’a fait à ma chienne ; cette après-midi je suis ta chienne, profite, je suis en chaleur.

J’ai à peine fini ma phrase, qu’il est contre moi, sa bouche plaquée sur mon téton, une main me triturant le clito ; ses vêtements sont au sol et me poussant à plat ventre sur le bras du canapé, il m’écarte les cuisses :

— Tu veux être une chienne ? Pas de problème, je vais te saillir.

Sa queue frotte l’entrée de mon antre et d’une poussée, il me pénètre, en bon mâle, il me possède totalement, sans coup férir et son gland vient buter contre le fond de ma matrice ; accroché à mes hanches, il me pilonne la chatte, écartelant mes parois, alors qu’à chaque butée, je sens ses couilles frapper mon pubis. Je ne peux rien contrôler, les seins plaqués sur les coussins, mais cela me plaît ; il me baise brutalement, puissamment ; sa queue que je sens de belle facture, me ravage le ventre et ma jouissance commence à déferler, d’autant plus que ses mots sont crus ; pour lui, je suis une femelle en chaleur, réclamant une queue puissante et il en profite pour me dévaster la moule ; je geins, je crie, je griffe les cousins pour finalement exploser ; tout mon être se cabre et je ne peux retenir des jets de cyprine et mon plaisir

— Oh oui, encore, défonce-moi, je suis à toi, jouis en moi, féconde-moi

Pour lui ce n’est pas encore le moment, il m’a à sa disposition et il en profite, me baisant longuement, se retirant parfois de mon con gluant, avant de sauvagement à nouveau me pourfendre ; j’ai le corps meurtri, mes petites lèvres sont brûlantes, mon ventre est en feu. Il a quitté mes hanches pour agripper mes seins qu’il maltraite, pinçant les tétons, ce qui, même douloureux tellement ils sont gonflés, me fait exploser ; j’aime cette douleur et j’essaie de reculer mon bassin, m’exposant encore un peu plus aux coups de butoir

— Vas-y, remplis-moi, j’ai envie de ta semence….. Oh oui je sens tes jets chauds, encore, vide-toi en moi

Il vient de se répandre en moi et mon antre est rempli de sa jute. Et comme son étalon a dû le faire avec ma chienne, il reste en moi, se vidant complètement ; quand il se retire, ma chatte déverse le trop-plein et sur le bout de son gland, perle encore des gouttes, puis il s’écarte, ne s’intéressant plus à moi. Je venais d’être sa chienne et j’en étais heureuse.

Alors que j’essaie de reprendre une pose plus facile, il me dit « non reste à plat ventre, je n’en ai pas fini avec toi ; tu voulais être une chienne, et tu vas l’être. Il s’assoit devant moi, son sexe reprenant de la vigueur et il m’attache les mains ; soudain, sur mon sillon, une sensation de froid ; je me retourne et derrière moi, le dogue me renifle, sentant sans aucun doute les effluves de mon étreinte précédente ; puis sa langue vient me lécher le minou ; une décharge me parcourt le corps, et même si j’essaie de me libérer, vainement d’ailleurs, maintenue par son maître, sa langue déclenche des spasmes dans mon ventre, d’autant plus fort qu’elle y pénètre maintenant profondément. Me déposant une couverture sur le dos, l’éleveur fait grimper le chien sur mon dos et je sens sa tige battre contre mon fessier ; ses coups sont désordonnés ; je réalise alors que je suis en bonne position pour qu’il me saillisse ; j’ai beau crier, ruer, rien n’y fait. Le chien grogne, essaie vainement de m’enfiler, son gland s’appuyant contre le sillon de mes fesses ; soudain, une douleur fulgurante, il vient de m’empaler, d’une poussée brutale, sa tige a enfin trouvé l’ouverture de mon puits d’amour.

D’une seule poussée, il m’a envahi la chatte ; sa queue me dilate, percute le fond de ma matrice et quand il commence à me besogner, ses coups de butoir me dévastent, mais aussi rapidement commencent à me faire jouir.

Moi la petite bourgeoise, je suis en train de me faire saillir par un chien et j’y prends plaisir ; car c’est le cas ; je ne sais si c’est le fait du chien, ou de ma réaction à cette pénétration zoophile, mais en tout cas ma chatte se remplit de cyprine, favorisant encore plus les à-coups du mâle ; soudain, mon col semble exploser ; son knot a envahi ma grotte et je me sens écartelée, son mandrin a triplé dans mon ventre, et soudain un jet continu de semence gicle puissamment ; il engrosse sa femelle et sa femelle c’est moi ; je ne peux traduire mon plaisir, fécondée par un chien ma peur du début a totalement disparu et mon envie qu’il continue à me pourfendre est immense. Pleine de jute, ma grotte accueille toujours le mandrin mais j’ai oublié la situation finale ; comme à son habitude, il n’essaie pas de se retirer mais au contraire, il se tourne et je me trouve collée à lui pendant de longues minutes ; immobile ; toujours prise par le knot, je réalise que j’ai pris un énorme plaisir à me faire saillir et j’espère que cela se reproduira ; mais pour cela je peux compter sur l’éleveur qui a compris.

Soudain, la queue se retire avec un énorme jus qui s’écoule sur les cuisses, puis m’ignorant, le dogue va se coucher.

Je ne me suis pas trompée ; à peine revenue de cette saillie, l’éleveur m’a à nouveau pénétrée, non seulement ma chatte, mais aussi mon petit trou, me sodomisant avec ardeur, avant de me remplir de sa semence. La journée a été longue, mais j’ai eu la possibilité de jouir de nombreuses fois et surtout d’apprécier la puissance du dogue. Alors que je reprends ma chienne, l’éleveur met sa main sur ma chatte et me dit « il va falloir s’assurer que votre chienne est prise. Et peut-être même les remettre ensemble ; venez samedi prochain et elle ne sera pas la seule à se sentir comblée.

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