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Les tromperies de tonton Léopold – Chapitre 3




Nous voilà donc, maman, tante Clarisse, ma sur Eliane et moi, dans un club échangiste, ici nous ne connaissons personne et ce nest que tant mieux.

Maman reste contre moi et regarde de loin Eliane qui est draguée par un grand mec bien bâti, elle le suit dans un box et entraîne Clarisse avec elle, deux autres mecs les rejoignent quelques minutes plus tard, moi je paluche maman et lembrasse sur la bouche.

On est sur un divan, juste à coté de nous une femme de lage de maman, lui dit.

— Tu as trouvée le gamin au collège ?

Et maman lui répond :

— Non ma chérie à la maternité, cest mon fils, tu veux en profiter ?

— Cest vrai, cest ton fils, oui tous les trois, viens avec moi !

On suit la femme dans un box, elle nest pas longue à me sortir la bite et à la dévorer goulûment, puis me dit.

— Baise ta mère, je veux te voir, la baiser, putin ça cest le pied, tu as une bite de cheval !

Maman est assise sur ma bite et embrasse la femme sur la bouche, lautre lui branle le clitoris, et moi je bande comme un dingue, de pilonner maman devant cette femme inconnue. Pour maman je nai pas mis de capote et dun coup, je pense à ma sur et à clarisse et je dis à la femme.

— Tu veux me voir baiser ma sur et ma tante aussi ?

— Putin tu es un dur toi, elles sont ou ?

— La dans le box en face, viens, on va les rejoindre !

Je sors ma bite du con maternel et prends maman par la main et linvite à me suivre jusquau box ou sont les deux autres femmes.

Elles sont à poils, trois mecs sont la, qui les pilonnent comme des chiennes, tante Clarisse en a un dans le cul et un dans sa fente, et Eliane est à cheval sur un mec, je lui dis de se coucher sur son ventre et la prend par derrière, le mec est un peu surpris mais elle lui dit.

— Cest mon frère !

— Non tu baise avec ton frère ?

— Oui ça te dérange ?

Maman et la femme sont en train de se gouiner et Clarisse qui vient de jouir avec les deux mecs vient se coller à Eliane. Moi je prends Clarisse car jai abandonné le cul dEliane à un grand black, qui est venu la pine à la main, il voulait prendre Clarisse mais elle lui a dit non, alors je lui ai donné ma place dans le cul de ma sur, elle commence vraiment à gueuler quelle jouit, ce qui attire du monde et un mec est en train denfoncer sa verge dans la fente de maman qui se laisse faire. Une femme veut que je la prenne et me met une capote, merde pas trop à ma taille mais on va faire avec.

La femme à la bouche grand ouverte quand je lui enfonce ma bite dans la chatte et cris.

— Putin quelle est grosse ta queue, je vais jouir mon poulet, fourre-moi bien !

Je pense que le mec qui lui tien la main est son mari, il regarde ma queue sortir et entrée dans le con de sa femme et se branle.

Maman à toujours le mec dans sa fente et me regarde, comme pour me dire viens-toi aussi, alors je laisse la vieille et me couche sur le dos, je retire la capote et maman vient sempaler sur moi et le mec vient derrière elle, cest sublime, la prendre comme ça avec un mec inconnu et la faire jouir ça cest sublime.

Nous sortons de la boite vers 3 h du matin, épuisés et repus de sexe, maman me tient par la taille et de temps en temps membrasse sur la bouche, elle à encore le goût de mon sperme car jai joui dans sa bouche pour finir, les autres avaient tous des capotes !

Clarisse et Eliane marche devant, on regagne la voiture et je passe derrière avec maman, cest Eliane qui si colle pour conduire. Maman est contre moi et sendort, Clarisse fait de même sur le siége passager et moi je fais la conversation à ma sur.

— Alors petit frère tu en pense quoi ?

— Génial mais il faut venir avec une ou des filles sinon on ne rentre pas ou on semmerde ?

— Toi tu rentreras, ils te connaissent maintenant et tu trouveras bien une copine pour venir.

— Oui, tu sais les deux du port, elle aime bien la queue !

— Il faudra que tu les invite un de ces soirs !

— Je demanderais à maman, si elle veut !

— Bien sur quelle voudra, tu as vu ce quelle a prie ce soir, une véritable furie !

— Oui, je ne laurais pas cru !

— Cest souvent quelle vient avec moi, ce soir elle faisait la mijaurée parce que tu étais la et quelle ne veut pas trop te brusquer mais elle a adorée avoir son fils avec elle, elle était fière de toi et tu as bien réagi en toccupant delle comme tu las fait, elle adore le cul et tadore aussi, tu seras étonné, tu sais quelques fois elle se joint à moi et Claude pour des soirées chaudes, entre amis !

— Merde, maman ? Qui aurait cru, moi qui vous pensez tous serrés du cul !

— Maman tadore tu le sais et elle ne voulait pas te plonger trop tôt dans le milieu ou lon évolue, ton oncle Léopold est un enfant de cur avec ses minettes et ta tante Clarisse une sainte, quoi que ce soir la sainte est devenue une belle salope bien cochonne, tu as pris des photos jai vue !

— Oui, une histoire entre moi et tonton, je texpliquerais !

— Ça ne me regarde pas mon chéri, on est arrivé réveille maman, tu dors avec qui ce soir ?

— Seul si cest possible, je nai que vingt ans mais je suis mort moi aussi, à moins que tu veuille dormir avec moi !

— Jaimerais bien oui mais calmos, juste faire lamour avent de dormir, comme deux amoureux !

— Jaimerais bien aussi, on les couche et on se retrouve dans ta chambre !

Les deux femmes ne mirent pas plus de trois minutes à rejoindre leurs chambres et moi pour retrouver Eliane dans la sienne, après une bonne douche nous étions sur le lit mais Eliane voulait surtout me parler !

— Tu sais mon chéri, je taime fort, tu es mon frère mais je taime comme un amant et ce que tu as vu ce soir, nest pas commun, comme le fait de faire lamour à maman ou avec moi, tu nes pas jaloux au moins et tu ne men veux pas ?

— Non, je sais que tu maime et maman aussi mais ça cest autre chose ce nest pas de lamour cest du cul, comme moi quand je partouze avec les copains et les copines !

— Je nen reviens pas, à vingt ans tu es plus mur, que des gens de 50 ans !

— Tu sais tonton Léopold y est pour beaucoup, cest peut être un enfant de cur comme tu dis mais un sacré baiseur et jai avec lui fait des coups pendables, tien des fois il ma emmené pour des partouzes sur son bateau et je peu te dire, que cest vraiment autre chose que vos jeux, dans cette boite minable, il y a autre chose comme cliente, que des belles femmes et les mecs sont moins nombreux et ne sont pas la que pour tirer, deux jours à bord de son bateau et tu reviens la queue derrière loreille !

— Quoi ? Léopold organise des partouzes sur son bateau ?

— Oui et des supers en plus mais chut! Je te ferais venir si tu ne dis rien, sinon il ne me voudra plus !

— Petit frère si tu me fais monter à bord du bateau de Léopold pour une partouze, je te promets une très gros cadeau !

— Ah! Oui, et cest quoi le cadeau ?

— Je temmène à une des miennes !

— Nan, ça tu nas aucun mérite, moi pour avoir un cadeau de Léopold jai baisé Clarisse, alors je veux mieux que ça !

— Tu veux quoi ?

— Tu fais venir la sur de Claude et tu me loffre sur un plateau !

— Tu y vas fort, je fais venir May et tu te débrouille avec !

— Ok mais dans deux jours il va y avoir Ludivine et tu sais quelle est un véritable pot de colle, elle veut toujours venir avec moi et elle ne baise pas, je crois quelle est même pucelle !

— Tien voilà un truc, je toffre le pucelage de Ludivine et celui de May et toi en contre parti, tu minvite pour une partouze avec Léopold !

— Cest dit et arrête de me tripoter la queue, regarde dans quel état je suis, la, il faut vraiment que je te fasse lamour !

— Cétait le but rechercher, jai vraiment envi de toi là, je taime fort mon amour !

— Moi aussi, grande sur !

Je plongeais entre les jambes dEliane et mangeais son minou tout rasé, elle a vraiment une bonne chatte ma sur, un vrais plaisir de la bouche et de la langue et du reste.

Cest comme deux amoureux que nous finissons la nuit, lun dans lautre, nous faisant jouir mutuellement.

Deux jours plus tard Ludivine, arrive de ses vacances en Espagne et comme à son habitude commence sa vie, cette fille est infernale, tout lui est du.

May arrive laprès midi, May ma jolie May que tu es belle, un corps de déesse, un visage de poupée, des cheveux dange et une douceur infinie, je te veux May mais tu es si sage, si belle, que les doutes viennent me hanter car je te sais si fragile et si forte.

Avec Ludivine et May la vie ici nest plus du tout la même, maman à reprit ses distances, tante Clarisse est presque fâchée car elle nous reproche la soirée en boite et surtout le fait quon lavait faite boire un max et Eliane est revenue à sa démarche colée monté.

Je décide de partir avec le bateau quelques jours, il faut que je sorte de la, au plus vite pour ne pas tomber dans la neurasthénie.

Des quelques beaux jours de vacances, il ne reste plus rien, ci ce nest un amer souvenir et une envie de baisser qui me tord les boyaux.

Il est 9 h du matin et je prends mon petit déjeuné dans la cuisine.

— Bonjour petit frère, tu vas ou avec ton bateau ?

— Je ne sais pas, pourquoi ?

— Je peu venir, avec Ludivine et May, tu sais on sennui nous aussi ici et pense à ce que nous avons dit !

— Ça fait deux jours que tu me fais la gueule, je peu savoir pourquoi ?

— Oui, comme ça Ludivine et May viennent avec nous en mer, adorable non ?

— Et la nuit je suis seul comme un con !

— Ça cest que tu le veux bien, moi je nai pas passé une nuit seule, tu sais ou est ma chambre et celle de maman ou celle de Clarisse mais tu ne veux pas te mouiller !

— Tien donc, avec les deux qui passent leur vie à déambuler dans les couloirs, je vais aller dune chambre à lautre !

— Tu as bien le droit de venir dire bonsoir ! Non ? Au fait tu sais que May est amoureuse ?

— Non et de qui ?

— Ça cest un secret et je ne te le dirais pas, elle ma faite jurer de ne rien dire mais je suis sur que Claude va adorer quand il va savoir, il y a de lidylle dans lair et avec approbation du jury !

— Ce nest pas la peine de lemmener avec nous alors, on ne pourra rien faire !

— Fais comme tu veux, on vient toutes les trois ou personne et les nuits à bord tu pourras toujours venir les passer avec moi, si tu en as envi !

— Bon, elles sont ou, je pars dans 1 h !

— On est la mon cher frère, prête pour le grand départ, on déjeune et on est toutes à toi ! De quoi vous parliez ?

— Bonjour les filles ou sont vos sacs ?

— Dans la voiture ! De quoi parliez vous ?

— De tout et de rien et ça ne te regarde pas, curieuse !

Nous voilà en mer, il est midi et je bloque le bateau dans une crique, à lencre. Jai passé la matinée avec Ludivine, elle adore piloter mais nest pas prudente et les deux autres filles sont restées sur la plage avant à bronzer. Nous avons emmené un repas tout prêt et jinstalle la table.

May est distante et ne ma pas dit trois mots depuis le départ, cétait pas une bonne idée de la prendre avec nous.

Jaime cette fille à en mourir et elle, ne me regarde même pas, elle se place au coté dEliane pour manger, Ludivine et près de moi, dans la conversation.

— Tu as vu Marc, il y a plein de poisson, tu viens avec moi on en prend pour ce soir ?

— Ludivine, tu ne sais pas plonger !

— Allé viens !

Je comprends que ce nest pas pour le poisson ma sur à horreur de ça, pas de le manger mais de le pécher, je pense quelle veut me parler, même si on nest pas proche un de lautre, elle ne rechigne pas à me demander conseil ou à se confier.

Nous voilà donc partis avec le petit zodiac, nous passons une avancé rocheuse et la surprise.

— Marc, arrête ce bateau !

— Qui a til, jai fais quoi encore ?

— Rien ! Je veux te parler, vas jusqu’à la plage et accoste au bord il faut que je te parle !

Jaccoste et fais glisser le bateau sur le sable.

— Petit enculé, jattends depuis deux ans que tu me regarde et tu fais comme si jétais une merde, même pas une drague ou un bisou et tu baise Eliane ?

— Tu es devenue folle ?

— Jai tout entendu dans le couloir ce matin, en attendant May, espèce de merdeux, tu nas pas besoin delle pour me prendre ce que je te donne volontiers, ça fait deux ans que je te cour après, je te suis comme ton hombre et toi petit merdeux de merde tu ne me regarde même pas et tu baise des poufiasses et tu baise ma sur et tu me fais chier Marc tu es un con ! Tu vas faire quelque chose ou il faut que je te saute dessus ?

— Mais Ludivine, ne ténerve pas, tu veux quoi au juste que je te saute comme les autres ? Je nai pas envi de ça avec toi mais de te faire lamour, si tu veux, oui pas baiser comme les chiens !

— Fais ce que tu veux mais fais quelque chose ou je hurle, avec Eliane, tu nes quune merde Marc un salop et moi comme une conne qui attends que monsieur me regarde !

— Bon tu cris tout laprès midi ou on va promener et parler calmement !

— Je nai pas envie de parler Marc !

— Bon, alors quitte au moins ton maillot !

— Petit con !

Je connaissais Ludivine emmerdante et pot de colle mais pas amoureuse et encore moins de moi, cest une furie qui me sauta dessus et prit ma bouche, pour me mordre la lèvre et enfoncer sa langue à la rencontre de la mienne, cest elle qui me quitta le short et se mit nue, elle qui mattira sur elle et prit mon vit dans sa bouche de gamine, elle navait aucune expérience mais avait du cur à louvrage.

Son petit abricot tout doux et si mignon, coulait la cyprine comme une fontaine, ma bouche dégoulinait de son jus intime, pendant que je le lui mangeais, elle voulait aller vite, trop vite, jétais obligé de la calmer.

— Doucement ma chérie, on a tout notre temps, calme-toi !

— Non, tu vas dire non, je te connais !

— Non, mais calme-toi, la doucement, prend ton temps ma douce, on va faire lamour mais doucement, reprend ton souffle, tu vois regarde, je suis juste devant ton petit abricot, je vais entrer en toi ! Tu es pucelle ou non ?

— Bien sur que je le suis !

— Tu vas avoir un peu mal au début et je ne suis pas un grand expert tu es la première que je dépucelle, tu me diras quand tu nauras plus mal mais décontracte-toi !

— Je taime Marc ! Pourquoi je taime ?

— Je taime aussi ma puce et moi non plus je ne sais pas pourquoi, tu es belle ma chérie !

— Marc fait moi lamour sil te plait Marc prend moi !

Avec toute la délicatesse que je pouvais jentrais en elle, je sentis son hymen craquer sous mon gland et je continuais à la prendre jétais au fond de ma petite sur.

— Je nai pas eu mal, tu ma dépucelée mais je nai pas mal, fais moi jouir mon amour !

Jallais en elle, nos bouches soudées, ses jambes mentourant, elle se donnait à fond, venant au devant de mes coups de pieu, elle avait acceptée cet énorme vit, sans sourciller et je savais quelle avait eu mal car je voyais des larmes dans ses yeux mais Ludivine jouit, elle jouit comme je navait pas vu jouir ma tante ou ma sur Eliane, elle se cambra contre moi me mordant lépaule et explosa en un hurlement sa jouissance.

Je ne pouvais rester en elle de peur de lui faire plus de mal, je navais pas joui mais ce nétait pas grave, je lavais vu jouir, elle et cétait ma récompense.

Elle resta 10 minutes contre moi et me dit.

— Encore, cest trop bon, encore mon amour, encore !

Je la laissais se décontracter, la caressant et lui mangeant labricot, allant de ses petits seins à ses lèvres, de son clitoris à son anus, passant ma langue sur toute sa vulve et enfin je la repris, lentement pour finir ensemble, lui éjaculant tout mon amour au fond de sa vulve.

Ce nest quau bout de la troisième fois, quelle consentit à reprendre la route du retour au bateau.

La suite bientôt, si vous aimez bien sur !

Merci pour les petits mots dencouragement cest un délice de les lire !

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