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les confessions de Natacha (1) – Chapitre 2




Dès qu’il referma la porte du compartiment, je tentais tant bien que mal de reprendre mes esprits. Je me rassis sur la banquette et essayais d’oublier ce qui s’était passé mais c’était bien difficile, le sperme qui coulait dans ma petite culotte ne m’y aidait pas et le plug bien en moi non plus… J’entendais les deux contrôleurs juste à coté parler de moi en des termes très crus et repensais aussitôt à ce que Jean Marc (c’était son prénom) m’avait dit en me quittant, peut être que son collègue allait renoncer , qu’il n’avait pas envie…à ce moment-là la porte s’ouvrit :

"Bonjour Natacha

— Bonjour monsieur

— Tu peux m’appeler René si tu veux mais je veux que tu me vouvoies. Visiblement tu as l’air d’être une bonne petite vicieuse, j’entends tes cris depuis tout à l’heure, on ne peut pas dire que tu simules ma jolie!"

 Je rougissais à nouveau devant cet inconnu qui avait le même physique que son collègue, j’allais offrir mon petit cul à ce vieux cochon que je ne connaissais pas. Il se tenait debout face à moi qui était assise , mon visage au niveau de son sexe, j’étais surprise de voir qu’il y avait déjà une belle bosse et je baissais le visage à la manière d’une petite soumise un peu honteuse de la situation mais tellement excitée de savoir ce qui allait se passer. Il me releva le visage en me passant son index sous mon menton, me glissa un doigt dans la bouche avec son autre main. Il me fixait ainsi avec un regard qui en disait long sur ses désirs. Je commençais à sucer goulûment son index comme si c’était son sexe . Il me lâcha le menton et je vis alors sa bosse faire des soubresauts, il me relava alors énergiquement le menton et me lança

" Tu aimerais l’avoir dans ta petite bouche de gourmande?

J’acquiesçais par un mouvement de la tête lorsque qu’il me mit un deuxième doigt dans la bouche

" Écarte tes cuisses petite salope m’ordonna-t-il en faisant le mouvement sur mes jambes avec son autre main

— Baisse ta culotte !

Je m’exécutais tout en restant les jambes bien ouvertes, les mains dans le dos je baissais ma ptite culotte jusqu’à mi-cuisse tout en continuant à le fixer dans les yeux

— Reste comme ça ma jolie » Il enleva ses doigts de ma bouche, j’étais toute excitée à l’idée de recevoir la queue d’un inconnu dans ma petite bouche quand je sentis un filet de sperme couler de ma chatte. René le remarqua aussitôt et tout en sortant son engin de son slip,

— « EH bien ma garce on dirait que tu t’es faite bien remplir par Jean Marc?

Je n’eus même pas le temps de lui répondre qu’il m’enfonça sa queue directement dans ma bouche en me fixant dans les yeux et n’oubliant pas de mater le filet de sperme qui sortait de mes lèvres. Je gémissais comme une femelle en chaleur et René me lança :

« Tu es prête pour te faire enculer ma jolie ? Au ton de sa question, je sentais que je pouvais encore dire non mais c’était plus fort que moi, bien que j’éprouvais un sentiment de honte d’être traitée de la sorte , l’envie d’aller plus loin m’excitait plus que tout et j’acquiesçais à sa demande par un mouvement du visage tout en continuant à bien le sucer. Sa queue n’était pas trop grosse et le plug bien inséré dans mon petit trou m’avait bien dilatée, je me sentais en confiance et était prête à offrir mon cul à ce gros vicieux

« C’est bien tu es une bonne petite, allez mets-toi à quatre pattes je vais prendre ton petit cul de salope »

Je me mis en levrette en me cambrant le plus possible, à la vue de mon plug il lâcha

« Hmmm tu t’est bien préparée on dirait, je vais remplacer ton jouet par ma queue, tu vas voir c’est beaucoup mieux »

Je me laissais faire tout en gémissant à tout va, il me pénétra doucement, j’étais étonnée de sentir sa tige rentrée aussi facilement dans mon cul, c’était un déliceune fois sa bite entièrement entrée il s’arrêta, souleva mon top et dégrafa mon sous tif ça me faisait grand bien d’avoir mes seins à l’air, il me dit

« Avec la poitrine que tu as, ça serait dommage de ne pas en profiter, comme ça je pourrais bien te ploter pendant que je t’encule !

Là il me claqua les fesses tout en me mettant un gros coup de bite et me pétrissant les seins , j’étais comblée et le faisais savoir en criant désormais

— Défoncez moi monsieur faites-moi voir ce qu’on fait aux petites chiennes comme moi

— Tu fais trop de bruit ma salope,

Il m’enleva ma culotte et me la mit dans la bouche, l’odeur mêlée de mouille et de sperme m’écura au début puis finalement m’excita comme jamais, je couinais et gémissais comme jamais avec des petits cris aigus à chaque fois que je sentais sa bite tout au fond de mon cul. Il me prenait maintenant très fermement par les hanches, me secouant comme son collègue l’avait fait quelques minutes plus tôt, je sentais et voyais mes seins qui ballotaient. Il me démontait littéralement quant au bout de 10 mn , je sentis des jets de sperme envahir mon anus, il poussa des râles de males qui m’excitèrent encore plus , il resta quelques instants en moi, m’enleva ma culotte de ma bouche et me la remis de la même manière que Jean Marc.

« Bien, très bien ma petite Natacha, maintenant que ta petite chatte et ton cul ont été bien remplis, je pense que Jean Marc va revenir pour te souiller ta petite bouche de catin, qu’en penses-tu ?

« Je crois que je suis là pour ça monsieur »

Je n’en revenais pas, je devenais leur chienne qui se faisait remplir et j’adorais ça ! Je n’eus guère le temps de réfléchir que Jean Marc était là

« Tu as été très obéissante Natacha, je suis fier de toi. Le train arrive dans 10 mn et j’ai encore très envie de toi, il me sortit son sexe déjà tout dur qu’il me mit directement dans la bouche. Il me tenait ferment par la nuque afin d’enfoncer son dard jusqu’à ma glotte, après m’avoir bien baisée mon troisième orifice, il éjacula dans ma bouche , de longues giclées toutes chaudes glissèrent dans ma gorge , j’étais tellement remplie que du sperme se dispersait sur mes lèvres et tout mon visage, il me biffa le visage avec sa queue que je nettoyais avec application.

« Tu es vraiment une superbe salope soumise Natacha, je te laisse mon numéro et ce serait avec grand plaisir que j’aimerai poursuivre ton éducation. »

Je lui laissais également mon téléphone et le train arriva.

Il fallait que je remette de l’ordre dans mes esprits, mon petit copain me fit remarquer que j’avais les cheveux en pagaille dans la voiture, je prétextais une sieste si il savait !

 Je trouvais que je sentais fortement le sperme mais lui ne semblait rien remarquer. J’avais encore la semence de René qui sortait de mon petit trou, visiblement il n’avait pas juté depuis un moment, je n’avais pas eu le temps de prendre un chewing gum ou me lavait les dents pour masquer l’odeur de ma dernière pipe. Mon copain avait beau faire la conversation, j’avais clairement la tête ailleurs.

Les jours passaient et je me raisonnais en me disant que mes pulsions m’avaient joué des tours et ne voulait plus vivre ces moments, j’en faisais part à Jean Marc dans les sms que nous nous échangions. Il me disait que c’était normal au début d’avoir ce genre de réactions mais que si je ne voulais pas aller plus loin, il me comprenait, il garderait un très bon souvenir de notre rencontre . C’est ce que je lui demandai et il me laissa tranquille ;

La semaine touchait à sa fin et j’allais repartir à Paris. Il n’y avait pas eu une journée sans que je repense à ce qu’il s’était passé sans trop savoir quoi en penser au final

Dans le train du retour, je fus plus sage. Cette fois ci je n’étais pas seule dans mon compartiment, un homme d’une soixantaine d’années était en face de moi. Je sentais qu’il matait mon décolleté et mes cuisses mais j’étais figée dans mon livre. Il commença à me faire la conversation sans que je lui réponde vraiment. Il était hors de question que je me laisse à nouveau aller à des ébats lubriques et il comprit assez rapidement qu’il était inutile d’insister.

Là j’entendis un contrôleur, c’était la voix de René, j’en étais certaine. Il entra dans le compartiment en m’apostrophant :

« Oh mais c’est ma belle Natacha ! Il me fit la bise en me serrant les hanches, je le jugeais trop insistant avec ses mains et les enleva promptement

— Oh tu étais plus docile l’autre jour » J’ étais morte de honte

Heureusement le train arrivait en gare de Marseille et l’autre homme prit sa valise pour descendre mais il me tendit un mot qu’il avait eu le temps de préparer sans que j’y prête attention.

« A bientôt j’espère Natacha »

Je pris machinalement sa carte qu’il me tendait pendant que René se tenait là, une fois l’homme parti, il me lança

« Un nouveau conquérant ma chérie on dirait »

— Pas du tout je ne le connais même pas

— Tes charmes agissent spontanément surtout avec des tenues aussi sexy sur une belle poupée comme toi ! C’est naturel, tu dois t’y habituer si en plus tu deviens une vraie petite salope, tu vas rendre heureux des tas d’hommes ma belle »

Ces compliments naturels avaient le don de m’exciter un peu, j’étais toujours assise alors que René se tenait debout face à moi, il sentait mon trouble face à ces paroles. Il en profita pour prendre ma main et la mettre sur sa braguette, il était déjà tout dur, tout en retirant mollement ma main je fermais encore plus mes cuisses qui étaient déjà croisées, ce qui me fit pousser un petit soupir

« Si ça t’excite tu pourras venir tout à l’heure dans notre compartiment, il y a deux collègues qui adorent les petites coquines comme toi, si tu es amatrice y’en un qui a une énorme queue. Je t’imagine déjà avec nos 3 queues dans la bouche hmmm »

Je lui répondis que je n’avais du tout envie de ça, que l’autre fois même si j’avais pris du plaisir c’était un accident et je n’avais absolument pas envie de recommencer.

Il sortit du compartiment en me disant :

« C’est comme tu veux ma belle , tu as l’occasion de réaliser un nouveau fantasme , si tu n’as pas envie d’aller trop loin , tu peux juste nous sucer, on aime beaucoup les jolies suceuses , on ne fera rien que tu ne veuilles pas. Tu sais où on se trouve si tu changes d’avis. A plus tard jolie poupée ! me lança-t-il avec un clin d’il.

Ouf j’étais enfin seule et pouvais être tranquille. Ces propositions crus bien que je les trouvais complétement indécentes m’avaient bel et bien excitées, je n’osais passer ma main dans ma culotte de peur de déclencher des envies très violentes. J’essayais de contrôler mon excitation mais sentait que j’étais toute mouillée, il était très rare que je puisse rester longtemps dans cet état sans que je me masturbe. Mais je repensais à ce qui c’était passé la semaine dernière pour ne pas recommencer la même chose.

Je retombais sur le mot que l’homme qui partageait mon compartiment m’avait laissé :

« Natacha tu es d’une beauté et d’une sensualité exquise, ça serait un grand plaisir de t’initier à des plaisirs insoupçonnés. Apelle moi. Marc » suivi de son portable.

Décidément, je ne savais pas ce qui se passait depuis une semaine mais je n’avais eu jamais autant de propositions aussi directes .Ces derniers jours, à trois ou quatre reprises des hommes me firent des avances assez explicites à peine mon petit copain avaient eu le dos tourné. Les mâles devaient sentir que j’étais prête à passer à l’actionJe m’endormais avec ces chaudes pensées, un petit sourire contente d’exciter tous ces messieursC’est l’arrêt du train sur les voies en pleine campagne qui me réveilla, je n’en croyais pas mes yeux : ma main était dans mon string , décidément je ne me pouvais pas m’en empêcher Je retirais ma main et par réflexe la renifla, visiblement je m’étais bien branlée pendant mon sommeil, je reniflais et sucer mes doigts comme une petite chienne en manque.

Je me reprenais et regardais tout autour de moi ce paysage de campagne si apaisant, il restait encore une heure de trajet, autant de temps à tenir pour ne pas succomber à la proposition salace de René car plus j’y pensais, plus j’en avais envie. Trois males ensemble dont un fortement membré, tous là rien que pour moi, à s’occuper de tout mon corps , hmmm il fallait vraiment que je pense à autre chose

Le train repartait et j’essayais de me raisonneren vain ! Il restait encore une heure de trajet, je savais que si j’allais rejoindre ces trois vieux salaces, j’allais être leur objet sexuel, je trouvais cela complétement indécent mais il fallait bien l’avouer , cette proposition m’excitait beaucoupIl fallait que je me décide une fois pour toute et me disais qu’on avait qu’une vie, résister à ses fantasmes ne servait à rien . Je me relevais de mon siège, tira un peu sur ma jupette très courte, en haut j’avais juste un petit top rose moulant qui fait apparaitre mon nombril avec un piercing. Je m’étais épilée le matin, mes jambes et mon minou étaient très doux. Je pris ma respiration, ouvris la porte du compartiment et me dirigeais vers celui des contrôleurs. Je tordais du cul me comportant comme une pétassse en chaleur, bien consciente de ce qui m’attendaitJe savais que j’allais passer à la casserole avec ces trois pervers dont deux m’étaient inconnus et que j’allais être l’objet de toutes leurs envies. Je toquai à leur porte.

« Oui entrez !

La porte s’ouvrit et se referma très vite après mon arrivée. René m’accueillit d’un sourire goguenard :

« Oh mais c’est ma petite Natacha » dit-il en me tenant la main

« Vous savez les gars, c’est la petite salope qu’on a baisé la semaine dernière avec Jean Marc, je lui ai proposé de nous rejoindre pour qu’on s’occupe d’elle !

— Tu en as mis du temps dis donc, tu sais qu’on arrive bientôt «

Là il me souleva ma jupe pour bien me montrer à ces deux compagnons, l’un deux me claqua aussitôt les fesses,

— Quelle belle croupe dis donc , vu comme elle est foutue , elle doit s’en prendre des coups de bite ! dit l’un deux

René me demanda de baisser ma culotte et le troisième homme me lança

« Toi tu es faites pour prendre de la queue » en même temps il mit son gros doigt sur ma fente dont les lèvres étaient déjà bien ouvertes, il me doigta vigoureusement pendant que les deux autres me plotaient les nichons.

A peine entrée j’étais fixée sur mon sort, les trois vieux cochons s’affairaient sur mon corps, je couinais et mouillais comme pas permis. Celui qui me fouillait la chatte, sortit ses trois doigts bien luisant de cyprine pour me les mettre dans la bouche

« Hmm sa bouche a l’air aussi accueillante que sa chatte, je pense qu’on pourrait y mettre nos trois queues les gars »

Rien que d’y penser je gémissais comme une salope en chaleur. René en me mettant ses deux mains sur les épaules pour me faire accroupir, lança

« C’est ce qu’on va faire, on va lui baiser sa belle petite gueule de chienne vu qu’on aura pas le temps de la niquer »

Les trois mâles sortirent leur bites, ils m’appuyèrent sur la nuque pour me faire passer de queue en queue avec ma petite bouche de salope. Effectivement l’un deux était extrêmement bien membré et à chaque fois que je le suçais, j’étais tellement excitée que ma bouche s’élargissait pour pouvoir le gober entièrement, ce qui ne manquait pas de l’étonner. Je n’avais jamais vu une aussi grosse, j’étais hyper excitée et il n’était pas question qu’il ne me baise pasQuand ce fut à nouveau son tour de le sucer , je le fixais dans les yeux et lui sortit

« Je pense qu’elle serait très bien dans ma petite fente de salope, ,non ? » Il était enchanté et René me releva par les épaules, me fit me pencher en avant en me claquant fermement trois, quatre fois le cul

« Allez baise là cette petite pute, montre lui ce que c’est de se faire démonter avec un gros engin comme le tien »

Son collègue ne se fit pas prier, voyant ma chatte bien lubrifiée et mes cuisses trempées de mouille, il me pénétra virilement ce qui avec sa grosse queue me provoqua un gémissement inouï suivi d’un orgasme instantané. La sensation était MAGIQUE, je me sentais toute salope et toute remplie.

« Eh ben on dirait que ca lui fait du bien à la petite Natacha de prendre des grosses bites » lança le troisième homme

Effectivement j’étais en transe, il me secoua vigoureusement pendant une dizaine de minutes pendant que ses deux collègues me faisaient biberonner leur dard. J’étais en extase et voyais ma mouille couler sur la bite de mon étalon, les orgasmes s’enchainaient que je sentis trois fortes giclées envahir mon vagin suivi d’un râle digne d’un male en rut, je venais encore une fois de me faire féconder par un inconnu et cela me plaisait énormément. Là René me prit à nouveau par les épaules pour me faire accroupir et me dit

« On n’a pas le temps de te remplir la chatte aussi, alors on va te remplir ta petite bouche de catin.

Je m’exécutais en attendant leur semence la bouche toute ouverte les fixant dans les yeux. Ils se branlaient au-dessus de mes lèvres de façon très viril quand les premiers jets de René arrivèrent sur mon visage , rapidement j’eus la face toute inondée tout en sentant le sperme de mon étalon couler de ma fente , le sensation était divine , quand le troisième eut envie de jouir , il me prit la tête pour enfoncer sa queue au fond de ma bouche , ses jets de sperme inondèrent ma gorge de telle sorte que j’eus pas le choix d’avaler gorgée par gorgée , les trois males me regardaient en se branlant d’un air très satisfait.

« Hmm tu avales en plus petite cochonne » me lança l’un d’entre eux. En même temps je n’eux guère le choix mais cette sensation d’être une petite soumise humiliée m’excitait énormément et quand René me doigta pour bien montrer tout le sperme qui coulait en moi, j’eu à nouveau un orgasme.

Le train arrivait dans 10 mn et nous devions vite nous rhabiller. A nouveau ma petite culotte était toute pleine de mouille et de sperme, je sentais le jus de male à 10km à la ronde mais j’étais heureuse.

J’arrivais sur Paris comblée et satisfaite de ce que j’avais vécu.

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