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Charlotte et Bénédicte – Chapitre 1




Boudeuse, Charlotte voyait le quai défiler sous ses yeux. Sa valise à la main, elle regardait les formes floues se métamorphoser en personnes distinctes alors que le train ralentissait. Parmi elles, peut-être reconnaîtrait-elle sa tante, même si les chances étaient faibles : des souvenirs de plusieurs années et deux photos ratées que lui avait montrées sa mère seraient sans doute loin de suffire. Le train stoppa enfin et les portes s’ouvrirent.

— Charlotte ?

La jeune fille se retourna, rassurée et curieuse. Entre deux groupes de personnes, elle cru reconnaître la dame des photos qui la regardait, le visage orné d’un sourire radieux. Elle hocha la tête et s’avança vers elle.

— Vous êtes ma tante ?

La femme au sourire se mit à rire et s’avança.

— Alors déjà tu vas oublier tout de suite le "vous", pas de ça avec la fille de ma sur. Donc oui je suis bien ta tante, je m’appelle

Bénédicte, et je suis ravie de te revoir, tu marchais à peine debout la dernière fois que je t’ai vue.

Elle l’embrassa sur la joue et Charlotte commença à se détendre. Cette femme inspirait la sympathie d’emblée, par son allure et ses manières. Sans pouvoir répliquer, elle se vit gentiment délestée de sa valise et les deux amies de fraîche date sortirent de la gare et montèrent en voiture.

Sur le chemin, Bénédicte posa mille questions à sa jeune nièce. Elle était l’aventurière de la famille, celle qui avait pris le large plusieurs années auparavant et qui n’avait plus vu sa fratrie ni ses parents depuis. Elle était revenue s’installer en France depuis trois mois, dans une petite maison au bord de mer, et avait enfin repris contact avec sa vie d’avant, comme si de rien n’était. En apprenant que les parents de Charlotte étaient en cours de divorce et que la pauvre adolescente dépérissait en plein mois de juillet entre les disputes et les formalités, elle s’était proposée de l’accueillir pour une semaine ou deux, histoire de lui changer les idées. Après quelques hésitations, Charlotte avait fait sa valise et dit au revoir à ses amis. Ça ne pourrait pas être bien pire et qui sait, peut-être ferait-elle des rencontres intéressantes.

La voiture s’arrêta devant une petite maison à l’écart d’un joli village de pêcheur. Au moins, l’endroit était joli songea la jeune fille. Elle descendit de la voiture et inspecta les alentours en suivant sa tante vers l’entrée. En faisant le tour de la maison, elle vit un joli petit jardin entouré d’arbustes, sur lequel deux transats baignaient en plein soleil, et surtout, faisaient face à une piscine dont la simple vue lui fit briller les yeux. L’appréhension diminuait de minute en minute et la perspective de passer des vacances de rêve se profilait dans le ciel bleu.

— Ta chambre est en haut, tu vas pouvoir défaire ta valise ma puce !

Sa tante la tira de sa rêverie. Elle sourit poliment et la suivit à l’étage. Sa chambre était petite mais confortable, et lui conviendrait parfaitement. Elle posa sa valise sur son lit et pris connaissance de la petite pièce.

— J’ai vu que tu regardais la piscine avec envie dis-moi, que dirais-tu de m’y rejoindre dès que tu auras rangé tes affaires ?

Charlotte dut se retenir de sauter sur place.

— Oh oui, avec joie tata !

Sa tante se mit à rire et s’éloigna.

— Alors à tout de suite, tu as un maillot j’espère ?

La jeune fille hocha la tête, un grand sourire sur la visage et s’empressa de sortir ses affaires tandis que sa tante descendait les escaliers. Elle posa ses vêtements au hasard d’une étagère et en sortit son maillot de bain. Pudique, elle ferma la porte, à tout hasard, et retira ses légers vêtements d’été. Elle enfila rapidement son petit bikini bleu clair et s’arrêta quelques instants devant un large miroir que sa tante avait coquètement posé contre un mur. Charlotte était encore jeune, elle venait d’avoir 16 ans, et son très joli visage évoquait la douceur et la pureté, mais son corps commençait à prendre des formes agréables. Elle était du genre petit format, 1m55 et très mince, ce qui rendait son petit ventre plat particulièrement mignon, d’autant qu’il contrastait délicieusement avec la courbe naissante de ses hanches. Ses jeunes seins n’étaient pas encore très gros, mais leur forme très harmonieuse les rendait particulièrement attrayants dans son maillot de bain. Elle se retourna et, sourire en coin, s’assura qu’elle était toujours digne d’une venus callipyge. Aucun souci là dessus, son collège tout entier se damnait à la simple évocation de son magnifique fessier. Rassurée, elle attacha ses longs cheveux châtains sur sa nuque et partit rejoindre sa tante.

Bénédicte, persuadée que sa nièce serait charmée à l’idée de plonger dans l’eau claire de la piscine, avait mis son maillot de bain sous ses vêtements, et n’avait pas eu besoin de beaucoup de temps pour être prête à sauter dans l’eau. Elle s’était déjà rafraîchie et attendait mollement Charlotte assise sur le rebord et les pieds dans l’eau quand celle-ci fit son apparition. Elles se regardèrent et suspendirent le temps un bref instant. Si la jeune fille bénéficiait des charmes de la jeunesse dans toute sa splendeur et plus encore, sa tante exhalait une beauté mature et rassurante : un visage agréable et attirant bordé de longs cheveux bruns et illuminés de deux yeux noisette qui pétillaient de douceur, qui séduisaient quiconque avec le bonheur de croiser son regard. Une vie d’aventures lui avait sculpté un corps sans défauts. Son ventre plat était surmonté de deux seins ronds et lourds qui débordaient de son maillot tandis que ses hanches magnifiques auraient rendu jalouses bien des jeunes femmes de 20 ans. Charlotte perdit ses yeux un peu trop longtemps dans la poitrine de sa tante, qui, habituée, lui sourit avec bienveillance et l’invita à la rejoindre dans l’eau.

Les liens familiaux se renouèrent sans détours et les deux nymphes apprirent à se connaitre entre leurs éclats de rire, et après un quart d’heure à barboter dans l’eau, une grande complicité s’était déjà solidement installée entre elles. À bout de souffle, elles décidèrent d’aller se sécher au soleil. Elles mirent les transats côte à côte, et s’allongèrent confortablement. Bénédicte se mit rapidement à somnoler et Charlotte put tout à loisir contempler sa magnifique tante, rêvant d’avoir le même corps lorsqu’elle aurait à son tour quarante et quelques années. Un rayon de soleil un peu plus brillant fit frémir cette femme sublime.

— Charlotte, serais-tu assez gentille pour me passer de la crème solaire s’il te plait ?

La jeune fille acquiesça et pris le tube, dont elle fit couler un peu de crème sur sa main. Elle s’assit et attendit que sa tante s’allonge sur le ventre pour commencer à passer ses mains sur la peau chaude de son dos. Elle parcourut lentement l’espace de peau bronzée et, alors qu’elle soulevait délicatement l’attache du haut de maillot, sa tante lui demanda de le lui retirer, pour plus de confort, ce qu’elle fit poliment. Elle passa ses mains dans le cou, l’étendue du dos, les reins, les flancs, avec gentillesse et application.

— Comme ça tata ?

Bénédicte tourna la tête vers elle et lui sourit.

— C’est parfait ma puce. Tu me ferais le ventre aussi ?

Légèrement intimidée, Charlotte hésita, mais finit par accepter.

— Oui, bien sur…

Les yeux légèrement baissés, elle vit sa tante se retourner face à elle, les seins fièrement dressés sur son torse satiné. Charlotte posa ses mains sur son ventre et recommença lentement à les passer sur cette peau douce.

— Tu n’es pas forcée si tu te sens gênée tu sais !

— Non non… Pas de soucis tata…

Partagée entre sa timidité et l’envie de plaire à sa tante, mais également un étrange attrait pour cette poitrine admirable, l’adolescente avança ses mains et commença à la masser délicatement.

— Je te sens intimidée, je peux très bien me passer la crème sur les seins toute seule tu sais.

— C’est la première fois que je fais ça… Mais c’est bon, ça me fait plaisir de t’aider, et ils sont tellement magnif…

Charlotte se mit à rougir. Qu’est qui lui avait pris de parler ainsi du corps de sa tante?

— "Magnifiques" ? C’est ce que tu voulais dire ?

Les joues rosies par la gène, la jeune fille bredouilla vaguement quelques excuses.

— Oui, je voulais dire qu’ils sont très beaux… enfin plus que les miens…

Bénédicte éclata de rire.

— Oh merci, mais tu sais, les tiens sont très jolis aussi. Et enlève ce rouge de tes joues, pas de gène entre nous !

Sa nièce sourit faiblement sans répondre.

— J’ai une idée ma puce. On va se mettre seins nus toutes les deux. Comme ça, on va enlever cette gène stupide. De toute façon, c’est impératif pour un bronzage parfait. Enfin, je ne te force pas bien sur…

— Si… Désolée, je suis juste un peu pudique, mais tu as raison, désolée d’être comme ça…

— Ce n’est pas grave je te dis, et, encore une fois, tu n’es pas forcée !

Pour toute réponse, Charlotte, passa ses mains dans son dos et défit le haut de son maillot, qui tomba lentement sur son ventre, dévoilant deux merveilles de petits seins juvéniles.

— Et ce sont mes seins que tu trouves magnifiques ! Mais regarde-toi ma chérie !

— Tu trouves ? Merci…

La jeune fille prit lentement confiance, rassurée par le regard rayonnant de sa tante.

— Tu veux que je te passe de la crème à mon tour d’ailleurs ?

— Heu oui pourquoi pas…

La jolie femme posa ses mains sur la jeune poitrine qu’elle tartina lentement de crème solaire. Charlotte, les yeux fixés sur ces mains douces, sentait sa timidité décroître et commençait à apprécier ce contact d’un type encore inconnu. En levant les yeux, elle vit que sa tante avait les siens rivés sur son torse. Et quand celle-ci leva enfin les yeux, une lueur d’un nouveau genre semblait y briller. La caresse, qui aurait dû être brève, se prolongeait sans qu’aucune des deux ne semble vouloir y mettre un terme. Charlotte ne se souciait plus de savoir sa peau protégée ou sa gène domptée, elle était totalement fascinée par ce contact étrange. Sans comprendre pourquoi, elle remit à son tour ses mains sur les seins de sa tante et repris son massage. Le contraste était magnifique entre les petites mains de l’adolescente sur la poitrine généreuse, et les grandes mains de la femme mure sur les seins prometteurs de sa nièce. Leurs regards se croisèrent et ne se quittèrent plus. Dans leurs yeux brillait une fascination réciproque. Elles continuèrent quelques minutes d’une durée indéfinissable, puis d’un commun accord tacite, se levèrent et se prirent par la main. Bénédicte fit le premier pas et se dirigea vers la maison, suivie docilement par sa nièce. Totalement complices, elles entrèrent et montèrent les escaliers sans mot dire.

Au milieu de la chambre de la maîtresse de maison trônait un grand lit. Bénédicte y mena sa nièce et la prit par les épaules pour la tourner face à elle. Debout, elles se regardèrent longuement sans rien dire. Les mains de Bénédicte descendirent sur les hanches de Charlotte, s’y posèrent quelques secondes, pour remonter le long du ventre et sur son visage qu’elle prit à deux mains. Elle tourna ce visage angélique vers le sien et contempla longuement ses trais parfaitement purs. Lentement, sa bouche descendit jusqu’à se poser sur les lèvres innocentes. Son baiser était timide mais ses craintes seffacèrent dès qu’elle sentit sa nièce se dresser sur la pointe de ses pieds et passer ses bras fins autour de son cou. Rassurée, elle l’enlaça par la taille et leurs corps se collèrent.

D’abord délicat, le baiser se fit plus passionné quand les langues se mêlèrent l’une à l’autre. Sans vraiment comprendre ce qui lui arrivait, Charlotte se sentait en parfaite sécurité contre cette peau chaude et cette femme sublime à qui elle voulait s’offrir totalement. Elle sentit des mains douces caresser son dos, rapprocher leurs corps et la soulever de terre, pour que l’instant d’après elle se retrouve allongée sur le lit, avec cette femme face à elle.

L’une sur l’autre, leurs baisers continuèrent de plus belle. Bénédicte s’arrêtait de temps à autres pour contempler sa jeune amante en lui caressant les cheveux puis, terrassée par sa beauté, replongeait sa langue dans la petite bouche chérie. Après de longues minutes passionnées, elle tentât de reprendre ses esprits.

— Tu réalises ce que nous sommes en train de faire ma petite puce ?

— Heu oui… Enfin je crois…

— Et heu… C’est ce que tu souhaites ?

— Oui…

L’adolescente leva la tête et embrassa tendrement son aînée, ce qui acheva de briser toutes les barrières. Décomplexée, Bénédicte commença à explorer le corps de sa nièce de ses baisers. De sa bouche, elle parcourut les joues, puis descendit dans le cou, où quelques petits coups de langue suffirent à provoquer les premiers gémissements de la tendre enfant. Sentant son excitation monter, elle descendit vers ces seins chéris où sa bouche put remplacer ses mains. Elle fit durcir les petits tétons en les aspirant et les suça amoureusement, pendant que de nouveaux gémissements aigus l’encourageaient à continuer. Incapable de s’arrêter, elle couvrit le petit ventre de baisers en descendant lentement vers l’endroit sacré. Elle posa un baiser sur le bas du maillot et leva des yeux interrogateurs. Charlotte avait les yeux baissés vers sa tante, les joues rouges de plaisir et la bouche entrouverte. Dans ces yeux elle ne lut aucune désapprobation et, toujours fixée vers sa nièce, fit descendre le maillot de long des fines cuisses. Devant elle apparu le jeune sexe encore vierge de Charlotte, tendre et délicat. Elle posa doucement sa main dessus et le caressa tendrement. Elle appuya légèrement avec son index qui se glissa dans la fente innocente et provoqua un nouveau gémissement de la jeune fille. Son doigt s’infiltra lentement dans le sanctuaire chaud et étroit, et elle commença des vas et viens réguliers.

Charlotte s’était déjà masturbée chez elle à quelques reprises et sans grand succès, et sentit un changement radical sous les caresses de sa tante. Ce doigt en elle lui procurait des frissons inconnus qu’elle accueillait d’abord avec méfiance mais qui finissaient par avoir raison de ses doutes. Elle se sentait comme fondre alors que son humidité répondait aux caresses de sa tante. Sans prévenir, elle sentit une langue se poser sur sa fente, et, à peine commençait elle à bouger qu’un long gémissement sortit de sa bouche.

— Oui ma puce, comme ça, laisse toi aller.

Un deuxième doigt pris possession de son intimité, qui la fit se cambrer de plaisir. Son corps d’enfant se tordait sous l’action d’une langue experte qui se délectait de ce fruit défendu. Lorsque cette langue découvrit son clitoris, elle ne put retenir ses cris.

— Haaan ouii ! Ouii ! C’est boon haan !

Une boule de feu commença à se former dans son ventre. Un plaisir qu’elle pensait surnaturel se mit à déferler dans son corps. Sentant sa nièce monter vers l’explosion, Bénédicte se mit à la doigter de plus belle, la langue toujours active sur le petit clitoris.

— Aaaaah ! C’est trop booooon !

Les cris d’extase de l’adolescente remplirent la pièce, alors que le jeune sexe subissait les derniers assauts.

— Aaaah mon dieeeeu ! Haaaaaaaan !

Le jeune corps se raidit tout à coup. Bénédicte stoppa son geste et vit sa nièce retomber mollement sur le lit, à bout de force. Lentement elle retira ses doigts et caressa le sexe de son amante qui reprenait son souffle.

— Lààà, relâche-toi ma chérie, laisse-toi aller.

Elle remonta sur son ventre en le couvrant de baisers et s’allongea à ses côtés, la prenant dans ses bras protecteurs. Comprenant que la jeune fille aurait besoin de temps pour se remettre, elle la serra contre elle et lui caressa les cheveux.

— On va faire une petite sieste, ça va te faire du bien, d’accord ?

— Oui tata… Je suis désolée, je me sens toute molle…

— Ne t’excuse pas, c’est normal, et ça m’a fait très plaisir. À toi aussi ?

— Oh oui ! On recommencera ?

— Les vacances ne font que commencer ma chérie.

Elle posa ses lèvres sur celles de sa nièce et elle s’endormirent l’une contre l’autre, sans cesser de s’embrasser.

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