Je ne trouve rien à répondre. En réalité, je suis tétanisé depuis que Franck est apparu dans le salon. Il doit bien mesurer deux têtes de plus que moi et, sous la robe de chambre, je devine un corps bodybuildé. De plus, l’air détendu qu’il affiche m’inquiète plus qu’il ne me rassure. Car derrière son sourire teinté de mépris, je vois ses mâchoires qui se crispent, révélant ainsi une nervosité contenue.
Je crois bien que ce type est prêt à me bondir dessus pour me cogner. Je n’ose pas parler, de peur de prononcer les mauvais mots et de faire exploser sa colère.
Je suis d’autant plus troublé que je sens, en même temps que la peur, une douce chaleur envahir mon bas-ventre. L’excitation qui s’était accumulée en moi, depuis que je suis entré chez Katia, s’est envolée d’un coup à l’arrivée de Franck. Mais là, devant ce couple magnifique, dont la femelle me dévoile son cul tout en câlinant son homme, et dont le mâle me domine de son regard froid tout en malaxant les fesses de sa femelle je ressens un trouble et une excitation que je ne parviens pas à m’expliquer.
Je ne devrais normalement ressentir que des émotions négatives, comme de la peur, de la déception ou de la honte. Je ressens effectivement tout cela. Mais, malgré ces sentiments (ou peut-être à cause d’eux) je suis à nouveau submergé par une vague d’excitation sexuelle.
Je devine que le sang me monte au visage et que je deviens rouge comme une pivoine. Mon trouble et mon excitation visibles ne semblent pas échapper à Katia qui me scrute de ses yeux luisants, depuis le cou imposant et viril dans lequel elle a enfoui son visage.
Sans cesser de câliner son homme, elle me lance, d’une voix que sa propre excitation rend un peu chevrotante :
Franck t’a posé une question, Julien. Tu voulais me baiser ?
À peine a-t-elle prononcé ces mots que Franck émet un petit rire complice avant de l’embrasser à pleine bouche, tout en accentuant la pression de sa grosse main sur le cul magnifique.
Tout en sentant des larmes de honte et de rage couler sur mes joues, mais également de plus en plus submergé par cette excitation étrange, j’émets un faible oui. Je me surprends moi-même à participer à cette conversation surréaliste plutôt que de tenter de fuir. Mais le désir nouveau et incompréhensible qui m’habite me maintient cloué sur place, à la merci de ces deux bourreaux dont chaque provocation, chaque parole et chaque geste d’humiliation me neutralisent un peu plus à cause du plaisir étrange qu’ils font croître en moi.
Katia contemple mes larmes d’un air fasciné, avec une lueur vorace dans ses yeux magnifiques. Son sourire s’élargit.
Merde, je crois bien qu’il est amoureux de moi, chéri ! dit-elle à Franck en posant sa main de déesse sur la cuisse musclée de son mâle, juste à la lisière de la robe de chambre. On l’a fait pleurer cette fiotte !
À ces mots, je fonds pour de bon en larmes. Des vrais pleurs sincères, mon cur est brisé. Encore une fois, mes émotions me surprennent : au moment où je fonds en larmes, mon sexe durcit comme jamais et viens déformer l’avant de mon pantalon, sous les yeux de mes deux hôtes. Jamais je n’avais bandé avec une telle vigueur, ni aussi soudainement. Jamais je n’avais ressenti une excitation aussi profonde, aussi sauvage, aussi totale.
Bien évidemment, mes larmes et ma bite bandée provoquent des éclats de rire du côté du couple. Je me sens tellement minable et c’est tellement bon !
Mes larmes brouillent ma vue pendant de longues secondes et, quand j’y vois à nouveau, je constate que Katia a fait jaillir la bite de Franck d’entre les pans de la robe de chambre. Elle tient la belle queue bien raide d’une main ferme et me toise avec un air souverain. Je devine d’instinct ce qui va arriver, et je ne peux empêcher la nouvelle vague d’excitation qui déferle en moi, qui me submerge totalement.
Ce que dis ensuite Katia confirme mon intuition :
Pauvre bébé, il a un gros chagrin ! Et, tout en me désignant la queue de Franck, elle poursuit d’un air amusé : viens mon bébé, viens prendre ta sucette, maman sait comment te consoler ! Viens, viens lécher ta grosse sucette !
Je suis dans un tel état d’excitation, et cette sensation d’humiliation me retourne tellement les sens, que je me dirige aussitôt, à quatre pattes, jusqu’au sexe de Franck. C’est comme si j’étais possédé et qu’une salope en moi, que j’ignorais jusqu’ici, venait de se réveiller et de prendre le contrôle de mon cerveau. Je n’ai qu’une envie : prendre la belle bite de Franck dans ma bouche. C’est autant le désir sexuel qui me motive, qu’une volonté incontrôlable de plaire au couple, de leur montrer que j’ai bien compris où est ma place et que je l’accepte : ils sont les dominants, je suis la lopette tout juste bonne à sucer la queue du mâle Alpha. Cette prise de conscience me procure une nouvelle vague de frissons : je me vautre sans retenue dans l’humiliation et la soumission. C’est terriblement bon et excitant !
Une fois que j’ai la queue de Franck dans la bouche, une grande plénitude m’envahit. Ça y est, je suis enfin à ma place… Katia, cette femme que je voulais baiser, m’a en réalité révélé à moi-même : je ne suis pas de ceux qui baisent les femmes splendides, mais de ceux qui sucent leur mec. De moi-même, j’exécute des gestes de salope : je caresse les couilles de Franck, je passe ma main sur son ventre, j’embrasse sa queue sur toute sa hauteur
Je déguste la bonne chaleur du gros gland dans ma bouche. Le gland du mâle dominant. Je n’avais jamais encore goûté la queue d’un autre homme et la saveur, si elle me surprend au début, m’enivre peu à peu. J’adore sentir ma bouche se remplir de ce goût de mâle. J’adore être à quatre pattes, là, comme une grosse salope. J’éprouve un immense sentiment de gratitude envers le couple. Je ferais n’importe quoi pour eux.
Katia, avec des gestes maternels, sèche les dernières larmes sur mes joues. Ses mains chaudes passent dans mes cheveux et sur ma nuque, comme pour me réconforter.
Chuuut, mon bébé, chuuut voilààà ça va mieux ? Ça va mieux avec une bonne bite dans la bouche ? Allez, suce, Maman est là Dis, tu veux renifler la mouille de Maman ? Ça te ferait plaisir de renifler mon jus ?
Sans attendre ma réponse, elle glisse sa belle main dans son string (qui maintenant est totalement trempé) et la ressort toute luisante de mouille. Elle passe ensuite ses doigts splendides sous mon nez, me badigeonnant ainsi les narines de sa mouille poisseuse et odorante.
Franck, durant tout ce temps, n’a pas bronché. Il me regarde toujours avec le même regard froid et méprisant. Je décèle même une lueur d’amusement cruel au fond de ses yeux.
Alors, ma bouche remplie par la queue du mâle Alpha, mes narines luisantes de la mouille de sa femelle, je suis au paradis ! Jamais je ne me serais cru aussi soumis, aussi salope et pourtant, je prends totalement mon pied
Katia pousse doucement sur ma tête pour m’encourager à avaler la bite de Franck plus profondément. Puis, sans se départir de son ton chaud et maternel, elle me déclare : "tu sais, mon bébé, tout à l’heure Papa va baiser Maman. Alors tu dois bien mouiller sa bite, et bien la faire durcir. Maman a envie d’une queue bien dure et bien mouillée, alors tu dois t’appliquer"
à suivre