LA COUTURIERE

Avec ma première paye, je décidais de m’acheter quelques vêtements, chemises, pulls et bien-sûr des pantalons. J’allais donc en fin de semaine dans une grande surface et en revenais lesté de plusieurs sacs pleins et surtout délesté de plusieurs centaines de francs.

En arrivant, je déballais le tout pour montrer mes achats à ma mère qui surprise me dit que j’avais eu mon goût, mais en voyants les deux pantalons que j’avais acheté, elle me demanda si j’avais pensé aux ourlets, étonné je lui dis « mais ils sont à ma taille » elle éclata de rire et me dit « peut-être en taille mais je pense qu’ils vont être trop logs. Je filais dans ma chambre pour essayer mes affaires et je m’aperçu très vite qu’elle avait raison, les pantalons étaient trop longs, je descendis déçu et lui dit « comment est-ce que je vais faire, ils sont bien trop longs et je ne sais pas qui aller voir ». Ma mère me dit que notre voisine d’en face, Sylvia, était couturière à domicile et qu’elle ne refuserait certainement pas de faire le nécessaire moyennant un prix modique. Toutes les voisines me connaissaient depuis mon plus jeune âge mais je ne connaissais aucune de leurs professions.

Ma mère téléphona à Sylvia qui lui dit qu’il n’y avait pas de problème, que je n’avais qu’à passer le lendemain dans la journée et qu’elle verrait ce qu’elle pourrait faire.

Le lendemain matin alors que – ma mère partait pour le week-end voir une de ses surs et me rappela que je devais aller chez Sylvia pour mes pantalons. J’attendis 10h et j’allais sonner en face avec mes pantalons sur le bras.

Sylvia m’accueillit très gentiment en me disant que son mari était partit travaillé (il était ramoneur) et me proposa un café que j’acceptais volontiers, Alors qu’elle allait remplir la cafetière avec de l’eau, je vis qu’elle portait une blouse en nylon de couleur bleu ciel et qu’elle était pieds nus. Historie de discuter et d’être poli, je lui demandais si elle n’avait pas froid avec ses pieds nus sur le carrelage, elle sourit et me dit « oh que non, d’abord parce que je suis habituée et comme tu peux le constater, il ne fait pas froid dans la maison, de plus j’aime bien être à l’aise et c’est pour ça que je porte une blouse qui ne me tient pas trop chaud ».

Pendant que nous buvions notre café, je l’observais discrètement, je savais qu’elle avait 55 ans et je la trouvais plutôt pas mal à regarder, elle était plutôt petite car elle m’arrivait à peine à l’épaule et elle était un peu replète ce que j’aimais chez une femme, de toutes manières, j’aimais toutes les femmes quelque soit leur physique car mon éducation sexuelle avait été faite dans ce sens depuis quelques années et ce sont les femmes mures qui m’ont toujours le plus attiré. Après avoir bu notre café, Sylvia ce leva, et posa devant moi un petit tabouret en me disant « bon allez, tu enfiles déjà le premier pantalon et tu montes la dessus pour que je marque l’ourlet. Et là un grand moment de solitude m’envahit, je n’avais pas pensé à ça et j’étais sorti de chez moi comme d’habitude, à savoir un pantalon, un sweat et des mocassins, et rien d’autre, surtout pas de slip que je ne portais que pour aller bosser. Je lui demandais s’il était indispensable d’avoir le pantalon sur moi et si elle ne pouvait pas simplement mesurer par rapport à celui que j’avais sur moi. Elle éclata de rire « bien sur que non grand nigaud, je ne pourrai faire du bon travail qu’en marquant l’ourlet avec des épingles alors que tu portes le pantalon » et elle rajouta « allez ouste, enfile ce pantalon et dépêche-toi un peu ». Je ne savais plus où me mettre, je lui demandais où je pouvais me changer, elle me toisa et dit « ben voilà autre chose, je te rappel que je te connais depuis que tu es tout petit, ça fait donc 18 ans maintenant, que je suis marié et que j’ai un fils donc tu ne sera pas le premier que je verrais en slip ». Je lui dis que ça me gênait et lui demandais où je pouvais me changer, en haussant les épaules elle dit « tu n’as qu’à aller dans la petite chambre qui est derrière toi ».

Je partis dans la chambre et je me changeais rapidement puis revenant dans la pièce principale, je montais sur le petit tabouret et restait sans bouger. Sylvia s’approcha avec une boîte d’épingles et s’accroupit devant moi, et afin de maintenir son équilibre écarta largement les cuisses, et là j’ai senti que tout basculait, car j’avais une vue plongeante sur le décolleté que je n’avais pas remarqué tout à l’heure mais de plus sa blouse qui n’était pas fermée jusqu’en bas et qui était remontée haut sur ses cuisses quand elle s’était accroupît me permettait d’avoir  une vue superbe sur cette fourche grande ouverte.

Bien sur, je me mis à bander immédiatement et le pantalon que j’avais acheté étant en tergal, mon érection était on ne peut plus visible, comme Sylvia était occupée à planté ses épingles pour marquer l’ourlet, je me dis que ça allait peut-être passer, mais je n’arrivais pas à détacher mon regard de sa vallée mammaire ni de la fourche de ses cuisses et mon érection ne faisait que s’accroître. Evidemment Sylvia releva la tête et me vit en train de la mater, elle me dit « ça va oui, la vue te plaît, regarde devant toi et ne bouge pas », puis elle continua son travail, au bout de quelques minutes elle se releva et bien sur vit dans quel état j’étais, elle me dit simplement «  ne bouge pas, je ne veux pas que tu te piques avec les épingles », puis elle posa la boîte d’épingles sur la table basse et s’accroupissant à nouveau me dit en me tapotant le pied gauche « lève le pied » comme je ne voulais pas courir le risque qu’elle se fâche je fis ce qu’elle me dit en me demandant pourquoi, je compris vite, elle m’ôta mon mocassin puis tapotant l’autre elle dit « à l’autre » puis enleva le second. Alors que je me demandais ce qu’elle voulait faire elle me dit «  c’est marrant tu me demandes si je n’ai pas froid pieds nus et toi tu te balades pieds nus aussi » puis se relevant elle attrapa le bouton de la ceinture de mon pantalon en disant « je vais t’aider à l’enlever pour que tu ne te piques pas ».

J’étais très gêné car mon érection était à son maximum et Sylvia venant de se relever, elle ne pouvait pas ne pas voir ma situation, je n’eu pas le temps de dire quoique ce soit, que déjà elle avait déboutonné mon pantalon et baissait la fermeture éclair de ma braguette, puis baissant le pantalon très doucement elle le va les yeux et me demanda « c’est pour moi tout ça » tout en caressant très doucement la bosse qui déformait mon pantalon puis passant les mains autour de ma taille, elle les rentra par derrière dans mon pantalon pour le baisser mais s’arrêta aussitôt en disant « dis donc petit cochon, ça t’arrive souvent de te balader sans slip ? » mais tout en disant cela elle continua à baisser mon pantalon tout en me caressant les fesses ce qui n’arrangea en rien ma situation et c’est une bite bien dure qui sortit du pantalon, Sylvia fit comme si de rien n’était et continua à baisser le pantalon jusqu’à mes chevilles tout en effleurant ma peau, une vrai torture, le pantalon sur les chevilles et elle de nouveau accroupit, exposant sa poitrine et la fourche de ses cuisses, elle me dit « allez on recommence un pied après l’autre et ensuite tu ne bouges pas », à nouveau je fis ce qu’elle me demandait puis elle se releva et posa le pantalon sur la table et se retournant elle était juste à la hauteur de mon sexe érigé, elle me dit « je crois que c’est de ma faute, je vais réparer, je ne peux pas te laisser partir dans cette état ».

Sylvia déboutonna sa blouse et l’enleva, ce qui me permit de voir qu’elle portait une combinaison couleur saumon, puis elle abaissa les bretelles de la combinaison sur ses épaules et pris à pleines mains ses deux seins qui étaient libres puis s’approchant elle enferma ma queue entre ses deux seins et commença un doux massage. Je crus que j’allais perdre l’équilibre, elle me demanda «  ça te plaît, tu aimes ce que je te fais » et pour finir sa phrase elle pencha sa tête en avant et passa sa langue sur mon gland, je crus que j’allais jouir, et je me retins de toutes mes forces car je voulais profiter pleinement de cette caresse. A chaque va et vient, un coup de langue venait lécher mon gland et très rapidement je me mis à gémir de plaisir, Sylvia compris ce que ça voulait dire et elle accéléra le mouvement de ses seins autour de ma bite et quand elle sentit que j’allais partir, elle ouvrit la bouche et lâchant ses seins, avala ma queue en entier juste au moment ou j’explosais, elle me garda en bouche et je sentais qu’elle avalait mon foutre puis elle recommença à me sucer pour me nettoyer la bite. Quand elle s’arrêta, mes jambes ne me tenaient pratiquement plus et elle du m’aider à descendre du tabouret ce qu’elle fit en posant une main sur mes fesses.

Je venais de jouir mais la toilette qu’elle venait de faire m’avait fait rebander et elle me dit « encore, mais tu n’es pas possible » puis flattant ma queue elle me dit « rhabille-toi mon chéri, j’ai beaucoup de boulot et de plus mon mari ne va pas tarder alors tu reviens demain matin, puisque ce connard passe son dimanche matin au PMU, j’aurais fini tes pantalons et si tu le veux on finira ce qu’on a commencé » puis elle avança sa bouche vers la mienne et j’y posais mes lèvres avant de forcer les siennes avec ma langue, un baiser gourmand et très chaud, elle me repoussa et me dit « allez, dépêche-toi, tu peux venir vers qu’elle heure demain ? » je lui répondis que je pouvais venir à partir de 10h30 car je faisais des travaux de jardinage chez une voisine, elle me donna un nouveau baiser et me dit « à demain alors »

Le lendemain, je décidais d’écourter la séance de jardinage chez Angélina (voir les chapitres sur mes voisines) et trouvais un prétexte futile après l’avoir fait jouir pour retourner voir Sylvia plus tôt que prévu car j’en avais très envie.

Lorsque je rentrais chez Sylvia, je commençais par lui demander si je ne dérangeais pas et si elle était seule, après qu’elle eut acquiescé, je pris ses lèvres puis sa bouche comme « un mort de faim » et le baiser que nous échangeâmes ne se termina que pour cause de perte de souffle. Pendant que Sylvia récupérait, je m’attaquais au bouton de sa blouse et m’aperçu très rapidement qu’elle ne portait rien en dessous à part une culotte, ses seins volumineux attendaient mes caresses et ses tétons ma bouche , je m’empressais de les faire gonfler en les léchant puis en les mordillant alors que Sylvia gémissait, lorsque j’arrêtais pour finir de lui enlever sa blouse, elle me dit « je pensais que tu ne viendrais pas, comment une vieille comme moi peut-elle t’attirer ? » je lui répondis « tu m’attires avec ce que tu m’as fait hier et tout ce que je vais te faire aujourd’hui, je préfère et de loin les femmes mures qui sont très souvent plus cochonnes que les autres » et comme j’avais fini de déboutonner sa blouse, je la retirais, puis soulevant Sylvia par-dessous les bras je l’asseyais sur la table et lui dit « aujourd’hui c’est à moi de me régaler » puis je la poussais par les épaules et alors qu’elle prenait appui sur ses bras je pris sa culotte et tirais dessus, Sylvia souleva ses fesses pour faire passer le morceau de tissu puis je le retirais et le jetais derrière moi. Sylvia respirait fort et me demanda « qu’est-ce que tu veux me faire ? » je la regardais et lui dit « ça » et je plongeais ma tête entre ses cuisses en sortant ma langue que je commençais par passer du bas au haut de sa fente, puis prenant mon temps je titillait ses grandes lèvres, les aspirais et les mordillais alors que Sylvia disait en gémissant « c’est pas vrai, c’est trop bon, dévore moi mon chéri » et je ne me fit pas prier, je la fit jouir deux fois avec langue son plaisir coulait sur ma langue et sa chatte était trempée et quand elle me demanda d’arrêter je me relevai, ouvrai mon pantalon et en sortait ma queue qui était droite comme un I, je posais mon gland sur sa fente et la caressait un peu avant de l’enfiler d’un coup dans sa chatte baveuse à souhait. Sylvia ouvrit la bouche en grand et gémit en me disant « oh putain ce que c’est bon, mets la moi au fond s’il te plaît mon chéri, défonce moi et vide toi dans ma chatte, je t’en supplie » les désirs d’une femme sont des ordres et je fis exactement ce qu’elle me demandait et quand je finis par jouir au fond de sa chatte, elle partit en même temps que moi.

Nous reprîmes nos forces doucement et Sylvia se releva pour nous faire un café, et tout en le préparant elle me dit « ça fait au moins 20 ans que je n’ai pas joui comme ça, merci mon chéri, j’en arrivais à croire que je ne jouirai plus jamais en dehors de mes caresses bien sur », je me rapprochais d’elle et tout en lui caressant les fesses je lui dit « non, c’est moi qui te remercie, tu m’as donné beaucoup et j’ai très envie de te donner encore du plaisir » elle se retourna, m’embrassa et me dit « c’est quand tu veux ».

A partir de ce jour là, toutes les occasions furent bonnes pour aller voir Sylvia.

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