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Des retrouvailles bestiales – Chapitre 1




Voilà maintenant deux semaines que je suis partie en vacances, loin de mon irrésistible copain. Deux semaines sans affection, sans mots doux et bien sûr, sans sexe. Personne à qui me plaindre car je n’imagine pas la tête des mes grands-parents s’ils apprenaient qu’une jeune femme comme moi pouvait avoir une libido aussi conséquente.

C’est aujourd’hui mon grand retour. Mon copain m’attend sur le quai de la gare et il me tarde de le retrouver. Je me suis faite belle, j’ai mis mon plus beau décolleté, un beau débardeur à pressions qui met mon 90C bien en valeur. Le train arrive à la gare et je me dépêche de descendre. Je récupère mon sac et découvre le visage de mon amoureux lorsque la porte s’ouvrit. Je sautais dans ses bras:

— Chéri! Tu m’as terriblement manqué, comment vas-tu?

— Très bien, je suis content de te retrouver. Tu es splendide aujourd’hui ma belle.

— Merci, ça me fait plaisir de revoir ta bouille. Allons, il me hâte de rentrer.

C’est après un bonne petite soirée passée en ville que nous sommes rentrés. J’étais contente d’avoir retrouver mon copain, mais au fond de moi, j’avais hâte de retrouver la sensation de l’orgasme intense, qu’une bite procure à une femme. Je me précipitais dans la salle de bain, pour me doucher et enfiler une petite tenue. Mon cher et tendre, affalé torse nu dans son fauteuil, sirotais un jus de fruit. Son regard se détourna vers moi quand j’entrai dans la pièce:

— Mais qu’attends-tu de moi jolie créature? Tu es pétillante dans cette nuisette rose, ça te manque autant que ça le cul?

— Il faut croire que oui. J’ai attendu cette soirée avec impatience. Et j’ai de la suite dans les idées…

— Dis m’en plus chérie…

Je me penchais vers lui et lui susurrais quelques mots à l’oreille…

— Cochonne! Je ne m’attendais pas à ça. Tu connais mes conditions je crois…

— Bien sûr! Je serai une vraie salope, la soumise de tes rêves. Alors, tu cèdes?

— Prouve moi à quel point ma bite te manque alors!

Je commençais à faire tomber les bretelles de ma nuisette le long des mes épaules. Je voyais l’entre jambe de mon conjoint qui enflait doucement…

— Mets-toi à l’aise bébé. Enlève ce jean, ta queue ne respire plus!

— Tu sembles oublier que JE donne les ordres… Mais j’avoue que ton conseil est bon à prendre, je suis à l’étroit dans ce jean.

Je continuais alors de faire glisser ma tenue le long de mes courbes et de mes hanches harmonieuses. Mon copain fut surpris qu’un petit string de même couleur que la nuisette: m’habillait encore. Il commença à passer sa main par dessus le morceau de tissu.

— Tu as trempé ton string ! Pauvre fille, tu ne mérites pas que je te fasse plus de plaisir que ça. Prouve-moi que tu ne supportes plus mes caresses à travers ce string et je te caresserai ta chatte.

Je commençais à trépigner d’impatience. Ses caresses me faisaient mouiller comme jamais. Ça faisait tellement longtemps.

— Passe ta main dans mon string et titille-moi le clito…

— Tu as une tâche humide entre les jambes… C’est moi qui te fais cet effet? Petite salope. Supplie-moi…

— Allez! S’il te plaît…

Je saisis sa main de force, pour qu’il me touche enfin.

— Eh! Eh! Sois patiente…

— Cela fait deux semaines que j’attends que tes mains me doigtent et me caressent comme jamais. Au lieu de rester assis là, touche moi, et correctement, j’t’en supplie…

Je voyais à présent son gland qui dépassait de son caleçon. Sa longue et grosse queue bandait comme jamais. il se mit debout un court instant, m’attira contre lui et m’embrasse fougueusement. Il me massa le cul tout en me mettant un doigt. Je sentais la dureté de son entre jambe contre moi et ça m’excitait davantage. Je le repoussais sur le fauteuil et il s’affala tel un pacha dirigeant sa poupée gonflable. Je me mis à genoux et je commençais à ramper à l’affût de sa grosse queue. Il baissa son caleçon et poussa ma tête de force en direction de sa bite. Je commençais à le faire languir, en embrassant son bas ventre tout autour de son pénis irrigué comme jamais. Il saisis ma tête entre ses deux mains et enfourna sa bite dans ma bouche.

— Suce-moi! Tu aimes avoir ma grosse bite dans ta bouche. D’ailleurs, tu vas la prendre dans tous les trous ce soir! Hummm! Bébé, tu suces trop bien… Je sais que tu as hâte de te la prendre dans les deux autres trous mais continue… Ahh oui, vas-y… Hummm…

Il jouissait sous mes coups de langue saccadés et sous mes succions… De mon côté, ma chatte trempait de mouille m’élançait d’envie et mon cul frétillait d’impatience de recevoir sa bite…

A suivre chapitre 2…

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