Dans les semaines qui suivirent, Valérie reprit ses vieilles habitudes. Même si elle accepta une fois une fellation, elle sembla le faire plus pour s’excuser de son comportement pervers que par envie. Dès lors, j’ai compris que ma femme accepterait plus de choses si elle y était contrainte. Et j’ai aussi décidé que si quelqu’un devait la contraindre à quelque chose, ce devait être moi.
Quand notre soirée en amoureux arriva, j’ai contacté Lilou malgré le désaccord de mon épouse.
« Mais tu ne vas pas la faire venir, elle va encore me faire faire des cochonneries.
— Je te promets que, cette fois-ci, elle ne t’obligera pas à faire quoi que ce soit.
— Tu ne feras rien, comme d’habitude.
— Je veillerais au grain. Fais-moi confiance. »
Lilou arriva très tôt le soir avec un sourire en coin qui ne laissait aucun doute sur ses intentions malveillantes. Je laissais d’ailleurs Valérie douter du fait qu’elle n’allait pas devoir suivre la perversité de notre baby-sitter.
« Tu vas t’habiller comment ? Demanda Lilou
— Je ne sais pas encore, lâcha Valérie.
— Viens avec moi… Je vais t’aider à choisir…
— Frédéric ! Gronda mon épouse.
— Quoi ? Il faut bien que quelqu’un s’occupe du petit pendant que tu te changes. »
Valérie baissa les yeux comme si elle se résignait à être encore le jouet de Lilou. Elle la suivit dans la chambre et elles s’y enfermèrent. Lorsqu’elle sortit, Lilou semblait fière d’elle. Elle m’annonça que Valérie se préparait et qu’elle arrivait. Quelques minutes plus tard, Valérie arriva. Elle portait une jupe évasée bleue avec un chemisier blanc à fines rayures bleues. Il m’était impossible de voir quel ensemble de sous-vêtements a été choisi. Nous avons discuté de tout et de rien tous les trois avant que Valérie et moi finissions de nous préparer pour le départ. Lilou a choisi des sandales à talon pour mon épouse qui allaient parfaitement bien avec le reste de la tenue. C’est alors que j’ai mis en place ce que j’avais décidé pour ce soir.
« On y va, lançais-je.
— Bonne soirée. Je prépare votre retour, répondit Lilou avec un clin dil.
— Sûrement pas, dis-je sèchement. »
Les deux femmes me regardèrent alors étonnées.
« Si tu prévois quoi que ce soit, tu ne seras pas payée et c’est la dernière fois que tu viendras.
— Si tu veux, Frédéric…
— Moi, c’est ’Monsieur’ !
— D’accord, Monsieur, me répondit-elle bouche bée. »
Valérie et moi nous sommes alors retrouvés dans la voiture.
« Ça va, Frédéric ?… Tu as l’air bizarre…
— Je t’avais dit que je m’occupais de tout. Je tiens ma promesse.
— Merci, mon chéri.
— Moi, c’est ’Monsieur’. »
Valérie ne me répondit pas mais je l’ai sentie troublée par cette dernière phrase. J’ai alors posé ma main sur sa cuisse et l’ai remontée assez haut pour lui montrer que cette soirée ne serait pas tranquille. Un peu plus tard, nous sommes arrivés devant une sorte de boîte de nuit dont le parking était plein. Une fois garés, j’ai saisi la main de Valérie pour l’entraîner dans l’établissement. Malgré la foule, nous avons trouvé une petite table non loin de la piste de danse. Alors que j’allais chercher deux verres pour mon épouse et moi, je vis celle-ci être approchée par un jeune homme qui l’invita à danser. Valérie le repoussa gentiment avant que je ne puisse revenir.
« Il avait l’air intéressé…
— Qui ?
— Le gars qui est venu te voir. »
Valérie haussa les épaules puis commença à siroter son verre. J’avais volontairement pris un alcool un peu fort pour faciliter la suite. Une fois son verre fini, je l’envoyais sur la piste. Très vite, le jeune homme s’approcha de nouveau de Valérie. Après une petite danse, elle le repoussa de nouveau et revint vers moi.
« Qu’est-ce que tu fais ? Lui demandais-je.
— Rien… Tu veux que je reste là-bas ?
— Oui. Et sois plus ’avenante’ avec le pauvre mec qui vient te voir.
— Ça va pas non… Tu veux que je le laisse me tripoter ?
— S’il a envie. Mais reste visible. »
Un peu abasourdie, Valérie retourna sur la piste. Bien évidemment, le jeune homme revint auprès de mon épouse. Au rythme de la musique, Valérie dansait avec ce jeune homme. Au fur et à mesure, celui-ci se faisait plus tactile. Les mains du jeune homme se posèrent sur ses hanches, ses épaules puis son ventre. A la fin, il avait glissé ses mains sur les cuisses de Valérie remontant un peu sous sa jupe ou sur ses fesses. Je voyais que Valérie était gênée mais n’osait pas repousser son assaillant. Elle jeta un regard inquiet vers moi espérant que je la tire de là. Pour ne pas gâcher la suite, je lui fis signe de revenir.
« Enfin, j’ai eu peur que tu me laisses avec ce pervers.
— ’Monsieur’, lui dis-je sèchement. Penses-y ou je te dis d’y retourner et de l’amener dans les chiottes pour le sucer.
— Pardon… Monsieur… »
J’entraînais alors Valérie hors de la boîte jusque sur le parking. Une fois dans la voiture, Valérie ma demanda ce qui se passait. Sans un mot, je conduisis vers un coin plus calme que je connaissais. J’arrêtais la voiture dans un petit parking isolé. Nous sommes sortis et j’ai attiré ma femme vers moi. Je l’ai enlacé et l’ai embrassé à pleine bouche. J’ai alors caressé la poitrine de Valérie. Je me suis alors aperçu au contact de ses tétons que Valérie ne devait pas avoir de soutien-gorge. Pour en avoir le cur net, j’ai déboutonné le chemisier de mon épouse. J’ai glissé mes mains à l’intérieur touchant directement sa peau. J’ai ensuite tâté ses tétons durcis. Valérie se laissait faire. Tout à coup, j’eus besoin de vérifier plus avant la tenue de mon épouse. J’ai posé mes mains sur ses fesses et j’ai commencé à remonter petit à petit la jupe. Quand elle fut relevé, j’ai reposé mes mains sur ses fesses, le découvrant nues.
« Alors, Lilou ne t’a pas autorisé à mettre de la lingerie ?
— Non… Monsieur.
— Et tu te sens comment sans culotte ?
— Pas très bien. »
Sanctionnant son oubli, je fis claquer mes mains sur ses fesses.
« Pas très bien, Monsieur.
— Et le gars dans la boîte, il s’en est aperçu ?
— Oui, Monsieur, me dit-elle en baissant les yeux. »
Excité comme jamais, j’eus envie de Valérie. N’écoutant que ma libido, j’ai poussé sur les épaules de ma femme. Elle s’accroupit au salon, écartant largement les jambes. De la où j’étais, j’avais un point de vue imprenable sur sa poitrine nue dans son chemisier largement ouvert. J’imaginais son sexe offert à la fraîcheur de la nuit. J’ouvris ma braguette faisant jaillir mon sexe bandé face à son visage. J’ai posé ma main à l’arrière de sa tête pour la tirer vers moi. Malgré une molle protestation, Valérie ouvrit la bouche et y accueillit ma verge. Elle entama alors une fellation des plus douce et agréable. Ses lèvres et sa langue firent des merveilles. J’eus beaucoup de mal à contenir mon orgasme mais je ne voulais pas que je lâche tout de suite. J’ai alors ordonné à ma femme de se relever.
« Tu es une bonne suceuse. N’est-ce pas ?
— Je ne sais pas, Monsieur.
— Oui, je te l’assure. Tu devrais en être fière et le dire.
— Comment Monsieur ?
— Dis que tu es une bonne suceuse.
— Je suis… commença-t-elle en baissant les yeux et la voix.
— Une ?…
— Une bonne… suceuse… murmura-t-elle. »
Ouvrant la porte arrière de la voiture, je poussais la tête la première de Valérie à l’intérieur. Ses jambes restaient tendues à l’extérieur de la voiture. Retroussant sa jupe, j’eus une superbe vision de ses fesses et de son sexe nus. Je glissais un doigt entre ses lèvres pour découvrir son abondante humidité.
« Tu mouilles petite coquine.
— Pardon Monsieur.
— Pourquoi ? Je vais pouvoir te baiser plus facilement.
— Mais on risque de nous surprendre. »
Je lui laissais le temps de formuler sa phrase plus respectueusement mais elle n’en fit rien. Je l’informais alors que j’étais contraint de la punir. Ma main me démangeant, c’est en claquant ses fesses que j’allais lui faire comprendre qu’il ne faut qu’elle fasse plus attention à sa façon de s’exprimer.
« Compte… Il y en aura 10…
— Un… Deux… Trois… Quatre… Cinq… Six… Sept… Huit… Neuf… »
Les fesses de Valérie avaient commencé à rougir mais je souhaitais marquer cette première punition. Le dernier coup fut plus précis et c’est par une pichenette que je frappais son sexe ouvert et liquéfié.
« Aïe !… Dix…
— N’oublie pas de me remercier.
— Merci Monsieur. »
Le sexe toujours dressé, je me positionnais derrière mon épouse. L’attrapant par les hanches, je glissais ma verge entre ses cuisses. Je réussis à m’y enfoncer d’un seul coup tant elle était humide. Je commençais à la baiser avec vigueur. Pour ne pas être déséquilibrée, Valérie s’accrochait au siège auto de notre fils. Ses gémissements se faisaient de plus en plus forts. Encore une fois, j’avais beaucoup de mal à contenir mon plaisir. Mon regard se figea alors sur l’anus de Valérie qui semblait m’appeler.
« Je vais t’enculer…
— Non, Monsieur… S’il te plaît…
— Fais attention à ta façon de parler ! Grondais-je.
— S’il vous plaît, Monsieur, pas par là.
— Pourquoi ?
— Parce que ce n’est pas normal pour une femme bien, Monsieur.
— Mais tu n’es pas une femme ’bien’, tu es une petite salope.
— Oui, Monsieur.
— Donc c’est normal que je t’encule, non ?
— Oui, Monsieur. »
Sans même préparer Valérie, je positionnais mon gland contre son petit trou. Le plaisir de mon épouse couvrant mon sexe, je pensais que cela serait suffisant pour pouvoir entrer. J’agrippais donc avec force ses hanches et poussais pour entrer en elle. Son petit trou finit par céder sous la pression.
« Aïe… Ça fait mal ! Tu m’as fait mal ! »
Soudainement, j’eus honte de ce que je venais de faire subir à mon épouse mais j’étais allé trop loin. Alors je ne tins pas compte de ses remontrances et ai continué à m’enfoncer en elle. Elle se mit à pleurer. Une fois au fond d’elle, je m’immobilisais. Valérie sembla se calmer. Puis j’ai commencé mes mouvements en elle. J’étais heureux d’être entre les fesses de ma femme et il me semblait impossible de tenir bien longtemps.
Tout à coup, des phares de voiture firent leur irruption dans le parking. Pris de panique, j’ai invité Valérie à monter dans la voiture. J’ai remballé ma verge et me suis installé à l’avant. J’ai démarré et nous sommes partis du parking. Dans le rétroviseur, j’ai vu ma femme à l’arrière, le chemisier toujours ouvert et son maquillage coulant sur ses joues.
« Je m’excuse. Je ne voulais pas te faire mal.
— Ce n’est pas grave. Tu es pardonné.
— Tu ne mérites pas d’avoir mal mais seulement que nous prenions du plaisir.
— Et si les deux sont liés ?
— Ça t’a plu ?
— Oui… Monsieur. »
Lorsque nous sommes arrivés à la maison, Valérie était bloquée par la sécurité enfant. Je l’informais que je ne voulais pas que Lilou ne se doute de quoi que ce soit. Elle a donc remis en place sa tenue. Puis je suis allé lui ouvrir la porte pour qu’elle vienne s’installer à l’avant pour refaire son maquillage. Rhabillée et remaquillée proprement, Lilou ne pourrait pas savoir ce que Valérie venait de subir. Lorsque nous sommes arrivés devant la porte, Valérie ressemblait à une bonne mère de famille bien sous tous rapports.
« Bonsoir. Alors cette soirée ?
— Très bonne, répondit enjouée Valérie.
— Je n’ai pas osé. Je ne sais pas comment tu fais, murmurais-je à Lilou.
— Tu veux que je prenne le relais ?
— Oui, mais pas avec d’autres hommes.
— C’est dommage. J’ai de bonnes bites à lui faire sucer et à lui mettre dans le cul. Et tu as pensé quoi de sa lingerie ?
— Je ne l’ai pas vue. Je ne sais pas ce qu’elle porte. »
Lilou fit signe à Valérie d’approcher. Elle m’installa sur le fauteuil et mit Valérie face à moi. Elle passa derrière et posa ses mains sur les seins de mon épouse. Elle commença à malaxer la poitrine de mon épouse puis ses mains se dirigèrent vers les boutons du chemisier. Elle les défit un à un tout en murmurant à l’oreille de Valérie. Cette dernière ne regardait pas vers moi comme si, soudainement, elle se sentait honteuse. Lilou ouvrit alors le chemisier découvrant la poitrine nue de mon épouse. Elle lui demanda alors de montrer à quel point elle était coquine en soulevant sa jupe. Quand son sexe nu fut découvert, je feins la surprise.
« Mais ? Tu n’as pas de…
— Non. Elle n’a pas eu le droit d’en mettre, me répondit Lilou.
— Et quand tu as dansé avec le gars ? Il s’en est aperçu ?
— Réponds ! Ordonna Lilou.
— Oui, il l’a su… Je suis désolée… »
Lilou était fière d’elle, fière de croire que je ne savais pas que Lilou était nue sous ses vêtements et de ce qui avait pu se passer avec cet inconnu. Elle glissa sa main entre les cuisses de Valérie. Elle commenta de façon dégradante l’humidité du sexe de ma femme. Elle supposa que celle-ci était due au fait qu’elle avait passé la soirée nue sous ses vêtements sans que je le sache. Au fond de moi, je savais que c’était l’aveu du plaisir de se retrouver dans cette situation. Puis Lilou l’envoya vers moi et l’installa à genoux. Elle lui ordonna de me prendre en bouche. J’étais heureux de retrouver de nouveau les lèvres et la langue de ma femme sur ma verge tendue. Les derniers événements me revinrent en tête. Je fis alors le rapprochement entre la sodomie subie par mon épouse sur le parking et la fellation qu’elle était en train de me prodiguer. Je compris l’effort qu’elle faisait en me suçant malgré le goût que devait avoir mon sexe. Pendant que Valérie m’avait en bouche, Lilou souleva sa jupe de façon à découvrir ses fesses. Elle les écarta alors.
« Hé ! Mais ton cul a été utilisé !
— Comment ça ? Dis-je faussement étonné.
— Elle a pris entre les fesses… Valérie ! Dis-moi la vérité. »
Mon épouse me fit un petit clin dil et commença son histoire.
« Le gars en boîte… C’est lui.
— Quand tu as disparu ? Lui demandais-je. Juste avant qu’on parte ?
— Oui. Il m’a entraîné dans les toilettes.
— Raconte-lui tout, ordonna Lilou. Qu’est-ce qui s’est passé ? Qu’est-ce que vous avez fait ?
— Il m’a obligée à le prendre en bouche. Je te demande pardon mon chéri.
— Il a aimé que tu lui fasses une pipe ? Demanda Lilou.
— Je crois que oui. Après, il m’a relevée et m’a appuyée sur les lavabos. Il s’est mis une capote. Je croyais qu’il allait me prendre… normalement. Mais, il m’a mis de la salive sur le cul et il a pointé sa bite sur mes fesses. Il s’est enfoncé d’un coup.
— Ça t’a fait mal ? Demanda Lilou. Et il n’y avait pas de passage ? D’autres mecs ?
— Oui, il m’a fait mal. Mais il a fini vite. Et oui, il y a eu des mecs qui sont passés mais il les a repoussés. Il me voulait que pour lui.
— Je pense qu’il serait judicieux que Frédéric profite de ton cul aussi. Qu’en penses-tu, Frédéric ?
— Excellente idée mais il serait bon que toi, tu profites de sa langue.
— Avec plaisir, je reviens. »
Lilou se leva et nous quitta. Valérie stoppa sa fellation pour s’adresser à moi.
« Ta bite ne sent pas déjà très bon mais je te suce quand même pour jouer avec Lilou mais là.
— Tu as oublié le mot magique.
— Quoi ?
— Le respect qui m’est dû, lui dis-je en lui claquant légèrement le visage.
— Pardon Monsieur.
— Très bien. Donc tu vas lécher Lilou.
— Bien Monsieur, dit-elle en baissant la tête, résignée. »
A son retour, Lilou retira son pantalon et sa culotte et s’installa sur le canapé, jambes écartées. Je fis signe à Valérie de se retourner. Mon épouse alla vers Lilou en marchant à quatre pattes comme la petite chienne qu’elle commençait à devenir. Ses fesses remuaient au rythme de son avancée et cela me donna envie de bondir dessus. Lorsqu’elle arriva à côté de Lilou, celle-ci reprit son rôle de dominatrice.
« Vas-y, lèche-moi. Je suis sûre que ta langue doit être experte dans l’art de donner du plaisir aux femmes. Et toi, Frédéric… Encule-la ! »
Elle attrapa par les cheveux Valérie et lui colla le visage sur son sexe. Mon épouse commença à lécher ce sexe féminin, ce qu’elle faisait pour la première fois. De mon côté, le sexe toujours aussi dur, je m’installais à l’arrière de Valérie. Un peu se salive servit à humidifié le petit trou de Valérie qui semblait déjà ouvert. Je forçais alors l’anus de ma femme et y entrais sans difficulté. Une fois bien au fond, je commençais de lents va-et-vient. Je ne voulais pas venir trop vite et laisser Lilou profiter plus longtemps de la langue de mon épouse.
« Tu peux y aller plus fort. Tu n’es pas le premier à l’enculer ce soir, je te rappelle. »
J’enculais avec férocité Valérie. Cela fit plaisir à Lilou mais me donna trop de plaisir. Après quelques pénétrations, un orgasme longtemps repoussé me terrassa. Je me suis déversé en long jets dans l’anus de Valérie devant le regard amusé de Lilou. Entre deux gémissements, elle tenta une fois de plus de me rabaisser.
« C’est le fait d’être le second à prendre le cul de Valérie qui t’a fait jouir si vite ?
— Non, c’est d’avoir commencé à la baiser il y a longtemps… Valérie, fais jouir cette petite coquine et on la fout dehors. »
Valérie amplifia ses caresses sur le sexe d’une Lilou médusée. Ses gémissements se firent de plus en plus forts. Au bout de quelques minutes, elle se figea et jouit bruyamment, les doigts plantés dans la chevelure de mon épouse.
Lorsque Lilou revint à elle, je lui donnais son pantalon gardant volontairement sa culotte. Elle l’enfila en nous regardant toujours abasourdie par le retournement de situation. Je l’accompagnais à la porte.
« Merci de m’avoir montré quelle petite cochonne se cachait en ma femme.
— J’aurais bien voulu en profiter plus longtemps mais…
— Elle est à moi et tu n’en profiteras que si je le décide. »
Lilou nous quitta. Lorsque je retournais vers le salon, Valérie était toujours à genoux. Je le relevais et l’embrassais à pleine bouche trouvant contre ses lèvres le goût de notre baby-sitter. J’étais de nouveau fou amoureux de ma femme.