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Sous les tropiques – Chapitre 1




L’avion avait atterri sur l’aéroport de Fort de France à l’heure prévue. Le voyage en classe affaire n’avait pas été trop pénible. Jean et Marie sortirent de l’avion. L’homme qu’il allait remplacer au poste de directeur de l’Equipement du département l’attendait avec son épouse dans la passerelle d’accès. Les formalités furent rapidement expédiées et ils se dirigèrent vers la splendide villa de fonction qu’ils allaient habiter dans le quartier de Didier. C’était leur premier poste Outre-Mer.

Ils étaient mariés depuis 16 ans. Jean âgé de 45 ans s’était rapidement laissé aller. C’était un homme rondouillard avec un ventre proéminent. Il portait de grosses lunettes qui lui donnaient un air sévère. Marie 40 ans était ce qu’on appelait une belle femmes, épanouie avec de belles formes. Il formait aujourd’hui un couple plutôt mal assorti.

Ils s’étaient rencontrés à au lycée à Montargis. Jean était à l’époque un homme plutôt séduisant. Ils venaient tout les deux d’un milieu bourgeois, provincial. Ils avaient reçu une éducation stricte qui ne laissait aucune place aux fantaisies amoureuses, aux écarts de conduite et aux plaisirs et aux amusements des jeunes gens de leur âge. Les parents de Marie la poussèrent fortement à épouser ce jeune homme de bonne famille doté d’une fortune conséquente. Ils formaient alors un joli couple. Jean venait de sortir de Centrale et Marie avait terminée ses études de droit. Ce fût un très beau mariage. Les époux se retrouvèrent le soir dans leur chambre. Ils étaient tous les deux vierges. Jean était doté d’un petit sexe plutôt court. Leur nuit de noces et les jours suivants furent catastrophiques. Jean était très maladroit. Il manipulait brutalement son épouse, lui triturant les seins à lui faire mal. Il essaya de la pénétrer mais éjaculateur précoce, il ne réussit pas et se déversa sur son ventre.

Marie se retrouva avec ce sperme gluant et collant. Se levant elle s’enferma pour prendre une douche. Au retour il s’était endormi. Au bout du troisième jour il réussit à déflorer sa femme. Elle n’avait ressenti qu’une légère douleur. Jean était toujours aussi maladroit et ses éjaculations très rapides. Elle ne ressentait absolument rien et se demandait si le rôle de la femme n’était que d’être un objet de plaisir pour l’homme.

La routine s’installa dans le couple. D’une relation hebdomadaire ils passèrent à deux relations mensuelles. Marie s’allongeait sur le lit. Jean sans pratiquement aucun préliminaire la pénétrait et en quelques mouvements éjaculait. Il la remerciait par un baiser et se rendormait rapidement. Marie avait été obligée d’acheter une crème vaginale lubrifiante pour éviter des pénétrations douloureuses.

Installés à Paris, Ils formaient un couple de notables. Marie était dans les diners et réceptions très entourée car elle était chaque fois une des plus belles femmes présentes. Le contraste avec son mari devenait au fil du temps de plus en plus patent. Elle était très flattée de l’intérêt qu’elle suscitait mais elle ne voyait aucun intérêt à flirter car elle se considérait comme frigide. S’ennuyant à la maison, elle avait acheté un magasin de mode. Ses clientes lui racontaient leurs aventures ce qui lui donnait des regrets. Sa frigidité l’empêchait de vivre une vie sexuelle normale. A quelques reprises elle avait senti que quelque chose se passait. Invité à danser elle aimait le contact de ces corps et appréciait le trouble de ses partenaires tous jolis garçons qui bien dotés par la nature, la serrant contre eux, ne pouvait cacher la belle érection qu’elle provoquait. Elle ressentait alors une chaleur particulière entre ses cuisses et une humidité qu’elle n’avait jamais connue. La première fois elle s’était précipitée aux toilettes croyant que c’était un déclenchement intempestif de ses règles pour s’apercevoir au final que son sexe était trempé.

Elle sentait aussi que dans ces moments là ses tétons se durcissaient. Les hommes essayaient de la séduire et de lui donner des rendez-vous. Elle refusait leurs avances.

Ses rapports avec Jean devenaient de plus en plus tendus. Il se comportait en petit chef imbu de sa personne. Leur vie était terne et monotone. Heureusement qu’elle avait son magasin et ses amies qui ne comprenaient pas qu’elle reste avec son mari Quand elle se regardait dans la glace elle se trouvait très jolie : des cheveux blonds mi longs, un visage long, des yeux bleus, une grande bouche pulpeuse, des seins 95 B plutôt fermes avec des tétons proéminents, un ventre plat, des cuisses fuselée et des fesses hautes bien fermes. Elle avait découvert son sexe avec ses grandes et petites lèvres, son clitoris et son capuchon qu’elle avait bien formé. Chaque fois qu’elle inspectait son sexe, elle le sentait très vite s’humidifier.

On proposa à Jean le poste de directeur à la Martinique. Marie accepta de le suivre qu’à la condition de pouvoir exercer un métier. On lui proposa la responsabilité du rayon mode d’un grand magasin de Fort de France qu’elle accepta.

Jean pris ses fonctions dix jours après son arrivée. Il avait voulu célébrer ce nouveau départ par une relation sexuelle qui c’était une nouvelle terminée par un fiasco. Marie se plaisait dans l’île. Elle appréciait cette nonchalance, le beau temps, les couleurs et tous ces hommes hommes et femmes qu’elle trouvaient beaux et souriants.

Elle pris ses fonctions peu après. Elle avait rencontré le directeur, François, un Béké. C’était un homme très grand, très séduisant. Elle était à la tête d’un groupe de 5 filles et trois garçons tous Antillais de 20 à 30 ans qui lui firent un bon accueil.

Le premier mois se passa bien. Elle ressentait profondément la différence entre ce qu’elle vivait à la maison et la joie de vivre de ses employés. Elle était particulièrement attirée par un grand mulâtre de 30 ans, Sam qui n’arrêtait pas de lui faire des compliments et de la faire rire. Il était particulièrement séduisant avec des traits fins. On sentait qu’il était particulièrement bien fait et on devinait ses muscles sous la chemise. Il était très populaire auprès du personnel.

Il était invité souvent à des réceptions. C’était souvent terne et sinistre.

Sam tournait de plus en plus autour d’elle. Elle aimait son état d’esprit et les compliments qu’il lui faisait. Plusieurs fois elle avait senti son regard qui s’attardait sur son décolleté et ses fesses. Il aimait beaucoup les femmes et c’était un dragueur impénitent.

Elle avait reçu une invitation de sa part le samedi suivant. Il lui proposait d’assister avec son mari à une petite fête donnée pour son anniversaire. Jean se fit prier mais il accepta de la suivre. Le matin de la réception, l’ambiance était électrique à la maison. Jean commença par lui reprocher son attitude lors des soirées ou disait-il elle donnait l’impression de s’ennuyer, puis son travail qui l’empêchait de se consacrer à la maison. Lorsqu’ils se retrouvèrent dans la voiture la crise éclata. Jean était hors de lui car Marie avait vidé son sac, lui reprochant de la rendre malheureuse avec sa petitesse et sa médiocrité, sa mesquinerie, son manque de caractère, son physique. Elle rajouta pour lui faire encore plus mal qu’il était nul au lit et qu’il n’avait même pas réussi une fois à la faire jouir.

Négligeant les gens présents, il lui tordit le bras pour l’obliger à remonter dans la voiture. Comme elle résistait il la gifla devant tout le monde en lui disant : « reste avec tes nègres ». Il la libéra, remonta dans sa voiture et s’en alla.

Sam récupéra Marie qui se tenait la joue et s’était mise à pleurer et l’entraina à l’écart. Elle se réfugia dans ses bras. Il lui caressait le dos, en essayant de la calmer. Il l’embrassait dans les cheveux. Elle se laissait aller contre ce grand corps musclé.

Elle se reprit rapidement et décida de faire payer à son mari au centuple, l’affront qu’elle avait reçu. Sam lui prit la main et l’entraina dans la maison ou étaient rassemblés ses amis. C’était une belle maison créole qu’il avait héritée de ses parents. Il lui présenta son cousin qui lui ressemblait beaucoup, ses voisins, le personnel du magasin qui travaillait avec eux et quelques amis. Ils étaient une vingtaine. L’ambiance était joyeuse et festive. Les invités, qui n’avaient pas appréciés le comportement de Jean lui firent part de leur indignation.

Marie était très entourée et les hommes présents n’arrêtaient pas de lui faire des compliments sous le regard un peu jaloux des femmes présentes. Des couples avaient commencé à danser aussi Sam l’invita pour une biguine. Il la colla à lui et commença à onduler au rythme de la musique. Il la guidait parfaitement et elle n’avait qu’à suivre. Il la tenait par les reins pour la maintenir serrée contre lui. Au bout d’un certain temps elle senti au niveau de son bas ventre, l’imposant sexe de Sam durcir et devenir de plus en plus gros. Il roulait sur son pubis. Elle lui faisait visiblement de l’effet. Elle se laissa alors complètement aller dans ses bras. Elle sentait la pointe de ses seins durcir contre sa poitrine et son sexe s’humidifier de plus en plus. Pour la première fois elle désirait vraiment un homme. Sam qui s’en était aperçu poussait son avantage et commençait à l’embrasser dans le cou. Après deux danses, le cousin de Sam Richard l’invita aussi. Elle se laissa aussi aller et le même phénomène se reproduisit.

Elle sentait le désir de l’homme et son propre désir se rejoindre. Les deux hommes ne la quittaient pas et dansaient avec elle à tour de rôle. Ils étaient tous les deux très séduisants. Ils se permettaient des privautés, caressant ses épaules, ses fesses, sa poitrine sans qu’elle réagisse. Elle avait même échangé avec tous les deux un baiser. Elle avait apprécié la douceur de leurs lèvres et cette langue nerveuse qui explorait sa bouche. Elle découvrait ce qu’était un vrai baiser. Ils s’étaient mis à l’écart des autres dans une partie de la maison plutôt obscure. Leurs mains se faisaient plus hardies. Sam caressait ses fesses et son ventre et Richard ses seins. Elle se sentait aspirée par une spirale et un désir qu’elle ne voulait plus contrôler.

Richard qui habitait à côté, lui prit la main et fit signe à Sam de les suivre. Il la conduisit dans sa chambre il lui ôta ses vêtements et l’allongea sur le lit. Ils se déshabillèrent. Ils étaient magnifiques. On aurait dit de vrais jumeaux. Leurs gros sexes pointaient fièrement. Marie était impressionnée car jusqu’ici elle n’avait vu en vrai que le sexe ridicule de son mari. Sam l’embrassa et commença à la caresser. Richard lui avait écarté les cuisses et sa bouche s’était emparée de son sexe, ses mains lui caressant les fesses. Sa langue était habile. Il avait dégagé son clitoris qu’il suçait. Marie se sentait défaillir sous les caresses des garçons. Elle n’arrêtait pas de gémir. Elle eu soudain son premier orgasme. Les garçons furent surpris par sa fulgurance et son intensité. Son corps s’était tendu comme un arc, ses yeux étaient exorbités, sa tête roulait de part et d’autre et ses gémissements s’étaient transformés en cris de jouissance. Son sexe ruisselait.

Les garçons la laissèrent reprendre ses esprits. Elle les attira contre elle en les embrassant et en les remerciant pour lui avoir permis d’avoir premier orgasme de sa vie. Elle leur raconta brièvement le naufrage sexuel de son existence. Ils la questionnèrent sur ses pratiques et découvrirent avec stupéfaction qu’elle n’avait jamais fait de fellation, qu’elle ne savait pas ce que c’était la sodomie et que c’était la première fois qu’elle trompait son mari. Ils lui proposèrent de lui faire découvrir ce qu’était l’amour.

Ils la firent s’asseoir sur le lit. Ils se présentèrent devant elle leurs sexes à quelques centimètres de sa bouche. Ils l’encouragèrent à les caresser avec ses mains puis Sam approcha son sexe de ses lèvres. Marie n’hésita pas et le pris en bouche. Sam la guidait lui indiquant quand elle devait se servir de sa langue de sa bouche. Pendant ce temps Richard s’était placé derrière elle et lui caressait les seins, jouait avec ses tétons. Marie sentait son sexe battre contre son dos.

Pendant qu’elle continuait sa fellation, Richard se leva, pris un préservatif et s’équipa. Revenant sur le lit il la plaça à quatre pattes en lui écartant les jambes. Après l’avoir à nouveau sucée il présenta sa queue et pénétra Marie. Jamais son vagin n’avait connu un sexe d’une telle taille et elle ressentait profondément cette pénétration. Pendant ce temps Sam l’embrassait, la caressait tout en maintenant son sexe à hauteur de sa bouche. Richard commença ses va-et-vient de plus en plus profond. Marie sentait le bout de son sexe toucher son utérus. Elle avait repris Sam en bouche. Elle sentait le plaisir monter en elle. Un nouvel orgasme la terrassa, puis une succession d’autres car Richard continuait à la pilonner. Elle s’effondra sur le lit chassant Richard de son sexe. Voyant cela Sam qui s’était équipé d’un préservatif la plaça sur le dos et la pénétra aussitôt et commença à la baiser. Richard qui avait enlevé son préservatif lui suçait les seins. Marie était comme une poupée inerte.

Elle gémissait constamment. Sam sentit qu’il allait jouir. Attrapant les fesses de Marie, il s’enfonça le plus profondément en elle. Marie sentit les jets de sperme chauds qui se répandaient dans le préservatif et un orgasme encore plus fort lui fit perdre, pendant un court instant, connaissance. Richard frustré de n’avoir pas joui plaça sa queue entre les seins de Marie, se branla et éjacula sur son visage.

Marie était KO. Ils décidèrent de la laisser se reposer. Ils la placèrent correctement sur le lit. Echevelée, son maquillage avait fondu, le sperme de Richard couvrait son visage. Elle continuait à gémir savourant sa jouissance.

Sam et Richard se rhabillèrent et allèrent rejoindre les autres qui avec leur petit sourires leurs montraient qu’ils avaient compris ce qu’ils venaient de faire.

Une heure après Marie les rejoignit, maquillée rayonnante de bonheur. Pour bien montrer sa reconnaissance elle embrassa longuement ses deux amants. Voyant son attitude, cette soirée avait un parfum particulier. Elle se rendait compte que les Antillais aimait séduire et aimait le sexe. Ses amants draguaient ouvertement les autres femmes et les autres hommes n’hésitaient pas à essayer de la séduire. Lors des danses, elle sentait leurs sexes dressés contre son ventre.

L’une de ses vendeuses, Ingrid, une belle mulâtresse l’avait invité à danser. Elle n’avait pas caché le désir que sa patronne lui inspirait en lui demanda si elle avait couché avec d’autres femmes. Elle n’avait même pas été choquée En quelques heures elle avait découvert un autre monde. Elle n’aspirait qu’à une chose, recommencer et se venger de son ignoble mari.

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