LES AVENTURES SEXUELLES DEBRIDEES DE PATRICK
Emilie, ma future femme.
Suite
Patrick est plaqué contre moi et son sexe a glissé entre mes cuisses. Tout en parlant, Annie s’est agenouillée derrière moi et s’est saisie de l’extrémité de la queue coincée entre mes fesses.
Elle lèche la partie qui arrive à dépasser malgré le rempart de mon corps, crache abondamment dessus. Je m’impatiente n’ayant plus qu’une envie qui m’obsède, qu’il me prenne.
-Sois doux et attentif à ses réactions, elle prend la pilule, tu as le champ libre !
Il retire sans effort sa verge coincée entre mes cuisses, Annie s’en saisit et la présente à l’entrée de mon abricot. Sa main guide la queue de son frère qui se laisse guider vers mon minou humide.
Je le désire mais l’appréhension prend le dessus.
Nous nous laissons guider, elle tient dans la main gauche la base de sa hampe lui demandant de plier un peu les genoux pour la positionner à la bonne hauteur et pose son autre main sur mes fesses.
Son énorme gland s’approche des pétales de ma fleur qui s’écartent sous la pression et il commence à l’introduire, lentement. Je frissonne de tout mon corps à ce premier contact.
-Putain qu’elle est serrée !!!
Annie pousse, fermement, le gland disparaît dans ma grotte. Il prend lentement possession du fourreau qui ne peut lui résister et abdique progressivement sous la poussée.
Je n’ai pas le temps de lâcher un cri que le sexe de son frère est bien au chaud dans mon vagin, tel un conquérant, et j’en ressens aussitôt toute la puissance qui s’en dégage quand il prend possession cm après cm du terrain conquis.
Je subis ce délicieux supplice de ce bambou qui dilate mon intimité.
-Oh qu’elle engin tu as, une véritable bite de cheval !!!!
Tout en douceur, Annie pousse sur mes fesses faisant pénétrer avec difficulté le gland trigonocéphale de plus en plus loin dans mon vagin si étroit, elle m’incite avec un plaisir évident :
— Oooohhhh, allez ! Libère-toi de tes vieux démons, profite de mon cadeau!
Elle enlève son autre main de la verge et nous déclare :
— Allez-y les tourtereaux, vous avez quartier-libre !
Il se retire légèrement avant de me pénétrer à nouveau et recommence l’opération posant ses lèvres sur les miennes et s’enfonce d’une seule poussée de plus de 15 cm!
— Vas-y doucement Patrick, tu es mon premier homme, mon corps n’est pas habitué à connaître une telle poutre, ça n’a rien à voir avec le gode d’Annie !
La queue massive écartèle mes chairs.
Il marque une pause pour que je m’habitue à son gourdin puis commence doucement un lent va-et-vient dans mon sexe ultra serré sans chercher à s’introduire plus loin. Il regarde sa sur en lui faisant remarquer :
-Je n’ai jamais connu de chatte si étroite. J’ai peur de la blesser en y allant trop vite !
— Putain de grosse queue, j’ai pas choisi un modèle courant pour commencer ! Non arrête! Ta bite est si dure!
Je ferme les yeux devant le plaisir qui s’abat soudain sur moi. Patrick vient de me donner l’orgasme le plus rapide de ma vie, une larme chaude coule sur ma joue.
-Oui, prends-moi Fais-moi encore jouir
Ce dernier n’a pas besoin de mon signal pour se mettre au travail. Il retire son pénis aussi lentement qu’il l’avait enfoncé, et réitère l’expérience. Je me mets à gémir face à ses assauts lents et répétés sentant déferler une nouvelle vague de chaleur.
Après quelques pénétrations, je rouvre les yeux, complètement déchirée par la série d’orgasmes que je viens de traverser, les yeux en larmes. Je n’ai plus les idées claires et la protubérance dans mon ventre y est pour quelque chose.
Mais je réalise alors qu’il n’est toujours pas entièrement en moi. Je passe mes jambes derrière ses cuisses pour l’attirer à moi. Tout à coup les derniers cm cèdent devant son engin qui vient heurter le fond de mon vagin que je ne croyais pas si élastique, surprise je laisse échapper un petit cri.
Il a pris possession de mon intimité et en ressort lentement pour mieux y replonger.
Il commence de longs va et viens, ponctué de puissants coup de reins. Il plonge son bambou au plus profond de mes entrailles, je suis heureuse, gémissante et frissonnante.
Je passe mes bras autour de son cou, bloquant son corps contre le mien pour ne pas le laisser ressortir. Mais son intention est toute autre alors que sa langue lèche mes joues encore imprégnées de son sperme.
Il me soulève dans ses bras, passant mes jambes autour de sa taille.
Annie se précipite pour se saisir de son chibre qu’elle tient fermement quand il me laisse redescendre pour que la colonne de chair disparaisse jusqu’à ses derniers centimètres en moi.
— Tu es vraiment monstrueux. Je suis remplie comme une outre par ton obélisque mais je ne veux surtout pas que ça prenne fin !
Il reprend le rythme de ses pénétrations pendant de longues minutes, je ne saurais dire combien.
Ensuite, il décide de varier les positions et me soulève pour me retourner.
Il me place à quatre pattes et introduit sa queue dans ma chatte, positionne ses mains sous mes seins.
Derrière moi, je sens son bassin frapper contre le mien par de franches poussées dans mon intimité. En se servant de sa seule force, je ne sais pas comment, il se redresse m’entraînant avec lui.
Je réussis à passer mon bras droit derrière son cou me retrouvant à nouveau suspendue à son corps mais cette fois-ci nous regardons tous les deux dans la même direction.
Annie en profite aussitôt pour venir contre moi pour me prodiguer des caresses ou tenir à pleine main les boules de son frère.
De temps en temps elle a le droit de le prendre en bouche avant de représenter l’enfant à sa mère.
Je pousse de petits cris saccadés au rythme de ses assauts rapides et puissants.
Tout à coup, il se retire trop de ma chatte alors que je gigote dans ses bras sentant poindre un violent orgasme. Annie attrape la teub en liberté d’une main ferme entre les cuisses de son frère et la dirige fermement pour qu’elle retrouve au prochain coup de boutoir de Patrick ma grotte humide mais horreur Je suis tétanisée !
– Oooohhhh mon Dieu!
Je me trémoussais tellement que l’ogive de son missile a raté sa cible est a explosé mon petit trou.
Il ne bouge plus pendant quelques secondes et essaie de se retirer lentement de ce terrain miné qui étrangle fortement la tête de son mandrin.
— Non !!!! Ne bouge plus ! Oh mon Dieu ça fait mal !
Je gémis, réalisant que son gros nud est engagé dans mon trou du cul. Patrick n’ose plus bouger, les bras en l’air mais le poids de mon corps commence à peser sur ses bras qui accusent la fatigue.
Je crie quand la gravité fait son uvre et entraîne mon corps vers le bas accentuant la pression sur son défonce-cul qui plie sous l’effort mais ne rompt pas.
La pression est si forte que progressivement sa queue s’introduit de plus en plus loin dans mon étroit conduit.
Ses bras se mettent à trembler et je l’entends murmurer :
-Désolé mais je ne peux plus tenir.
Les muscles de ses bras se relâchent complètement tétanisés, propulsant mon illet fripé au devant de la partie la plus épaisse de sa bite. Je sens son gourdin écarteler ma rosace pour l’adapter au diamètre hors-norme de son phallus.
— Ooooooooh ! Putain que t’es gros ! C’est horrible ! Tu m’exploses le cul !
Annie, après un moment d’appréhension pour moi, se met à rigoler puis m’embrasse pour me consoler avant de me glisser à l’oreille :
-Ne te réjouis pas si vite, sa bite n’est rentrée qu’au ¾ !
Puis s’adressant à son frère :
-Allez, fais-lui découvrir le supplice du pal jusqu’au bout, encore un coup et tu l’auras empalé jusqu’a la garde.
— Non Patrick! Tu me déchires le cul, arrête. Ahhh! La douleur est à peine supportable et j’ai l’impression que mon anus va se déchirer. Mon cul n’est pas capable d’accepter ton monstre !
Mon corps se rebiffe mais je suis à sa merci entre ses bras, je souffre quand les derniers centimètres disparaissent en moi et que ses couilles buttent sur ma vulve.
— OH MON DIEU ! Quelle sensation étrange ! Patrick, espèce de saligaud ! J’ai l’impression que tu me brûle les boyaux !
Il se retire enfin me laissant une impression de vide et me repose au sol. Annie qui n’a pas perdu le nord, oint copieusement mon trou endolori d’un gel apaisant ainsi que son chibre et lui fait une illade.
Il lui lance :
-Son trou du cul est comme sa chatte, je n’en ai jamais vu de si serré. On voit bien qu’elle est vierge de ce coté là ! Elle m’a pressé le gland comme une olive tellement c’était étroit pour ma queue !
Et sans me prévenir, il replace son bélier en position m’empalant d’une seule poussée sur la totalité de son rostre qui défriche à nouveau des lieux encore inexplorés à ce jour par une queue.
Après quelques allers et retours, la manuvre est plus aisée, je commence à y prendre goût, le gel atténuant la douleur.
Mon anneau est si serré qu’il suit le mouvement comme une ventouse autour de son gourdin, le broyant sur toute sa longueur par des contractions instinctives de mes muscles.
La violence de cette saillie déclenche un nouvel orgasme. Je jouis très fort, ivre de plaisir.
Mes fesses se tendent vers le pal perforateur propulsé par des coups de reins puissants. – Aaaaaaah !!! Nooon mooon Dieuuuuu! Tu me casses le cul!!!
-Je vais te pilonner! Je vais te remplir le cul de mon foutre !!!
Il s’active rageusement dans mon fondement, sa bite entre et ressort a grande vitesse.
Je gémis de bonheur au rythme de ses coups de bélier, hurle mon plaisir. Il halète bruyamment sous l’effort.
Annie est passée sous moi et lèche à coups de langue vigoureux ma chatte. Ses doigts rejoignent sa langue dans ma grotte offerte pendant que son autre main pétrit les bourses prêtes à une nouvelle décharge. J’ai le corps cambré par la jouissance et hurle à pleins poumons mon plaisir qui provoque des contractions de mon anus.
L’effet est immédiat sur Patrick.
— Emilie, tu me fais jouir, mon amour !
— Oui, remplis mon cul de ta semence, graisse-moi les boyaux !
Il grogne accompagnant en borborygmes les puissantes giclées de sa semence qui s’accumulent dans mes intestins.
Je suis si fébrile que je me laisse tomber vers l’avant éjectant de mon petit trou sa lance tarie.
Je ne peux empêcher les contractions de mon sphincter dilaté qui expulse le trop plein de son foutre par saccades.
Il me réconforte et me félicite :
-Eh bien tu es douée, tu n’as pas grand-chose à envier à Annie !
— Merci, je redoutais de vivre ce jour mais ta sur m’y a si bien préparé que tout m’a paru si naturel. Tu m’as complètement libérée de mon complexe de culpabilité ! Comment ai-je pu être si bête et perdre tant de temps ? Mais je crois qu’une douche sera la bienvenue!
— Moi aussi, renchéri Patrick, je suis en sueur, mais tu as l’air si exténuée que je vais te servir de porteur !
Mon cul le nargue, et l’invitation est très claire. Il me relève, quand je me retourne, je suis surprise de voir que sa verge n’a pas baissé d’un cm.
Languissante, je le vois approcher, il se positionne derrière moi et je sens le contact de son gland entre mes fesses. Il frotte le bout de sa bite contre la raie de mes fesses, je réponds par un léger frémissement du bassin, signalant mon impatience.
Finalement, il me pénètre et sans grand effort, me pourfend à nouveau de sa dague, il glisse ses mains sous me cuisses et me soulève comme une plume. Je serre mes mains sur ses bras et il marche ainsi vers la salle de bain.
Chacun de ses pas transmet un choc dans la colonne de chair qui se répercute comme une secousse tellurique dans mes intestins, je suis bien emboitée autour de cet axe qui ne rend toujours pas les armes.
Je m’extasie à chaque pas :
— Quelle sensation ! Ca me fait penser à la monte à cru sur un cheval où ton corps retombe sans arrêt sur son dos. Tu me baises à chaque pas que tu fais! Oh mon Dieu, que j’aime ca !
On dirait qu’il m’embroche chaque fois un peu plus comme si c’était possible et je n’arrête plus de gémir.
— Je suis devenue ton esclave lubrique, je ne pourrai plus me passer de ta formidable verge infatigable que je sens à l’intérieur de moi enfouie au plus profond de mon cul.
Nous pénétrons dans la douche et il me désaccouple de son mandrin.
Je le regarde droit dans les yeux, alors que je recule vers un des murs de la douche, le tirant par la queue, il attrape ma tète et me roule un sensuel baiser avant de me savonner, je lui rends la pareille frottant son corps.
Pendant de longues minutes, nous ne faisons que ça, laissant doucement redescendre la pression après tant de péripéties.
Enfin j’arrive à sa bite que j’attrape à deux mains en la savonnant sur toute sa longueur.
Il ne peut s’empêcher de bander, ça le fait rire. Je m’émerveille de voir de nouveau grandir et se redresser sous mes yeux ce phallus tant aimé.
Plaquant mon dos contre la vitre je dirige son engin vers ma grotte en manque. Prenant ses mains, je les pose sur mes fesses et mets les miennes sur ses épaules.
Il assure sa prise sur mon derrière quand je noue mes jambes dans son dos, m’empalant sur son pic d’acier pour retrouver la divine sensation dans ma caverne humide.
Il me prend par des mouvements d’une extrême lenteur, me regardant à chaque coup de boutoir dans mon vagin quand son gland s’écrase sur le col de mon utérus.
Nos yeux ne se quittent plus, fascinés par ce qu’on est en train de vivre. On ne baise plus, on est en train de faire l’amour. Et la différence est énorme..
— Maintenant emmène-moi dans ma chambre et baise-moi encore et encore !
Mes mains quittent son dos. Je les plaque sur son torse avant de les remonter sur son visage que je prends entre mes mains, je penche ma tête pour souder mes lèvres aux siennes.
Sa bouche accueille la mienne avec beaucoup de tendresse, il envoie sa langue dans ma bouche pour l’enlacer à la mienne.
Patrick ralentit encore le rythme de ses pénétrations pour profiter pleinement de cet instant ou le temps est suspendu.
Son bélier s’est figé dans ma grotte, comme si nos deux sexes avaient soudain fusionnés comme nos langues et nos esprits.
Il vient de décoller mon dos du mur. Sa main droite glisse entre mes fesses pour se positionner en plein milieu affirmant sa prise pendant qu’il ouvre la porte de la douche de son autre main.
Nous sortons du bac, sa bouche toujours soudée à la mienne.
Sa main gauche entoure ma nuque pour continuer à m’embrasser sensuellement et nous sortons de la pièce.
Je sens la pression de ses doigts entre mes fesses qui supportent avec sa bite le poids de mon corps tout le long du voyage avant qu’il ne me dépose avec une infinie douceur sur le lit, sa bite toujours en mon ventre, sa langue nouée avec la mienne
Je l’entoure toujours dans le tendre étau de mes jambes. Dans un ultime cri de bonheur, nous montons tous deux au septième ciel. Une grande quantité de son sperme chaud se répand en moi.
Je me blottis dans ses bras, nos corps ne font qu’un dans un puissant orgasme commun.
Nous avons continué toute la journée variant les combinaisons possibles avec la participation d’Annie et je dois dire que j’ai abdiqué avant lui :
— Arrête, je te demande grâce ! Si c’est comme ça tout le temps, je ne pourrai pas, je n’en peux plus ! Je t’aime comme je n’ai jamais aimé quelqu’un, je voudrais t’avoir pour moi toute seule mais je me rends bien compte que se serait au dessus de mes forces, et si en plus je me mets à dos toute la famille!!… J’accepte de te partage car je t’aime trop et je suis accro à ta bite!
Il me répond que c’est d’accord mais que je passerai toujours avant les autres.
— Absolument, surenchérie Annie, je pense que Patrick peut s’occuper de nous toutes, quand on a goûté à son monstre, c’est une drogue dont on ne peut plus se passer!
Je dois aussi le reconnaître :
— Patrick est si endurant que je serais vieille avant l’âge si je le monopolisais. Et je n’aurais plus le temps d’étudier !
Il rigole en concluant :
– Hummmm, c’est du domaine du possible mais quand il y en a pour une il y en a pour six !
Nous éclatons de rire tout les 3 mais Annie qui n’a pas perdu le nord retrouve sans boussole la queue de son frère enfin au repos qui n’attend que ça et en un rien de temps la transforme à nouveau en un chibre bien raide.
A suivre