Salut c’est votre folle de lycra 

En septembre dernier quand je suis entré dans cette boîte d’assurances qui gérait les appels clients et dossiers en tout genre; j’étais très heureux. Nous étions en contact téléphonique et direct avec les clients et notre petit bâtiment se trouvait pas trop loin d’une gare du RER B dans la vallée de Chevreuse. Au rez-de-chaussée nous accueillions les clients et à l’étage nous gérions les sinistres. Au sein de la société l’ambiance était très sympa et les horaires l’étaient tout autant. Je n’avais qu’à prendre le bus qui me montait sur le plateau en 10 minutes et j’étais chez moi. Nous étions une vingtaine de personnes à majorité féminine et il nous arrivait régulièrement de faire des soirées à thème. C’est ainsi que au mois de février j’ai appris le 8 mars chaque année tout le monde venait travailler habillé en fille.

Les responsables comme les employés jouaient le jeu et apparemment l’ambiance était bonne enfant. Il me restait donc 3 semaines pour pouvoir honorer cette journée de la meilleure des façons. J’étais quand même pris un peu au dépourvu car je n’avais pas de vêtements féminins à vrai dire je n’en avais aucun excepté peut-être une ou deux petite culotte oubliées par les copines. Racontant mon embarras à une voisine elle m’a dit qu’elle allait s’occuper de la chose; en même temps elle était d’une grande beauté et me faisait très envie. Voilà comment un vendredi soir Marie m’a convié chez elle pour que nous commencions à aborder le sujet de près. Nous avions à peu près le même âge, elle était un tout petit peu plus grande que moi; mais avait surtout une grande assurance, chose qui me manquait. Elle m’a donc suggéré de l’habiller de façon sexy, elle m’a expliqué que j’avais un corps qui pouvait très bien être féminin et que l’on allait pouvoir faire plein de choses avec.

 Je l’ai écoutée et lui ai fait confiance, c’est ainsi que pour la première fois de ma vie je me suis retrouvé nu devant elle. Au début elle me faisait essayer ses culottes, ses soutien-gorge, ses robes, et même ses bas et ses collants. Et le grand coup de bol c’est que nous avions la même pointure, elle en a donc aussi profité pour me faire essayer ses escarpins et même ses cuissardes. J’avais l’impression d’être un peu sa poupée car elle faisait de moi ce qu’elle voulait je me laissais faire mais le plus gênant c’est que cela me donnait une érection toujours plus grosse. Je trouvais ça vraiment agréable d’essayer ses tenues, toutes plus douces les unes que les autres; j’adorais me retrouver moulé dans ses robes. Je n’osais lui dire mon plaisir, mais elle a commencé à me dire que vue mon érection j’avais l’air de beaucoup aimer me retrouver en femme.

Au bout de trois bonnes heures d’essayage ce vendredi soir elle m’a invité à grignoter à condition que nous soyons en femmes à table. Notre relation avait vraiment changé ce jour-là, nous ne nous regardions plus de la même façon; j’avais surtout l’impression d’être devenu la proie à ses yeux. Bien qu’il soit tard, après le repas nous avons continué les essayages; et elle s’est mise à prendre en photo dans différentes tenues et surtout différentes poses, toutes plus provocantes les unes que les autres. Disons que les photos auraient pu devenir compromettantes si je n’avais pas une totale confiance en elle. J’apprenais surtout à marcher avec des escarpins ou les cuissardes car les deux avaient des talons relativement hauts. Je découvrais combien ces chaussures étaient casse-gueule pour les néophytes mais j’ai réussi à rapidement marcher avec. Il y avait des bruits dans le couloir, j’avais toujours peur qu’un voisin arrive à l’improviste et me découvre dans une telle tenue.

Vers minuit Marie m’a dit qu’elle était un peu fatiguée elle m’a donc invité à rentrer chez moi, j’étais sur le même palier qu’elle. Par contre elle m’a dit qu’il fallait que je reparte en femme pour la déconne, je lui ai répondu qu’il n’en était pas question elle m’a répondu que de toute façon elle m’avait planqué mes vêtements. C’est ainsi qu’avec la plus grande honte que je n’ai jamais connu j’ai dû traverser en femme le couloir où il y avait 6 appartements pour me retrouver chez moi. Je vous laisse imaginer que je fais attention à ne pas allumer la lumière heureusement marie avait quand même de laissé sa porte ouverte. Une fois à la maison j’ai fait vite à fermer la porte à clé et là je ne sais pas ce qu’il m’a pris je me suis dit que j’allais dormir ainsi car je trouvais ma tenue excitante. En fait cela faisait plus de 5 heures que je bandais et mon petit doigt me dit que mes burettes étaient pleines.

Quelques instants après être rentré j’ai reçu un sms de Marie qui m’a dit qu’elle m’attendait demain pour 10h pour que nous continuions mon travail de transformation. Le bonne nuit ma cochonne à la fin du SMS m’a vraiment troublé. Je suis donc parti me coucher avec une culotte un collant fendu une robe longue très moulante. Une fois au lit je n’ai pas pu résister à me faire un petit plaisir mais cela n’a pas été bien long tant j’en avais besoin. Je me suis vite endormi avec une grosse odeur de sperme sous les draps et mon érection qui n’avait pas cessé. Au petit matin vers 6h en érection était toujours là et j’étais toujours en femme dans mon lit. À nouveau je me suis remis à tirer sur l’élastique et là aussi cela n’a pas été bien long, en fait j’ai réalisais que je prenais grand plaisir à être habillé en femme.

Du coup quand il a fallu que je me lève je me suis trouvé bien embarrassé car les vêtements que m’avait confié Marie sentaient vraiment très fort le sperme. Du coup je me suis empressé de vite les passer à l’eau très chaude pour essayer d’en retirer l’odeur au moins. Quand j’ai sonné chez Marie à 10h j’étais comme la veille toute excitée dans ma tenue féminine. Toute la journée elle m’a fait essayer des vêtements toute la journée elle m’a fait marcher avec les escarpins ou les cuissardes. Marie m’a dit que jusqu’à maintenant elle me trouvait trop macho et que ainsi vêtu en femme, je commençais à lui plaire. Moi qui avais les cheveux relativement longs, elle s’est mise à me les lasser derrière moi; quand je me suis vu dans le miroir je me suis trouvé vraiment bandante. Maintenant elle m’a demandé de marcher en essayant de prendre des postures féminines et surtout une démarche de femme coquine.

En même temps vu les tenues qu’elle me faisait enfiler, j’avais tout d’une femme en chaleur. Le plus gênant c’est qu’à midi elle a décidé que nous allions sortir dans la rue pour s’assurer que je passe bien féminine. C’était quand même paradoxal que je sois habillé en femme féminine voire provocante, et j’ai un gros désir de me faire Marie. Au bout d’une bonne heure et demie à faire les courses dans les boutiques nous avons fini par rentrer et tout c’était bien passé. Pour me féliciter, elle m’a fait asseoir dans le canapé; puis s’est positionnée entre mes jambes pour venir me faire un petit plaisir. Marie m’a dit qu’elle allait s’occuper de mon clitoris. Pendant qu’elle me caressait mes cuisses satinée, elle me caressait aussi ma poitrine moulée dans du lycra. Avec la pression et le désir que j’avais enmagasiné, je n’ai pas été bien non à partir dans sa bouche et elle n’en n’a pas gaspillé une goutte.

Vers 16h elle m’a invité à rentrer chez moi car elle avait quelque chose de prévu et j’ai dû comme la veille rentrer en femme mais j’assumais beaucoup mieux que la veille. J’ai voulu me changer mais en même temps je me suis dit que j’étais tellement bien dans cette tenue, du coup j’ai même poussé le vice jusqu’à sortir dans la rue tout seul, personne n’y a rien vu et vous savez quoi je suis même acheté des dessous ainsi qu’une douce robe et une nuisette. En moins d’un weekend je venais de me monter une garde-robe féminine; choses à laquelle je n’aurais pas pensé voilà quelques jours encore. J’ai passé le reste de mon samedi ainsi que le dimanche en femme, très excité. Il m’a été très dur le lundi matin de me défaire de ses vêtements pour reprendre une vie d’homme pour mon travail. Je n’ai même pas eu un seul commentaire par rapport à l’odeur de parfum féminin qu’il me restait un peu sur moi.

La semaine s’est passée normalement excepté le fait que le soir dès que je rentre et je me travestissais. Le vendredi soir Marie est venue s’incruster pour dîner, elle m’a félicité pour ma tenue; elle m’a dit que j’étais vraiment bandante. Nous avons passé une soirée très sympa, tellement sympa qu’elle est restée dormir avec moi. C’était la première fois que je dormais avec Marie j’avais très envie d’elle mais j’avais envie que nous dormions en amis. Le samedi matin au réveil elle m’a littéralement saisi la tête pour me la fourrer entre ses jambes histoire que je lui fasse une bonne petite langue. Elle produisait énormément de cyprine et c’est avec grand plaisir que je me suis attaché à lui nettoyer dans les moindres recoins sont minou. Cela me faisait tout drôle d’être en femme pendant que je donnais du plaisir à une autre vraie femme.

Après avoir pris son pied Marie a disparu jusqu’au jeudi soir suivant où elle est réapparue Histoire de venir passer la soirée avec moi pour me souhaiter bon courage pour le lendemain. En même temps ce n’était pas un luxe car je psychotais un peu pour le lendemain; mais au fond de moi je me disais que j’étais bien préparé. Voilà maintenant bientôt 15 jours que tous les soirs quand je rentrais à la maison je me transformais en femme pour mon plus grand plaisir mais officiellement c’était pour me préparer la journée de la femme. Le vendredi matin quand le réveil a sonné; j’avais très bien dormi mais j’étais face à un problème, je ne savais pas comment j’allais m’habiller. Je découvrais un problème typiquement féminin… avec ma garde-robe et ce qui m’avait laissé Marie, j’avais de quoi me faire vraiment belle chose; que j’ai essayé de faire de mon mieux avant de partir bosser.

Je suis parti dans la rue en tenue assez provocante mais surtout avec beaucoup d’assurance, les quelques cours de maquillage que m’avait dispensé Marie n’avaient pas été inutils. Je suis donc parti bosser en cuissardes, jupe légèrement au-dessus du genou, avec un chemisier tout doux et guêpière en dessous; ma tenue était quand même un appel au viol. Arrivé au boulot, strictement personne ne m’a reconnu; j’ai dû aller m’installer à mon poste pour que les gens réalisent que c’était moi. Vers 10h30 nous sommes partis boire un café et là j’ai réalisé que je me prenais des mains au cul et pas qu’une. Il y a même mon supérieur, qui était aussi travesti mais de façon plus succincte, lui a poussé le vice jusqu’à me caresser les fesses et le sexe. Le filou a fait attention à faire cela sans être vu en toute discrétion. Je vais vous avouer que j’étais un peu pris au dépourvu et du coup je ne savais pas comment réagir ce qui fit qu’à ses yeux j’étais en train d’être quelqu’un de passif. Vers 12h30 tous les collègues sont partis au resto personnellement je n’avais pas trop envie car j’avais quand même une tenue un peu provocante. Vers 13h alors que tout le monde était parti manger il m’a convoqué dans son bureau et là il est passé à la vitesse supérieure.

Il m’a fait approcher de lui alors qu’il était assis dans son fauteuil et là il m’a fait agenouiller, je ne sais pas ce qu’il m’a pris mais je me suis exécuté. Il a libéré son sexe qu’il m’a immédiatement donné à pomper, je me suis exécuté comme un automate et c’est ainsi que pour la première fois de ma vie je me suis retrouvé à faire une fellation. Il me parlait au féminin il me disait que j’étais en train de me découvrir des talents de suceuse. Il m’a dit que j’étais faite pour ça et qu’il y avait manifestement un côté féminin en moi très mal caché. Au moment où j’étais en train de réaliser qu’il allait partir dans ma bouche il m’a fait relever m’a saisie par la main et m’a emmené aux toilettes. Moi qui suis d’un naturel rebelle d’habitude,là je me laissais faire, je me laissais guider, j’étais complètement hypnotisé dans mon rôle de femme. Il m’a fait rentrer dans un toilette individuel m’a fait poser les mains contre le mur en lui tournant le dos. Il m’a soulevé ma jupe toute douce puis m’a collé une noix de salive à l’entrée de mon petit cul en se faufilant derrière mon tanga.

Je l’ai entendu débarrasser de son pantalon puis j’ai senti son sexe venir se positionner à l’entrée de mon intimité. J’étais en train de réaliser que la journée de la femme allait vraiment être mémorable pour moi cette année-là. Je ne sais pas comment cela se passait pour les autres collègues; mais moi j’étais sûr que j’allais m’en souvenir de la journée de la femme. Ça y est maintenant mon supérieur était en train de commencer à me pénétrer, je n’étais pas trop inquiet quant à la douleur car j’avais constaté que son sexe était de section relativement fine. Pour la première fois de ma vie je me faisais prendre comme une femme et finalement ce n’était pas déplaisant. Le seul souci c’est que j’étais dans les toilettes avec pour seul vis-à-vis la marque du fournisseur en l’occurrence Villeroy et Boch. Vous parlez d’un souvenir j’aurais préféré me faire prendre en plein champ ou sur un lit mais on ne sait jamais peut-être y aura-t-il une suite.

Franck mon supérieur, ne devait pas en être à son coup d’essai et rapidement il a posé ses mains sur mes hanches pour s’agripper puis il se mit à aller et venir en moi machinalement. C’est vrai que bien que petit son sexe ça me faisait de l’effet et j’essayais de contracter un sphincter histoire de lui donner un peu de plaisir. Il me traitait de tous les noms j’étais sa chienne, sa salope, sa cochonne, sa soumise et il allait me dresser à lui donner du plaisir. Au fond de moi je n’étais pas trop inquiet car la journée de la femme ce n’est qu’une fois par an. Au bout de 10 bonnes minutes à me ramonner le fondement, il a fini par me balancer toute la purée dans les entrailles et manifestement il y en avait beaucoup. Il est resté encore quelques instants auquelques instants en moi, pour la forme; ce qui m’a permis à moi aussi de prendre mon pied. Pour une première imprévue, j’étais très content du plaisir procuré.

Après avoir repris ses esprits toujours emboîté en moi il a fini par se séparer de moi et surtout me planter là comme un con dans les toilettes. Il est sorti et moi je me suis assis pour essayer de me débarrasser du maximum de semence qu’il venait de me balancer. Je suis resté encore quelques instants dans l’isoloir puis j’ai colmaté la fuite avec du papier water avant de réintégrer mon poste. Nous étions toujours tous les deux dans le bureau les autres n’étaient pas encore revenus, du coup Franck m’a dit à voix haute que j’étais un bon coup et qu’il était vraiment très content de cette journée de la femme qui lui avait permis de me féconder. Il m’a aussi dit qu’il avait constaté qu’il m’avait fait jouir par ma chatte; pas très flatteur pour moi quand même. Je l’ai remercié pour le compliment et lui ai répondu que heureusement que la journée de la femme n’était qu’une fois par an. Je lui ai expliqué que j’avais assumé mon rôle de femme jusqu’au bout. Vers 14h quand tout le monde est rentré nous nous sommes remis au boulot comme si de rien n’était.

J’avais quand même les narines qui étaient excitées par les odeurs de sperme qui émanaient de mon petit cul et de mon sexe. Vers 17h30 le bureau a commencé à se vider et c’est une collègue Caroline qui est venue me voir elle était une véritable femme une grande beauté. Grande, belle, autoritaire et directive; je la sentais bien dominatrice. Elle aussi s’habillait très souvent de façon un peu provocante mais c’était une femme une très belle femme et elle contrôlait toujours les événements. C’est ainsi qu’elle est venue s’asseoir sur mon bureau, moi j’étais assis dans mon fauteuil elle a bien écarté les jambes pour me montrer qu’elle n’avait pas de culotte; elle m’a expliqué qu’elle aimerait bien que je lui fasse une petite langue. Décidément cette journée de la femme avait vraiment émoustillé tout le monde. Depuis le temps que je suis dans la société, cette femme me faisait vraiment envie et là elle m’arrive offerte et désireuse.

Là elle me dit que ce serait la seule fois de l’année où j’aurais le droit de faire du bien et c’est ainsi que je me suis mis à nettoyer le minou de Caroline. Contrairement à mon rapport avec Franck j’adorais brouter les minous et surtout donner des sensations à la titulaire de ce dernier. Pendant une demie-heure ma langue s’est promenée de son petit trou en passant par le périnée à sa petite moule jusqu’à son clito. Je prenais grand plaisir à l’entendre soupirer, je prenais grand plaisir à lui caresser les cuisses d’une grande douceur, je prenais grand plaisir à la sentir tressaillir par moment, je prenais grand plaisir à lui pincer la pointe de ses tétons de temps à autre; il n’y a pas à dire cette femme était faite pour l’amour. Caroline a fini par prendre son pied elle a été une grande discrétion mais je l’ai entendu soupirer très fort et surtout me saisir la tête et l’appuyer très très fort sur son entrejambe. Bref pour la journée de la femme je venais de donner du plaisir à une femme et un homme. Cela valait vraiment le coup de se déguiser en salope.

Si cette histoire vous a plu il y aura une suite.

Gros bisous à vous.

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