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Le pasteur pervers – Chapitre 7




Pasteur et maquereau 4

Pimped by her own pastor 4

Coulybaca / Black Demon

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Cette histoire se suffit en elle-même, Cependant elle est aussi une suite directe de « Violée et subjuguée pendant les vacances », « Le Pasteur se fait maquereau » et « Le Pasteur victime d’un chantage »,

« Pasteur et maquereau 1, 2 & 3»

(Victim’s Violated Vacation & Pastor’s a Pimp 1 & 2,

Pimped by her own pastor 1, 2, & 3)

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L’été était arrivé, il était temps de préparer sa visite à Presswood, Amos Thompson était extasié à l’idée de coucher avec ces ravissantes beautés.

Il était certain que cela lui avait coûté une somme rondelette, mais il avait conscience "qu’il en aurait pour son argent".

Il ne s’agissait pas de se rendre dans un bordel pour se faire une pute qui lui ouvrirait obligeamment ses cuisses en service commandé, tout comme pour n’importe quel client qui paierait le prix requis.

Cette excursion à Presswood allait lui permettre de s’envoyer de savoureuses jeunes femmes, sophistiquées, élégantes… Et surtout blanches.

Le professeur principal de psychologie de l’université Méridienne, membre de la PPBN avait été éberlué de voir en vente sur le site du PPBN la succulente Kelly Garrison?

Cette somptueuse jeune femme fréquentait les cours de psychologie qu’il dispensait à l’université Méridienne, elle avait suivi plusieurs de ses classes et, depuis un bon moment, il avait secrètement envie de se faire cette ravissante jeune fille.

Il s’avérait par ailleurs que la somptueuse jeune fille habitait la ville de Presswood où le PPBN venait tout juste d’implanter un bureau où l’on pouvait sélectionner et acheter des jeunes femmes sur catalogue.

Désirant se faire les charmes de la belle Kelly Garrison depuis plusieurs années, Amos ne pouvait pas laisser passer cette occasion de la posséder.

Il savait grâce au diamant qu’elle portait au doigt qu’elle était fiancée, elle devait sûrement se marier l’été qui suivrait l’obtention de son diplôme !

Et, ayant visionné sa performance sous hypnose avant que la vente aux enchères ne commence, il avait décidé de gagner les enchères la concernant d’autant que lors de son interview sous emprise hypnotique elle confirmait qu’elle réservait sa virginité pour sa nuit de noce cet été.

Il avait gagné le droit d’user et d’abuser des charmes de la ravissante Kelly lors des vacances de printemps ce qu’il avait bien l’intention de faire dès son retour de vacances, il avait d’ailleurs mis en oeuvre son plan dès qu’elle avait pénétré de nouveau dans sa classe de psychologie.

Son pasteur avait implanté dans son esprit de le visiter pendant ses heures de soutien en fin de journée.

Depuis le début de la journée Amos attendait pour cette fin d’après-midi un premier retour sur investissement, il comptait bien se servir de la clef implantée dans son esprit par son vendeur, qui la placerait sous sa totale emprise.

Bien que la ravissante jeune femme ait les yeux grands ouverts, son esprit ne fonctionnait plus, il n’enregistrait plus rien, il lui semblait évoluer dans un rêve et tout ce qui se passait dans son bureau faisait partie intégrante de son rêve.

Le sachant le professeur Thompson inséra sa main calleuse dans le V de son décolleté posant ses doigts épais sur son soutien-gorge en dentelle.

Il titillait d’un doigt expert son mamelon bourgeonnant puis il empauma totalement son nichon repoussant son soutien-gorge pour mieux caresser son nibard.

— Tu as drôlement bien sucé ton pasteur mademoiselle Garrisson ! Je me suis branlé ces deux derniers jours sur la copie du DVD que m’a envoyé ton maître ! Et maintenant montre-moi ce que le pasteur Mollway t’as enjoint de faire au pasteur Knowlton ! Lui intima-t-il en sortant sa main de son décolleté pour se poster face à elle.

Et la ravissante étudiante en Psychologie Avancée, cette jeune fille pure et guindée, tendit la main pour dégrafer sa braguette.

— Ahhhhhhhh, ouiiiiiiiiiiiiiii… Gémit-il alors que sa petite main manucurée plongeait dans l’ouverture de sa braguette à la recherche de sa mentule bandée.

Il avait pris la précaution de verrouiller la porte de son bureau dès qu’il l’avait activé sa dépendance il savait qu’aucun étudiant ne viendrait perturber cette heure de réunion.

— Ahhhhhhhhhhhhhhhhhhhh… grognait-il alors qu’elle promenait la pointe de sa langue sur son, méat turgescent.

— Ohhhhhh… Encore ! Pantelait-il alors q’elle le branlait habilement de sa main gauche ornée de sa bague de fiançailles alors que sa main droite enfoncée dans son caleçon triturait lascivement ses grosses burnes velues.

Il posa alors sa main sur la nuque de la blonde beauté, aux yeux bleus grands ouverts, la regardant dans les yeux il souffla :

— Je vais jouir ma chérie… Avale ma semence… Avale tout… Oh oui comme ça mademoiselle Garrissonnnnnnnnnnnnnn !

Et plus tard cette nuit même, guidée par les suggestions hypnotiques implantées dans son esprit, elle lui rendait visite à son domicile afin de discuter de sa note moyenne du dernier trimestre.

Une fois la somptueuse jeune fille totalement sous emprise, attirée dans son antre, il avait décidé de s’emparer de sa plus grande fierté, sa virginité !

Comme elle était sous dépendance il lui était facile de s’emparer de sa précieuse virginité qu’elle tenait à conserver intacte pour l’offrir à son futur mari lors de leur nuit de noce !

Dès qu’il se mit à la caresser intimement il l’allongea sur son lit alors que toute la scène était capturée par une caméra en service.

La sortant brutalement de son état de stupeur,

Amos prit un énorme plaisir à replonger la ravissante jeune fille dans la réalité.

Il l’observait attentivement alors qu’elle clignait des yeux, hébétée, puis elle pantela en le reconnaissant.

— Professeur Thompson… Que se passe-t-il ? Où suis-je ? Balbutia-t-elle, ce à quoi il répondit sans vergogne :

— Tu es dans mon lit ma petite Kelly chérie… Tu me pries de te mettre un A… En échange de rapports sexuels !

L’horreur envahissait Kelly Garrison, en réalisant qu’elle se trouvait entièrement nue contre son prof qui frottait son musculeux corps noir contre le sien.

Les yeux écarquillés d’épouvante, elle sentait sa bite bandée se presser dans sa fentine.

Terrifiée elle le supplia :

— S’il vous plait… Non… Nonnn… Ce n’est pas vrai… Je ne suis pas venue chez vous pour coucher avec vous ! Nonnnnnn… C’est un viol ! Arrêtezzzzzzzzzzzzzzzzzz !

Il ne prêtait aucune attention à ses lamentations, et se prépara à fracturer son hymen, elle hurla alors qu’il donnait un violent coup de boutoir.

— Aieeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee !

Son cri d’horreur emplit la chambre, ce hurlement lui semblait une douce musique, cela valait bien le prix payé !

Projetant une nouvelle fois son bas ventre en avant, il planta son épaisse mentule dans sa fente virginale, elle cria de plus belle :

— Owwwwwwwwwwwwwww… Arrêtez.. Arrêtez… J’ai malllllllllllllllllll… Oh mon Dieuuuuuuuuuuuuu… Aide-moi…

Amos riait à pleines dents, et gloussa :

— Dieu ne peut rien pour toi, ma chérie ! En fait, d’une certaine façon il est à mon coté heh, heh !

Son corps lourd clouait la frêle jeune femme sur son lit alors qu’elle tentait vainement de lui décocher des coups de pied.

Son investissement s’avérait productif il lui avait permis de ruiner la vie de cette naïve jeune blonde, de saccager son pucelage avant d’éjaculer sa fertile semence au fin fond de son utérus alors qu’elle sanglotait :

— Non… Non… S’il vous plait professeur… Arrêtez… Je vous en prie… Vous risquez de m’engrosser !

Toute la scène avait été capturée par la caméra et n’importe quel spectateur qui la visionnerait en conclurait que Kelly Garrison l’avait visité pour obtenir un "A" en couchant avec son prof, dès cet instant la naïve jeune femme avait du se plier à un chantage qui faisait d’elle l’esclave sexuelle de son prof.

Le jour de la remise des diplômes, Amos s’était débrouillé pour se rendre à la salle de réception ou étaient réunis les parents et amis des impétrants.

Il frissonnait de joie à l’idée de rencontrer le connard de petit blanc qu’il empêchait de cueillir la précieuse fleur de sa fiancée.

Il voulait féliciter l’adorable jeune fille, il l’embrassa sur les joues et lui susurra à l’oreille :

— Réserve-nous la suite nuptiale la veille de tes noces ! Raconte à tes parents que cela sera plus facile de t’y habiller pour te rendre à l’église ! Je veux te baiser une fois encore… La nuit précédant ta nuit de noce ! Tu revêtiras ta robe blanche et ton voile de mariée !

Il frémit aussi en rencontrant l’élégante et sophistiquée madame Patricia Garrison, la mère de Kelly.

Bien qu’il n’ait pas reçu d’invitation à la noce, il s’esclaffa :

— Il me reste à te remercier pour ton aimable invitation ma chère Kelly… Cela tombe très bien, je dois justement effectuer du recrutement dans une ville voisine de Presswood, je serai donc sur place et parfaitement disponible pour répondre à ton invitation !

Il avait à peine formulé ses remerciements que la mère de la future mariée insistait pour qu’il vienne partager leur repas après la noce, avant qu’il ne quitte Presswood.

Cela engageait Amos à prendre contact avec le pasteur Mollway, le pervers ex-pasteur qui avait manigancé la mise en vente des charmes de la délicieuse Kelly.

Deux semaines après la remise des diplômes et une bonne semaine avant la cérémonie de mariage, Amos put voir au travers de son écran, le professeur Mollway placer l’élégante et sophistiquée mère de la mariée sous son emprise hypnotique.

Dans son bureau, l’insouciante beauté s’engageait à apporter son soutien aux bonnes causes de l’église et plus particulièrement à guider les futurs époux pour que leur futur couple soit aussi réussi et harmonieux que le leur.

Une fois la mère de la mariée sous suggestion hypnotique, le pasteur Knowlton responsable de la congrégation de Presswood se glissa dans le bureau.

Il observait le professeur Mollway amplifier son emprise

sur sa délicieuse proie à venir, lui posant des questions qui devenaient de plus en plus intimes.

— Comment t’appelles-tu ?

— Patricia Garrison !

— Quel âge as-tu ?

— 43 ans !

— Travailles-tu ?

— Oui !

— Que fais-tu ?

— Je suis la principale du lycée de Presswood !

— Depuis combien de temps es-tu mariée ?

— 22 ans !

— As-tu déjà trompé ton mari ?

— Non, jamais !

— Avais-tu déjà eu des rapports sexuels avant ton mariage ?

— Non !

— As-tu déjà pensé à faire l’amour avec un autre que ton mari ?

— Non !

— As-tu déjà fait une fellation ?

— Non !

— As-tu déjà été sodomisée ?

— Non !

— As-tu déjà entendu parler de la légende concernant les bites des noirs ?

— Oui !

— Penses-tu que c’est vrai ?

— Je ne sais pas !

— T’es-tu déjà demandée si c’était vrai ?

— Oui !

Ce jeu de question réponse était destiné à implanter dans son esprit afin de créer un puissant désir de résoudre les dernières questions.

Puis le pasteur Mollway empoigna son téléphone, la seconde suivant la ligne directe du pasteur Thompson sonnait, il décrocha pour prendre le coup de fil du pervers pasteur.

Un coup d’oil sur son moniteur affichant le numéro de l’appelant lui avait suffi pour constater que ce coup de fil provenait de son "complice" qui avait placé madame Garrison sous suggestion hypnotique.

Comme la somptueuse épouse n’avait jamais eu de relations sexuelles en dehors de son couple Amos était assuré d’être le premier étranger à tremper son biscuit dans la chatte de cette femme fidèle au corps si affriolant.

Son investissement lui permettrait par ailleurs d’être le premier à l’enculer, il allait lui fracasser son pucelage anal !

De plus le pasteur Mollway allait implanter une gerbe de suggestions l’amenant à rêver de lui toutes les nuits à venir se demandant comment se passerait une séance de baise avec le prof noir de sa fille chérie.

Il avait par ailleurs implanté dans son esprit qu’elle devrait appeler son mari dans la cuisine de façon à donner à Amos le temps de glisser de la drogue dans leurs verres, un puissant assommoir pour son époux et un puissant aphrodisiaque dans le sien !

Cette conversation terminée Amos regardait l’écran de son ordinateur sur lequel les deux complices abusaient de la malheureuse Patricia Garrison, il ne pouvait vraiment pas les blâmer de profiter des charmes que la délicieuse madame Garrison ne pouvait leur refuser.

Il paraissait évident que le vieux Mollway était un fétichiste du pied, il avait tout de suite pris position face à ses jambes tendues.

Il avait alors entrepris de les lui caresser lentement sa main partant du genoux pour se glisser sous la jupe. Puis cette main réapparaissait, descendant jusqu’à ses chevilles pour les délester de ses hauts talons.

Il mignotait maintenant ses plantes de pied et ses orteils soigneusement manucurés tout en se débraguettant pour extraire sa grosse mentule raidie de son caleçon.

Il la fourra ensuite entre ses plantes de pieds dont il se fit un soyeux fourreau, visiblement il prenait grand plaisir à cette pratique.

Pendant ce temps, le jeune Pasteur Knowlton n’était pas resté inactif, il se branlait énergiquement au coté de la somptueuse paroissienne qu’il convoitait.

Il tendit la main pour agripper son poignet gauche la refermant sur sa hampe raidie.

Son alliance et sa bague de fiançailles étincelaient alors qu’elle manipulait sa mentule bandée, c’était vraiment très excitant.

Quelques instants plus tard, lorsque les deux hommes eurent satisfaits leurs appétits lubriques, la charmante femme gisait sur le lit la jambe repliée, le pied reposant sur le rebord d’une chaise.

Il était visible qu’ils avaient tous deux éjaculés sur elle, des larmes de sperme gouttaient de ses orteils et de sa plante des pieds de l’éjaculas du pervers Mollway, alors que sa main était engluée du foutre du jeune pasteur Knowlton

Dix jours plus tard, un mercredi soir, le pasteur Knowlton se trouvait d’en son église pour conduire la répétition du mariage de Kelly Garrison et de son fiancé.

A l’insu du pasteur Knowlton, son acolyte avait gagné son domicile peu après son départ pour l’église.

Mollway avait appelé l’adorable Neil Knowlton un peu plus tôt, le fait de prononcer la phrase magique "Pouf Pour Bites Noires" lui avait permis de l’inviter à recevoir un visiteur peu après le départ de son mari.

Une fois que le pasteur Mollway eut fait les présentations il lui annonça :

— Le professeur THompson n’a jamais baisé avec une femme de pasteur auparavant… Aussi m’a-t-il demandé de lui arranger ce rendez-vous avec toi ! Tu vas t’occuper de lui tandis que ton mari est à l’église ma chérie ! Mais d’abord sers-nous un verre de vin ma chère madame Knowlton !

Amos prit son verre des mains de la somptueuse jeune femme et s’approcha d’elle, il la sentit trembler de tout son corps alors qu’il lui caressait le dos.

Il se pourlécha alors les babines en contemplant la ravissante épouse du jeune pasteur vêtue d’une élégante robe bleue marine et de hauts talons blancs.

Avec impatience il descendit la fermeture éclair dorsale de sa robe puis glissa sa main dans sa robe.

Il l’entendit retenir sa respiration alors qu’il titillait un mignon petit téton au travers de son soutien-gorge de dentelle.

De sa main libre il dégrafa le clip dorsal de son retrousse-téton une seconde plus tard il baillait lamentablement. Il put alors empaumer la totalité de son nibard dénudé en glissant sa main sous le bonnet du soutien gorge détendu, puis il flatta son jumeau, ses tétons s’érigèrent avec force.

Quelques instants plus tard, dans la chambre qu’elle partageait habituellement avec son mari, la robe de l’adorable Neil chuta sur ses chevilles autour de ses hauts talons blancs.

Une seconde plus tard, son soutien gorge l’y rejoignait. Puis ce fut le tour d’une affriolante petite culotte blanche.

Si Richard Knowlton avait pu jeter un oeil dans sa chambre à cet instant, il aurait vu la fine main manucurée de sa jeune femme se poser sur des épaules noires musculeuses, la tête rejetée en arrière alors qu’elle miaulait de plaisir sous les caresses de l’athlétique noir qui lui butinait avidement le minou.

C’était un délice de voir la belle femme du pasteur lui agripper la tête et ses doigts crochant ses cheveux crépus.

– Ooooooooooooooooh… Oh, professeur… Ooooooooooooohhh… Ahhh, ahhhhhhhhhhhhhh… ahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh! Couinait-elle alors que son doux nectar coulait à flot dans sa bouche ensorcelante.

Il recula sa tête, ne titillant plus les babines de sa partenaire de la pointe de la langue, Amos butinait la chatoune de la jeune femme du pasteur avec expertise alors qu’elle coulait toujours à flot dans sa bouche.

La scène était savoureuse alors que cette douce femme de pasteur à l’air si ingénue lui agrippait la chevelure en hurlant et criant :

— Bouffez-moi… Bouffez-moi la chatte, professeuuuuuuuuuurrrrrrrrr !

Depuis qu’il avait demandé si la jeune femme du pasteur Knowlton faisait partie du cheptel de l’association et qu’il avait décidé d’user ses charmes une nuit entière, le vieux pervers était sûre qu’elle aussi avait un profond besoin de satisfaire ses appétits sexuels, certain que seul un type particulier de relation pouvait maintenant satisfaire ses appétits de stupre… Celles fournies par une bonne grosse bite boire !

Il connaissait ses besoins secrets, ces besoins qu’elle avait développé depuis son viol initial pendant les vacances de l’année dernière !

Il était important pour la belle Nell Knowlton de protéger son image de respectabilité, celle de la digne femme du pasteur de cette communauté.

Elle avait tu son viol, ainsi que ses débordements avec de nombreux hommes noirs, c’était quelque chose qu’elle ne pouvait s’expliquer que cette attirance irrésistible pour ces expériences sexuelles illicites.

Puis l’infâme ex pasteur qu’elle pensait un ami s’était mis à la faire chanter l’obligeant à coucher avec lui puis la prostituant à de nombreux noirs musculeux qui s’acquittaient d’une somme conséquente pour user et abuser de des charmes en toute liberté d’une jeune femme qui semblait si innocente.

De plus le fait qu’elle soit la femme d’un pasteur la rendait d’autant plus excitante aux yeux de ses clients.

Bien qu’elle soit toujours bourrelée de remords après avoir écarté les cuisses pour un autre que son mari, Nell n’avait pas eu d’orgasmes satisfaisant depuis des semaines alors que ce professeur Thompson lui procurait un orgasme d’une intensité diabolique.

Elle comprit alors en le voyant serrer les cuisses autour de sa tête qu’il entendait bien qu’elle lui procura les mêmes délices.

Désireuse de le satisfaire pleinement, elle déboucla rapidement sa braguette et extirpa sa grosse mentule noire de son caleçon, et entreprit de la sucer avec avidité. Elle enveloppait sa hampe de la langue, flattait son méat de la pointe de la langue puis redescendait lascivement jusqu’à ses burnes.

Son obscène performance lui parut surtout si incongrue lorsqu’elle entendit ce pervers bâtard exploser de rire en ironisant :

— C’est la meilleure fellation qu’on m’ait faite depuis longtemps, jamais je n’aurai soupçonné que tu sois aussi experte et enthousiaste !

La ravissante femme du jeune pasteur était disposée à quatre pattes, elle sentait qu’il ne tarderait pas à agir !

Elle priait pour qu’une chose lui arrive, elle ne voulait pas qu’il explose dans sa bouche alors qu’elle avait désespérément besoin de le sentir enfouir son gros chibre noir dans sa chatoune affamée.

Elle jeta un oeil vers le professeur tout en continuant à lui tailler une savoureuse pipe, elle le supplia alors :

— Je vous ferai jouir dans ma bouche plus tard… J’ai trop envie… De vous sentir en moi ! Je vous veux… Je veux que me vous me baisiez à couilles rabattues !

Amos ne parvenait pas à croire que cette chienne, cette licencieuse petite salope, puisse être l’innocente femme d’un pasteur.

Elle était menue et minuscule, bien plus petite que lui, c’était un délice de se faire une telle salope dans le lit qu’elle partageait ordinairement avec son mari.

Prenant la femme entre ses bras, il la posa sur le lit avant de la dépouiller prestement de ses vêtements.

Il était évident que cette adorable salope était en manque, elle se masturbait énergiquement d’un doigt habile alors qu’elle gémissait à pleine gorge.

Au pied du lit, Amos était tout surpris de la facilité avec laquelle sa petite chatte avait avalé son épaisse bite, démontrant par ailleurs qu’elle était loin de l’image de la douce et innocente femme du pasteur qu’elle se donnait en public.

Pendant ce temps le pasteur Knowlton qui devait animer la ré^pétition de la cérémonie de mariage avait appris qu’elle avait du être annulée au dernier moment.

Bien qu’il aurait pris grand plaisir à assister à la répétition de la cérémonie de la charmante future, sachant pertinemment que son vil professeur de fac avait l’intention de la baiser la veille de sa nuit de noce dans sa suite nuptiale le lendemain soir, il dit au revoir aux fiancés leur donnant rendez-vous le samedi.

De ce fait il rentrait chez lui plutôt que prévu, sa mâchoire se décrocha à la vue de la voiture de l’ex-pasteur Mollway garée devant sa porte.

La dernière fois que Mollway s’était rendu chez lui Richard avait été obligé de l’inviter à souper, puis il était parti sous le prétexte d’assister à l’agonie d’un de ses paroissiens laissant le champ libre au pervers pasteur Mollway qui pouvait ainsi faire ignominieusement chanter sa femme l’obligeant à coucher avec lui.

Nell pensant que son mari ignorait tout de ses escapades extra conjugales elle s’était soumise à ses volontés toute la nuit, se faisant baiser à couilles rabattues sur le lit qu’elle partageait ordinairement avec son mari.

Richard savait que Mollway avait été chercher un excellent client à son arrivée à l’aéroport cet après-midi se chargeant de le divertir pour cette soirée, mais il avait pensé qu’il s’agissait de boire quelques verres avant de dîner dans un bon restaurant.

Il n’avait jamais suspecté que Mollway avait un autre type de divertissement en tête pour son client, que sa ravissante jeune femme serait chargée de le distraire pendant cette soirée.

— Le foutu bâtard ! Maudit-il Mollway déçu à l’idée que ce pervers avait combiné d’offrir sa délicieuse femme à son client sans même le prévenir.

Ayant précédemment assisté à la retransmission du viol de la ravissante Kelly La Garnison, l’étudiante de psychologie par son pervers prof de fac, il avait vu à quel point il était bien monté.

Et voilà que ce dernier se déshabillait dans sa maison pour procéder à la même séance de baise qu’il avait imposée la jeune Kelly.

Tandis que ce sale bâtard se désapait, Nell allongée nue sur le lit il entendit Mollway glousser :

— J’ai chauffé cette ravissante femme de pasteur à votre intention mon cher ! Elle a été privée de grosses bites noires depuis plusieurs semaines ! N’est ce pas ma chère madame Knowlton ?

Il observa attentivement sa femme en chaleur alors qu’elle se tortillait sur le grand lit conjugal, Richard saliva d’impatience en la voyant écarter en grand ses cuisses invitant par ce geste son invité à la chevaucher rapidement.

Puis elle pantela :

— Oh s’il vous plait monsieur le professeur… Pressez-vous… Cette attente est trop longue !

Pour Richard qui avait fait l’amour avec son adorable petite femme le matin même, il était évident qu’elle avait simulé sa jouissance et ses cris d’extase pour lui faire plaisir, afin de lui faire croire qu’il était extrêmement viril.

Ce n’était sûrement pas le cas ce que semblait démontrer ses actuelles supplications :

— S’il vous plait… Je vous en prie… Baisez moiiiiiiiiiiii… Mon Dieu, ce que j’ai besoin de bons coups de bite ! Cette attente est bien trop longue ! Ca fait si longtemps…

Au début il crut bien que son étroite petite chatte ne parviendrait pas à avaler une si énorme bite, obligeant Amos à agripper fermement ses hanches pour forer son trou dans sa minuscule chagatte.

Il sourit soudain en la sentant s’ouvrir à son épais envahisseur.

Il l’emboutit tout d’abord lentement, plongeant juste son énorme gland dans sa fentine, puis la ravissante salope ouvrit en grand ses cuisses aspirant avidement la grosse colonne bandée dans sa grotte enfiévrée.

— Oooooooooooohhhh oui… Oui… Oh ouuuuuuuuuuuuuuui ! Couinait-elle alors qu’il plongeait dans ses profondeurs intimes, levant ses jambes pour verrouiller ses chevilles dans son dos.

Amos Thompson savait que ce n’était que le début d’un été enthousiasmant alors que la chatte de la ravissante jeune femme qu’il baisait jusqu’à l’os enserrait sa grosse bite comme un gant étroit.

Elle faisait la moitié de son poids et semblait si menue que rien ne lui semblait meilleur que de se la faire sur son lit conjugal.

— Ugh… Ugh… Ugh… Ugh… Ohhhhhhhhhhh… Gémissait-elle chaque fois qu’il s’enfonçait en elle comme un marteau piqueur la clouant à son matelas.

De son poste d’observation en dehors de la maison, Richard observait attentivement l’impressionnante séance de baise qui se déroulait ses yeux égarés.

Il pensait entendre son cour battre dans ses oreilles, mais il réalisa soudain que c’était le bruit produit par la tête de lit battant contre le mur chaque fois que le professeur Thompson embrochait puissamment sa gentille femme.

Entendant couiner et gémir son adorable petite femme alors qu’elle se faisait divinement baiser, l’entendant supplier son suborneur de la baiser plus profondément il réalisa à quel point il était inefficace au lit, jamais elle ne l’avait supplié ainsi de la baiser jusqu’à l’os lorsqu’ils faisaient l’amour ensemble.

Puis, en observant les deux corps qui convulsaient de conserve en se frottant âprement l’un contre l’autre, il lui parut évident qu’il éjaculait au fin fond de sa grotte fertile.

Le deuxième soir de son excitant séjour à Presswood, le professeur Amos Thompson avait été pris en charge par les fiancés pour aller souper avec les parents de la future.

Amos savait pertinemment pourquoi Kelly s’était fait accompagner de son fiancé pour venir le prendre à l’hôtel et l’emmener chez ses parents.

La petite salope savait que si elle était venue chercher son hôte il en aurait profité pour s’ouvrir l’appétit en goûtant à ses charmes avant de l’amener chez ses parents.

— Je l’aurai allongée jambes grandes ouvertes sur mon lit pour goûter sa savoureuse petite huître juteuse, mais cela attendra bien demain soir, la nuit précédant ses noces ! Gloussait-il en son fort intérieur.

Kelly Garrison savait très bien ce qu’avait en tête cet homme qui la faisait ignoblement chanter.

Elle avait été violée, mais elle ne pourrait jamais le prouver, déjà qu’elle ne comprenait pas au fond d’elle-même pourquoi elle s’était rendue au domicile de son pervers professeur pour évoquer sa note finale, d’autant plus qu’elle était en tête de sa classe.

Mais la cassette qu’elle avait visionnée semblait prouver qu’elle s’était rendue chez lui pour négocier l’obtention d’un "A", et depuis sous la menace de voir cette vidéo envoyer à ses parents, son fiancé, et ses proches, elle livrait ses charmes à son abject prof qui en avait abusé chaque nuit lors de ce dernier trimestre.

Kelly représenta son vil bâtard de maître-chanteur à ses parents.

Jetant un oeil sur sa montre Kelly se mit à espérer que la demi-heure à venir passerait rapidement et qu’elle partirait sans problème, son fiancé l’ayant momentanément laissée tomber pour rencontrer ses vieux copains qui préparaient l’enterrement de sa vie de vieux garçon.

Elle n’avait pas pris conscience que son pervers professeur avait des intentions lubriques concernant sa mère qu’elle considérait comme une femme élégante et sophistiquée à qui elle voudrait ressembler plus tard.

Depuis qu’il l’avait rencontrée le jour de la remise des diplômes, Amos avait envie de la plier sous son joug.

A l’insu de Kelly, l’organisation criminelle à laquelle appartenait le professeur Thompson, connectée avec la paroisse qu’elle fréquentait avec ses parents, lui avait vendu sa mère tout comme elle l’avait vendue à son pervers maître chanteur trois mois plus tôt.

De même que pour elle le professeur Mollway avait implanté les graines de sa dépravation dans l’esprit de sa mère le jour où elle avait pris rendez-vous avec lui pour régler les détails de leur cérémonie de mariage.

Et, tout comme elle avait subi des suggestions hypnotiques, la corrompant profondément, sous emprise elle avait sucé la bite du pasteur Knowlton alors que le professeur Mollway implantait divers ordres dans son esprit.

Une fois sa fille et son futur gendre partis, Patricia Garrison sentit son cour cogner comme jamais dans sa poitrine alors qu’elle s’asseyait au coté de l’athlétique professeur Thompson.

Depuis une semaine, sachant que le prof de fac de sa fille dînerait avec elle et son époux, elle n’était pas parvenue à s’enlever l’image de cet homme de la tête.

Chaque nuit dans son lit, elle avait pensé à cet homme comme jamais elle n’avait pensé à un homme auparavant, elle en était bourrelée de remords.

— Pourquoi cet homme lui faisait-il un tel effet ?

— Qu’allait-il arriver ?

— Rien que la pensée de sentir ses larges mains glisser sur mes jambes nues… Oh, mon Dieuuuuuuuuuu ! Sa grosse… Bite noire… Me martelant profondément… M’embrochant jusqu’à la racine !

Elle en rêvait toutes les nuits.

La culpabilisation associée aux pensées les plus viles là déprimait profondément elle se demandait pourquoi cela lui arrivait maintenant après tant d’années de mariages heureuses pendant lesquelles elles n’avaient jamais eus de pensées aussi malsaines.

En fait ces pensées avaient été implantées dans son esprit lorsqu’elle se trouvait sous emprise hypnotique du pervers Mollway, dans son bureau alors qu’elle avait les yeux rivés sur une photo d’Amos Thompson.

Il en profitait pour la caresser lubriquement, malaxant ses nibards au travers de ses vêtements avant de glisser une main sous sa jupe pour lui palper sa chagatte au travers de la fine texture du fond de sa petite culotte.

Et depuis ce jour, chaque nuit les mêmes pensées lubriques la torturaient, elle se demandait ce qui était vrai dans ces légendes concernant la taille de la bite des noires !

Tout en sirotant les margaritas servis par monsieur Garrison, Amos sentait la nervosité de l’adorable femme du foyer; d’autant plus qu’il connaissait les idées le concernant implantées dans son cerveau par Mollway.

Tom Garrison lui tendait les clefs d’une voiture garée à l’extérieur l’invitant à s’en servir pour la durée de son séjour à Presswood, puis il s’excusa devant sortir pour mettre les steaks à griller au barbecue, d’après Mollway son hôtesse serait incapable de lui résister s’il posait sa main sur la sienne pour jouer avec sa bague de fiançailles et son alliance.

Et de fait son geste opéra comme par magie, il l’entendait panteler, sans retirer sa main, alors qu’il jouait avec ses anneaux.

Il l’observa attentivement, s’assura que le mari était toujours dans l’arrière cour et se pencha sur la frissonnante beauté et pressa ses lèvres sur les siennes.

Amos était conscient de son émoi, il l’entendait haleter, il inséra sa langue dans sa bouche puis il posa main sur ses cuisses dénudées remontant sous sa jupe.

Une langue fouineuse inspectait sa bouche, des doigts se glissaient sous les élastiques de coté de sa petite culotte pour frétiller dans sa fente engluée de cyprine, et tout cela cessa brusquement au bruit d’ouverture la porte du patio.

Alors qu’elle le regardait fixement, Amos porta sa main à son visage et lécha la cyprine couvrant son index.

Se rasseyant à table après avoir servi le repas, Patricia ne parvenait pas à croire à ce qui s’était passé dans le salon un peu plus tôt.

— Qu’ai-je fait ?

— Comment ai-je pu l’autoriser à… Frissonnait-elle nerveusement.

Ils n’étaient que trois, la soirée était douce, Patricia avait drapé une nappe sur la table extérieure, ils dînaient ainsi de façon fort informelle et détendue dans le patio.

Après être restée assise un bon moment, Patricia se figea en sentant le professeur Thompson lui faire du pied, elle ne savait pas quoi faire, et ne trouvait pas la force de le repousser.

Elle sentit alors son pied frotter le talon des ses chaussures.

Quelques instants il avait réussi ce qu’il avait entrepris, il lui avait enlevé son haut-talon.

Et maintenant il appuyait sa jambe contre son pied nu la forçant à réaliser :

— Mon Dieu il veut me faire du pied avec mon mari assis à nos cotés !

Son esprit lui disait bien que c’était absurde, mais elle se sentait incapable de repousser sa jambe, loin de cela elle agrippait son pantalon de ses orteils et entreprit de lui caresser lascivement les jambes.

Après dîner, alors que Tom Garrison gagnait le bar pour préparer des boissons fraîches, Amos tendit la main pour la caresser à nouveau et jouer avec son alliance en lui susurrant :

— Tu iras chercher le dessert que tu as préparé dans la cuisine, lorsque Tom reviendra appelle le pour qu’il vienne t’aider… Tu pourrais te passer de dessert, j’ai prévu de t’offrir un gros éclair au chocolat un peu plus tard !

A ces mots, il la vit avaler sa salive silencieusement, il empoigna alors sa jambe sous la table et posa son pied sur la grosse bosse déformant sa braguette.

Alors que son époux revenait du bar, Patricia retira son pied et ré enfila sa chaussure, et attendit que son mari soit pour annoncer qu’elle s’occupait du dessert.

Un instant plus tard, elle apparut à la porte du patio et appela son mari :

— Tom peux-tu venir m’aider à transporter le plateau.

Comme le mari se levait lui tournant le dos Amos sourit à la sémillante épouse qui le regardait par-dessus l’épaule de son conjoint verser une drogue dans la boisson de Tom.

Lorsqu’ils revinrent à table, Amos se réjouit de voir sa proie trembler à chaque gorgée que son mari sirotait.

Les hommes ayant terminé leurs desserts, madame s’étant abstenu de prendre des douceurs, ils s’assirent confortablement dans le patio, Amos et Patricia dans le sofa, Tom à leur gauche dans un fauteuil.

A peine le café servit, Tom se retrouva hors jeu, la ravissante madame Garrison haletait nerveusement alors que leur invité promenait ses mains brûlantes sous sa jupe lui caressant les cuisses à même la peau.

C’est alors qu’il lui laissa un choix ignominieux :

— On baise ici sur le sofa, avec ton mari à nos cotés, ou on monte à l’étage baiser dans la chambre que tu partages habituellement avec ton mari.

Patricia était figée bouche grande ouverte, elle ne parvenait pas à dire un mot alors qu’une des mains de son invitait inspectait ses charmes sous sa robe et que l’autre lui massait gentiment le cou dégrafant avec habileté le crochet qui fermait le dos de sa robe.

Il descendit alors la fermeture éclair dorsale de sa robe Patricia arriva alors à bafouiller :

— N… Non… pas ici, pas ici… J’ai trop peur que Tom ne se réveille et nous voit faire !

Une fois ces mots dits, il la fit se relever et ils prirent le chemin de la maison.

Posant la main sur l’épaule du malheureux mari drogué, Amos gloussa

— Dors bien mon coco dans le patio, j’ai à faire avec ta femme à l’étage, dans le lit que tu partages habituellement avec elle !

A l’étage, dans la chambre principale, Patricia se tenait figée les yeux rivés au grand lit qu’elle partageait habituellement avec son époux, alors que les mains calleuse d’Amos passaient sa robe par-dessus ses épaules.

Puis le zip d’une fermeture éclair que l’on baisse retentit brisant le silence de plomb juste troublé par les halètements de Patricia, il lui murmura alors à l’oreille :

— Je sais que tu meurs d’envie de connaître un vrai mâle ma chère madame Garrison… Alors n’hésite pas plus longtemps, tend la main et introduit là dans mon pantalon ! T’as aujourd’hui la chance de vérifier que ce que l’on colporte au sujet de la taille des bites noires est tout à fait vrai ! N’hésite plus et fourre ta main là où elle doit être !

Alors que sa robe jonchait maintenant le sol elle avança la main vers sa braguette, comme il ne portait aucun sous-vêtement, sa bite se mit immédiatement à vibrer entre ses doigts manucurés de frais.

— Ooooooooooh… Ooooooooooh… Ohhhhhhhhh… Pantelait-elle alors qu’il empaumait ses nibards dodus.

— Ohhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh ! Haleta-t-elle alors qu’il faisait rouler ses tétons entre pouce et index les amenant à darder immédiatement, en réaction elle referma fermement sa main sur sa mentule, elle se sentait toute ébranlée de constater sa taille invraisemblable.

L’habile langue qui mignotait son cou se dirigea lentement vers le lobe de son oreille elle se sentait totalement à la merci des mains du séduisant professeur alors qu’il lui susurrait :

— As-tu déjà vu une bite aussi grosse que celle que tu as en main ma chère madame Garrison !

Elle secoua négativement la tête tout en serrant fermement l’objet de son ébahissement entre ses doigts.

Il laissa la ravissante ménagère lui caresser avidement la bite de ses doigts manucurés alors que son autre main plongeait dans sa braguette s’emparant de ses grosses couilles velues, Amos savait pertinemment qu’elle mémorisait la taille de ses couilles et bien d’autres choses encore.

Glissant la main dans la poche de sa veste il en sortit un portable faisant office de caméra, qu’il avait activé dès leur sortie du patio.

Il tendit la main pour le poser sur une commode toute proche du lit, il s’assura alors qu’il était disposé de façon à filmer la totalité du lit et des scènes qui se déroulaient sur ce dernier.

Il en sortit ensuite un deuxième portable caméra et plaça celui ci sur la table de nuit afin de filmer sous un autre angle, les deux portables étaient reliés à un ordinateur dans le bureau du pasteur Mollway où Mollway et son complice le pasteur Knowlton épiaient cet instant ou la fidèle et distinguée madame Garrison expérimenterait sa première bite noire !

Un des écrans s’alluma, révélant sous les yeux enthousiastes des deux complices ce qui se passait dans le la chambre des Garrison.

La somptueuse madame Garrison robe et soutien-gorge enlevés se faisait malaxer les nibards par Amos Thompson.

Bras collés au corps, ils devinaient ce qu’elle faisait aux mouvements de ses avant-bras et de ses coudes.

Bien que le professeur Thompson resta impavide elle lui mignotait les burnes d’une main tout en le branlant de l’autre.

Amos retourna l’obéissante Patricia de façon à ce qu’elle lui fit face puis il lui roula un patin baveux alors qu’elle continuait à le branler.

Puis Amos appuya sur ses épaules la poussant à se mettre à genoux et lui suggéra ;

— Il est temps de déguster l’esquimau au chocolat que je t’ai promis ! Allez ma chère madame Garrison viens profiter de cette succulente crème que je te réserve !

Et, tandis qu’elle enroulait sa langue autour de son chibre Amos posa ses mains sur sa nuque en grognant :

— Ahhhhhhhhh… Bordel ce que tu suces bien !

Alors que son adorable hôtesse avalait maintenant la totalité de sa bite il se remit à gémir :

— Ahhhhhhhh… Ahhhhhh… Ahhhhhhhhhhhhhh… Bouffe ma bite ! Avale toute la crème que je vais te cracher au fond de la gorge !

Quelques instants plus tard, les deux mateurs, les yeux rivé à l’écran, observaient ravis l’athlétique prof de psychologie se soulager dans la bouche accueillante de la principale du lycée local.

Lorsqu’il se retira, un filet de foutre relia un instant ses lèvres au méat luisant d’Amos, ce détail excitait follement les deux voyeurs.

Elle avala la chaude semence qui formait une mare crèmeuse dans son estomac qui se soulevait de dégoût.

Ils regardaient maintenant les deux écrans le second transmettait les images du portable posé sur la table de nuit, les deux pasteurs observaient la ravissante madame Garrison étendue sur son lit conjugale, Amos lui caressait lascivement les cuisses, le contraste entre sa grosse patte noire et la chair blanche des cuisses de Patricia était follement excitant.

Puis il lui ôta rapidement ses hauts talons, ses orteils s&r

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