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I – Liaisons dangereuses – Chapitre 50




À quelques dizaines de minutes de l’arrivée, je fais un caprice et insiste auprès de Jenny pour échanger mon fauteuil avec elle afin de pouvoir regarder par le hublot (je suis resté un grand enfant, que voulez-vous ! ). Nous sommes début octobre et les forêts que nous survolons explosent de couleurs, les feuilles des arbres se parent de teintes chaudes, de l’orange, du jaune, du rouge, le tout agrémenté du bleu profond des nombreux plans d’eau et rivières se trouvant çà et là. L’automne est une de mes saisons préférées car j’aime beaucoup voir les paysages changer à mesure que la saison avance, mais ici, c’est sans commune mesure avec ce que j’ai l’habitude de voir par chez moi ; cette profusion de couleur est tout simplement magnifique !

Le planning que nous avons durant ce séjour est assez chargé mais j’espère que nous pourrons nous libérer au moins une journée afin de pouvoir nous évader de Montréal. Jenny a très envie d’aller voir les chutes du Niagara car c’est un endroit qu’elle trouve grandiose, elle y est déjà allée elle m’a d’ailleurs montré quelques photos de l’époque où elle était ici pour ses études, la veille de notre départ et elle aimerait vraiment y retourner.

Après avoir atterri et récupéré nos bagages, nous ne mettons pas longtemps à trouver un taxi qui nous emmène à notre hôtel, non loin de l’aéroport. Nous logeons à l’InterContinental, en plein centre de Montréal, où se déroulera aussi la convention ; étant donné que c’est Fred qui aurait dû être à ma place, la réservation avait été faite pour deux chambres communicantes afin que Jenny et son frère puissent travailler plus facilement. Jenny a bien demandé à changer pour une chambre simple une fois arrivée à la réception mais l’hôtel étant complet, il n’a pas été possible de modifier la réservation. En fait, nous n’avons même pas débattu si nous allions ou pas dormir ensemble durant ces quelques jours, mais pour Jenny, ça semble tomber sous le sens vu qu’elle ne m’a même pas demandé mon avis, ce qui me convient parfaitement.

Nous sommes situés assez haut dans les étages, la chambre est spacieuse et très lumineuse, une large baie vitrée baigne la pièce de lumière et nous offre une belle vue sur Montréal et le fleuve Saint-Laurent ; je pourrais rester un très long moment à admirer ce panorama pourtant très citadin et m’attarder sur chacun de ses détails. Une fois installée, Jenny n’a pas manqué de me rappeler l’épisode de l’avion et le fait que c’est surtout moi qui ai profité de la situation, du coup, comme elle l’avait souhaité, nous avons testé la literie et elle s’avère très confortable, avec un matelas bien moelleux, parfait pour faire l’amour !

Les jours qui suivent passent et se ressemblent, nous rencontrons des clients ainsi que des représentants d’autres sociétés ; Jenny est à fond dans son rôle et elle sait parfaitement s’adapter à son interlocuteur. Elle peut se faire quelque peu charmeuse si elle sent que la personne en face d’elle y est sensible ou très stricte, c’est selon. Moi qui la connais bien, je souris intérieurement en la voyant à la manuvre car à force, j’ai appris à deviner à quel moment elle est elle-même et à quel moment elle est dans un autre registre, ce qui est très utile quand il s’agit de la côtoyer au jour le jour.

Malgré le planning tendu, nous trouvons quand même le moyen de passer du temps en dehors de la convention afin de décompresser un peu. Jenny m’emmène dans divers endroits où elle est déjà allée lorsqu’elle était ici pour ses études, l’immense parc du Mont Royal où nous avons pu admirer, du haut de l’un de ses belvédères, une vue panoramique sur toute la ville et son stade olympique très design, vue encore plus magique lorsque les lumières de la ville s’allument à la nuit tombante ; nous sommes aussi allés visiter la biosphère de Montréal sur l’île Sainte Hélène en n’oubliant pas de faire quelques balades le long du Saint-Laurent. La multitude de choses à faire, ne serait-ce que dans cette ville, est tellement énorme que c’en est presque frustrant de devoir rentrer à l’hôtel, mais il ne faut pas oublier que nous ne sommes pas en vacances mais bel et bien en voyage d’affaires.

Jenny doit faire une intervention lors du dernier jour de la convention et elle veut un peu aller observer comment ça se passe afin de pouvoir se préparer au mieux pour le jour J, nous nous rendons donc dans une grande salle où se déroule une petite conférence. Au départ plutôt concentrés sur les débats, nous finissons, peu à peu, par nous lasser et afin de faire défiler le temps plus vite, nous passons en revue les divers intervenants en se basant sur des critères aussi variés que la tenue vestimentaire, le maquillage, la coiffure, le physique, etc. Bref, tout y passe et nous nous amusons beaucoup à appuyer sur les petits défauts des diverses personnes qui défilent sur l’estrade.

— Non mais sans déconner… Lance Jenny à voix basse alors qu’une femme d’une cinquantaine d’années s’avance pour prendre la parole.

— Quoi ?

— T’as vu ?

— J’ai vu quoi.

— La tronche de la nana qui parle.

— Eh ben, qu’est-ce qu’elle a sa tronche ?

— Tu vois pas les plaques et les boutons qu’elle a sur le visage ?

— Ah, euh, ouais, ça se voit un peu c’est vrai.

— Un peu ? Ça pour toi c’est un peu ?

— Ça te choque ?

— Ben ouais, quand même ! Enfin, c’est pas que ça me choque mais bon, c’est pas un drame d’avoir des imperfections mais quand tu sais que tu vas parler devant du public, t’essaies un peu de les dissimuler quoi, il existe quand même assez de produits pour ça de nos jours !

— Vu comme ça.

— Ma foi !

Se passent ensuite quelques instants où Jenny se contente de marmonner sur le maquillage défaillant de l’intervenante en ponctuant ses fins de phrases par des soupirs d’exaspérations.

— À mon avis, elle, ça doit pas être une adepte des éjacs faciales ; dis-je tout bas.

— De quoi ? Me lance Jenny après avoir froncée les sourcils.

— Les éjacs faciales, elle doit pas aimer ça.

— J’avais compris, mais quel rapport avec son maquillage de merde ?

— Aucun avec le maquillage mais il paraît que le sperme est bon pour les problèmes de peau.

— Pffff, t’es con mon pauvre, c’est n’importe quoi ça !

— T’es sûre ?

— Ben évidemment ! Ce que les hommes iraient pas inventer pour gicler à la gueule de leur nana, sans déconner.

— Pourtant regarde, toi, t’as la peau du visage qui est parfaite, c’est que ça doit bien avoir un peu d’impact quand même !

Sur ces mots, Jenny me décoche un coup de coude bien placé dans les côtes.

— Ouch ! Ça va pas non ?

— Connard va !

— Mais quoi ? Je viens de te dire que t’as une belle peau, t’es pas contente ?

— Non, tu viens de me dire que j’ai une gueule à foutre, c’est pas pareil !

— Mais non, t’as tout pris de traviole encore.

— Je vais te mettre ma main dans la figure, on va voir comment tu vas le prendre.

Je me mets à ricaner, rapidement suivi par Jenny. Nous nous connaissons assez tous les deux pour qu’elle sache que ma petite réflexion n’avait strictement rien de méchant et n’était faite que pour la taquiner.

À l’arrière du pupitre, je remarque une très belle blonde qui est assise, les jambes croisées. J’ai du mal à la voir mais elle finit par se lever pour patienter, attendant son tour de prendre la parole. Là, je la vois beaucoup mieux, elle porte un tailleur gris très moulant et exhibe une belle poitrine avec le décolleté plongeant qui va avec, son fessier attire particulièrement l’il tant elle semble se cambrer plus que nécessaire. Elle arbore un grand et large sourire, étirant autant que faire se peut ses lèvres pulpeuses ; quand bien même elle n’est pas au premier plan, elle fait le maximum pour attirer tous les regards, et il faut bien avouer qu’elle y arrive très bien, surtout les regards masculins à vrai dire, tant ses formes sont particulièrement affichées et attrayantes.

— La vaaaache, t’as vu l’engin Jenny ?

— Hum ? Où ça ?

— Comment ça où ça ? La blonde là, elle passe pas inaperçue pourtant !

— Et alors ?

— Ben elle est sacrément bien foutue, non ?

— Bof, sans plus ; lance Jenny en détournant le regard.

— Arrête de faire la blasée un peu, reconnais qu’elle est canon quand même !

— Ah carrément, tu utilises le mot canon pour décrire ça ? Dit-elle en tendant son doigt vers la jeune femme.

— Ben quand même, non ?

— Eh ben, je me demande jusqu’à quel point je dois trouver ça flatteur quand tu dis que je suis mignonne.

— Je rêve ou t’es jalouse ?

— Jalouse d’elle ? Ça risque pas !

— Ben voyons ! Je suis curieux de savoir ce que tu lui reproches.

— Ben déjà, elle se comporte de manière à plus attirer le regard que l’oreille, ce qui veut dire qu’elle mise tout sur sa plastique, donc rien que pour ça, pour moi c’est niet. Et d’un point de vue purement physique, elle a au minimum la poitrine refaite et j’aime pas, je préfère le naturel.

— Alors toi t’arrives à voir sous les fringues que ses seins sont refaits ?

— Sa poitrine est trop haute et trop ronde pour être honnête.

— Elle porte peut-être un push-up.

— Oh elle en porte un, ça c’est certain vu son décolleté, mais c’est pas le soutif seul qui donne ce résultat.

— Si tu le dis.

— T’as jamais vu ou touché une poitrine refaite ?

— Non, jamais.

— Ben si un jour ça arrive, tu repenseras à ce que je t’ai dit.

Je continue à observer le corps de cette nana en essayant, maintenant que Jenny m’a mis l’idée en tête, de m’imaginer sa poitrine à l’air libre, puis rapidement ses fesses, et comme dans l’avion, je suis de nouveau en train de me faire un scénario très chaud. Peu importe que sa poitrine soit refaite, ma queue ne verrait pas la différence si elle venait à se caler entre ses deux beaux nichons ! Alors que mon sexe commence à se réveiller, Jenny continue à faire le listing de tout ce qui cloche chez cette belle blonde.

— Et puis ses lèvres, sérieux, elle aurait pu y aller mollo sur le botox !

— Tu crois qu’elles sont refaites ?

— Non mais attends, t’as de la merde dans les yeux ou quoi ? Y a pas de vêtements dessus pourtant, t’as pas vu comme elles sont gonflées ?

— Ouais, peut-être. C’est vrai qu’elle a une sacrée bouche à pipe.

— C’est un euphémisme ! Et vu comme elle allume, à mon avis, elle doit bien servir sa bouche, et pas qu’à parler. Les kilomètres de queue qu’elle a dû sucer, je peux te dire que j’aimerais pas les faire à pied.

La réflexion de Jenny m’arrache un rire que j’étouffe comme je peux avant qu’elle ne fasse de même, plusieurs personnes se retournant pour nous regarder bizarrement, se demandant sans doute ce qu’on peut trouver d’aussi drôle dans le rapport entre écologie et communication.

Il n’empêche, peu importe qu’elle ait les lèvres et les seins refaits, je ne peux qu’être excité en imaginant ses lèvres bien dodues aller et venir le long de ma bite.

— Elle est bien bandante quand même ; dis-je après que notre rire se soit calmé.

— Me dis pas que tu bandes pour ça.

— Ben si, regarde.

J’attrape la main de Jenny et la pose sur mon pantalon dont le tissu est légèrement tendu par l’érection qui règne sous mes vêtements. Elle retire très rapidement sa main mais elle a sans aucun doute eu le temps de sentir la tension de mon sexe.

— Putain mais en plus tu bandes vraiment !

— Ben ouais !

— Sale pervers !

— C’est ta faute aussi, tu me parles de sa poitrine, du coup, je me l’imagine.

— Me mets pas ta perversion sur le dos s’il te plaît.

— Ouais ben en attendant, je bande.

— Pffff, j’te jure…

Nous restons à présent silencieux, je continue de mater discrètement l’origine de mon excitation alors qu’elle s’avance vers le pupitre pour prendre la parole, le tout en faisant rouler délicieusement ses hanches. Les hommes, et même les femmes, assis derrière elle ont tous les yeux rivés sur son cul qui doit joliment se dandiner devant eux, ce qui me fait lâcher un sourire alors que je me dis que j’aimerais bien avoir la vue qu’ils ont.

Au bout de quelques instants, je vois que Jenny tourne sa tête de droite à gauche, comme si elle cherchait quelqu’un du regard.

— Je vais aux toilettes, j’ai une envie pressante ; finit-elle par me dire en chuchotant.

— Ça marche.

Jenny file discrètement et je la suis du regard jusqu’à ce qu’elle sorte de la salle. Elle a beau être habillée de manière tout à fait classique, je ne peux pas m’empêcher de me dire qu’elle est diablement attirante, après je ne suis sans doute pas objectif vu le passif que j’ai avec elle, mais bon, les quelques paires d’yeux qui l’ont suivi du regard quand elle est passée ne sont sans doute pas si innocentes que ça et participent à corroborer mon avis.

Je regarde la blondinette qui fait son exposé mais sans vraiment l’écouter tant j’ai l’esprit qui vogue entre le script que je me suis fait dans ma tête en m’imaginant honorer le derrière pulpeux de l’oratrice du moment et le fait qu’une belle brune comme Jenny soit quand même plus mon genre ; je ne mettrais clairement pas longtemps à faire mon choix si l’on me demandait de choisir entre les deux. Jenny, d’ailleurs, ne revient toujours pas de son escapade aux sanitaires et je commence à trouver le temps long. Bon, de toute manière, je me contrefous de ce qui est en train de se dire, donc autant aller voir ce qu’elle fait, ça aura au moins le mérite de me dégourdir les jambes.

Je sors de la salle et cherche du regard une indication des toilettes ; ne la trouvant pas, je décide de demander mon chemin à un employé qui passe par là.

— Bonjour, est-ce que vous pourriez m’indiquer les toilettes s’il vous plaît ?

— Bien sûr ! Alors vous prenez ce couloir en face de vous, puis le premier couloir à droite et ensuite, c’est indiqué.

— Je vous remercie !

Je prends le chemin qui m’a été indiqué, bifurquant vers le couloir de droite. L’endroit est calme, la grosse majorité des personnes se trouvant dans la salle de conférence ; je vois le panneau indiquant les WC à une vingtaine de mètres de là et je marche tranquillement vers ma destination quand je sens soudain qu’on me tire par l’épaule. Je me retourne en lançant un petit juron d’étonnement alors que je vois Jenny qui, une fois que je lui fais face, agrippe fermement ma chemise pour m’attirer dans une sorte de local où se trouvent divers ustensiles pour le ménage et l’entretien.

Elle vient m’embrasser à pleine bouche alors que je commence à peine à comprendre ce qui m’arrive ; je me mets à l’enlacer à mon tour en faisant courir mes mains sur son corps jusqu’à empoigner son cul.

— T’en as mis du temps, tu matais l’autre blondasse, c’est ça ? Me lance-t-elle entre deux baisers fougueux.

— Ouais, mais bizarrement, je l’ai trouvé bien moins intéressante dès qu’elle s’est mise à parler.

— Tu vois, je te l’avais dit, tout dans le paraître !

Je soulève Jenny par les fesses afin de l’asseoir sur un petit meuble sur lequel sont posés quelques bidons dont certains tombent au sol, je défais ensuite rapidement les boutons de sa veste, puis de son chemisier, avant de plonger ma bouche sur sa poitrine pour embrasser frénétiquement sa peau. Elle gémit, passant ses mains dans mes cheveux avant de les descendre pour essayer tant bien que mal de déboutonner mon pantalon ; je finis par sortir ses seins de son soutif pour lui lécher les tétons et me régaler de les sentir rouler sous ma langue. Ma ceinture et mon pantalon finissent par céder malgré ses gestes un peu désordonnés et elle ne se fait pas prier plus longtemps pour passer une main sous mon sous-vêtement puis faire descendre ce dernier d’un geste sec pour pouvoir empoigner mon sexe à présent parfaitement tendu.

Je lui relève la jupe tout en l’embrassant dans le cou et elle se trémousse sur ses fesses afin de faciliter la manuvre, puis elle resserre ses jambes pour pouvoir descendre sa lingerie que je fais glisser rapidement le long de ses cuisses jusqu’à ce qu’elle tombe au sol. Elle écarte de nouveau les cuisses et je viens me positionner tout contre elle, elle ondule ses hanches en croisant fermement ses jambes et continue à me branler ; elle caresse son minou de mon gland, venant tapoter son clito et le caresser du bout de ma bite. Je la regarde faire, n’attendant que son feu vert pour caler mon pieu bien au chaud, puis elle finit enfin par bien me positionner et j’avance alors lentement en elle, fermant les yeux à mesure que je sens sa chaleur vaginale entourer mon membre. Nous gémissons à l’unisson.

— Putain c’est trop bon… Ne puis-je pas m’empêcher de lancer dans un souffle en commençant de lents va-et-vient.

— Hmmmmm, oui, baise-moi ; dit-elle en me griffant le torse de ses ongles.

J’accélère ma pénétration et nous commençons tous les deux à miauler en essayant de contenir nos effusions pour ne pas trop attirer l’attention. Je croise les doigts afin que personne n’ait dans l’idée de venir faire un peu de ménage, encore que si c’est une belle femme de chambre, elle pourrait peut-être nous rejoindre… Cette simple idée rajoute une couche à la copieuse excitation que je ressens déjà et j’appuie alors un peu plus mes assauts, ne lâchant pas Jenny des yeux en me mordant la lèvre inférieure.

— Tu l’aimes ma chatte hein, elle est bonne, pas vrai ? Me lance Jenny qui me fixe intensément.

— Hmmmmm ouais, j’aime la baiser ta chatte bouillante.

Elle retire mon sexe, y met trois de ses doigts avant de les retirer.

— Regarde comme elle est bien ouverte, elle n’attend que ta bite.

— Tiens alors.

Je replace ma queue en elle avant de la ressortir, et je fais ce petit jeu plusieurs fois, arrachant à Jenny de longs feulements diablement excitants, avant de me remettre à la prendre sur un rythme plus rapide. J’attrape ses seins que je serre doucement entre mes doigts, faisant encore plus pointer ses tétons que je m’empresse de venir lécher et aspirer.

— Hummmmmm, putain, c’est trop bon Flo, vas-y, baise-moi, baise-moi plus fort.

Je me libère alors de l’étau de ses jambes et je la tire vers moi pour la faire se mettre debout, je l’embrasse impétueusement avant de me placer derrière elle ; d’instinct, elle se cambre pour me présenter sa croupe et je lui prends de nouveau la chatte. Je la gratifie de ruades faisant vibrer tout son corps, je lui attrape ensuite les bras au niveau des coudes et la fais se pencher pour accentuer encore mes mouvements ; elle se met à couiner de plus en plus vite et de plus en plus fort, sans doute un peu trop fort par rapport à la discrétion qu’il faut tenir, alors je l’attire tout contre moi.

J’entoure son buste de mes bras pendant qu’elle vient m’empoigner les fesses, alternant caresses, griffures et petites claques, comme pour m’encourager ; j’accélère mes mouvements en plongeant ma langue entre ses lèvres, elle se cambre un peu plus, les vibrations de ses gémissements se répercutant dans chaque recoin de ma bouche. Nos langues s’entortillent, s’entremêlent, puis elle interrompt ce baiser.

— J’veux que tu jouisses en moi Flo, jouis en moi, vas-y.

Je replonge sur ses lèvres et c’est maintenant mon cuir chevelu qui se fait masser frénétiquement par une de ses mains.

— Vas-y, vas-y, vas-y, vas-y… ne cesse-t-elle de me répéter alors qu’à présent nos lèvres ne font que s’effleurer.

Je sens ma jouissance arriver, elle monte, monte et monte encore jusqu’à ce qu’elle explose en elle, nos lèvres se collant de nouveau les unes aux autres alors que nos langues, encore enchevêtrées, étouffent nos gémissements.

À la chaleur intense de son intimité s’ajoute à présent celle de mon foutre qui s’écoule en elle en puissantes et épaisses giclées, giclées qui finissent par se faire plus discrètes, mais je reste quand même en elle pour savourer ce si délicieux moment. Notre baiser se fait à présent plus doux, ses doigts remplacent les griffures par des caresses et mes bras sont moins crispés autour d’elle.

Mais nous n’avons pas vraiment le temps de savourer plus longtemps cet instant car nous ne sommes pas forcément dans l’endroit le plus adéquat pour ça, je finis de retirer ma queue qui ressort moite de sécrétions du fourreau dans lequel elle était bien calée. Jenny, de son côté, prend quelques feuilles d’un rouleau de papier posé sur une étagère pour s’essuyer l’entrecuisse.

— Tiens, tu fais pas comme Shama toi ; lui dis-je en la regardant faire.

— Pourquoi tu dis ça ?

— Elle aime laisser dégouliner le sperme le long de ses cuisses.

— Ah, ça. Oui, disons que selon les moments, ça me dérange pas mais là, c’est un peu comme si on était au boulot et je vais pas me balader au milieu de clients ou de concurrents potentiels avec du sperme qui me coulent jusqu’aux chevilles.

— Ben remets ta culotte ; lui dis-je en la ramassant et en la lui tendant. Une fois, quand on avait baisé au bureau, tu l’avais remise juste après que j’ai joui.

— Oui mais je suis rentrée chez moi le soir et je l’ai lavé. J’ai pas prévu de faire une lessive avant de rentrer en France et je vais pas me trimbaler une culotte qui pue le foutre dans la valise.

— Ah OK.

— C’est quoi cette nouvelle lubie avec le sperme ? Ça t’excite d’imaginer que ça me coule le long des cuisses ?

— C’est pas ça, c’est juste que j’aime pas gâcher ma semence ; lançai-je avant de me mettre à ricaner.

— Et lui non ! Genre c’est de l’or !

— Presque, c’est une recette qu’on se transmet de père en fils depuis des générations !

— Eh ben, vaut mieux entendre ça que d’être sourd j’imagine.

Nous rigolons avant de remettre nos habits d’équerre et de sortir le plus naturellement du monde du local, comme si c’était parfaitement normal qui nous y ayons été ; ce qui a apparemment bien fonctionné car deux personnes nous ont vus sortir et n’ont pas bronché.

Si ce n’est l’aspect « travail » qui est un peu pénible, ce séjour se déroule formidablement bien et chaque jour qui passe, je remercie l’administration française d’avoir bloqué la demande de passeport de Fred !

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