Salut c’est votre folle de lycra.
Dans les chapitres précédents, je vous racontais comment en tant que salarié dans une petite boîte j’avais beaucoup de temps libre et j’ai décidé d’offrir de mon temps au milieu associatif. Voilà comment durant mon temps libre j’offrais mes services à Emmaüs pour trier des vêtements que nous ne viendrions pas, vu leur état d’usure et ce que nous pouvions mettre à la vente. Rapidement j’ai pris plaisir à toucher toutes les matières textile réservée aux femmes et c’est ainsi que je me suis mis à essayer les vêtements et les dessous qui me passaient entre les mains. Je me suis mis à me travestir au début discrètement puis après je trouvais des excuses pour être ainsi vêtu. Même mes parents ont gobé la chose, à tel point que ma maman me trouvais vraiment ravissant, mais elle croyait à chaque fois que j’allais à des bals ou soirées costumés. Même mon père a bien réagi la première fois où il m’a vu en fille, je ne vais pas dire qu’il a trouvé la chose bien mais il était admiratif devant le travail effectué.
Lors du second repas de Noël au sein de l’association, bien évidemment le thème était de se déguiser; je vous laisse imaginer que je n’ai pas tardé à sauter sur l’occasion. Dans mon déguisement de jolies filles en chaleurs, je ne laissais personne indifférent, pas même Christine dans sa tenue d’infirmière et encore moins Claude dans son déguisement de Zorro. En fait ce dernier n’a pas cessé de me draguer toute la soirée et il venait d’arriver à ses fins. Après le repas, il avait réussi à m’emmener dans un coin isolé derrière des meubles, j’étais là face à lui ou plutôt à son sexe qui n’attendait que le moment où j’allais le prendre en bouche. Pour la première fois de ma vie un sexe masculin franchissait mes lèvres et j’essayais de savourer le moment. Zorro sentait fort de l’entrejambe mais cela n’était pas pour me dissuader, ma langue a commencé par découvrir son prépuce puis les petites veines autour de son sexe. C’était un peu comme une leçon de chose pour moi, mais manifestement, pour Claude c’était bien plus que ça.
Je n’arrivais pas à prendre ton sexe entier dans la bouche a moins de lui plier un peu mais il était un peu trop rigide pour cela. Maintenant l’odeur de son 3 pièces cuisine c’était un peu dissipé et c’est le goût qui m’excitait le plus. J’étais en train de me dire que j’étais une véritable salope, j’etais en train de faire une pipe à un homme marié, à quelques mètres de mes collègues de l’association. Bien que très directif, Claude était très doux avec moi et j’appréciais sa patience et ses gestes attentionnés à mon égard. J’étais arrivé à cette soirée déguisé en femme et j’en remplissais toutes les missions désormais. J’avais la bouche pleine et Claude donnait le rythme en me tenant la tête, un coup il faisait aller venir ma tête sur son sexe, le coup d’après il me baisait la bouche en donnant des coups de reins. Faire une fellation à un bel homme viril était une découverte pour moi, mais ce n’était pas du tout pour me déplaire. Je prenais un peu confiance et maintenant je lui avais carrément baissé son pantalon et lui caressais ses couilles.
Lui caresser ses cuisses poilues et surtout puissantes me mettait dans tous mes états, je savais maintenant que ce ne serait pas la dernière Pipe de ma vie je venais de réaliser que j’aimais ça. Faire du bien avec ma bouche, ma langue en le regardant fixement, ma bouche pleine de son sexe désireux. Il ne m’avait pas fallu bien longtemps pour devenir une salope, la salope de Zorro. J’étais en train de réaliser que si je continuais à ce rythme-là, il allait me balancer toute sa purée au fond de la gorge. Mais au lieu de cela, il a donné fin à ma fellation, il s’est rhabillé, m’a pris par la main pour m’emmener dans une dépendance où se trouvaient encore des meubles, mais nous étions ce coup-ci loin de tous. Je me sentais adolescente amoureuse, une amoureuse qui suit son chéri, en sachant qu’il allait lui faire l’amour pour la première fois. J’étais conscient que ce soir, j’étais une femme et j’allais mettre tout mon cur à remplir mon rôle jusqu’au bout. Maintenant, de temps à autre, il s’arrêtait pour m’embrasser, là aussi c’était une première, je pense qu’il devait ressentir le goût de son sexe dans ma bouche.
Là, il a trouvé une vieille table d’écolier, vous savez ces doubles tables jumelées avec deux trous pour les encriers. Il m’a fait pencher en avant dessus, a soulevé l’arrière de ma robe, il a baissé mon tanga; maintenant j’étais à la totale merci de cet homme. Jamais je ne m’étais rien introduit dans mes petites fesses, mais ce soir c’était un vrai sexe d’homme qui allait sans doute le visiter. Au début, il a commencé par me caresser les lobes fessiers d’une façon très douce, ce qui a eu pour effet que d’augmenter mon érection. Pendant un bon quart d’heure, il me les a malaxées en me les écartant régulièrement. Il a fait ça tellement bien qu’à force je désirais qu’il me prenne par derrière, mais nous n’en n’étions pas encore là. Maintenant en plus de me les pétrir il a glissé quelques gouttes de salive pour venir me titiller mon petit trou. J’en étais arrivé à tortiller du cul, tellement je le désirais, aidé de beaucoup de salive, maintenant il introduisait ses doigts dans mon fondement.
Il avait changé de position et se trouvait désormais bien derrière moi à genoux et je sentais désormais sa langue exciter mon anus désireux. Au début il tournait autour de l’entrée avant de se faufiler à l’intérieur et là je ne vous raconte pas la sensation. Il devait réussir à en rentrer deux ou trois centimètres mais je ne vous raconte pas le bien que cela me faisait. Il n’y a pas à dire Claude savait y faire pour détendre un petit trou qu’il allait ensuite déflorer, j’en arrivais à pousser des petits cris de plaisir tellement il était efficace avec sa langue. Toute la sensibilité de mon corps était concentrée à cet endroit, je sentais le moindre déplacement de sa langue au niveau de ma rosette. J’avais l’impression que même mes yeux et mes oreilles étaient délocalisés tellement j’avais l’impression, que malgré l’obscurité et le silence, je voyais et entendais tout ce qu’il me faisait. J’avais envie qu’il ne donne jamais fin aux mouvements de sa langue au centre de mon sphincter.
Nous étions au milieu de la nuit, dans une dépendance isolée, seuls le bruit de quelques craquement du mobilier ainsi que celui du vent dans la toiture venaient perturber le silence. Il y avait aussi mes petits cris désormais bien féminins et mes grands soupirs de plaisir qui étaient là pour marquer notre présence. À travers le velux, nous pouvions voir la lune qui était pleine; je me disais que les hululement que nous entendions de temps à autre laissait supposer qu’une chouette était dans les parages; peut-être était-elle en train de nous observer. Par moment nous pouvions entendre le bruit de la salive de Claude, cette dernière est en train de lubrifier abondamment mon intimité. J’ai réalisé que maintenant, mon amant réussissait à me glisser sans aucun problème trois doigts dans ma chatte à mec. Je me suis senti encore plus offert à lui, quand il est venu m’embrasser avec passion, je me suis relevé, je sentais ses mains sur mes fesses, mais surtout son sexe à quelques millimètres du mien.
Cela me faisait tout drôle de voir l’effet que je pouvais faire à un homme, ainsi habillé j’avais l’impression de faire fantasmer tous les hommes qui me croisaient. Claude était avec moi d’une douceur insoupçonnée cela m’aidait encore plus à me sentir femme. Après un bon roulage de pelle en règle, il a de nouveau baissé son pantalon puis m’a invité à lui faire une petite turlutte, c’est suite à un gros effort de ma part que je ne me suis pas jeté sur son sexe. Cette sensation d’avoir la bouche remplie par un sexe était décidément une chose qui me plaisait énormément. Quand Claude a estimé que son sexe était suffisamment dur et bien enduit de ma salive, il m’a à nouveau penché sur la table d’écolier et est venu positionner son dard dans ma raie cuillère bien lubrifiée. Je l’ai senti se promener de haut en bas dans mon sillage intime, sans arrêt il passait devant mon orifice désireux mais il ne faisait que s’y attarder quelques secondes. J’en étais arrivé à vouloir lui demander qu’il me prenne, tant je le désirais en moi.
À ma grande surprise il s’est mis à me donner des claques magistrales sur les fesses, on ne savait pas si le bruit réveillait le silence où ce dernier étouffait le bruit. Au début cela faisait hyper mal mais au bout de quelques minutes, j’ai fini par m’y faire, j’en arrivais à me dire que Claude pouvait tout me faire, j’aurais tout accepté de lui. Je l’ai senti ensuite positionner son sexe à l’entrée de mon issue de secours, puis ses mains se sont agrippées à mes hanches. Après plus d’une demi-heure de préliminaires mon étalon était en train de me faire sien, je l’ai senti pousser tout en douceur et se faufiler centimètre par centimètre dans mes entrailles. Il venait de me prendre mon pucelage; on dit que l’on n’oublie jamais la première fois, pour ma part, c’était parti pour être un magnifique souvenir. Il était toujours en train de se frayer un chemin en moi, avec son prépuce comme éclaireur, moi qui avais peur de la douleur qu’il allait m’occasionner, j’étais en train de découvrir un nouveau plaisir.
Manifestement Claude ne voulait pas prendre du plaisir à mes dépens il voulait que ces magnifiques sensations soient partagées. Il venait d’arriver en butée et je sentais la chaleur de son corps se coller au mien. Il était bien plus poilu que moi et je sentais son pelage venir s’écraser contre mes douces fesses, en une soirée, je venais de devenir une femme mais surtout sa femelle. Vu le plaisir que je prenais à être habillé en femme, le traitement que venait de m’infliger mon collègue; je réalisai que je passais ma plus belle fin d’année depuis très longtemps. Maintenant, dans la nuit, le son du silence n’était perturbé que par le claquement de ses cuisses contre les miennes. Il n’y a pas à dire, les coups de boutoir dont me gratifiait Claude me faisaient un bien fou et j’étais en train de réaliser qu’il allait sans doute me faire éjaculer de plaisir. Claude prenait le temps de temps à autre à me caresser les flancs ou alors venir me passer la pointe des tétons, je me sentais femme et il faisait tout pour cela.
Au bout de vingt bonnes minutes à me besogner, je l’ai senti se contracter puis j’ai senti dans mon intérieur l’arrivée de sa sainte liqueur. Quelques secondes après c’est moi qui éjaculai dans ma robe, je pense que vu la quantité que j’ai évacué, une partie a dû couler par terre. Pour la première fois de ma vie je, me faisais féconder, je venais de devenir une femelle; sa femelle. C’était aussi une première pour moi pour ce qui est de éjaculation sans toucher à mon sexe. Je n’ai jouis que suite au frottement répété du sexe de Claude contre les parois intimes de mon corps, je venais de découvrir la partie la plus érogène de ce dernier; mais la plus inavouable aussi. A l’entendre soupirer, je n’avais aucun doute quant au plaisir qu’il venait de prendre, il était d’une grande douceur avec moi et il est resté encore plusieurs minutes en moi. Je suis arrivé à cette soirée dans une tenue qui appelait au viol, ma maman m’avait dit de me méfier mais au fond de moi je crois que c’est ce que je voulais. Ce soir j’avais vu le loup, je l’avais caressé, je l’avais pompé et il m’avait craché sa semence dans mes entrailles.
De façon inattendue, Claude a rompu le silence qui nous accompagnait depuis le début pour me remercier du plaisir que je venais de lui offrir, je lui ai répondu que le plaisir était partagé. Je lui ai surtout dit que j’étais vraiment très heureux d’avoir vécu ma première aventure avec lui, il m’a avoué qu’il n’avait jamais pris autant de plaisir avec un homme. Je sentais maintenant son sexe qui commençait à perdre du volume et je réalisais qu’il y avait de fortes chances que je ne le sente même plus sortir tellement il diminuait. J’étais conscient que dorénavant Claude ne me regarderai plus de la même façon quand nous nous croiserions dans l’association, je serai désormais une femelle docile à ses yeux. Une fois sorti de moi il m’a demandé à ce que je lui fasse un nettoyage avec ma bouche, je n’y ai aucun inconvénient car je savais pertinemment que mon petit trou qui était tout propre.
Ma fellation a été rapide, pas plus de cinq minutes, puis nous nous sommes rhabillés, j’ai remonté mon tanga et lui son boxer en lycra et son pantalon. Cela me faisait tout drôle de faire ça dans le noir, d’autant que la lune avait quelle que peu bougé et n’eclairait plus l’endroit où nous étions. Je me suis retrouvé face à lui et nous échangeâmes un long baiser amoureux. Après cela avant de repartir séparément, il m’a dit qu’il aimerait bien que l’on remette ça, mais surtout dans un endroit plus conventionnel à savoir dans un lit. Nous sommes partis dans deux directions opposées, de telle façon à ce que nous rentrions dans la salle par des endroits différents, histoire de ne pas trop attirer l’attention; car mine de rien nous étions restés absent longtemps. La seule chose qui pouvait paraître suspect, quand nous sommes arrivés, c’est que tous les deux avons été éblouis par la lumière de la salle.
Quelque chose venait de changer en moi je ne sais pas si c’était le sperme de Claude qui se promenait dans mes entrailles ou le fait de m’être fait dépuceler, mais je ne me sentais plus comme avant. Quand Christine est venue me voir pour me demander où j’étais passé, je lui ai expliqué que j’avais eu impératif intestinal. Elle m’a dit qu’elle serait très heureuse que je vienne passer la soirée chez elle dans quinze jours, car il y avait une soirée costumée pour l’occasion des quarante cinq ans ans de son mari. Elle était très gentille avec moi, limite maternelle et cela ne me laissait pas du tout indifférent. Si je m’étais écouté, je l’aurais prise par la main pour l’emmener dans la dépendance et la caler contre la table d’écolier. Christine respirait le calme, elle respirait la douceur, elle était surtout d’une grande instruction et je passais des heures à causer avec elle c’était une encyclopédie vivante.
l’heure avançant dans la nuit nous avons fini par prendre la décision de nous séparer, nous avons échangé de chastes baisers et j’ai eu le droit à des mains au cul. Vue ma tenue un peu provocante, j’avais un petit peu peur de rentrer tout seul et c’est Christine qui s’est proposée à me raccompagner en voiture jusqu’au pied de chez moi. J’ai à ma grande surprise, il le droit à un simple baiser de sa part mais sur la bouche. Quand je suis rentré à la maison, il n’y avait personne et je me suis endormi en repensant à tout ce que je venais de vivre ce soir. La choses que je n’ai pas pu me retenir de faire, c’est de me coucher dans la tenue que j’avais porté toute la soirée, mais surtout de me faire un petit plaisir qui m’a aidé à m’endormir. L’homme et la femme qui étaient en moi étaient désormais connus de tous, même si certains pensaient que la femme n’était là que pour les loisirs. J’ai fermé les yeux en pensant énormément à Claude et un petit peu à Christine, la fatigue et le sommeil venaient de prendre le dessus.
Fin du chapitre numéro 3
Bisous à vous