Comment je me retrouve dans ce lit inconnu? Il me semble avoir parcouru toute l’Afrique du sud au nord dune seule traite. Je suis totalement crevée. Jai la réponse avec une vague copine qui explique mon absence de mémoire.

Hier au soir, à la suite dun pari stupide jai bu une coupe dune boisson bizarre, très bonne, offerte par une fille dénudée. Je dégustais ce que je buvais en la regardant : javais envie de faire lamour avec elle.

La suite mest racontée.

Après avoir bu jai fait un petit malaise : la fille que je désirais ma couchée sur le divan. Jétais semble-t-il normale quand je me suis offerte devant tous les autres. La fille désirée ma mise aux enchères, après mavoir totalement dénudée. Elle montrait mon sexe à tous et toutes. Après mavoir tournée, elle a montré ma rondelle.

Je mouillais de me voir ainsi exposée sans pudeur, presque comme jaime.

Cest un garçon de 30 ans qui a gagné le premier pour me sodomiser. Il était bien fait, trop gros sans doute. Cest une fille que je ne connais pas qui a enduit mon cul de sa cyprine. Mes copines sont venues pour écarter mes jambes. Je restais sur le dos, les jambes, donc bien exposées. Mon sexe en entier : nimporte quel participant pouvait le voir.

Le garçon venait près de moi, sa bite bien grosse en bandée à faire fuir une fille habituée aux gros diamètres, ce qui nest pas mon cas. Jai senti sa queue contre mon anus, je lai senti quand il entrait, jai même joui quand il venait au fond de mon cul. La légère première douleur quand il est entré est partie très vite pour faire place au plaisir complet de la sodomie bien faite. Pourtant la fille que je voulais a passé une main entre l’enculeur et mon ventre : elle me branlait.

Je jouissais sans cesse tellement cétait bon. Il entrait et sortait de mon rectum en me faisant beaucoup de plaisir. Cette étrange sensation dune grosse bite dans le cul de donnait envie quil ne sarrête jamais, surtout quà chaque orgasme je sentais bien sa bite autour de mes chairs.

Dommage quand il jouissait au fond de mes boyaux. Il ma donné un dernier plaisir quand je sentais ses spasmes autour de mon cul. Quand il est sortit de mon corps.

Il était rapidement remplacé par une bouche sur ma figue. Il me fallait un bon moment avant de déterminer si cétait une bouche dhomme ou de femme. Pour moi au fond, ce nest pas grave, sauf que les filles savent mieux lécher quun gars. Cétait une femme : celle que je voulais baiser. Elle commençait par passer sa langue sur la fin de lintestin avant de monter lentement sur lantre du plaisir. Jaime quand une langue entre dans mon ventre par cette porte : cest à la fois doux, brutal et surtout me donne énormément de jouissance quand cest bien fait. Là, jétais drôlement bien quand elle touchait mes points sensibles juste au début du vagin. Je geins toujours quand on me fait jouir ainsi. Cest bon davoir une langue de femme dans son vagin. Aussi je me laissais totalement faire, surtout quun doigt venait me remplir encore le cul. Je sentais même le nez participer : il venait furtivement sur mon petit bouton fragile aux caresses. Je ne faisais que jouir. Tout le cunnilingus était pour moi le seul plaisir qui me faisait jouir sans arrêt. Je devenais une machine à orgasmes.

Je donnais mon ventre à un autre homme aussi bien monté que le premier. Il ma à peine branlé pour mexciter alors quexcitée je létais depuis longtemps. Je me mettais sur lui, à cheval sur son pubis. Je sentais la grosseur de sa pine contre ma fente. Elle était longue également : jaurai pu me branler contre elle sans pénétration. Ca aurait été dommage de ne pas la prendre dans mon con. Je montais légèrement pour la prendre à pleine mains. Elle était réellement grosse, plus que celle qui était entrée dans lanus.

Je le mettais bien en place pour le laisser aller lentement, la pesanteur faisait que doucement elle senfonçait dans le ventre. Je jouissais quand elle était à mi chemin : drôle de plaisir avec une grosse bite, moi qui normalement les refuse. Je lavais en entier dans labricot. Elle était bonne pour me faire frémir comme elle le faisait. Javais la tête totalement en arrière, je gémissais sans cesse. Et je jouissais longuement, en prenant encore plus de plaisir que les autres fois. Je sentais les jets de foutre au fond, sur ma matrice. Seulement, comme tous les hommes, il débandait.

La femme que je désirais est encore venue, cette fois en 69. Jélèverais une statut à la gloire dinventeur de la chose. Un 69 avec une autre femme est certainement la meilleure des choses au monde : on devrait régler tous les conflits de cette façon : le perdant étant celui qui cale en route.

Ma bouche aime bien et le toucher et le goût dune chatte. Certains ou certaines font les dégoûtés à cause de lorigine de la cyprine. Et alors, on mange bien du poisson cru : pour moi cest dégoûtant. Je nempêche pas dans manger. Mais franchement la cyprine ou le sperme ce sont des liquides humains naturels. Jen redemande toujours. En plus elle avait un goût fabuleux de femmes en chaleur, de fille amoureuse de lamour. Je mabreuvais de sa liqueur, comme elle faisait de la mienne. Nous nétions pas couchées, sur le coté le 69 est aussi bon. Nos cuisses enserraient nos têtes. Ma langue nallais pas ailleurs que sur son clitoris, alors que la sienne changeais souvent de place après chaque orgasme de ma part. Je restais collée sur son bouton à cause de la dureté de son clitoris.

Notre position nempêchait pas du tout les autres de venir nous peloter. Bien sur cétait extrêmement agréable de sentir des mains inconnues.

Il a fallu cesser. Javais maintenant deux prétendants. Deux hommes normalement constitués qui semblaient me désirer. Pourquoi ne pas les satisfaire tous les deux? Le premier, grand et blond, devait venir me baiser. Jaime bien avoir une bite dans le con. Elle aimait bien baiser : je ne le décevrais pas. Lautre châtain voulait jouir dans mon ventre : pourquoi pas. Je lui donnais le même asile que le premier : ma chatte. Je me suis mise sur le premier qui ma baisée. Il se débrouillait bien. Jai attiré lautre sur moi, il pensait menculer. Je ne le voulais pas dans le cul. En forçant il venait avec lautre dans ma foufoune. Je sentais les deux queues se croiser en moi, javais la choupinette complètement écartée. Mais quel plaisir rare. Je jouissais sans cesse, trop puisque je ne me souviens que du moment où après mavoir donné leur sperme je me suis évanouie de plaisir. Cest à la suite de cet événement quon ma couché sur le lit inconnu pour que la fête continu sans moi hélas. Cest parait-il le liquide que jai bu qui ma rendue si sensuelle au grand plaisir des mes amants ou amantes.

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