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Le bestiaire 2, Roxane chienne fidèle – Chapitre 11




Les jours suivants, à la demande expresse d’Odile, Brigitte prit en main le conditionnement de Roxane, car la jeune femme était férue déthologie.

Elle lui enseigna à bien présenter sa croupe pour inciter le mâle à venir la saillir.

Elle lui inculqua de baisser la tête pour confirmer son asservissement au molosse, pendant qu’il la prenait.

Elle apprit aussi à renifler l’anus du chien, à le pourlécher sans dégoût, pour attiser son ardeur.

Elle accepta aussi d’être souillée par l’urine du mâle qui la marquerait de son odeur chaque fois qu’il le jugerait nécessaire.

Roxane apprit aussi à ne pas sucer le sexe du chien comme s’acquitterait une humaine, mais à simplement le laper comme n’importe quelle chienne le ferait.

Elle accepta aussi d’être prise sans relâche et de ne pas attendre de sentiments en retour, le mâle ne faisant qu’assouvir son instinct.

Brigitte conseilla vivement à Odile de continuer à copuler avec sa chienne, ces tendres instants de complicité, d’après elle, renforcerait sa dépendance et sa docilité

Roxane redécouvrit ce que les saillies lui avait fait perdre à l’esprit, le plaisir d’aimer et d’être câliner en retour

Elle comprit que c’était cela l’important, non pas les accouplements bestiaux, mais tout ce que sa propriétaire lui apportait chaque jour… le reste n’étant que dressage ou simple récompense.

Car seule la maîtresse éprouvait pour elle cette inclinaison, les chiens la baiseraient sans relâche, Odile l’aimerait toute sa vie.

Alors à l’accomplissement total de sa condition de chienne, Brigitte contacta discrètement la vétérinaire qui s’occupait de Doug.

Rendez-vous fut prit à son cabinet un soir de novembre.

La praticienne ne fut pas étonnée du tout en découvrant le drôle d’animal qu’on lui apportait; Brigitte l’avait bien briefé.

Elle fit placer Roxane à quatre-pattes sur sa table d’examen.

Elle lui examina les deux orifices, la fouilla longuement et profondément, en interrogeant au passage Odile sur la fréquence de ses accouplements et la nature de ses partenaires.

Elle proposa à la dominatrice, si cela semblait intéressant pour elle, de lui fournir à l’occasion quelques mâles vigoureux, Odile accepta immédiatement.

Puis la spécialiste palpa longuement les mamelles de la chienne pour s’assurer qu’elle n’avait pas de kyste; la véto donnant au passage, la ferme impression de bien apprécier son auscultation sur les tétines de la docile.

La vétérinaire demanda à Odile de se placer sous le poitrail de la chienne et de commencer à lui sucer les tétons.

« – La titillation de ses mamelons; et cela malgré labsence de lactation, confortera l’attachement qu’elle à pour vous et renforcera sa dépendance à votre encontre ! », déclara la femme médecin.

Alors Odile s’exécuta, la tête bien calée sur la paillasse, elle commença à suçoter avec délice les tétines de sa chienne.

Elle les pompait avec délectation, distendant en cadence la peau de ses seins comme pour en faire couler un hypothétique lait.

La vétérinaire pendant ce temps là procédait à un examen attentif de la vulve de la femelle et intensifiait sa réactivité en lui flattant longuement le clitoris et aussi ses lèvres pendantes.

Roxane savourait cette douce attention sur sa gorge et sa croupe, et montra son contentement en cabrant son arrière-train par des mouvements réguliers.

Une fois lauscultation terminée, la médecin, créa pour elle une véritable carte d’identification canine, où furent inscrites :

Propriétaire de l’animal : Odile Mercier

Nom de la chienne, Roxane Réginaborgienne.

Chienne femelle de race mâtiné de beauceron.

Age : un an, couleur de la robe : noire et feu,

Hauteur au garrot : 68 cm,

Poids 52 kg, plus tout un tas d’informations sur la vie de la femelle, son caractère dominant, les vaccins à faire, la fréquence des saillies, le nombre de portée…

Le dossier une fois complété fut envoyé à la centrale canine, il ne resterait plus qu’à y substituer ultérieurement la véritable photo d’identité de la chienne.

Roxane reçu enfin en récompense, son numéro vétérinaire, en tatouage derrière l’oreille, il la suivrait durant toute sa nouvelle vie, et la chienne le porta fièrement.

Plusieurs mois passèrent, durant tout ce temps Odile et Brigitte prirent l’habitude de filmer et de photographier en permanence les ébats de la chienne.

Les accouplements avec Doug, mais aussi d’autres chiens de toutes races alimentèrent le site internet que les deux femmes avaient finit par créer; il rencontra d’ailleurs un grand succès dans les milieux zoophiles.

Roxane s’épanouit chaque jour d’avantage, sa maîtresse ayant vendue son commerce, la coiffeuse à domicile avait maintenant finit par cesser son activité, et alors Jessica put enfin définitivement disparaître, laissant à Roxane tout le champ libre.

La belle Blandine finit par s’installer chez Brigitte, les deux jeunes filles s’étaient terriblement rapprochées.

Blandine passait d’ailleurs le plus clair de son temps à venir emprunter quelques jouets à sa mère, pour ses ébats torrides avec son amante.

Odile supposa que parfois le chien les rejoignaient, sa fille semblant avoir de plus en plus de goût pour les plaisirs bestiaux.

Et Noël arriva…

Ce soir là, jour de fête, tout le monde ou presque étaient à table, Doug et Roxane par terre dégustaient leur gamelle spéciale réveillon.

Odile était ravie, d’avoir autour d’elle tout son petit monde.

Vint le temps des cadeaux.

Roxane reçu quelques jouets, des produits de beauté canin pour son entretient quotidien, plus le nouveau DVD qui venait de sortir, où l’on pouvait déguster un florilège de ses meilleurs ébats canins.

Doug eut le droit à un grand sac de croquettes, spéciales régime, le molosse devant faire attention à sa ligne, s’il tenait à garder la forme pour honorer sa femelle.

Quand à Blandine elle se vit offrir par sa maman qui l’aime, un parfum de grande marque.

Alors Odile s’adressa alors à Brigitte:

« – Tu te souviens Brigitte chérie, quand je t’ai demandée ce qui te ferait plaisir à Noël ? »

« – Oui Odile, je m’en souviens, je t’ai même dit que je te le dirais le soir du réveillon ! »…

Odile attendait impatiente, car ce soir nous étions le 24 décembre.

« – Ce qui me ferait plaisir Odile, c’est que tu me dresses une chienne, comme tu l’as fait avec Roxane. C’est cela que je voudrais… ».

Odile l’écoutait avec soin, l’idée semblait un peu singulière, mais cela ne lui déplaisait certes pas.

Mais qu’en pensait sa fille chérie?

« – Oui Odile, c’est ce que j’aimerais, avoir enfin pour moi une chienne docile, fidèle, obéissante, et… totalement soumise ! ».

Alors Brigitte se tourna sans un mot vers Blandine et claqua des doigts.

Au signal, cette dernière se leva silencieuse et commença à se déshabiller dans la salle à manger, juste devant sa mère.

Elle se retrouva alors vêtue simplement d’une tenue de chienne, la robe était blanche parsemées de petites tâches noires.

Brigitte tandis un paquet cadeaux à la mère interloquée qui l’ouvrit, les mains un peu tremblantes.

A l’intérieur il y avait un collier à gros clous en cuir rose et une laisse assortie, l’ensemble était du plus bel effet.

« – Odile, je te présente Volga, ma chienne dalmatienne.

Comme tout les membres de sa race, elle est calme, intelligente, douce mais un peu têtue et souvent désobéissante.

Mais aux vues de tes prouesses avec Roxane je n’ai pas de crainte sur sa future éducation, ni sur son dressage. ».

Et comme Odile restait sans voix, Brigitte continua,

« – Comme tu le vois, j’ai déjà commencé à lui travailler les mamelles…

J’ai aussi entrepris de lui tirailler son vagin pour qu’elle ai au plus vite une belle vulve canine…

Mais je n’ai ni ton savoir faire, encore moins ta virtuosité…

Je t’en pris Odile, acceptes… pour elle, pour moi, pour nous…

Nous te laisserons carte blanche. »

Odile s’approcha de sa petite Blandine chérie, en la fixant droit dans les yeux.

La chair de sa chair était là devant elle, décidée à devenir elle aussi une chienne fidèle, un animal de compagnie résolu à assouvir tout les plaisirs de sa maîtresse.

Odile caressa un instant la joue de sa fille, puis l’embrassa tendrement, sur les yeux, les joues puis sur les lèvres.

Elle se recula d’un pas, la regarda encore un instant.

Après un long silence, elle reprit sa contenance… et comme un coup de fouet, le premier ordre claqua:

« – Aux pieds !?! ».

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