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La spirale infernale – Chapitre 1




Bonjour à tous, je viens ici livrer mon témoignage. Ma vie est totalement schizophrénique, et la spirale dans laquelle je me suis embarquée me parait tout à fait infernale :

Je suis un homme de 43 ans , marié et papa dune petite fille de 4 ans. Jai, comme tout le monde je suppose, joué à touche pipi avec des copains jusqu’au début de l’adolescence, puis jai eu ma première copine avec qui j’ai vraiment pu affirmer mon hétérosexualité. A partir de là j’ai bien enchaîné les conquêtes. Il faut dire qu’étant assez beau et un peu féminin, javais pas mal de succès auprès des filles.

Javais 18 ans lorsque je suis allé passer un stage dans une entreprise dirigé par le meilleur ami de mon père. Il avait la cinquantaine, grand, très mince et dégarni. Bref pas du tout attirant, quoi.

Lentreprise était située à 200 km de chez mes parents. Etant divorcé et habitant une grande maison, je dormais chez lui pendant la durée du stage.

Je ne vais pas métendre sur les circonstances. Toujours est-il quun soir , il me proposa une fellation. Je refusais bien sûr, mais face à son insistance, je fini par être excité et acceptais sa proposition.

Il pris donc mon sexe dans sa bouche, et commença à mon pomper vigoureusement. Il était nu sous son peignoir et japercevais son sexe dressé qui se balançait.

Mû par une pulsion soudaine je le pris dans ma main pour le branler. Comme il était dur !

Mon « ami » apprécia la caresse et se redressant, approcha son sexe de mon visage. Son gland était complètement dilaté. De son méat sécoulait un flot de liquide translucide. Jétais au comble de lexcitation. Il me regardait en souriant, puis, sans un mot, appuya son sexe contre mes lèvres.

Les odeurs musquées que sa bite exhalait me rendirent complètement fou. Je mabandonnais avec délice, et englouti sa queue. Quelles merveilleuses sensations ! Comme son gland était dur et doux à la fois. Comme son excitation était immense et je sentais sa mouillure salée sécouler sur ma langue et envahir ma bouche.

Je le branlais, le léchais , je voulais lenfoncer loin dans ma gorges malgré mes hauts le cur. Jétais devenu complètement fou. Je me sentais humilié et totalement salope.

Il sallongea sur moi en 69, son sexe vissé en moi me pilonnait, et ses couilles venaient taper mon visage. Sen était trop, je sentais ma jouissance arriver, mais je voulais faire durer ce moment surréaliste, alors je me soustrayais à la chaleur de sa bouche, mais il me reprenait avec ardeur. Il voulait que je jouisse dans sa bouche.

Soudain ma bouche sempli dun liquide chaud et très salé. Je ne compris pas tout de suite. Sans même me demander mon avis, il se vidait en moi à grandes rasades. A la fois dégoûté par le goût extrêmement puissant, la consistance visqueuse, et la surabondance de son sperme, je déchargeais à mon tour dans sa bouche, parcouru par des spasmes dune intensité jamais ressentie jusqu’alors.

Nous restâmes un bon moment dans la même position, nos sexes ramollis dans la bouche de lautre. Dans un état second, je tétais son sexe, et en aspirais la moindre goutte.

Il se releva, me remercia poliment, me souhaita bonne nuit, et disparu dans sa chambre me laissant complètement hagard.

Je me sentais salie et humilié. Je culpabilisais de mêtre laissé faire et den avoir tiré autant de plaisir.

Je me jurais quon ne my prendrait plus.

Evidemment, le lendemain, il revint à la charge et comme subjugué, je me laissais faire encore une fois.

Et le scénario se répéta tous les soirs pendant toute la semaine. Tous les soirs, alors que la raison me dictait au moins de retirer son sexe au moment de sa jouissance, jaccueillais au contraire son sperme avec bonheur.

Le stage fini, je rentrais chez moi, essayant doublier ces escapades nocturnes.

La vie repris son cour et le temps passa. Je retrouvais mes amours féminines sans aucun problème.

Evidemment, il marrivait fréquemment de repenser à ces moments, provoquant chez moi une incroyable excitation.

Un ami libertin, minvita quelques fois à participer à ses parties fines. Je pus profiter de loccasion pour re-pratiquer sur lui la fellation.

Mais même si jautorisais mon ami à jouir dans ma bouche, et que jappréciais ça énormément, quelque chose me manquait. Lhumiliation sans doute. La soumission me manquait.

Le temps passa encore, je me mariais, le train-train de la vie prenait son départ avec son lot de frustrations et de fantasmes inassouvis.

En cachettes, je commençais à lire des petites annonces de rencontres gays. Les annonces crues de ces hommes offrant leurs services ou leurs verges dans des endroits insolites mexcitaient beaucoup.

Peu à peu jallais regarder des vidéo dhommes mûrs se masturbant en gros plan face caméra et libérant de grands jets de sperme. Je mimaginais recueillant leurs semences avec délice et honte à la fois.

Un jour, un ami gay, évoqua une application de rencontre très pratique et rapide, basée sur la géolocalisation. Il en était très satisfait.

Le soir même, après que mon épouse fut couchée, je téléchargeais fébrilement lapplication.

Je minscrivais, mettant une photo de ma bouche et rédigeant un texte du style : hétéro curieux cherche première queue à pomper. Envoyez photos de vos bites.

Les réponses ne se firent pas attendre et déjà des photos de belles queues bien dures défilaient devant mes yeux. Le fait dimaginer les prendre en bouche me faisait bander comme un taureau.

Le cur battant, je fixai rendez-vous à lune de ces bites, non loin de chez moi dans 10 minutes.

10 minutes mon cur bat à tout rompre je ne sais pas si je vais y aller non, je ne dois pas y aller la tentation est trop forte.

En catimini, je sors de chez moi, les jambes flageolantes et le cur vacillant.

La voiture de mon rendez-vous mattend, jinspire bien et jembarque.

Le gars est assez jeune, propre sur lui, ça pourrai être mon banquier. Nous avançons un peu et nous nous arrêtons dans un coin tranquille. Il coupe son moteur. Ma bouche est sèche et je tremble comme une feuille.

Il recule son siège et baisse son pantalon découvrant la bite de sa photo. Elle est moins grosse que je croyais. Elle est belle et dressée. Son gland luisant est très appétissant.

Allez, je me jette Je me penche sur son ventre, commence à lécher son gland plein de liquide. Je lhume, jessaie de bien profiter de linstant, malgré mon cur qui semballe. Puis je laspire dans ma bouche. Cest si bonJe le suce doucement. Je mapplique à ce que mes dents ne le blessent pas. Je titille son frein et son mea avec ma langue. Je le pousse loin dans ma gorge.

Il mappuie sur la tête. Par moment il mimmobilise et me met des coups de reins. Par moment il me gifle avec sa teub.

Au bout dun moment il me prévient de limminence de sa jouissance. Alors je lui dis « ne ten fait pas viens » .

Il libéra son sperme et javalais tout en gémissant de plaisir.

Ma langue se fit sage autour de son gland parcouru de spasmes, et je mappliquais à bien le nettoyer.

Je nen revenais pas. Javais le gout du sperme dun homme dans ma bouche.

Nous nous quittâmes. Je rentrais chez moi. Mais bien loin dêtre rassasié, je reprenais mon téléphone. Jobtins rapidement un autre rendez-vous. Et me voici encore partit dans la nuit.

Cette nouvelle queue était très différente ; le goût de son foutre aussi. Lui aussi me prévint avant de jouir. Je trouvais ça touchant. Bien quil libera une quantité de sperme très honorable, jaurai voulu quelle soit plus grande encore il men fallait plus.

Je rentrais chez moi et me branlais sauvagement. Je jouis comme rarement, et mon excitation diminua. Jallais rejoindre le lit conjugal, la tête pleine dimages de bites dressées, le gout du sperme encore présent dans ma bouche et un fort sentiment de culpabilité. Javais honte et me mis à penser aux MST.

Le lendemain je décidais doublier tout ça et je supprimais lappli de mon téléphone.

Il ne fallut pas longtemps pour que mes démons ressurgissent. Je lutte pourtant, mais la tentation est trop forte. Je continue à voir mes amants. Je les suce dans leurs voitures, ou même chez moi quand mon épouse est en déplacement. A chaque fois lextase puis la culpabilité

Je prends de plus en plus de risque en envoyant ma photo par exemple. Je ne désinstalle plus lappli.

Maintenant je rêve de glory holes, de chiottes dautoroutes où de vieux dégueulasses feraient la queue pour se vider dans ma bouche de pute, je me vois suçant des routiers dans leurs cabines.

Je ne sais pas jusqu’où tout cela ira. Mais Jai peur de ce qui va arriver maintenant. Jai peur de chopper une saloperie. De foutre en lair mon mariage. Que ma fille saperçoive que son père est une pute.

Et pourtant à lheure où jécris je nai quune envie

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