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Mes premiers troubles (dépucellage) – Chapitre 1




En descendant de la voiture, je l’interrogeais : a propos je ne connais pas ton nom, je ne peux pas uniquement t’appeler "mon chéri"

Il me dit qu’il s’appelait Jean-luc. En entendant ce nom je tréssaillis, et dans ma tête je pensais Jean Cul , mais je n’en dit rien.

Et toi me demandas t il. Bien sur je n’avais aucun prénom féminin en tête. Il me proposa : Veux tu que je t’appelle Florence. Je n’avais rien contre et lui dit : va pour Florence

En montant dans l’ascenseur il me fit sentir son désir de moi, mais sur deux étages on ne peut pas aller très loin.

Nous entrâmes chez moi, et dès la porte refermée il m’attira contre lui et me colla au mur. Il s’appuya sur moi de tout son poids et pris mes lèvres. Je me sentais tout à sa portée, tout à si-on désir, tout à ses envies. Je n’étais plus moi-même mais le prolongement de sa passion.

Il me fis agenouiller et me présenta son sexe durci. Cette fois je n’eut aucune hésitation. Je le happais entre mes lèvres et pris plaisir à le titiller avec ma langue, à le flatter de mes lèvres. A chaque coup de langue il durcissait un peu plus et occupait plus de place dans ma gorge. On peut dire, dans tous les sens du terme, qu’il me comblait.

J’étais tout à mon plaisir, quand il se retira de ma bouche . Tournes toi et met toi à quatre pattes m’intimas t il brusquement. Tout à mon rêve éveillé je ne protestais pas et m’exécutais. Me voila donc agenouillé sur mon tapis, la tête entre mes bras, ma croupe levée. Je revis à la réalité et soudain me vis dans cette position humiliante, offerte, provocante, prête à la dernière extrémité. Il ne fut pas long à en profiter. Déjà un doigt s’insinuait dans mon intimité, avec douceur, caressant ma rondelle, en écartant doucement les lèvres, la caressant pour la détendre. Je me doutais bien de ce qu’il faisait, il ma préparait à sa pénétration. Il me voulait, ouverte, réceptive, bien lubrifiée, pour pouvoir s’enfoncer en moi d’un simple coup de reins.

J’aimais ce doigt qui me fouillait. Il avait dut mettre de la crème car il allait et venais plutôt facilement dans mon anus. Cette caresse était douce et le sentiment de pénétration intense. J’avais entendu parler de dépucelages douloureux et je me disais que cela se passait plutôt bien.

Mal m’en pris. C’étaient maintenant deux doigts, puis trois qui cherchaient l’ouverture, qui forçaient sur ma rondelle. Ils s’insinuaient avec difficulté, tournaient et viraient dans mon intimité en essayant de trouver leur place. Plus ils pénétraient et plus je sentais une douleur et un plaisir intense sans savoir lequel l’emportait des deux.

Il du estimer que j’étais assez préparée car, je sentis ma culotte se baisser, et il posa son gland sur mon anus et poussa doucement pour me pénétrer. J’étais très excitée et je l’aidais de mon mieux en me cambrant, en tentant de m’empaler sur lui. Il poussait dans un sens et moi dans l’autre, tous les deux terriblement excités. Je sentais ma rondelle céder et doucement s’ouvrir sous sa poussée, son sexe qui n’était pas encore en moi et qui me forçait. Je m’ouvris encore un peu et il s’introduisit un peu plus loin en moi.

Alors je commençais à sentir cette douleur brulant de mon anus, comme si il se déchirait. J’avais mal mais je continuais à me pousser contre lui pour qu’il me pénètre encore plus profond. Qu’importe la douleur fulgurante je voulais être pénétrée et le sentir en moi.

Soudain dans une grande brulure ma rondelle céda et il s’enfonça en moi de toute sa longueur.

Je criais de douleur, et en même temps de joie et de fiertés.

"Ca y est, tu m’encules, je me fais enculer !" "Baise moi comme une pute, ta pute"

Il ne s’en priva pas et commença à aller et venir en moi. La douleur avait passée et je ne sentais plus que la tiédeur de ce sexe chaud qui prenais possession de moi. Quand il s’enfonçait en moi, je me reculais pour accélérer sa pénétration, quand il se retirait je m’avançais pour amplifier le mouvement. Je me sentais vraiment sa femme !

IL me donnas du plaisir un certain temps, mais trop excité de ce quasi viol, il explosa soudain en moi en donnant de formidables coup de reins pour me pénétrer aussi profond qu’il est possible.

Je sentais un liquide chaud couler en moi, et quand il se retira, enfin, je restais prostrée. dans ma tête les idées tournaient en boucle. Je m’étais fait baiser, dépucelée, étais-je une pute ou une simple amoureuse, quand pourrais-je recommencer,

Il me retourna et m’embrassa tendrement. Il me dit :" Ma chérie tu as été très bien, bien sur pour cette première fois tout a été très vite, mais ne t’inquiète pas les prochaines fois seront encore meilleurs"

Je ne retins de son discour que l’évocation des prochaines fois, je les attendais déjà avec impatience.

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