Je me couche et j’entends maman entrer longtemps après, Valérie et maman sont restées sur leur faim et se sont fait plaisir ensemble.
Sachant maman rentrée je m’endors.
Le lendemain vers 8 heures 30, maman vient me réveiller en nuisette, comme elle le fait tous les matins, elle s’assoit sur le bord du lit; elle me dit :
— Je suis désolé pour hier soir, Valérie savait que j’étais avec un homme, elle a voulu que tu découvres ta mère, tu sais je suis une femme et j’ai besoin régulièrement d’un homme, Valérie ne me suffit pas, comme elle je suis bisexuelle, mais tu seras toujours mon fils.
Maman me serre dans ses bras, je sens un de ses seins se durcir contre mon torse nue, je dors toujours en slip.
Instinctivement, comme je le fais avec Valérie, ma main caresse l’autre sein, ma mère ne m’arrête pas, elle se serre encore plus contre moi, Ce qui devait arriver, arriva, ma queue durcie, je le cache à maman en essayant de me mettre sur le côté, mais elle sait bien ce qui m’arrive et plus j’essaye de m’éloigner, puis elle me serre contre elle.
Elle passe la main sur mon slip, s’aperçoit de la grosseur de mon sexe et dit :
— Valérie m’avait prévenu, mais je ne croyais pas que tu étais encore mieux monté que ton père, pourtant il en avait une très grosse.
Maman passe la main dans mon slip pour mieux apprécier la grosseur, prend mon sexe dans sa main et machinalement commence à me branler en me disant :
– Valérie ne peut pas te prendre entièrement dans sa bouche, moi je peux puisqu’ avec ton père j’avais l’habitude, la prendre entre mes fesses, je veux bien, à condition que tu ailles doucement, il y a longtemps que je ne l’ai pas fait.
Maman commence à me branler, dépose un baiser sur ma bouche et me dit :
– Je vais te faire jouir, j’ai envie d’avoir ton sperme dans ma main, surtout ne te retiens pas de toute façon tu te serais masturbé après mon départ.
Maman me branle si bien, qu’il ne faut pas longtemps, surtout je ne me retiens pas comme elle me l’a demandé, pour que je décharge, maman me fait un petit baiser sur la bouche et quitte ma chambre, je pense qu’elle va dans la salle de bains pour nettoyer ses mains.
Je me lève et va la rejoindre dans la cuisine pour le petit déjeuner, nous n’échangeons pas un mot, pas un geste tendre, comme s’il ne s’était rien passé.
Dans la matinée, Valérie vient à la maison je vais lui ouvrir, elle s’aperçoit bien vite que maman et moi s’adressent pas la parole, alors pour détendre l’atmosphère, elle nous parle de choses et d’autres, nous lui répondons par politesse, mais se rend compte du malaise.
Valérie propose de passer la nuit avec moi ou avec maman, mais elle comme moi répondons que nous n’avons pas envie.
Valérie pense que c’est la soirée d’hier chez elle, elle est loin de penser que c’est ce qui s’est passé ce matin entre maman et moi, qui a créé le malaise et que nous avons l’un et l’autre envie d’aller de concrétiser.
Nous dinons maman et moi, Valérie est rentrée chez elle, Je pars me coucher, maman me dit :
– Vas dans ma chambre, je vais te rejoindre.
Je vais dans la chambre de maman, me déshabille, je garde mon slip comme je le fais chaque soir puis je me couche dans le lit pour attendre ma mère.
Elle aussi se déshabille en gardant son slip et son soutien-gorge, vient se blottir dans mes bras que j’ouvre grand pour la recevoir. J’embrasse son visage en cherchant sa bouche, au contact de mes lèvres sa bouche s’ouvre, je cherche sa langue, elle me la donne.
Tout en l’embrassant, mes mains caressent son visage puis en descendant sa poitrine, sur le soutient-gorges, très vite je le retire en le dégrafant. J’embrasse son cou, ses seins, ses tétons ; J’en prends un dans ma bouche pour le sucer et le mordiller en faisant très attention pour ne pas faire mal, maman commence à jouir et me dit :
– Je vais retirer ton slip, j’ai envie de prendre ta grosse queue dans ma bouche, je vais la prendre entièrement j’ai l’habitude des énormes queues, retires vite ma petite culotte et suce mon bouton, je ne tiens plus.
Je quitte ses seins pour lécher son ventre et enfin arriver à sa fente, je suce son bouton qui devient tellement gros que je prends entre les lèvres et même le mordiller.
Maman resserre ses jambes autour de ma tête afin que je ne puisse pas me dégager, j’ai l’habitude car Valérie fait la même chose; la chatte de maman s’ouvre et je peux y glisser plusieurs doigts, maman réclame ma main.
Comme je l’ai vu faire, je serre l’un contre l’autre mes quatre doigts, je place mon pouce au milieu de ma main et doucement j’enfonce ma main dans sa chatte grande ouverte.
Maman envoie un jet de cyprine, j’ai la main toute mouillée, je la ressors de sa chatte, comme elle est bien lubrifiée, j’en profite pour mettre un doigt dans son petit trou, je pourrais y mettre ma bite, mais avant il faut que je le prépare bien, j’ai promis d’être très doux.
Mon doigt entre sans problème et maman me demande d’en mettre un deuxième, elle jouit et envoie un nouveau jet de cyprine, je prends tout sur le visage puisqu’il est tout près de sa chatte.
Maman me caresse doucement pour éviter que je parte trop vite, je bande comme jamais j’ai bandé même avec Valérie, pourtant elle sait bien s’y prendre.
Maman ne tient plus, et moi aussi, j’ai failli décharger plusieurs fois dans sa main, elle veut ma bite en elle et surtout recevoir ma semence bien chaude dans son ventre.
Elle s’allonge sur le dos, écarte bien les jambes et me dit viens vite en moi.
Il ne faut pas longtemps, malgré le fait que je me retienne le plus possible, pour que je jouisse en elle.
Maman me dit :
– Tu sais je me protège bien, comme Valérie le fait aussi.
Nous passons toute notre nuit à faire l’amour et à chaque fois maman prend un super pied.
Après avoir peu dormi, nous nous retrouvons au petit déjeuner, l’ambiance de la veille a changé.
A l’arrivée de Valérie, elle s’en aperçoit et dit :
— Enfin vous avez fait la paix et vous vous êtes expliqués.
Maman répond :
– Toute la nuit, nous avons trouvé un terrain d’entente, mon fils ne sera plus jaloux de mes amants. La nuit prochaine nous serons trois.