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ASSOCIATION DE BIENFAITEURS – Chapitre 6




« La moral de ces morales »

« Lahirette, lahirette, »

« La moral de ces morales »

« Cest quy aura des ptits cochons ! (bis) »

Jeanneton est flattée de lintérêt que lui portent les garçons quelle croise. Cela signifie quils la trouvent jolie. Espérons que cela amadouera monsieur Augustin et le convaincra de ne pas utiliser la contrainte avec elle!

La jeune fille sonne à la porte dentrée. Une petite vieille ouvre et toise Jeanneton des pieds à la tête.

— Quest-ce que tu veux?

— Je viens voir monsieur Augustin.

— Lest pas là!

Jeanneton ne comprend pas.

— Mais il mavait donné rendez-vous, je viens chercher un moule quil a promis à ma mère.

— Qui est là, ma bonne Marthe? interroge la voix dAugustin.

— Une fille qui dit quelle vient chercher un moule pour sa mère.

— Ah! Je lattendais, fais-la entrer.

La vieille servante sefface en maugréant. Elle conduit Jeanneton au salon où Augustin laccueille avec chaleur.

— Je te remercie dêtre venue. Ta visite me fait grand plaisir.

Il lui présente un siège.

— Assieds-toi. Excuse Marthe. Elle prend soin de moi et surveille mes fréquentations! Tu peux partir maintenant, ajoute-t-il en sadressant à la servante. Tu mas dit que tavais des courses à faire. Tu peux nous laisser, je ne crains rien, cette jeune fille ne me veut aucun mal.

La servante quitte la pièce en marmonnant. Quelques secondes plus tard, ils entendent le bruit de la porte dentrée qui se referme.

— Bon, nous voilà tranquille pour un bon moment. Veux-tu boire quelque chose?

La première réaction de Jeanneton est de refuser puis elle réfléchit, un peu dalcool ne sera pas superflu.

— Juste un peu alors.

Augustin remplit deux petits verres à liqueur. Il en présente un à la jeune fille qui le sirote à petites lampées.

— En veux-tu un autre? demande-t-il lorsquelle pose son verre.

— Non merci. Je ne voudrais pas être saoule.

— Tu nen serais que plus charmante.

Il sapproche par derrière du siège et pose les mains sur les épaules de Jeanneton. Elle frémit. Ce nest pas du dégoût, constate-t-elle.

— Tu es très jolie aujourdhui. Pour qui as-tu revêtu cette belle tenue? Ne réponds pas, laisse-moi croire que cest en mon honneur.

Ses mains parcourent les épaules descendent sur la poitrine, enveloppent les seins dune caresse qui émeut la jeune fille. Elle ferme les yeux. Si elle ne voit pas Augustin elle peut imaginer que cest Jean-Louis qui renouvelle ces attouchements. Sa passivité encourage le bonhomme. Il délace le corsage et patouille les tendres mamelons à même la peau. Il embrasse la naissance du cou.

— Aah!

Jeanneton soupire de désir. Tout à coup il la fait lever, lenlace et pose la bouche sur celle de la jeune femme. Elle sent la langue tenter de pénétrer entre ses dents. Elle les desserre et reçoit le baiser.

— Aah!

Elle tremble comme une feuille morte quand ils se séparent pour reprendre leur souffle. Elle est tout étonnée: Augustin ce vieux qui embrasse presque aussi bien que les jeunes garçons de la veille!

— Ah! Jeanneton, tu me rends fou!

Il ouvre complètement le corsage qui glisse des épaules de la jeune fille et tombe sur le sol. Il se penche sur la poitrine offerte et lembrasse avec chaleur.

— Aah!

Elle ne pensait pas quil puisse avoir des gestes aussi tendres et presse la figure contre ses seins.

— Tiens-toi à mon cou!

Il se baisse passe le bras derrière les genoux et soulève la jeune fille pour la transporter sur le sofa.

— Je rêve de toi jours et nuits. Je rêve de te faire lamour, de te combler de bonheur.

Il lembrasse à nouveau. Cest presque aussi bon quavec Jean-Luc, pense-t-elle. Elle sourit quand il soulève le blanc jupon. Est-ce quil la caressera avec la bouche comme la fait Jean-Marc? Non. Jeanneton soupire, Augustin nen a pas lidée. Il sort son sexe et le présente devant celui de Jeanneton. Elle sattend à le recevoir mais au lieu de lembrocher, il caresse la vulve du gland.

— Aah!

Ce petit geste tendre la fait fondre.

— Venez!

Elle lattire à lui. Et la magie opère! Elle retrouve les sensations découvertes la veille.

— Aaah!

Elle lenserre de ses bras. Augustin ravi de sentir la jeune fille participer au lieu de subir passivement, semploi à varier la cadence et la profondeur de ses coups de rein.

— Aaah!

Il est fier que Jeanneton lance le bassin au-devant de son sexe.

— Aaah!

Il sent la montée de la jouissance dans la tige et ralentit. Il sefforce de ne pas jouir avant elle.

— Aaah!

Peine perdue! Désespéré il lâche sa semence.

— Ouiiiii!

Les jets de sperme emportent les dernières résistances de Jeanneton qui jouit sans retenue.

— Ouiii!… Aaaah!… Ouiiii!

Augustin, à genoux aux pieds du sofa, halète. Il a de la peine à reprendre une respiration normale. Elle le contemple avec indulgence. Le pauvre, il nest plus tout jeune, mais ça ne fait rien il la bien fait jouir. Peut-être fallait-il lintervention des quatre jeunes gens pour quelle ressente enfin le plaisir. A propos de plaisir, elle regrette quAugustin ne laie pas embrassé sur le sexe. Il ne sait peut-être pas. La prochaine fois, elle sucera sa queue comme Jean-Paul lui a fait faire et il comprendra peut-être ce quelle désire. La prochaine fois? Voilà quelle pense à recommencer avec lui!

Jeanneton aide le bonhomme à se relever et linstalle sur une chaise.

— Vous voulez boire? propose-t-elle en prenant la bouteille de liqueur.

— Pas dalcool, un verre deau sil te plaît. Va me le chercher dans la cuisine.

— Où elle est?

— La porte de gauche

Elle lui tend le verre quil siffle dun trait.

— Je te remercie Tu sais, poursuit-il en jouant avec la jupe, cest la première fois que tu te laisses aller dans mes bras.

— Vous avez pas aimé?

— Au contraire! Tu mas fait un immense plaisir. Je pensais plus être capable de faire jouir une jeune fille comme toi Non, sil te plait, reste comme ça, la prie-t-il lorsquelle ramasse son corsage et veut le renfiler.

— Vous aimez voir mes seins?

— Pas seulement regarder.

Joignant le geste à la parole, il caresse les globes que Jeanneton ne lui refuse pas.

— Bon cest pas tout, si on causait de lavenir?

— Quel avenir? interroge la jeune fille brusquement inquiète.

— Ton avenir, le notre. Pourquoi tu veux pas épouser le jeune homme dont je tai parlé?

— Euh

— Je tassure que cest un bon parti. Puis, je suis bien introduit dans sa maison et je pourrai vous rendre visite

— Souvent?

— Euh Pas si souvent que je le souhaiterais, mes capacités sexuelles ne sont plus à la hauteur de mes désirs.

Jeanneton comprend que le mari quon lui propose est compréhensif et ne sopposera pas aux exigences dAugustin. Bah! Pourquoi pas? Elle est pleine dindulgence envers le bonhomme après la jouissance éprouvée.

— Alors? Tu es daccord?

— Je dis pas non.

Tout à coup, elle fronce les sourcils.

— Et ma mère dans tout ça?

— Euh

— Vous allez pas la laisser tomber, sinon je retire mon accord.

Sil veut la fille, il est nécessaire quil se tape aussi la mère. Augustin soupire. Bah! LAmélie a encore de beaux restes

— Euh Quest-ce que tu dirais si je la mariais?

— Oh! Vous êtes un amour! sécrie-t-elle en se jetant à son cou.

Les mains du bonhomme se posent tout naturellement sur les seins quelles malaxent.

— Alors? Tu acceptes?

— Dans ces conditions, oui.

— Embrasse-moi pour sceller notre accord.

Elle saute sur ses genoux et entoure son cou de ses bras nus.

— Et si lépoux que vous me destinez me plaît pas?

— Je sais quil nen sera rien, cest un charmant jeune homme.

— Et si au contraire il me plaisait tellement que je voudrais plus le tromper?

— Ne profère pas de telles inepties, ça porte malheur!

Le bruit de la porte dentrée dérange leur baiser.

— Enfile-vite ton corsage! Marthe est très gentille mais cest une vraie commère. Avant de partir, noublie pas de lui demander le moule à gâteau!

Jeanneton rit en nouant les lacets du corsage.

— Ah! Autre chose. Essaye dêtre surprise lorsque ta mère te demandera de te parer de tes plus beaux atours après-demain. Je vais lavertir de ma visite pour te présenter ton soupirant.

— Déjà?

— Pourquoi attendre? Jai hâte de nous installer dans notre nouvelle vie.

Une fois dehors, la jeune fille rejoint leur humble chaumière en sautillant. La vie est belle! Elle et sa mère vont bientôt faire partie de la "bonne société". Et tout ça grâce à qui? A ces quatre jeunes garçons qui lui ont fait découvrir le plaisir. Une véritable association de bienfaiteur! Comment les remercier? Un petit rire secoue les épaules de Jeanneton. En fait de remerciement, ils se sont servis eux-même quand elle les a revus!

Fin de mon délire à partir de la chanson « Jeanneton prend sa faucille » Est-ce un filon à creuser ?

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