Après lépisode de la douche, je ne savais plus quoi penser de ce fantasme. Durant les 3 mois qui suivaient, lorsquon faisait lamour Claire et moi, je ne pensais quà cette vision que javais eu depuis la fenêtre de la salle de bain.

3 mois plus tard, Claire reçu un coup de téléphone de Sandra lui demandant si elle pouvait venir deux semaines chez nous le temps de passer des examens décoles dinfirmières. Claire et moi avons accepté sans réfléchir. Le jour de son arrivée, Sandra arriva vêtue dune jupe légère à rayures pastel, et une chemise en lin. En ce mois de juin, il est vrai que la température ne descendait pas en dessous des 25°C et ce même la nuit. La vue de ses jambes dénudées me rappela la scène de la douche. Je sentais une légère érection commencer. Le soir venu, Sandra sinstalla dans la chambre dami situé au RDC de la maison. Après le repas classique dun dimanche soir, nous montons nous coucher Claire et moi dans notre chambre située au 1er étage de la maison. Ce soir là, inutile de vous dire, quà peine rentré dans la chambre, je me collai contre le dos de Claire et commençai à lui embrasser le cou, mes mains vinrent rapidement se poser sur ses seins, Claire bascule la tête en arrière, soupir, passe ses mains sur mes fesses, mes caresses passèrent des seins au ventre, et du ventre aux seins, puis une main plus aventurière, descendit dans la culotte de Claire. La sensation du touché de ses quelques poils pubiens augmenta mon excitation. Jenlevai le t-shirt de Claire, se retrouvant torse nue, Claire se retourne, nos langues senroulent, elle menlève mon T-shirt, je sens avec mon torse la chaleur de ses seins. Ses mains enlèvent mon short et mon boxer en même temps. Je lui enlève son jean et sa culotte. Elle sallonge, nue sur notre lit, un flash métourdit, cest le visage de Sandra que je vois, pas celui de Claire. Je me secoue la tête, essayant de chasser cette image de mon esprit. Claire me demande si tout va bien. En guise de réponse, je mallonge sur elle, glisse mon genou droit entre ses jambes. Je sens sur ma cuisse une chaleur douce et humide, mes mains parcours ses seins, et sont rejointes par ma bouche. Je lui suce les tétons, lui mordille les seins, elle soupir encore, elle me fait basculer sur le côté, mallonge et monte à califourchon sur moi. Elle membrasse le torse, puis je sens sa chevelure sur ma peau. Ses baisers descendent le long de mon torse, se rapprochent de mon sexe. Elle le prend en bouche et commence le même genre de fellation que la dernière fois. Je larrête très vite, lexcitation est trop grande, elle le sent, elle me regarde, et elle sempare de ma verge luisante, tendue, excitée au possible, elle la dirige vers son intimité. Je sens cette chaleur menvahir, je glisse littéralement au fond de sa grotte. Elle fait des mouvements de bas en haut, de va et vient, ma respiration saccélère, je gémis, elle gémit, je sens des contractions qui entour mon sexe, je ne peux plus retenir mon orgasme Claire jouie, je jouis. Après ce moment intense qui résume notre vision de lamour, nous nous endormons rapidement.

1 semaine cest écoulé, nous avons fait 3 fois lamour avec Claire, Sandra a passé lensemble de ses examens, il ne lui reste plus quun seul entretien en fin de semaine. Durant le repas, Claire nous annonce, quelle doit partir durant une semaine, en formation de dernière minute, sur Mulhouse. Sandra est déçue de ne plus pouvoir profiter de sa grande sur. Moi je le suis encore plus, 1 semaine à attendre avant de fusionner à nouveau avec ma femme. Les 2 premiers jours sont dune banalité exemplaire, métro, boulot, dodo. Vient la troisième journée. Sandra reste seule toute la journée dans la maison pour préparer son entretien. Quand je lui propose de sortir manger dehors le soir, elle nhésite pas une seconde. Le repas dans un petit resto se passe bien et nous rentrons satisfait. Une fois dans la voiture, je mets de la musique et prends la direction de la maison. Sandra sendort. Elle est vêtue dune autre jupe, légère, dun chemisier tout aussi léger. Je tourne la tête et la contemple. Elle est mignonne, même belle, même sexy. Mes yeux reviennent sur la route, puis reviennent sur ses cuisses fermes, brillantes, complètement dépourvues de poils. La jupe est remontée à mi-cuisses, je bande. Je bande très fort. Au travers de sa boutonnière de chemisier je maperçois quelle ne porte pas de soutien gorge. Je vois son sein: ce même galbe de sein qui ma fait perdre la raison la dernière fois. Nous arrivons à la maison. Je la secoue légèrement, comme le ferait un père pour sa fille. Pas de réponse, je descends de voiture, et la prends dans mes bras. Je lamène dans sa chambre. Je lallonge. Elle est si belle, si innocente. Je sors de sa chambre et vais me coucher. Je narrive pas à dormir. Il est 3 heures du matin, jai soif, je ne trouve pas le sommeil, je descends à la cuisine pour prendre un verre deau, je passe devant la chambre de Sandra. Elle a du se réveiller à un moment car elle est nue sur ses draps. Elle est sur le dos, les jambes légèrement écartées, la tête orientée de lautre coté de la porte. Je perds le contrôle, je rentre sans bruit dans la chambre, je mapproche delle, je suis au pied du lit. Jai envie de la toucher. Je ne peux pas je suis marié avec sa sur en plus. La chaleur augmente dans cette pièce, jai toujours envie de la toucher, je secoue la tête, me dirige vers la porte. Je marrête, me retourne, et me rapproche delle. Comme si je ne contrôlais plus mes membres, ma main touche sa main. Pas de réaction, elle est profondément endormie. Je lui caresse le bras, puis lépaule, puis je descends sur ses seins. Sa peau est dune douceur infini, je lui touche laréole de ses seins. Cest chaud, doux, son téton est le seul à remarquer ma présence, il se redresse. Je reprends mes esprits, je fais demi-tour et sors de sa chambre. Le lendemain, tout ce passa comme les autres jours. Mais la nuit venue, je mendors après une masturbation salvatrice. Vers 3 heures du matin, je sens un picotement sur ma poitrine, jouvre les yeux et je vois Sandra, nue devant moi. Ses formes sont parfaites, aucuns poils, la main sur mon téton:

« Tu pensais vraiment quon pouvait caresser quelquun sans quil sen rende compte? » me dit-elle.

Jai honte, peur de sa réaction envers Claire. Je mexcuse, lui explique que Claire me manque et que cétait un moment dégarement passager.

« Tu ma vu nue, je tai vu nu. Tu mas caressé, je tai caressé. Nous sommes quittes » me dit elle le sourire aux lèvres. Elle tourne les talons moffrant une dernière vision extraordinaire, ses formes sont parfaites.

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