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L'université : de la soumission à la consécration – Chapitre 10




La nuit qui suit l’épisode avec Léna et ma sur est merveilleuse. Comme je n’ai toujours pas le cur à rejoindre Camille dans l’immédiat (je ne suis pas d’humeur à m’engueuler), je reste dormir avec ma marraine. Enfin « dormir » est un grand mot, parce que nous remettons le couvert un peu plus tard dans la soirée, puis de nouveau au petit matin. Une courte nuit donc, mais oh combien intense !

  Inutile de préciser que je ne suis encore pas très attentif en cours ce jour-là, mes pensées étant largement concentrées ailleurs. Je ne cesse de me repasser mentalement ma folle nuit avec Léna, ainsi que tout ce que je prévois de faire dans les prochains jours. Et ce n’est rien de dire que les projets se bousculent !

  En sortant de mon cours d’économie, je suis toutefois surpris de trouver Camille qui m’attend devant la porte (nous ne sommes pas dans la même classe). Elle affiche un air penaud qui indique manifestement que, malgré tout ce qu’elle a fait, elle semble tenir à moi. Ou en tout cas, elle craint ma colère.

 – Qu’est-ce que tu veux ?

  Je suis surpris moi-même par la froideur de ma voix. Je pensais que je serais plus en colère, et au lieu de ça je me découvre assez indifférent. Serais-je moins sensible que je ne le pensais ?

 – Je crois qu’il faut qu’on parle, me dit-elle.

 – J’ai pas envie de te parler.

  Je tourne aussitôt les talons, en me doutant bien qu’elle me suivra de toute façon. Et effectivement, je ne tarde pas à entendre ses pas derrière les miens.

 – Attends Justin, s’il te plaît !

  Je ne dis rien, ne montre en aucune façon que je l’ai même entendue.

 – Laisse-moi au moins m’expliquer !

 – T’expliquer ?!

  Là, je suis piqué au vif. J’ai réagi sans réfléchir, moi qui ne voulais pas lui parler, mais ce terme me semble tellement vain !

  "Que pourrait-elle bien expliquer ?"

  Elle baisse la tête, rouge comme une pivoine. Il est évident qu’elle a préparé à l’avance ce qu’elle s’apprête à me dire, mais il est sans doute plus compliqué de le formuler en face de moi. Et de toute façon, je réalise soudainement qu’au fond, je me moque de ses explications.

— Viens avec moi.

  Je l’entraîne à ma suite en l’attrapant par la main, et elle se laisse faire docilement. Je la guide ainsi jusqu’à une salle de classe vide, dans laquelle nous entrons prudemment. Lorsque nous sommes sûrs qu’il n’y a personne, je referme la porte derrière nous.

— Je te remercie de me laisser t’exp commence-t-elle.

  Elle s’interrompt en constatant que je défais ma ceinture, puis que je fais descendre mon pantalon à mes pieds.

— Suce-moi.

  L’ordre est simple, direct, brutal. Camille reste un instant sans parler, interloquée. Elle ne sait pas comment réagir, d’autant plus qu’elle semble avoir remarqué elle aussi le grossissement de mon pénis.

  "Ça ne vient donc pas de moi !"

— Quoi, tu ne vas pas me dire que tu n’aimes pas ça maintenant ?! Ni que c’est dégoûtant !

— Mais je

— Pas de « mais » ! Si tu veux que je t’écoute, commence par me sucer.

  Vaincue, elle s’exécute. Elle s’agenouille devant moi et prends mon sexe en bouche. Elle commence assez doucement, mais je ne suis pas dans les mêmes dispositions d’esprit qu’hier avec Léna. Je pose ma main à l’arrière de son crâne et je la force à l’engloutir aussi loin qu’elle le peut.

  Bientôt, je lui impose une fellation rapide et profonde. Elle halète, semble trouver l’exercice difficile, mais elle n’ose pas se plaindre. Et tant mieux, parce que je ne suis pas d’humeur à entendre des jérémiades !

— Ça te plaît d’être traitée comme une chienne ? C’est ce que t’aime, non ?

  Elle ne peut rien répondre, mais je m’en fiche. Je n’attends aucune réponse, je dis ça pour moi et non pour elle. Ce qui m’intéresse, c’est de faire d’elle ce que je veux, de reprendre le pouvoir dans mon couple. Et pas que dans mon couple.

  Voir ma copine ainsi rabaissée au rang d’objet m’excite énormément, surtout après tout ce qu’elle m’a fait subir. J’attrape ses cheveux dans ma main, et je ne la laisse même plus décider du rythme ni de l’intensité, c’est moi qui la dirige en la faisant aller et venir sur ma tige. Elle se contente de serrer les lèvres, et moi je lui baise la bouche, de plus en plus sauvagement.

  Malgré mes précédents orgasmes de cette nuit, la situation me fait tellement d’effet que je ne tarde pas à sentir monter la jouissance. Je lui enfourne ma queue aussi profondément que possible, avant de lâcher des râles dantesque en même temps que des torrents de foutre. Elle tente de se retirer, à moitié étouffée par les jets de liquide chaud et gluant qui se répandent dans sa gorge, puis dans sa bouche, mais je la maintiens en place.

  – Tu ne t’en tireras pas comme ça !

  Quand je me retire enfin, Camille tombe à quatre pattes et crache de bonnes quantités de ma semence sur le sol. Une fois encore, je suis impressionné par la quantité. Je devrais être totalement vidé maintenant, après mes multiples éjaculations de ces dernières heures ! Mais non, à croire que je suis devenu une véritable fabrique à sperme

  Elle tousse, s’étouffe à moitié sous la quantité ingurgitée. J’ignore ce qu’elle a bien pu avaler, mais ce qu’elle a recraché est déjà impressionnant. Des filets de sperme pendent encore de ses lèvres, ou dégoulinent sur son menton. Elle est magnifique.

  Sans même attendre qu’elle se remette de l’épreuve que je viens de lui infliger, je tourne les talons et quitte la salle de classe, non sans lui jeter une dernière perfidie au visage :

— J’ai bien aimé discuter avec toi ! 

  J’hésite un peu sur la conduite à tenir ensuite. Dois-je aller retrouver Léna ? J’avoue que malgré ma forme actuelle, ça risquerait d’être un peu trop. Pour la même raison, il est hors de question d’aller voir Anna et de lui accorder enfin ce qu’elle réclamait hier. Pour une fois, une idée non sexuelle s’insinue dans mon esprit : et si j’allais voir Charlotte, pour essayer de rattraper le coup avec elle ?

  C’est donc dans la direction de sa chambre que je me dirige, en essayant de rassembler mes pensées sur la route pour trouver les bons mots. Je suis encore loin de savoir exactement ce que je vais dire en frappant à sa porte, mais de toute façon je préfère me débrouiller à l’instinct. Ce que je m’apprête à lui dire ne se prépare pas !

  Elle vient m’ouvrir, ou plutôt m’entrouvrir, et je peux lire immédiatement le chagrin et la honte sur son visage. La simple idée que je puisse être à l’origine de sa douleur me déchire le cur. Pourtant, il m’est impossible de regretter ce que j’ai fais. Cet instant a été tellement merveilleux, et j’en ai rêvé toute ma vie ! Seulement, je voudrais que les choses soient plus simples

  Elle finit par ouvrir complètement sa porte pour me laisser entrer,

— Écoute Charlotte, je sais que tu as honte de ce qui s’est passé, mais il ne faut pas. On n’a rien fait de mal

— Rien fait de mal ? Tu es mon frère !

— Et alors ? Frère ou pas, je t’aime Charlotte.

Une vague d’effroi passe sur son visage à cette annonce.

— On ne peut pas s’aimer, répond-elle d’une voix brisée.

— Bien sûr que si. Je t’aime, et je ne vois pas pourquoi je ne pourrais pas !

Énervé, j’arpente la chambre de long en large. Pendant ce temps, elle baisse la tête.

— Justin, s’il te plaît Tu sais très bien pourquoi.

Sa tristesse finit par m’aider à me calmer. Je m’assieds à côté d’elle et je prends sa main dans la mienne, tandis que des larmes commencent à envahir ses yeux. Je ne sais pas trop quoi lui dire, alors je me contente de la prendre dans mes bras avec tendresse. Elle commence à sangloter doucement contre mon épaule, et je ne sais toujours pas comment m’extirper de cette situation gênante.

— Je voudrais que ce soit plus simple, me dit-elle soudain.

— Je sais, moi aussi.

— Tu tu crois que ça pourrait redevenir comme avant ?

— Non.

Ma réponse fuse avant même que je ne puisse réellement y réfléchir. Hors de question que les choses redeviennent comme avant, j’ai trop subi et trop risqué pour ça !

Elle tourne vers moi son joli regard embué de larmes.

— Non ? Tu ne crois pas ?

— Je ne peux pas.

Les larmes redoublent dans ses yeux.

— Alors qu’est-ce qu’on va faire ?

— Ne plus se voir.

— Quoi ? Mais ce n’est pas possible, on habite ensemble !

— Bien sûr, on n’aura pas le choix le week-end, mais on pourra s’éviter. Et ensuite, dès que possible, je quitterais la maison.

Elle sanglote maintenant clairement.

— Mais pourquoi ?

— Parce que je t’aime Charlotte. Je ne peux pas reprendre mon rôle de grand frère comme avant, ce n’est plus possible.

Elle baisse la tête.

— Mais je ne veux pas te perdre, reprend-elle, d’une voix si faible qu’elle en est presque inaudible.

— Moi non plus, mais vivre à côté de toi sans avoir le droit de te toucher, ce serait trop dur pour moi.

— Alors tu préfères me perdre complètement ?

— Oui. Si je n’ai pas le choix.

Elle se blottit un peu plus dans mes bras, redresse la tête pour me regarder dans les yeux.

— Qu’est-ce que je peux faire pour éviter ça ?

— Tu le sais bien.

Je m’en veux un peu de la rendre aussi triste, je sais que je ne suis pas loin de la manipuler. Bien sûr je ne lui mens pas, ce serait réellement horrible de juste reprendre notre petite vie comme avant, mais je ne pense pas que j’aurais jamais la force de m’éloigner d’elle. Plutôt souffrir le martyre en la côtoyant que ne plus la voir ! Mais cette « menace » peut contribuer à la faire changer d’avis.

— Je t’aime Justin. Moi aussi je voudrais que les choses soient simples, mais elles ne peuvent pas l’être.

— Pourquoi ?

Elle me regarde maintenant comme si j’étais un demeuré.

— Pourquoi ? Tu veux qu’on prenne une petite maison à la campagne tous les deux ? Avec un chien et des gamins ? Tu sais qu’on ne pourrait même pas avoir d’enfant, et tu en veux comme moi.

— Je n’ai pas dit que nous devrions avoir une vie traditionnelle. Seulement, on pourrait continuer comme aujourd’hui, mais en vivant quelque chose de plus tous les deux.

— Tu veux qu’on vive cachés, en trompant ceux qui nous aiment ??

"Si tu savais ce qu’ils s’en tamponnent ma pauvre Charlotte"

— C’est toi que j’aime. Et Camille m’a trompé plusieurs fois je te rappelle.

— Peut-être, mais pas Nicolas.

Je ne veux pas avoir l’air de dénoncer celui qui est censé être mon ami, mais en même temps je n’ai aucune raison de le défendre. Je me contente donc de baisser la tête de manière éloquente.

— Quoi ? Lui aussi ?

— Il a rejoint la Fraternité, et il s’est plié à leurs règles.

— Ce qui veut dire ?

La colère a manifestement remplacé la tristesse dans ses yeux.

— Tu commences à savoir comment fonctionne la Fraternité

— Et tu comptais me le dire quand ?

Aïe, c’est là que ça se complique.

— Je voulais le faire, mais ce n’était pas simple. Tu me voyais arriver et te le dire comme ça ? Au début, je n’avais même pas de preuves, et ensuite les choses se sont un peu emballées Je te jure que j’ai toujours voulu t’aider, mais qu’est-ce que tu aurais fait à ma place ?

— Je ne sais pas

Un silence un peu gênant s’installe, que je n’ose pas rompre le premier. Finalement, c’est Charlotte qui reprend la parole, au bout de près d’une interminable minute.

— J’ai besoin de rester seule un moment pour réfléchir à tout ça.

— Ok.

Je me lève, pas très fier de la conclusion de notre discussion, mais bien conscient qu’en rajouter risquerait d’aggraver les choses.

— Je suis désolé que les choses aient tournées comme ça.

C’est tout ce que je parviens à dire avant de quitter la pièce, dépité.

  La semaine se déroule sans avancées majeures, Charlotte ayant manifestement besoin d’une réflexion plus longue que prévue. Je ne reparle pas non plus à Anna, qui demeure elle-même dans un silence un peu boudeur. Heureusement, il y a Camille que j’utilise désormais un peu à ma guise, sans parler bien sûr de Léna.

  En ce qui concerne ma marraine, je ne trouve rien d’étonnant à cela : j’avais bien compris dès le départ que sa reddition était complète et à priori définitive. En revanche pour Camille, je suis surpris : avec tout ce qui s’est passé, je ne pensais pas qu’elle tenait suffisamment à moi pour se soumettre ainsi. A moins que ce ne soit la soumission elle-même qui lui plaise ?

  Mes diverses pensées sur mon Harem naissant à l’université sont néanmoins chassées par l’autre partie de mon plan, à l’approche du week-end : Nicolas, qui manifestement se sent coupable (ou qui est excité par l’idée, c’est possible aussi), a donné rendez-vous à ma mère dans un hôtel. Rendez-vous qu’elle a accepté ! J’ai beau avoir vu ma mère céder aux avances de son gendre il y a une semaine, jamais je n’aurais cru qu’elle accepterait de le revoir aussi vite, surtout dans des conditions aussi transparentes. Au-delà de son propre mari, c’est aussi sa fille qu’elle trompe !

  Et le pire, c’est que Nico a finement joué son coup : il l’a convaincu d’accepter, non seulement de coucher avec lui, mais aussi avec un « ami » qu’il amènera pour l’occasion. Il lui a promis que l’ami en question était fiable, et qu’il se portait garant de la sécurité de leur secret.

— Après tout, avait-il intelligemment ajouté, j’ai autant à perdre que vous dans l’histoire.

  Ce n’était pas tout à fait vrai, mais l’argument avait porté. Mais qui était ma mère, en fait ? Que se passait-il dans sa tête pour qu’elle accepte ce genre de choses ? Parce que tromper son mari et sa fille, c’est une chose, mais accepter de coucher avec deux hommes, dont un inconnu, qui pourraient chacun être son fils (et pour cause), c’est de la perversion pure et simple.

  Ma mère est une salope.

  Voilà le terme que j’ai beaucoup de mal à accepter, et qui pourtant me crève les yeux. Ça me dérange, et pourtant ça m’excite follement. 

"Mais tout de même, c’est ma mère !"

  Autant j’ai accepté relativement facilement l’idée qu’Anna soit la dernière des nymphos, et même peu après l’idée de l’inceste. Mais concernant ma mère, c’est plus dur. Une mère reste une mère à jamais dans les yeux de son fils.

  Anna a de qui tenir. Et moi aussi d’ailleurs, il me faut bien le reconnaître. Quelles barrières morales m’arrêtent encore, finalement ? Hormis bien sûr l’absence de libre consentement entre adultes responsables, je ne suis quand même pas une ordure.

  Enfin, je ne crois pas ?

  Le jour J (soit le samedi matin), nous attendons ma mère dans la chambre d’hôtel, moi caché dans la salle de bain. Par chance, j’ai assez d’angle pour voir le lit simplement en observant par le trou de la serrure. Lorsqu’elle arrive, mon cur se met à battre la chamade : elle est bien venue ! (Car oui, j’avais encore quelques doutes).

  Elle échange les politesses d’usage avec Nicolas, mais ni l’un ni l’autre n’étant là pour parler philosophie, ils commencent rapidement à se déshabiller mutuellement, tout en s’embrassant. Je vois bien que ma mère ne cesse de jeter des coups d’il en direction de la salle de bain, où elle doit apercevoir assez nettement une silhouette. Je crois que ça l’excite plus qu’autre chose de se savoir observée, même si elle en a aussi probablement très peur. Pendant ce temps, évidemment, je me caresse doucement.

  Nico, qui est manifestement un véritable ami, contrairement à ce que ces derniers jours ont pu laisser croire, prend beaucoup de soin à offrir autant que possible le corps de ma mère à mon regard. Il déboutonne son soutien-gorge et le fait tomber, de manière à ce que la lourde poitrine maternelle soit libérée face à moi.

  Les deux seins, massifs, imposants, tombent légèrement, mais donnent encore une impression de fermeté des plus plaisantes. Surmontés de larges auréoles, ils donnent l’envie furieuse et impérieuse de les attraper, des les malaxer, de les suçoter

  D’ailleurs, Nico ne s’en est prive pas. Assis derrière ma mère, il attrape ses deux gros nichons et commence à les soupeser, puis à les caresser. Ses doigts jouent de temps à autre avec les tétons, qui ne tardent pas à se dresser. Je dois arrêter ma masturbation pendant qu’il malaxe la poitrine maternelle, sous peine de tout lâcher dans la salle de bain. Ce serait quand même dommage !

  Une pensée entêtante m’assaille alors : mon père. J’ai une pointe de remord en pensant à lui, en me disant que ma mère est en train de le faire cocu avec Nico, sous mes yeux. Et bientôt avec moi.

  Bien sûr, c’est leur problème à eux, surtout dans l’immédiat. Mais dans quelques minutes, c’est moi qui vais m’enfourner en elle. Et là, ça deviendra nettement plus difficile moralement

  N’y tenant plus, Nico retourne soudain ma mère et enfourne sa bite entre les deux gros seins offerts, m’arrachant à mes pensées. Il attrape les mamelles qui m’ont nourri aux premiers jours de ma vie et il les presse entre ses mains, puis il entreprend de se masturber dans le doux réceptacle ainsi obtenu. Ma mère, jouant le jeu, va même jusqu’à lui lécher le bout du gland lorsqu’il arrive à sa portée.

— Huuumm, oui C’est trop bon ne cesse de répéter mon ami.

  J’ai peine à croire que la grosse salope qui se tient devant moi, trop heureuse de se donner sans retenue à un étudiant qui pourrait être son fils et pour cause n’est autre que ma mère !

  Soudain, Nico change encore de position. Il se retire de la poitrine qui l’a si chaleureusement accueilli et il fait de nouveau se retourner ma mère face à moi. Il s’en explique quelques secondes plus tard :

— J’en peux plus Catherine, je vais exploser. Je veux venir dans ta chatte !

  Et ma mère d’en rajouter :

— Oh oui, met-la moi Remplis-moi bien

  Je n’en reviens toujours pas de ce que j’entends ! L’image que j’avais de ma mère se trouve réduite à néant. Pour le meilleur et pour le meilleur !

  Elle se positionne ensuite sur les genoux, dressée bien en face de moi, et commence à se caresser les seins tout en me regardant. Elle suçote ensuite sensuellement un de ses doigts. Bien sûr, elle sait que je suis là, elle distingue même ma silhouette. Mais si elle savait qui je suis vraiment !

  Je suis un peu jaloux de Nico. Je contemple les gros seins de ma mère en me disant que moi, je n’aurais pas le droit d’y mettre ma queue. J’aimerais pourtant ! Je n’ai jusqu’ici pu le faire qu’avec ceux d’Anna, brièvement, et le souvenir m’en est pénible. Je pourrais recommencer pourtant, ainsi qu’avec Léna (Camille n’en a malheureusement pas d’assez gros pour ça).

  Mais mes pensées sont rapidement ramenées à des choses plus terre-à-terre : Nico vient de présenter son gland à l’entrée du vagin de ma mère, et il commence à s’insérer. Je vois le bout violacé de son sexe rentrer lentement en elle, suivi par la tige, ce qui ne va pas sans provoquer un long soupir extatique chez ma génitrice.

— Oh oui souffle-t-elle. Mets-la-moi bien au fond (comme si son vagin avait un fond !)

— Ne t’inquiète pas, soupire Nico, je vais bien te baiser.

  Il s’insère alors plus vivement, envoyant le reste de son membre dans la matrice de ma mère d’un violent coup de rein.

— Humpf lâche-t-elle, surprise. T’es un petit vicieux toi ! Vas-y, baise-moi bien, je suis là pour ça !

  Enhardi par les paroles graveleuses, Nico se laisse aller sans retenue. Il attrape les gros seins de la coquine et les malaxe fermement, tout en la tringlant avec hâte. Je vois son sexe entrer et sortir à toute allure, il est donc bien évident qu’il ne tiendra pas longtemps à ce rythme. Ce n’est pas pour une course de fond qu’il s’est engagé, mais pour un sprint. Il accompagne d’ailleurs ses derniers instants de paroles pleines de tendresse :

— T’aime ça, hein ? Vieille salope, t’aime te faire ramoner par un petit jeune qui pourrait être ton fils ?! Ça t’excite, hein ?!

  Etrangement, ça ne me dérange pas du tout d’entendre ma mère se faire traiter ainsi. Ça m’excite au contraire grandement. Surtout qu’elle joue le jeu, l’accompagnant dans la déchéance :

— Oui !! Je suis une pute, une traînée, punis-moi ! Je suis une vieille cochonne qui veut de la jeune bite en moi !!

  Nicolas, très fier de lui, se laisse entraîner sur la pente dangereuse qu’il a commencé à gravir :

— Rien n’arrête une cochonne comme toi, hein ? Je suis sûr que tu rêverais de te faire prendre par ton propre fils ?

— Oh oui ! glapit ma mère, ne sachant manifestement plus ce qu’elle dit. Oui, je voudrais que ce soit mon propre fils qui me baise. Qu’il me foute en cloque !

  Nico risque un sourire dans ma direction. De toute façon, il n’a aucune chance d’être aperçu.

— Demande-lui de te baiser alors. Hurle-le ! ordonne Nico.

— Oh Justin Mon fils, viens baiser ta mère ! Prends-moi comme une chienne, fais-moi des gamins. Je veux que mon propre fils me féconde, je suis une pute !

  Nico ne peut plus tenir. C’est sur ces mots qu’il lâche tout, inondant le ventre de ma mère de sa semence. L’orgasme est long et intense, si j’en crois les cris, qui sont interminables. Lorsque c’est enfin fini, il s’effondre sur ma mère en lui glissant ces quelques mots à l’oreille :

— Merci Catherine, merci. C’était merveilleux, vraiment. J’espère qu’on pourra se revoir.

— Mais j’y compte bien mon cher gendre ! répond ma mère, pas encore rassasiée. Où est ton copain maintenant ? J’en veux encore !

  Nico m’adresse un rapide clin d’il.

— Je vous l’ai dit, il est très timide. Ce qui serait bien, c’est que vous vous placiez à quatre pattes, dos à lui, pour qu’il vienne vous prendre sans être vu.

— Je vois.

  Elle hésite un instant, sans doute perturbée par la demande. Mais au vu de la déchéance à laquelle je viens d’assister, couplée à son degré d’excitation, je n’ai guère de doute quant à son acceptation. Et effectivement elle accepte, se positionnant dos à moi sans un mot.

  J’émerge alors de la salle de bain, nu et bandé, et j’adresse à mon tour un sourire à Nico. Je vais même jusqu’à lui taper dans la main, plus que satisfait de son rôle. Il s’est bien rattrapé de ses manquements passés !

— Ta mère est vraiment un super bon coup, me souffle-t-il à l’oreille.

— Elle a l’air, oui.

  Je monte alors sur le lit, puis j’attrape sans attendre les hanches de ma génitrice. Je guide mon sexe à l’entrée du sien, puis je la pénètre enfin.

  Comment définir tout ce que je ressens alors ? Ma première pensée est pour mon père, encore une fois. Je me dis qu’il est cocu, mais cette fois par son fils ! C’est horrible et si excitant !

  Ensuite, je pense à ma mère. A ce qu’elle dirait si elle savait qui est en train de la baiser. J’ai bien entendu ce qu’elle a dit quelques instants plus tôt, mais je doute que ce soit réellement ce qu’elle pense. Emportée par le plaisir, ses mots ont probablement dépassés sa pensée.

  Ensuite, je me concentre sur mes sensations. Mon sexe va et vient dans une chatte béante, littéralement inondée de mouille et du sperme de Nico. Certes, le cul contre lequel butte à intervalles régulier mon bas-ventre ne vaut pas celui, bien ferme, de Léna ou de Camille ; mais en revanche, ses loches !

  A l’instant où mes mains attrapent sa lourde poitrine, je comprends que cela dépasse mes espoirs les plus fous. Quel n’est pas mon plaisir, alors, de les malaxer à mon tour, en songeant en plus que c’est ceux de ma mère !

  La tringler ainsi est merveilleux, mais je veux plus encore. Je veux franchir un nouveau palier. Je fais un signe à Nicolas, qui comprend aussitôt. Il faut dire qu’on avait préparé notre coup.

  Mon ami s’approche de ma mère, puis il présente son sexe devant sa bouche. Cela ne faisait pas partie du plan, mais je ne peux pas lui reprocher de prendre du bon temps. Sans même poser de questions ni rechigner le moins du monde, celle qui m’a mis au monde prend la bite de mon pote en bouche, puis commence à le sucer.

  Nico se laisse faire ainsi pendant quelques secondes, puis il installe un bandeau sur les yeux de ma mère.

— J’aime bien bander les yeux, explique-t-il. Ça me donne une impression de contrôle.

— Comme tu veux, répond ma mère avec la bouche pleine (alors que c’est elle qui m’a appris à ne pas le faire).

  Une fois que ses yeux sont bandés, c’est devenu trop facile. Je lui fais comprendre que je veux changer de position, elle s’allonge donc sur le dos. Je prends quelques secondes pour l’admirer : ma mère devant moi dans la plus totale nudité. Puis je m’installe, non pas à l’entrée de son vagin pas encore mais je m’accroupis au-dessus de son ventre.

  Je guide alors mon pénis entre ses deux énormes seins, pour réaliser ce que je pensais impossible il y a quelques minutes encore. Je ne pensais pas que j’oserais, mais le désir est finalement le plus fort. J’attrape les lourds amas de chair, puis je les rabats sur mon sexe pour me branler avec. Dieu que c’est doux, que c’est bon !

  Je malaxe la poitrine de ma génitrice tout en me masturbant avec, puis elle commence à me lécher le bout du gland lorsqu’il arrive à sa portée. La sensation est délicieuse ! Au bout d’un moment, sentant que l’orgasme approche, j’arrête pour me reprendre un peu. Je ne veux pas venir trop vite !

  J’attrape alors son sein gauche, puis je caresse son téton avec le bout de mon gland, y déposant des traînées de mon fluide intime. Mais ma salope de mère porte rapidement la mamelle à sa bouche pour la sucer, estimant sans doute que le liquide lui revient

  En la voyant téter son propre sein enduit de mes sécrétions, je ne tiens plus : je lui enfourne ma bite en bouche, violemment, et elle se met à me sucer sans poser de questions. Là encore, c’est délicieux. C’est que ma mère est une experte ! Elle bave copieusement sur mon membre palpitant, rendu brûlant par le désir, sans hésiter à se l’enfourner au fond de la gorge. Tantôt elle suçote le gland, enroulant sa langue autour, tantôt elle engloutit la hampe avec gourmandise, comme si rien ne pouvait lui faire plus plaisir que d’avaler ma colonne de chair. Et elle pousse en plus de petits gémissements réjouis ! L’extase

  Mais j’ai peur de ne pas tenir longtemps, et ce n’est pas dans sa bouche que j’ai prévu d’éjaculer. Je me retire donc, un peu à regret, et je me repositionne contre sa chatte. Elle est trempée, béante. Ma mère est vraiment une salope, elle est en train de prendre le pied de sa vie en se faisant baiser par deux jeunots de la moitié de son âge !

  Nico ne tarde pas à prendre ma place, enfournant à son tour son sexe dans la bouche baveuse de ma génitrice qui n’attend que cela. Quant à moi, je m’introduis en elle sans aucun effort, tant elle est ouverte. Je recommence à la tringler en la regardant bien en face (même si elle ne me voit pas), puis j’attrape ses seins pour les malaxer encore. Je ne me lasse pas de ces deux gros obus si tendres, totalement offert à tous mes caprices.

  Je m’allonge donc sur elle, la prenant en missionnaire, puis je commence à embrasser un de ses mamelons. C’est si bon ! Je le lèche, je le suçote, puis je le tète clairement. Je trouve aussi agréable qu’ironique ce retour en enfance, mais ça ne me suffit toujours pas. Je veux posséder ma mère.

  Je délaisse alors son sein, puis je l’embrasse sur la bouche, chassant Nico qui l’occupait toujours. Elle est d’abord un peu réticente, ce que je trouve étonnant (elle veut bien qu’on la saute, mais pas qu’on l’embrasse ?!), puis elle se laisse faire. Nous nous roulons une pelle magistrale, longuement, puis je cède de nouveau la place à mon ami pour reprendre son sein.

  En sentant la jouissance venir, je veux partager avec elle ce moment, réellement, honnêtement. Je la préviens donc d’abord :

— Je vais venir ! hurlé-je, trop transporté par le plaisir pour que ma voix soit vraiment reconnaissable.

— Vas-y mon petit ! m’encourage-t-elle. Lâche tout, remplis-moi bien !

— Oh oui maman, je viens !

  Elle semble surprise, et je retire alors le tissu qui lui obstrue les yeux. Elle sursaute, tente de se débattre, mais je la retiens.

— Justin ? Oh mon dieu, qu’est-ce que tu fais ? Tu es fou ?!

— Non maman, regarde comme c’est bon !

  Je suis transporté par le plaisir, l’orgasme monte déjà en moi.

— Oh maman je viens ! Je vais jouir en toi !

— Non !! hurle-t-elle. Non Justin, pas à l’intérieur !

— Oh si, je viens ! Je viens !

  Je me répands alors en elle, longuement, tandis que Nico la tient pour l’empêcher de se dégager. Chaque spasme de plaisir apporte un nouveau flot de sperme brûlant, emplissant le bas-ventre de ma mère. Il me semble que l’orgasme ne s’arrêtera jamais. Elle pleure tandis que j’exulte, mais je ne parviens pas à m’en vouloir sur le moment, trop préoccupé par mon plaisir.

  Lorsque tout est fini, c’est évidemment plus compliqué. La scène qui suit est très pénible, même si ma mère l’écourte très vite en s’enfuyant en pleurant. Nous nous séparons donc peu de temps après avec Nico, l’ambiance nettement rafraîchie.

  Quand je suis de retour chez moi, ma mère me saute dessus immédiatement et m’attire à l’écart.

— Je peux savoir ce qui t’a pris ? me demande-t-elle.

— J’ai vu ce qui s’est passé avec Nico la semaine dernière. Je crois que tu n’as pas de raisons d’être plus fière de moi !

  Cet aveu franc et direct lui coupe le souffle. Elle ne sait manifestement pas quoi répondre.

— Nous n’en parlerons plus jamais, conclut-elle seulement.

  Puis elle s’éloigne sans un mot, retournant vaquer à ses occupations.

  Le week-end se déroule en effet sans que le sujet soit de nouveau abordé, mais nous parvenons ma mère et moi à reprendre des échanges presque normaux, au moins sur la forme, pour que les autres ne remarquent rien.

  Les questions se bousculent néanmoins à toute allure dans ma tête : même si ma vie à l’université semble prendre un tour plutôt agréable, je ne suis pas sûr qu’il en soit de même dans ma famille. La situation est quasiment la même avec ma mère et avec Charlotte : suis-en passe de les gagner vraiment, ou au contraire de les perdre à jamais ?

  Et la perspective d’une vie sexuelle plus qu’épanouie vaut-elle les risques que je suis en train de prendre pour elle ?

  Quelque chose me dit que les prochains jours seront décisifs à bien des égards.

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