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deux soeur – Chapitre 4




— Et qui est Mélisse? Demanda Dan.

— Une Américaine que nous avons rencontrée en boite, Répondit Julie.

Nous avions, Sylvie et moi, décidées de sortir danser un peu. Quand on danse, on aime bien monter sur les caisses de sons pour nous montrer un peu. Je me souviendrai toujours de cette rencontre

— Tu es vraiment sexy ce soir, cria Sylvie à Julie pour couvrir la sono.

— Merci, Répondit sa sur, toi aussi.

Julie avait mit un pantalon taille basse ultra serré et un petit top, tout aussi serré qui mettait sa poitrine en valeur en laissant son nombril et ses bras respirer. Une paire descarpin allongeait et moulait encore plus sa jambe. Sylvie avait choisi une petite jupe qui cachait à peine son postérieur et un top au décolleté vertigineux qui laissait entrevoir ses seins à loccasion de mouvement trop ample.

Depuis quelques minutes, une troisième personne les avait rejoint sur leur podium. Une autre fille, blonde aux cheveux longs, poitrine parfaite, pas trop volumineuse, moulée dans un petit top à dos nu. Une jupe moulante à mi cuisses, des escarpins, pas une once de cellulite et une paire de yeux bleus qui hypnotisait littéralement hommes et femmes.

— Je me sens comme un laideron à coté delle, dit Sylvie à Julie.

— Pas moi, répliqua cette dernière, elle est belle, oui, mais, sa façon dagir ne diminue pas ceux qui son à coté delle.

Au bout de quinze minutes de rythme endiablé, les deux surs en sueur descendirent du podium pour prendre un verre. À leur surprise, elles se retrouvèrent non loin de la belle inconnue. Julie lui sourit et linvita à les rejoindre de la main.

— Bonjour, dit la fille en arrivant.

— Bonsoir, dit Julie, tu sembles être venue seule, si tu le souhaite, joints toi à nous.

— Cest gentil merci, je mappel Mélissa.

— Moi, cest Julie, voici ma sur Sylvie. Tu as un accent anglais, doù viens-tu?

— Je suis de Boston, dit Mélissa.

— Tu es vraiment très belle, lâcha Sylvie en rougissant.

— Merci, lui sourit Mélissa, je te retourne le compliment.

Un silence lourd sinstalla et perdura quelques secondes alors que les trois filles se regardaient dans les yeux. Un homme essaya de se joindre à elles, mais il fut rapidement éconduit par le trio silencieux.

Vers la fin de la soirée, après quelques heures de danses et de rires, ainsi que quelques dizaines de prétendant, elles étaient lasses de danser. Mélissa était lasse de crier pour couvrir la sono et sen plaignit aux autres. Julie déclencha finalement les évènements.

— Voudrais-tu venir prendre un dernier verre à la maison avec nous?

— Excellente idée, dit Mélissa.

Elles sortirent les trois, après avoir repoussé une dernière fois lassaut masculin provoqué par le départ et partirent les trois en voiture. Julie avait insisté pour que Sylvie prenne place avec elle dans sa voiture. Celle-ci se plaignit, mais Julie fit la sourde oreille. À la maison en un temps record, une bouteille de champagne fut ouverte pour loccasion.

Au bout dune heure de confidence alors que Sylvie mentit sur une réponse, Mélissa proposa un petit jeu. Vérité ou Gage. Dans ce jeu, si le candidat voulait se faire poser une question, il disait vérité et était obliger de dire la vérité absolue. Si elle ne voulait pas avoir de question, elle disait gage et devait faire le caprice du choix de son opposant. Mélissa lança les hostilités avec Julie qui choisit la vérité.

— As-tu déjà eu deux hommes en même temps dans ton lit? Demanda-elle.

— Oui, répondit Julie.

— Sylvie, demanda Mélissa?

— Vérité, répondit Sylvie fébrile.

— As-tu déjà couché avec une femme? Demanda Mélissa.

— Non, répondit Sylvie.

— À mon tour, dit Julie. Mélissa vérité ou gage?

— Vérité, fut sa réponse.

— As-tu déjà fait lamour à une femme toi? Demanda Julie.

— Je suis bi, répondit Mélissa.

— Sylvie? Questionna la sur.

— Gage, tenta Sylvie.

— Donnes-moi ton string, dit sa sur.

Sylvie regarda Julie en rougissant, elle navait pas prévu le coup. Rapidement, elle se résigna et se redressa du sofa pour remonter sous sa mini jupe, agrippa lobjet convoité et le fit glisser le long de ses jambes en les remontant pour donner une bonne vision à Mélissa assise devant elle. Sylvie le retira complètement et le donna à sa sur qui le posa sur la table deu salon.

— À moi, dit Sylvie, Mélissa?

— Gage, répondit immédiatement lappelée.

— Embrasse-moi, fut la réponse immédiate de Sylvie.

Mélissa se leva et vint s’asseoir devant elle et plantant ses yeux dans ceux de Sylvie, approcha ses lèvres de celle de Sylvie et le contact se fit. Un long et sensuel baiser sen suivit. Une danse de langue lente et langoureuse qui rendit Julie jalouse. Quand finalement le baiser fut brisé, Julie vit que Mélissa avait les mains sur les hanches de Sylvie, ayant remonté la jupe et laissant le sexe parfaitement épiler de sa sur respirer lair frais. Une onde de chaleur se répandit dans le ventre de Julie à la vue des lèvres intimes de sa sur couverte de mouille. Après quelques secondes, Sylvie ouvrit les yeux, laissa sa tenue dans cet état et se tourna vers Julie.

— Pour toi ce sera? Demanda Sylvie à Julie

— Gage, soupira Julie.

— Donnes-moi aussi ton petit string, dit Sylvie lil pétillant.

Julie se leva lentement, et commença une lente danse sur une musique inexistante. Elle défit le bouton de son pantalon, ouvrit la fermeture éclaire laissant apparaître le tissu aussi noir que son pantalon. Elle força le pantalon vers le bas. Lentement et langoureusement en pliant au niveau de la hanche sans plier les genoux. Elle enleva ses talons hauts pour retirer le pantalon et les remis pour la suite. Se redressant, elle prit en main les élastiques du bout de ficelle et les fit coulisser vers le bas dans un mouvement identique, se retrouvant nue sous la taille. Avant de poursuivre, elle sassied en écartant largement les cuisses laissant les deux femmes observer à outrance ses plis les plus intimes.

— Je crois que cest à moi, dit Mélissa. Alors Sylvie?

— Gage, dit-elle

— Bouffe la petite chatte excitée de ta sur, dit Mélissa.

Les deux femmes se regardèrent un moment. Julie nosa pas bouger, Sylvie, quant à elle, prit sa décision, elle se plaça entre les jambes de Julie et plongea sur la vulve béante. Elle lapa le jus qui en coulait déjà et introduit sa langue au plus profond qu’elle le pouvait. Les soupirs de satisfaction et de plaisir arrivèrent rapidement, encourageant Sylvie à continuer. Julie regarda Mélissa qui avait relevé sa jupe et caressait son sexe à travers son string. Elle le poussa de coté dévoilant une fente luisante de mouille et aussi lisse que celle des deux surs.

Elle y mit immédiatement un doigt. Relevant la tête, elle rencontra le regard de Julie. Elle lui sourit et se penchant lui donna son doigt à sucer. Julie le lécha avec sensualité sans quitter la belle des yeux. Mélissa se leva et se défit rapidement de ses vêtements, exhibant aux yeux de Julie, un corps parfait. Des seins hauts placés à bonnets C, une taille aux courbes harmonieuses, un pubis imberbe sous un ventre plat. De longues jambes bronzées et fuselées.

Elle sapprocha lascivement du sofa et monta debout dessus. Julie comprit son intention et saccota confortablement en levant haut le menton. Mélissa vint lui offrit son abricot bien humide pour boire à sa source de plaisir. Julie ne perdit pas de temps et lécha la vulve offerte de sa partenaire. Elle trouva de sa langue son bouton damour et laspira fortement en insérant deux doigt dans le fond du puit humide causant ainsi les premier râles de plaisir de lAméricaine.

Relevant les yeux, Sylvie vit la scène et passant un doigt dans la fente mouillée de Julie, y ramassa de la mouille sur son doigt et le planta dans lanus de Mélissa sans prévenir. La surprise déclencha lorgasme de Mélissa qui inonda la bouche de Julie de son nectar.

Étant déjà lubrifier, Sylvie planta ses deux même doigts dans la pastille de Julie en aspirant fort sur son bouton damour. Le plaisir de sa sur monta rapidement, aidée par Mélissa qui était maintenant à genoux à coté delle et aspirait un mamelon de Julie en pinçant le second.

Julie commença à se tortiller sous lassaut des deux femmes. Elle plaqua la tête de Sylvie sur sa chatte et celle de Mélissa sur son seins en geignant de plus en plus fort. Cest une vague forte et puissante qui la chamboula complètement quand elle eut un orgasme libérateur.

Se libérant de lemprise de Julie, Sylvie sallongea sur le sol en jouant avec sa fente humide. Mélissa se leva et se positionna par-dessus elle. Sallongeant sur Sylvie, Mélissa, lembrassa et commença la descente vers son intimité. Elle stoppa momentanément au niveau de ses seins pour les lécher et les mordiller. Continuant sa descente, elle donna des frissons à sa compagne par leffleurement de sa langue sur son ventre et son pubis lisse.

A destination, elle commença à lécher la vulve de Sylvie avec appétit. Mélissa apprécia le goût sucré de Sylvie. Cette dernière trouva une douceur longtemps rechercher dans cette caresse. Les vocalises dappréciation se firent immédiatement entendre. En sétirant, Mélissa prit son sac sans cesser de brouté le minou de Sylvie et en sortit un gode de bonne taille. Sans demander la permission, elle lengouffra dans le puit humide de Sylvie.

Un cri de surprise et de bonheur retentit dans la pièce. Julie voyant cela se rua dans sa chambre et revint avec son phallus artificiel et le lubrifia à même sa chatte. Une fois bien glissant, elle le présenta à lentré du vagin de Mélissa qui sempala sur celui-ci sans attendre. Un « ho oui » sortit des lèvres de Mélissa quand Julie le fit coulisser avec force.

Plaçant Sylvie de coté, Mélissa fit signe à Julie qui sortit son gode de sa chatte pour le mettre dans le petit trou de Sylvie. La double pénétration et laction de la langue sur son clitoris eurent raison de toutes les barrières de Sylvie qui partit en spasme orgasmique pour un long moment en criant à plein poumon son bonheur.

Retirant les deux faux sexe du corps de sa sur, Julie les prit les deux alors que Mélissa embrassait Sylvie et les planta dans les deux orifices de Mélissa. Pendant plusieurs minutes, Julie fit entrer et sortir les deux godes. Les mouvements incontrôlés de Mélissa commencèrent en même temps que ses premiers signes dorgasme. Mélissa cria sa jouissance quelques instants plus tard en tremblant de tous ses membres.

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