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Petite-fille et fille, perverses ou nymphos. – Chapitre 12




Chapitre 12 : Le retour de ma fille

Maintenant je suis fixé ! Apres lorgie dhier ma petite-fille est vraiment nymphomane ! Dautant que je me réveille avec une douce sensation car elle est en train de sucer ma bite.

— Laurine ! Ce nest pas possible ! Tu narrêtes jamais !

— Mais papyje suis venu te dire bonjour et quand jai vu ta belle bite toute dresséeet bien je nai pas pu me retenir.

— Bon, lâche là, on verra plus tard.

— Papy ! Tu maime plus ? Tas plus envie de moi ?

— Mais si ma pucemais on na pas le même âge. Il faut que je récupère un peu.

Laurine fait sa moue de petite fille et avant de me lâcher elle me dit.

— Cet après-midi alors ou bien je vais voir le voisin !

— Laurine ! Tes une vraie salope ! Tu nas pas honte !

— Non papy. Cest tellement bon ! Répond cette petite perverse avant de sortir de ma chambre.

Dans laprès-midi, allongé sur un transat, je vois Laurine courir vers moi et je me dis que ça va être ma fête. Mais à voir son visage ce nest sûrement pas çà.

— Papy, papy, maman vient de téléphoner ! Elle vient de foutre papa dehors et elle arrive ici !

Je la prends dans mes bras et elle mexplique que mon gendre cest fait surprendre en train de baiser, dans le lit conjugal, la jeune fille des voisins qui na même pas lâge de Laurine.

— Je savais quelle baisait avec pas mal de garçons à lécole mais avec papa ! Quelle salope ! Dit-elle.

— Laurinetu te rends compte de ce que tu dis ? Quest-ce que lon fait toi et moi ?

— Cnest pas pareiltes mon papy chéri répond-elle en caressant ma bite.

Allez comprendre les jeunes daujourdhui.

Donc, ma fille adoptive Martine débarque quelques heure plus tard, ne veut pas me parler pour linstant, et va se coucher avec sa fille après une légère collation.

Ce même soir, il est presque minuit, ma fille entre sans frapper dans ma chambre, en petite nuisette transparente, en larmes, et elle se jette sur moi en chialant.

Je la prends dans mes bras et je la câline doucement en lembrassant dans son cou.

Au bout dun moment elle se calme un peu, se redresse et me dit.

— Papa, dis-moi que ce nest pas vrai !

— quoi, mon petit cur (Cest comme ça que je lappelais étant petite). Ton mari est un beau salaud ! Ne ten fait pas, je suis là, moi.

— Je ne parle pas de mon mari ! Laurine ma tout dit !

« Non de dieu ! qua-t-elle raconté cette petite salope ! »

— Et que ta dit ta fille

Martine renifle et ajoute.

— Que toi aussi tu es un salaud ! Tas couché avec ta petite fille !

Et la voilà qui éclate de nouveau en sanglot en se blottissant contre moi, sa tête dans mon cou.

Je me demande ce que sa fille a pu lui raconter et surtout jusquoù a été sa confession. Je ne sais plus où poser mes mains et je caresse machinalement son dos. Puis presque sans men rendre compte une de mes mains descend plus bas et se retrouve sur une de ses fesses dénudée, la nuisette étant remonté à sa taille avec ses gesticulations.

A trente-huit ans ma fille à garder un beau cul, avec des hanches larges et des fesses bien bombée et fermes. Sans bien men rendre compte, je palpe ses fesses pour en apprécier la douceur et leur volume.

— Papa ! Arrête !

— Pardon mon petit cur. Je ne..

— Papanonexcuse-moilaisse ta main

Je comprends plus très bien, mais je laisse ma main et je caresse sa peau douce.

Martine ne dis plus rien, arrête de renifler, et son corps se détend. Elle se retourne et me dit.

— Serre-moi contre toi.

Je lenveloppe de mes bras et cest elle qui prend mes mains pour les poser sur ses gros seins.

Je lentends murmurer.

— Papa

— Oui, chérie

— Papa, je ne ten veux pas

— Cest vrai mon petit cur

— Oui papa. Je comprends Laurine. Je je sais quelle a de gros besoins sexuels. Je savais ce quelle faisait avec ses copines puis avec ses copains, quand ils étaient avec elle dans sa chambre.

Elle se serre un peu plus contre moi et son cul presse ma queue qui commence à bander et ajoute.

— Elle me ressemble un peu quand javais son âge

— Que veux-tu dire chérie ?

— Et bien jaieu aussi enviededecoucher de coucher avec toi !

— Non !

— Si papa ! A 15 ans, je vous espionnais, toi et maman en train de faire lamour et je rêvais dêtre à la place de maman.

— Oh, mon petit curcest vrai

— Oui papa

Et elle pousse son cul un peu plus.

Cest bizarre, je nai aucun remords de baiser Laurine, sa fille, mais ça me fait tout drôle davoir, pour ainsi dire, ma propre fille dans mes bras avec ma bite entre ses fesses.

Sans presque men rendre compte je fais rouler entre mes doigts ses tétons tous durs. Ma fille soupire et gémit quand je les pince doucement.

— Ça va mieux mon petit cur ? Tu devrais peut-être rejoindre ta fille pour la rassurer.

— Pas la peine Papa. Cest elle qui ma conseillée de venir te voir pour que tu me consoles. Elle ma dit que tu es très doué pour ça et…très doux

— Mon petit cur tu ne vas pas le regretter ?

-Je ne sais pas papaça dépends de toi de ce que tu me feras pour oublier mon salaud de mari ! Et pour consoler ton petit cur qui taime.

Je souris et la presse encore plus contre moi en enfonçant ma bite dans sa raie des fesses.

— papa

— Quoi mon cur

— Tu peux me faire voir ce que je sens entre mes fesses

— Fais ce que tu veux mon petit cur.

Ma fille se retourne et je me mets sur le dos avec ma bite maintenant toute droite et dur qui frôle mon ventre.

— Waouh ! Laurine ma dit que tu es bien monté mais je ne me rappelais pas quelle était aussi grosse et si longue !

Elle ne quitte pas ma bite des yeux et sa main sapproche, la frôle, puis la caresse.

— Elle est belle papa et bien plus imposante que celle de mon mari.

Elle lentoure de ses doigts et commence à me branler tout doucement.

— Chérie tu devrais peut-être arrêter

— Oh, non ! Plus maintenant. Apres ce que ma raconté ma fille, ce que tu lui as fait et le plaisir quelle ma dit avoir avec ça ! (elle serre ma queue), moi aussi je la veux. Et si tu baise ta petite-filletu peux aussi baiser sa mèrenon

Je gémis un peu quand elle serre mon gland entre son pouce et son index et avant que je dise quelque chose, elle se baisse pour aspirer mon gland dans sa bouche.

— Muuuummm. Gargouille ma fille en enfonçant ma bite dans sa bouche.

Je gémis de nouveau et arrive à articuler.

— Ooohh, Martineque cest bon !

Surtout quelle baisse toujours sa tête et que ma bite senfonce dans sa gorge. Son nez est dans mes poils pubiens et son menton sur mes couilles.

Puis elle me suce la bite avec des gémissements qui font vibrer ma queue en mexcitant de plus en plus.

— Regarde-moi, Martine.

Elle lève ses yeux sans lâcher ma bite et je retrouve dans son regard lexpression de ma petite-fille, sa fille Laurine, quand elle suce ma bite. Du désir et de la luxure. Martine serait-elle aussi perverse que sa fille

Je sens que je ne vais pas tarder à jouir et je la préviens.

— Martine tu vas me faire jouir !

Elle retire 2 secondes ma bite de sa bouche pour me dire.

-Jouis, papa. Nourris ta fille de ta crème dhomme. Ça fait si longtemps que jen ai oublié le goût.

Elle veut mon sperme ! Et pour être sûre que je ne me retire pas, elle me prend par les fesses et avale entièrement ma queue au bord de lexplosion. Alors jouvre les vannes. Des giclées de sperme sortent de ma bite en feu et vont directement dans sa gorge et ensuite remplissent sa bouche gourmande. Quand jai fini déjaculer dans sa bouche elle ne me libère pas tout de suite et me suce encore comme pour être sûre de ne rien perdre.

Quand elle soulève sa tête, elle me sourit en léchant ses lèvres et ma lair très contente delle.

— Huuummmm, ton sperme est excellent, papa. Un vrai nectar. Ma fille à raison. Elle ma dit que lorsquon y goutte on peut plus sen passer !

Je mets mes mains sous ses bras et je lattire sur moi.

— Je taime mon petit cur. Mais cest moi qui devrais te faire plaisir pour te consoler et te faire oublier tes soucis.

— Mais papa, je me suis fait plaisir. Ça fait au moins 10 ans que je nai pas fait ça. Et je sais que tu vas encore me faire plaisirnonme donner du plaisir. Hein mon papa damour ?

Pour toute réponse je la retourne sur le lit et je me mets entre ses jambes que je plie en les écartant.

— Bien sûr ma chérie. Ton père taime tellement quil va te faire jouir comme jamais tu nas jouis !

Quelle est belle ! Je lui enlève par le haut sa petite nuisette pour admirer sa belle poitrine aux seins ronds et toujours fermes. De mes deux mains je les caresse et roule ses tétons de mon pouce pour lentendre murmurer.

— Ouiiiiiii, papacontinuefait moi lamourbaise-moi !

Ente ses cuisses écartées, sa chatte toute lisse, rose et humide. En écartant du bout de mes doigts ses lèvres intimes, je constate quelle mouille beaucoup. Telle filletelle mère.

J’attrape deux oreillers et je lui demande.

— Soulève ton cul ma grande, je veux admirer ta jolie chatte et voir mon pénis quand je vais te prendre et menfoncer dedans.

Ma fille soulève ses fesses et je glisse les deux oreillers sous elle. Je me penche entre ses belles cuisses pour renifler sa chatte en écartant ses grandes lèvres de mes doigts.

— Oooh, papa ! Tes un sacré coquin dis-donc

Je pousse un doigt dans sa chatte déjà bien humide et je caresse lintérieur en tournant mon doigt tout en le faisant aller-venir.

— Huuummmm, papacest bon çacontinueMets-en deux !

Jajoute mon majeur pour frotter le haut de son fourreau tout chaud.

— Comme ça mon petit cur

— AAaaahhh, ouiiiii,

Gémit-elle en tortillant son cul pour enfoncer un peu plus mes doigts.

Je continue un moment à la branler de mes doigts et elle mouille encore plus. Voyant sa cyprine coulée le long de mes doigts je nen peux plus et écartelant ses cuisses ma bouche plonge directement dans cette source deau de viepardon ! Deau de fille ! La crème de ma fille Martine !

Je ne sais pourquoi mais cest meilleur que le jus de ma jeune petite-fille. Plus fort, dune saveur légèrement piquante mais douce sur ma langue et avec un parfum aphrodisiaque qui met le feu dans mon bas ventre.

— AAAAAaaaaahhhhh, papa ! Papa !

Elle maintient ma tête pendant que je mabreuve comme un ivrogne en manque et que je dévore cette chair que jaurai pu créer. Ma langue fouille ce puits damour pour récolter sa sublime cyprine, heureusement abondante.

— AAaaahhh, papacest booonnnn, mais prends moi maintenant.

Geint ma fille en retirant ma tête dentre ses cuisses.

Je remonte vers sa bouche aux lèvres rouges et je lembrasse pour lui faire goûter sa crème de chatte. Je la fixe dans ses yeux et

— Tu veux vraiment que

Je fini pas ma phrase car elle crie presque.

— Oui ! Papa ! Oui, oui, oui, mets la en moi ! Baise ta fille papa !

Je prends ma bite en main, je la fait glisser le long de sa fente ouverte et luisante et je pousse un peu. Mon gland disparaît et je marrête.

— Tu brûles le bout de ma bite chérie. Quest-ce que tu es chaude ! Je continue ?

Pas besoin de réponse ! Elle se cabre en soulevant ses fesses et plus de la moitié de ma bite est en elle.

— Ouiiiiiiiiiiiii Aaaaahhhhhhh

Ses fesses retombent et ma bite ressort.

— Papa ! Arrête de me taquiner ! Baise-moi, putain !

J’attrape ses hanches pour limmobiliser et je lui demande.

— Regarde papa, mon petit cur.

Et les yeux dans les yeux, je lempale dun seul coup sur ma queue hyper dure en grognant.

— Tiens ! La voilà ma bite !

Et pour gueuler elle gueule ! Je suis sûr que ma petite-fille lentend et jespère quelle nest pas jalouse de sa mère.

-Ooohhh, papa ! Merci, merci, je taime papa !

Et je baise ma fille comme jai baisé la sienne, Laurine, ma petite-fille.Doucement, par petit coups, plus vite, plus loin, moins loin, marrêtant de temps en temps, bien enfoncé dans ce sexe brûlant, mais si doux, qui enserre ma queue comme un gant de velours. Elle narrête pas de gémir mais elle ne jouit pas. Probablement que son mari ne la plus fait jouir depuis longtemps.

Elle sagrippe à mon cul pour venir à ma rencontre et je la baise plus frénétiquement.

— Ouiiiii, OOOohhh, ouiiiii ! Baise moi, encore, encore OOOoohh, papaaaaaaaaaa !

Salope ! Il faut que je tienne le coup ! Je plie ses jambes et repousse ses cuisses sur elle et je la baise aussi vite et aussi fort que je peux. A ses halètements saccadés et aux contractions de sa chatte je sens quelle va enfin jouir.

Je glisse une main sous ses fesses et trouvant son petit trou plissé, je pousse un bout de doigt dedans.

Elle crie.

— OOOoohh, ouiiiiiiii ! Pousse ton doigt dedans papa !

— Tu as envie de ma bite dans ton cul ?

— Plus tard ! OOOohhh je vais jouir ! Ouiiiiiiiiii AAAaaaahhhh

Et elle explose ! Le corps arqué elle crie comme une bête blessée avec les veines de son cou saillantes. Son corps tremble et son cri se termine en un long gémissement que jentretiens en faisant aller venir ma queue tout doucement dans sa chatte dégoulinante de jus. Quand je sens son orgasme sestomper je me rends compte quà force de me retenir, je nai pas jouis !

Je tombe sur le dos avec ma bite en lair qui a lair de protester. Sur un coude je regarde ma fille qui na jamais été aussi resplendissante et qui revient un peu sur terre après son extase.

— Ooohhh, papa je nai jamais jouis aussi fort et aussi longtemps ! Mais tu nas pas jouis mon petit papa.

Et elle caresse ma bite tremblante, frustrée, mais dégoulinante de cyprine, qui irait bien se perdre dans un petit trou étroit.

A-t-elle lu dans mes pensées ?

Elle met ses bras sous ses genoux et les tire vers elle pour me présenter sa chatte et surtout son trou du cul a la corolle sombre et rose au milieu.

— Papa viens dans mon cul encule moi. Laurine me dit que cest une sensation incroyable. Moi aussi je veux connaitre ça !

Je me remets devant cette gourgandine qui moffre son cul et prenant de la mouille dans sa chatte, je frotte sa rondelle en insérant un doigt dedans. Mon dieu ! Elle est complétement fermée ! Il va falloir que je fasse attention. Mais elle gémit et pousse un peu son cul sur mon doigt.

Elle en veut encore, malgré lénorme orgasme quelle vient davoir.

— Chérietu as déjà eu une bite dans ton petit cul ?

-Non

Cest un non si faible que je lentends à peine. Je vais avoir le privilège de déflorer le cul de ma fille !

— Ne bouge pas ma chérie, je reviens.

Je file dans la salle de bain pour revenir avec un tube de crème spéciale sodomie qui échauffe en même temps lanus et facilite la pénétration. Mon doigt plein de crème travaille son anus qui se détend peu à peu et bientôt, cest deux doigts qui fouillent son trou cul qui se dilate progressivement sous ses doux gémissements.

— Mets-toi sur tes mains et tes genoux, mon cur. Ça sera plus facile.

Ce quelle fait, et la tête sur loreiller, elle écarte ses fesses comme une invitation ouune offrande.

Son trou du cul entrouvert palpite sous mes yeux et je présente ma bite tellement lubrifiée avec sa cyprine que je me dis que ça ne devrait pas poser de gros problèmes pour que je lencule pour la première fois. Je saisi ses hanches je mapprête à sodomiser la fille que jai élevée comme ma propre fille.

Je pose mon gros gland sur son anus entrouvert qui se contracte aussitôt.

— Détends toi amour, relâche tes muscles ce sera plus facile.

Elle soupire et son corps se détend.

Son corps est brûlant. Je tire en arrière son cul et avec un léger plop mon gland passe son sphincter et disparaît dans son cul. Elle doit serrer les dents pour ne pas crier mais ses mains quittent ses fesses pour agripper loreiller.

Ma bite disparaît un peu entre ses fesses et je pousse doucement.

Je nen reviens pas ! Pas de grosse résistance ! Je menfonce un peu, je marrête et je recommence plusieurs fois jusqu’à ce que ma bite soit totalement dans ses entrailles et que mes couilles reposent contre sa chatte.

— Ça va mon petit cur,

-Oui papa… Jai limpression davoir un pieu dacier dans mon cul, quil va éclater, mais je sens que je vais adorer.

Et elle écarte ses cuisses tout en repoussant son cul contre moi.

Je commence à baiser son cul vierge de toute bite jusquà cette nuit et regardant ma bite rentrer et ressortir de son cul, juste au-dessus de sa chatte baveuse, je crois que cest une des plus belles choses quun homme peut voir dans sa vie sexuelle.

— Papa ooohhhplus vite !

Bordel de merde ! Cest elle qui me le demande !

— Ah, tu en veux ! Tiens prends la dans ton cul, catin !

Et je pilonne son cul de toutes mes forces.

— Comme çasalope !

— Ouiiiiiii, papa ! Plus fort ! Encore ! Tu violes ta fille, salaud ! Mais je suis à toi ! Pour toujours !

Je claque ses fesses et je lentends rirenon, elle roucoule de plaisir.

Mais cest trop pour moi et encore deux aller-retour violant et enfoncé jusquà la racine, jéjacule en gueulant comme un âne.

-AAAAhhhhhh, papa ! Je sens ton venin de serpent !

Je me vide entièrement dans son cul et la maintenant contre moi je glisse ma main sur sa chatte et je prends son clito entre mes doigts. Je tourne autour et je le pince doucement.

Elle gémit de plus en plus et jenfonce mes doigts dans sa chatte en laissant mon pouce sur son clito. Quelques pressions et frottements dans son vagin trempé et elle jouit une nouvelle fois avec ma bite dans son cul.

— AAAaaaahhhh, ouiiiiiiiiiiiii, OOoohhhhhhPapa !

Puis on seffondre tous les deux. Au bout de quelques minutes je mapprête à retirer ma bite un peu ramolli mais elle serre ses fesses pour me retenir.

— Reste papa, reste encore un peu. Cest ma première sodomie et cest si bon de la sentir là, que je ne veux pas quelle sorte.

Nous restons enlacés, serrés lun dans lautre et sans même sans rendre compte nous nous endormons le cur heureux et comblés sexuellement. Juste avant de mendormir il me semble avoir entendu la porte de ma chambre se refermer Je pense que nous avons eu une spectatrice.

Phantome

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