Elle était dans les bras de Marc et pensait à Franck.
Elle était venue rejoindre Marc en pleine nuit.
Elle venait de se coucher quand son téléphone sonna. C’était Marc qui l’appelait.
– J’ai envie de toi.
– Tu crois que c’est une heure pour m’appeler ?
– Oui, mais je bande là
– Que puis-je y faire ?
Dit-elle d’un air voulant lui signifier qu’elle n’avait pas envie de continuer la conversation.
– Que tu viennes pour que je te baise.
– T’es dingue, il est presque minuit.
– Et alors, il y aura moins de circulation
– Et demain je bosse.
– Moi aussi.
Il insista et comme d’habitude, elle céda.
Marc était déjà nu quand il lui ouvrit la porte de son appartement. Il prit son sac de voyage.
– T’as pris un sac de voyage ?
– Oui, je pense que je vais rester toute la nuit, alors j’ai pris des affaires de rechange pour demain.
– Enfin, plutôt pour tout à l’heure bon, je mets ton « baise-en-ville » dans la salle de bain. Pendant ce temps-là prépare-toi.
Chantal, sans rien dire se faufila dans la chambre, se mit nue et se glissa sous les couvertures.
Quand Marc revint, il se coucha et baisa Chantal sans ménagement.
Elle avait maintenant l’habitude d’être prise « à la hussarde » et elle aimait ça.
Au petit matin, elle s’est réveillée dans les Bras de Marc, elle n’était pas en avance, mais elle ne chercha pas à se dégager de lui.
Elle pensait à Franck, il lui faisait l’amour en douceur, jamais de brutalité. Elle se souvient qu’il était très attentif et ne voulait jamais se montrer trop impatient. Il était délicat avec elle, un peu comme si il s’excusait de ce qu’il était en train de faire. Il faisait bien l’amour, il la faisait jouir, pas à chaque fois, mais souvent.
Leur rapport n’était pas fréquent, beaucoup moins qu’avec Marc et pourtant elle n’habitait pas avec lui. Elle était heureuse avec Franck et satisfaite sexuellement du moins le pensait-elle à l’époque.
Mais depuis qu’elle était avec Marc, elle avait découvert mille autres jeux, des expériences qu’elle n’aurait jamais imaginées et elle avait même fait ou laissait faire des choses qui l’horripilaient avant.
Et ces orgasmes étaient non seulement bien plus fréquents qu’avec Franck, mais bien plus puissants aussi.
Dans les bras de Marc et avec Franck en pensée, Chantal s’étonna de ce qu’elle était en train de faire.
En effet, jamais, avec Franck, ni même avant d’ailleurs, elle ne s’était caressée et là, sa main était entre ses cuisses à effleurer sa toison. Le geste était doux et tendre, rien de vraiment coquin, les doigts effleuraient à peine ses poils pubiens, mais cela était agréable.
Elle était lovée contre Marc et s’y sentait bien.
Était-elle en train de tomber amoureuse ?
Non, pas de lui ?
Elle aimait ce qu’il lui faisait, mais elle n’avait jamais aimé le personnage et encore maintenant, elle se pliait à ses 4 volontés, elle faisait tout ce qu’il voulait et accourait dès qu’il lui demandait de venir, mais, non, c’était impossible, elle ne l’aimait pas.
Elle baisait avec un homme qu’elle n’aimait pas et elle adorait ce qu’ils faisaient ensemble.
Elle, avec son éducation bourgeoise, comment était-ce possible ?
– suis-je une salope ?
se demanda-t-elle.
– Oui et j’adore ça !
Répondit Marc sans ouvrir les yeux.
Elle avait posé cette question à voix haute sans s’en rendre compte. Elle était honteuse et gênée. Elle était aussi en colère d’être contre cet homme qui la considérait comme une salope
Mais qu’est-ce que c’est que ce con
– Pour lui je suis une salope alors ?
Dit-elle à voix basse.
– Et tu aimes ça !
Elle pensait avoir parlé assez bas pour qu’il ne l’entende pas, ce n’était finalement pas le cas.
Il n’avait pas ouvert ses yeux, mais il prit la main de Chantal et la dirigea vers son sexe. Elle se laissa faire.
Il bandait, elle prit cette tige déjà bien rigide et commença à le masturber.
Marc laissait vagabonder ses pensées. Elles n’étaient pas pour Chantal, mais pour Charlotte.
Il avait réussi à dépuceler Franck, 2 fois même, une fois avec lui une fois avec sa femme.
En effet, il avait compris l’homosexualité de Franck, il avait été le seul à découvrir ce secret que Franck n’osait s’avouer. Il savait aussi qu’il le vivait mal et il lui avait donc offert une femme; Chantal.
Il lui avait appris comment l’aborder et comment ensuite lui faire l’amour.
Franck avait été bon élève et avait même prit du plaisir avec Chantal, mais il aimait bien plus se retrouver dans les bras d’un homme, dans les bras de Marc.
Après ce dépucelage, Marc avait réussi à dévergonder Chantal. Elle avait encore beaucoup à apprendre, bien entendu, mais il avait déjà bien avancé et plus vite qu’il ne l’imaginait.
Il n’en avait pas fini avec elle, mais Charlotte, si jeune, si pure et certainement encore vierge, serait son prochain menu il en avait la certitude.
Cette pensée le fit soupirer d’aise.
Chantal croyant que sa caresse était à l’origine de cette satisfaction, s’approcha de son sexe pour lui poser un baiser.
Marc, surpris, ouvrit les yeux.
Chantal, sans qu’il ne lui ait rien demandé s’était approchée de sa queue, avait déposé un baiser puis avait commencé à le sucer.
Chantal aussi était surprise de son geste. Il ne lui avait rien imposé, rien demandé, elle le suçait de sa propre initiative comment cela était-il possible ?
Marc posa sa main sur la tête de Chantal et accompagne son mouvement il oublia quelques instants Charlotte et se laissa aller au plaisir de cette fellation offerte par Chantal.
– Humm top bon !
Soupira-t-il.
Chantal ne voulant pas qu’il jouisse dans sa bouche se retira, mais Marc avait trop envie de se vider dans son palais.
Il ne chercha pourtant pas à la bloquer, mais la fit basculer sur le dos, se positionna sur elle, son sexe au niveau de la bouche de Chantal, introduisit son sexe dans son palais, immobilisa les bras de Chantal avec ses mains et commença à simuler le coït dans la bouche de Chantal.
Il baisait sa bouche, d’abord légèrement, en progressant doucement de plus en plus profondément, puis accéléra le mouvement, l’étouffant pratiquement à la fin.
Il se libéra finalement au fond de sa gorge.
Quand enfin il se retira, Chantal toussa, la bouche inondée de sperme.