Maintenant que l’excitation est retombée, je me pose quand même quelques questions. En fait, je n’arrive pas à y croire vraiment. Une femme qui pourrait presque être ma mère, mais super canon m’a fait du rentre-dedans dans un café, puis m’a emmené faire les boutiques pour une somme astronomique, et m’a fait jouir deux fois. J’ai même pu la voir nue et lécher sa chatte.

En pensant à ça, mon pantalon se tend, mais j’essaie de rester lucide. C’est presque trop beau pour être vrai… j’ai peur que Marie me cache quelque chose.

D’un autre côté, son corps nu m’a rendu fou, j’ai son image coincée derrière ma rétine, et ça m’empêche de me concentrer. Malgré son âge, ses courbes sont magnifiques, et rien qu’à me rappeler ses seins ronds et ses fesses charnues … bah voilà, je suis dur.

La chaleur du désir m’envahit et je ne peux m’empêcher de me caresser un peu, au travers du pantalon. Je n’ai qu’une seule envie : m’enfoncer en elle et ne m’arrêter qu’une fois nos corps repus.

J’ai toujours été intéressé par le sexe, et les pornos n’ont pas aidé. Mais la proximité me fait perdre la raison. Tout s’accélère, comme si j’avais peur de louper l’occasion.

Quelque chose touche ma main et me ramène à la réalité.

Tu as choisi Chris ? me demande Marie en me souriant.

Je me reconnecte à la réalité. Je me trouve dans un restaurant chic, Marie est en face à moi et me touche le bras. Le serveur attend ma commande. Je survole le menu aux prix exorbitants et choisit un steak tartare. Puis, Marie commande du champagne tandis que le serveur emporte nos verres de cocktail vide : une Margarita pour elle et un Bloody Mary pour moi.

Une fois que le serveur part, je sens Marie me toucher la main. L’autre main, celle qui est sur mon sexe, grâce à son pied.

Tu as l’air ailleurs … et je crois savoir où … minaude-t-elle en caressant mon sexe au travers de mon pantalon. Je prends son pied pour le caresser à mon tour.

Dans un lit, nu, avec toi ?

Ne sois pas si impatient. Mais si tu débordes, trop d’énergie … peut être qu’un petit bisou au bon endroit pourra te détendre.

Je repense à ce « baiser » qu’elle m’a donné dans la cabine. J’ai adoré, pourtant maintenant, ça ne suffit plus. Je veux sentir sa peau contre la mienne, ma chaleur et la sienne. Je veux exploser en elle.

Je la sens encore s’activer sur mon jean bosselé. Son deuxième pied est venu s’ajouter. J’essaie de rester de marbre, mais à part ma queue, ce n’est pas très efficace. Ses caresses me font divaguer et je m’adosse un peu plus à mon siège.

Marie me dévore du regard, concentré sur ses pieds et mon sexe. Je la sens jouer avec la fermeture de mon pantalon. Presque comme un automate, je l’aide et défais mon pantalon et le baisse sous mes fesses. Je suis maintenant la queue à l’air sous une table dans un grand restaurant, caressé par une femme d’âge mûr et ses pieds aux collants en résilles. Elle semble apprécier mon initiative et continue de plus belle ses caresses, englobant mon sexe brûlant entre ses pieds.

Cette chemise te va vraiment bien, tu sais.

On s’est changé pour être présentable à ce restaurant. Marie a mis sa robe rouge et moi un costume noir et ma chemise rouge.

Elle est vraiment chaude, dis donc. Cet après-midi ne t’a donc pas suffi ?

Tu sais ce qu’il faut pour me calmer… et encore.

Pour un puceau, tu es bien déterminé.

Tu m’as bien orienté.

Elle me jette un autre sourire et se pourlèche les lèvres, mais retire ses jambes quand le serveur revient. Je remonte discrètement mon pantalon avant qu’il ne pose les plats devant nous.

Le plat est succulent bien qu’en petite quantité. Mais Marie me rassure d’un clin d’il.

Ne t’inquiète pas. Tu pourras te rassasier de melon à la maison.

Elle me dit ça en se palpant son opulente poitrine. Message reçu.

Et ensuite, tu auras des fruits de mer …

Je la vois passer une main sous la table. Je sais exactement où elle est. Elle remet un pied sur ma queue toujours aussi dure.

Quant à moi, je vais avoir de la viande. De la saucisse et des boulettes … à moins que ce soit un dessert : banane et cerise enveloppées de crème chantilly.

Je l’écoute me faire l’amour avec ses mots, une petite voix me crie de l’emmener aux toilettes pour la prendre, mais elle ne voudra sûrement pas. Peut-être devrais-je accepter qu’elle me lèche après tout…

Qu’y a-t-il mon chou ? Je te sens … détendu ?

Je me rends compte que, préoccupé que je suis, j’ai ramolli en effet.

Je ne peux plus attendre Marie, tu me promets de faire l’amour, mais pour l’instant, on ne l’a pas encore fait. Tu ne fais que jouer avec moi. Ça me rend fou et j’ai l’impression que tu ne le feras pas.

Si tu savais comme j’ai envie de te faire l’amour. Si seulement tu mettais ta main dans ma culotte, tu saurais que je suis tellement excitée et trempée que tu pourrais me prendre sur cette table que je te laisserais faire …

En entendant ces mots, je redeviens aussi dur qu’un rock.

Mais j’ai envie de faire ça bien, j’ai envie que tu t’en souviennes, de t’initier comme il faut pour ta première fois, dans un lit, juste nous deux.

Je ne sais pas si j’aurais cette patience … surtout vu comment tu me titilles.

Après avoir fini son plat, Marie se lève et prend ma main.

Viens avec moi.

Docile, je la suis, essayant de cacher mon érection massive. Elle m’emmène aux toilettes pour hommes, me pousse à l’intérieur puis s’enferme avec moi. Puis elle se retourne et m’embrasse sans me laisser dire un mot. Je la sens se frotter contre moi, ses tétons pointent.

Tu sais Chris, plus on se taquine comme ça, et plus ta première fois deviendra mémorable … je vais te montrer comment.

Elle soulève sa robe montrant un string poisseux et reprend ma main pour le plonger dedans.

Alors ? me susurre-t-elle. Est-ce que tu me trouves assez excitée ?

Je ne réponds pas, terrassé par ses baisers sur ma gorge, ses seins contre moi et ma main dans sa chatte. Mais je m’active à lui donner du plaisir. Je sens son souffle chaud dans mon oreille alors qu’elle gémit de plaisir. Elle tâtonne pour trouver ma ceinture et l’enlève en tremblant.

Hmmmm c’est bon… moi aussi je veux te donner du plaisir.

Elle sort ma queue et la branle énergiquement. J’en deviens fou. Je sens que je vais jouir très vite.

Ah ça arr…

Non !

Marie s’est arrêtée et serre ma verge pour arrêter mon orgasme. Cette torture est horrible ! mon orgasme est bloqué, brûlant mon corps sans se libérer.

Tu vas voir… plus je vais retarder ton orgasme et plus il va être fort.

Mais il est déjà fort … Ahhhh.

Je suis paralysé, Marie s’est agenouillée devant moi pour prendre mon sexe en bouche. Sa technique est divine et mon excitation est déjà à son comble. Mais elle sait comment faire et s’arrête à chaque fois que je m’approche de la jouissance, me regardant alors avec des yeux autant joueurs que pervers.

Mes jambes tremblent sous le plaisir, ce qui fait rire Marie.

Assieds-toi chéri, ou tu vas tomber sous mes assauts.

Ni une ni deux, je m’écrase presque sur les toilettes derrière moi, alors que ma tortionnaire dénude sa poitrine pour emprisonner ma verge douloureuse dans cette cage de chair et de douceur.

J’essaie de me retenir de gémir, mais ça devient impossible lorsqu’elle pose sa langue sur mon extrémité.

Pendant d’interminables minutes, elle alterne caresses, baisers, coups de langue et poitrine onctueuse pour m’amener toujours plus près de la jouissance, mais sans jamais me laisser sombrer dans le plaisir final.

Soudain, elle s’arrête, je peux de nouveau respirer.

Alors bébé, à quel point veux-tu jouir ? es-tu prêt à me supplier, même si ce n’est pas dans ma chatte ?

Je comprends, elle essaie de m’enflammer de désir. Je la regarde dans les yeux remplis d’une détermination qui surpasse presque mon envie de jouir.

Elle semble apprécier ce regard provocateur, car elle se baisse pour enlever son string et le roule en boule.

Ouvre la bouche ! ordonne-t-elle. Je t’ai trouvé un bâillon qui t’empêchera de crier quand tu jouiras.

On frôle le fétichisme, mais j’ouvre la bouche. Je sens son odeur et son goût sur ma langue. Marie déboutonne ma chemise pour caresser mon torse.

Puis elle se place au-dessus de moi, sa chatte découverte et luisante juste au-dessus de mon pieu dressé. Mon cerveau fait des étincelles en imaginant la suite : la fusion de ces êtres complémentaires. J’écarquille les yeux alors que le gland touche ses lèvres.

Mais au dernier moment, elle imprime une torsion du bassin pour détourner mon sexe de sa fente. Elle se retrouve donc couchée sur mon ventre tandis que ses lèvres viennent se presser contre moi.

Tu y étais presque …

Sa voix presque moqueuse me rend fou. Elle exerce des mouvements de va-et-vient pour caresser ma queue avec son sexe, l’humidifiant au passage.

On est presque en train de faire l’amour, Chris.

Je dois le faire … mais c’est si bon ! Et Marie continue son manège en se frottant sur moi, s’arrêtant dès qu’elle me sent partir.

Mais elle va voir, je suis un homme ! pas un banal sex-toy ou toyboy avec qui elle peut s’amuser.

Utilisant mes ultimes forces, j’arrive à me redresser et à nous soulever.

Marie semble surprise.

Tu en avais encore en réserve ?!

Je ne la laisse plus faire et, possédé par l’énergie sexuelle du désespéré, je reprends le contrôle. Je la retourne et la plaque presque contre la porte. Aussitôt, je plonge une main dans sa chatte pour la caresser sans douceur. Mon autre main lui écrase la poitrine, tandis que je respire son odeur.

Je la sens partir elle aussi, elle gémit.

Ohhh tu m’avais caché cette force et cette détermination ! tu me rends folle !

Ça y est, elle a baissé sa garde. J’en profite pour remonter sa robe et je positionne mon sexe devant le sien. Je vais le faire, je vais la pénétrer !

Mais au moment où je donne un coup de bassin pour m’enfoncer en elle, elle se met sur la pointe des pieds et coince ma queue entre ses jambes.

Raté chéri ! tu as hésité une seconde de trop. Mais ne t’en veux pas, c’est parce que tu n’as pas encore assez d’expérience, et j’en ai beaucoup. Je sais réagir, même excitée comme une folle.

Je ne l’écoute plus et commence des va-et-vient saccadés, me frottant sur sa chatte. Apparemment, elle ne s’y attendait pas et recommence à gémir.

Oh coquin !! tu as trouvé la parade ! pour ta peine, je vais te laisser faire… Vas-y, jouis en te frottant ma chatte, je sens que je viens aussi … mhhhhh.

On jouit ensemble. Elle soulève sa robe alors que je me répands. Mon sexe ne l’inonde pas malheureusement, mais asperge la porte des toilettes. Pendant de longues secondes, l’orgasme me secoue et de longs jets épais jaillissent. Marie tient ma verge et caresse mes boules pour en extraire le plus de sperme.

Finalement groggy, je recule et libère Marie. Elle tombe à genoux et observe avec un air fou la trace de ma semence dégoulinant sur la porte.

Il y en a tellement ! c’est pourtant ta troisième fois…

Prenant un air totalement dépravé, elle colle son visage à la porte pour lécher le liquide blanc.

Quant à moi, j’essaie de reprendre mon souffle, assis sur les toilettes. Mais ce spectacle de décadence m’enchante.

Alors Chris, n’avais-je pas raison ? ton orgasme ne fut-il pas meilleur ? déclare Marie, une fois la porte nettoyée par ses soins.

Je ne dis rien et acquiesce en silence. Puis je lui rends son string que j’ai bien mordu et reboutonne ma chemise.

Laisse-moi t’aider.

Elle s’assied sur moi et m’embrasse en fermant les derniers boutons.

Hmmm tu es un merveilleux amant Chris. J’ai hâte d’être à ce soir.

Elle m’embrasse une dernière fois, puis sort. Elle marche comme s’il ne s’était rien passé, comme une reine. J’essaie de rester aussi digne qu’elle, mais les endorphines de l’orgasme sont comme une brume dans ma tête.

On retourne à notre table pour finir le repas avec un cocktail et un dessert pour reprendre des forces.

Ensuite, on prend un taxi pour aller à l’hôtel…

Related posts

Je veux être enculée – Chapitre 1

historiesexe

Ma tante de 45 ans est sublime – Chapitre 7

historiesexe

Travaux agricoles – Chapitre 3

historiesexe

Laissez un commentaire

Ce site Web utilise des cookies pour améliorer votre expérience. Nous supposerons que cela vous convient, mais vous pouvez vous désinscrire si vous le souhaitez. J'accepte .