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Débauche en famille – Chapitre 2




Le lendemain, comme d’habitude, je rentrais du lycée pour voir ma charmante sour, entièrement nue, sur la terrasse ! Je m’approchais d’elle et émis un petit sifflement. Elle tourne alors la tête et me regarde de la tête aux pieds :

-Il me semble que tu n’as pas bien compris, espèce de petit branleur, maman et moi on t’a dit hier que dès que tu rentrais, tu devrais te déshabiller et être à notre service ! Tu n’es qu’un jouet sexuel et tu as intérêt à obéir.

Je me suis donc dévêtu entièrement mais la vue de ma sour m’avait provoqué une trique d’enfer ce qu’elle a remarqué aussitôt :

— Mais tu bandes en plus sale petit branleur !!! tu vas me faire le plaisir de faire redescendre ça et en vitesse.

— Mais ce n’est pas de ma faute répondis-je

— Branle toi et fais sortir ton jus ça va te calmer dit ma sour

— Ça va pas non ? Je ne vais surement pas me branler devant toi

— Tu préfères que j’en parle à Maman quand elle va rentrer ?

Honteux et minable, je pris ma bite en main et commençais à me branler ; Je voyais le regard de ma sour s’éclairer de plaisir. Lorgnant sur son corps je fantasmais et ce fut une aide supplémentaire pour atteindre le plaisir. Corinne (ma sour) se leva et me dit sur un ton très autoritaire de la suivre. Nous rentrons dans la maison et me fit mettre a genoux et me dit de l’attendre. Elle revint avec a la main un « instrument » qui m’était inconnu. Sur son ordre je dus m’allonger à même le carrelage froid. Elle fit coulisser ma bite dans un tube et positionna la base autour de mes couilles ; Puis elle referma la charnière et un petit cadenas mit fin à sa mise en place :

— Voila petit branleur, ça t’empêchera de te tripoter sans arrêt et si tu bandes tu comprendras vite ta douleur ! Mais tu vois comme Maman et moi le disions hier en achetant cet engin, nous sommes quand même bonnes pour toi. Au bout du tube il y a un trou te permettant de pisser.

Elle s’installa alors sur le canapé et écarta le kimono qu’elle avait enfilé dévoilant sa chatte imberbe en m’ordonnant de venir la faire jouir et bien comme il faut sinon il m’en cuirait.

Je voulus poser les mains sur ses cuisses mais elle ne voulait que ma langue et me fit mettre les mains dans le dos. Alors que je m’appliquais du mieux que je pouvais, je sentis quelque chose de froid et de métallique enserrer mes poignets. Je me retourne alors et vois Maman que je n’avais pas entendu arriver. Je compris alors : j’étais menotté les mains dans le dos !

Ma sour me dit de reprendre ce que je n’avais pas terminé. Je finis par la faire jouir rapidement et quelle ne fut pas ma surprise de voir ma sour et ma mère s’embrasser goulument à pleine bouche. Maman vint s’installer à coté de Corinne et je dus me remettre à genoux devant elles.

— Bon maintenant on va t’expliquer : Pendant tes périodes de dressage, tu devras nous appeler Maitresses et ne parler que si on te pose une question. Puisque tu aimais tant te branler comme un pédé, nous allons t’élargir du cul et une fois que ce sera fait, nous t’enculerons aussi souvent que nous le souhaiterons. Tu ne répondras qu’au nom de branleur et en notre présence, tu devras sauf ordre contraire être à genoux devant nous et les yeux baissés. Suis-je claire ?

— Oui Maman répondis-je

— J’ai dit Maitresse hurla ma mère

— Oui Maitresse réussis-je à bredouiller

Ma mère m’enleva les menottes et je dus les suivre à l’étage dans la salle de bain. Elles me firent monter dans la baignoire et ma sour m’enduisit tout le corps d’une crème. Au bout de 10 minutes, j’eu droit à une douche et là je compris : c’était une crème dépilatoire et tous mes poils étaient partis. Je dus ensuite aller aux toilettes (sur leur ordre) et à mon retour me courber en deux en prenant appui sur le bord de la baignoire. Pendant que ma sour m’écartait les fesses, je vis ma mère sortir de l’armoire à pharmacie un objet que je reconnus comme étant un plug. Un peu de gel douche et d’une seule poussée, je le reçu dans les fesses ! J’étais maintenant un « enculé » !!!

Ma mère m’informa que dorénavant dès mon retour à la maison, je devrais mettre mon plug et que je n’avais pas intérêt à oublier. De retour dans la salle, ma sour me donna l’ordre de leur servir un apéritif et d’aller préparer le repas et de mettre la cuisine en ordre. J’étais devenu leur bonniche.

Je commençais m’habituer à déambuler nu dans la maison. Je fis donc le repas et une fois prêt je dus les servir comme deux princesses. Ma mère me dit que j’avais trop salé et c’est ainsi que je reçus ma première claque sur les fesses. La seconde ne tarda pas car ma sour fit de même. Je dus manger seul dans la cuisine et tout remettre en état après. Une fois terminé, je vins comme prévu me mettre à genoux devant elles dans le salon. Elles étaient en train de se gouiner et firent comme si je n’existais pas. Je compris alors le vice de l’appareil qui bloquait ma bite : de voir ces deux femmes en train de se tripoter me fit bander. Mais pas très longtemps car mon érection fut stoppée nette par la longueur du tube. Et la ça commença à devenir douloureux car mon sexe ne pouvait plus se développer. Je laissais échapper des gémissements de douleur ce qui fit relever la tête de mes deux tortionnaires. Elles comprirent alors ce qui arrivait et se mirent à ricaner.

Elles me dirent alors d’aller me coucher en passant par les toilettes avant. Arrivé devant la cuvette, je compris que je devais retirer le plug tout seul. La sortie fut aussi douloureuse que l’entrée. Une fois terminé, par crainte de représailles, je remis le plug en place. J’allais me coucher et entendis en bas des gémissements qui ne laissaient aucun doute sur ce que faisaient ma mère et ma sour.

A suivre

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